Jacky Balmine, secrétaire général de la CGTR

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00:00La lutte ne peut pas être finie.

00:01Là, il y a eu des mobilisations fortes, des millions de personnes dans la rue.

00:05Là, il y a eu une élection, elle a été antidémocratique juste après.

00:08Et il y avait des promesses dedans de la bourgation de la réforme des retraites.

00:12Il ne l'a toujours pas entendu.

00:13Il l'a toujours bataillé, soit pour faire un référendum,

00:16ou bien au moins pour mettre devant mon député.

00:18Aujourd'hui, même si ce n'est pas quelque chose qui va changer la loi demain,

00:22parce que ce n'est pas une loi, c'est une proposition sur ce sujet-là,

00:27mais c'est important de voir aussi la tendance des députés aujourd'hui,

00:30sur cette situation-là, sur les engagements à la prise pendant les élections.

00:33Et c'est peut-être un moyen aussi de mettre le gouvernement mal vis-à-vis de ce qu'il y a toujours à faire avec le 49-3.

00:41Donc, nous avons le devoir d'être là aujourd'hui.

00:43C'est important.

00:44On n'est pas en rapport avec les préfets.

00:45Quand on a un résultat électoral qui n'a pas été suivi, finalement,

00:49la démocratie n'a pas été respectée,

00:51le préfet qui est représenté de l'État ne va pas consommer sa dialyse et la réforme des retraites.

00:55Il nous est dans une continuité et il nous est convaincu avec une mobilisation.

00:59Si ça se passe bien aujourd'hui,

01:01nous pourrons au moins faire prendre conscience au président ou au gouvernement

01:05que j'en ai dans un mauvais chemin.

01:07Il y a d'autres moyens pour récupérer l'argent.

01:09Ce n'est pas obligatoirement de prendre avec les salariés.

01:11Et en plus, ma part, ça met ça à le préfet.

01:14En même temps, comme nous parle de la réunion, nous avons des problèmes de vie chéant.

01:16Les gens n'arrivent plus à vivre.

01:18Vous l'avez vu ?

01:19Il parle de France Travail, de baisse de 33% sur les pares de rendez-vous,

01:22de faire Travail bonheur et ça gratuitement 15 heures par semaine.

01:26Ça va mettre en difficulté les gens.

01:27Ils travaillent aussi.

01:28Et en plus, ils parlent de TVA sociale.

01:30Donc au final, c'est toujours ça pour rien.

01:32Ils payent.

01:33Donc si la pointe de réaction est ce que je ne m'y arrête pas de dire,

01:36nous allons continuer à aider à la souffrance et à la pauvreté.

01:38Ça n'est pas acceptable.

01:40En tout cas, nous nous les donnons une continuité.

01:43Nous pensons que nous devons être là aujourd'hui.

01:45Et il faut nous continuer parce que rien n'est fini.

01:48Sinon, sur l'abdique, tout le monde tombe comme s'il n'y a plus rien pour faire.

01:51Mais nous l'est battu.

01:53Il ne faut pas.

01:53Il ne faut surtout pas.

01:54La CGTN nous dit qu'il faut nous rester combattus.

01:56Rien n'est perdu.

01:57Tout ce qu'on a eu jusqu'à aujourd'hui, c'est dans les mobilisations, c'est dans les batailles.

02:01Il n'y a jamais eu rien normalement.

02:02Donc il faut nous continuer sur ce terrain.

02:04Non.

02:04Mais c'est vrai qu'aujourd'hui, ça ne va pas être un changement effectivement de la loi.

02:10Mais ça peut être un pas vers la continuité de nos mobilisations.

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