00:00Europe 1, 16h, 18h, on marche sur la tête, Cyril Hanouna.
00:06Quel bonheur de retrouver l'équipe, et je me demande si je suis fan de vous, loin d'eux, loin d'eux, c'est peut-être quand je suis loin de vous que vous êtes les meilleurs.
00:16Je tiens à dire à tous les auditeurs, s'ils se demandent où est la statue d'Emmanuel Macron, elle est dans la chambre à coucher de Géraldine Maillet.
00:23C'est elle qui l'a dérobée.
00:25C'est elle qui l'a volée, elle prendra celle d'Empbappé la semaine prochaine.
00:30Je n'avais pas la place.
00:31Déjà, première question pour tout le monde, bien sûr, on va parler du PSG.
00:34Je vais tenter, je vous le dis, je n'ai rien prévu, mais je vais tenter d'appeler le président du Paris Saint-Germain.
00:40Il est à Roland-Garros, là.
00:41Je vais essayer de l'appeler.
00:42Il est à Roland-Garros. Ma mère aussi, elle est à Roland-Garros.
00:45Non, mais je vais l'appeler, je vais essayer de l'appeler, on va voir s'il peut me prendre entre deux balles.
00:49Mais voilà, je l'ai vu à l'antenne, il était très beau d'ailleurs.
00:52Il est de plus en plus beau, je trouve, Nasser Maitralafi.
00:54Bon, déjà, je voudrais savoir, première question, vous me dites un bonjour et vous me dites où vous avez vécu cet exploit exceptionnel du Paris Saint-Germain.
01:02Et j'aimerais quand même de la part de toute l'équipe, quand même, qu'ils disent, voilà, je ne leur dis rien, mais vous savez ce que vous avez à dire.
01:11On finira par Géraldine Maillet, d'accord ?
01:14Allez, d'abord, bonjour Gauthier Lebré.
01:16Bonjour Cyril Hanouna.
01:18Alors, allez-y.
01:19Pardon ?
01:20Allez-y.
01:21Ah oui, je pensais que vous disiez bonjour Valérie.
01:24Déjà, écoutez, évidemment que j'ai regardé les matchs, chez moi avec des amis, en essayant d'esquiver les mortiers d'artifice qui étaient lancés depuis la rue.
01:31Non, et je voulais dire, évidemment, que depuis le début d'Omarche sur la tête, je dirais même en juin dernier, vraiment le tout début, le pronostic du triomphe du PSG était donné dans cette émission, voilà.
01:45Par qui ?
01:46Par son animateur.
01:47J'attends d'entendre Géraldine, et on mettra des extraits tout à l'heure.
01:50J'attends d'entendre Géraldine.
01:51Voilà, j'attends, c'est j'attends Géraldine Maillet.
01:53Je suis content qu'elle soit là aujourd'hui.
01:55On va parler également de l'Inter de Milan.
01:56Alors, il y a pas mal de gens qui m'ont dit, est-ce que le PSG est trop fort ou est-ce que l'Inter de Milan sont des immenses chèvres ?
02:01Je vais vous dire, le PSG est trop fort, suffis-je, le PSG est très fort, mais l'Inter, ils n'ont pas mis un pied devant l'autre.
02:11C'est catastrophique, ils les ont fracassés.
02:12C'est Louis Senriquet, il a fait une tactique, il les a fracassés.
02:15Mais bon, l'Inter de Milan, là, franchement, je suis eux, là.
02:18Après, j'adore Benjamin Pavard, moi, donc le problème, c'est ça.
02:20Mais avec Benjamin Pavard qui a bien joué, le reste, ils n'ont pas mis un pied devant l'autre.
02:23Ah non, Pavard, il a été nul.
02:25Ouais, mais comme c'est mon ami, on dit qu'il est bon.
02:28Je comprends pas ce que tu es dans l'édition.
02:29J'ai regardé le match à la maison, vous savez que j'habite à deux pas du Parc des Princes,
02:42donc j'ai eu droit aussi à l'ambiance festive au début, beaucoup moins après.
02:47Et évidemment, je rappellerai qu'il y a à peu près un an maintenant de cela,
02:53un certain Cyril Hanouna avait pronostiqué le triomphe.
02:56Quand Kylian Mbappé a quitté le Paris Saint-Germain, j'ai dit un truc.
02:59C'est tout, j'ai dit un truc.
03:01Vous avez dit qu'ils gagneront sans lui.
03:03Avec Kylian Mbappé, ils vont la gagner sans lui dès maintenant.
03:06Bon, j'attends Géraldine Maillet.
03:08C'est le running game.
03:09J'attends Géraldine Maillet.
03:09Olivier, comment il va celui-ci ?
03:12Ça va Cyril, ça va.
03:14J'étais à Ajaccio, on s'est installé...
03:16Juste pour vous dire, je suis dans l'ascenseur, vous allez me voir dans 30 secondes.
03:22J'ai vu le match depuis Ajaccio, on s'y était installé le matin même avec Coco,
03:27on avait un couple d'amis et d'autres personnes se sont arrivées qu'on ne connaissait pas,
03:30mais on a fait match commun et l'une d'entre elles s'appelait Doumé,
03:34donc on va voir comment ça se passe.
03:35C'est très drôle, c'est très sympa.
03:45Et la phrase sur les pronostics de la personne ?
03:53Cyril avait fait un pronostic sur ce match.
03:55Je plaisante, depuis un an.
03:58Oui, mais ça a fluctué, il a tenu la distance.
04:01Il fluctue un peu, mais pas là-dessus.
04:03Et notamment sur son soutien au président et à l'entraîneur, c'était important, tout au long de l'année.
04:07Il y a l'effectif aussi, un soutien indéfectible.
04:10Il n'a jamais fluctué.
04:12Il n'a jamais fluctué, dit-il.
04:13Non, jamais.
04:15Il n'a jamais fluctué.
04:17Par contre, je vais vous expliquer, les ascenseurs européens,
04:19j'ai mis moins de temps à faire Roissy-Charles de Gaulle,
04:23le troisième étage.
04:27C'est un truc de ouf.
04:28C'est tellement vrai.
04:30En revanche, ils ont un truc génial, les ascenseurs d'Europe 1,
04:32c'est qu'on peut garder la conversation au téléphone.
04:35Il ne coupe pas.
04:36Ça ne coupe pas.
04:37Et c'est intéressant quand l'ascenseur se bloque, ce qui arrive souvent.
04:41Merci.
04:43J'attends Géraldine Maï.
04:44On a la chance d'avoir Jacques Vendroit avec nous, Cyril.
04:47Je le sais.
04:48Je l'ai eu tout à l'heure au téléphone.
04:49Il est magnifique.
04:50Il est magnifique.
04:51Il est magnifique.
04:52Vous allez me voir dans un instant, parce que là, j'ai dû m'arrêter au deuxième.
04:55J'ai pris un petit kawai, et là, j'arrive au troisième.
04:56Là, j'ai pris un petit kawai, là, j'arrive au troisième.
04:59Pimpon.
05:00Pimpon.
05:00Je vous le dis, pimpon.
05:01Alors, moi, Cyril, j'ai fait le...
05:04Alors, attendez.
05:04Est-ce qu'on a une pub ?
05:05Est-ce qu'on a une pub, Géraldine Maï ?
05:06On va vous prendre juste après la pub, Géraldine Maï.
05:10On se retrouve dans un instant.
05:11A tout de suite.
05:12Une petite minute.
05:16La pub ?
05:17Il y avait une pub ?
05:17Il y avait une pub ou pas ?
05:18Il n'y a pas de pub.
05:19On peut la faire nous-mêmes, non ?
05:21On peut faire une pub.
05:22Ou alors on chante.
05:23La ISG.
05:24Il n'y a pas de pub.
05:24C'est ça ta pub, toi ?
05:27Ben oui, c'est le chant des ultras.
05:28C'est mon tour de réel.
05:30Quel bonheur de les voir en vrai.
05:32Oh là là là là.
05:33Qu'ils sont beaux.
05:34Ils sont magnifiques, franchement.
05:35Et là, en plus, je vois Jacques Vondroux.
05:37Jacques Vondroux qui m'a appelé ce matin.
05:38J'étais sur une embarcation pour arriver.
05:43J'étais en bateau.
05:43Alors, il m'arrivait un truc de fou.
05:45Je vais vous raconter tout à l'heure.
05:46J'ai eu une panne de bateau.
05:47Mais non.
05:48Comment c'est possible ?
05:49Mais de votre bateau ou d'un bateau ?
05:50Non, un bateau que ma pote m'a passé.
05:52C'est pas le ferry ?
05:53Non, c'est pas le ferry.
05:55C'est pas le ferry.
05:55Mais pas de moteur ?
05:57Pas de naissance ?
05:58Je vous raconterai ça tout à l'heure.
05:59Merci Jacques Vondroux d'être avec nous.
06:01Merci.
06:03Reda Bellat, tu es avec nous également.
06:04Comment ça va Reda ?
06:05Ça va.
06:05Ça fait hyper longtemps qu'on ne s'est pas vus tous les deux.
06:07Ben oui.
06:09Je veux dire que quand tout va mal.
06:10Oui, je sais.
06:11C'est vrai.
06:12Aujourd'hui, on va rigoler quand même un peu.
06:14Le PSG a gagné.
06:16On a un peu tendance à l'obliguer.
06:18Moi, je vais surtout parler du PSG qui a gagné.
06:20Je vous le dis.
06:21Je suis complètement d'accord.
06:21Franchement, ça y est, c'est bon.
06:23Ça va à la barbe.
06:24On attend ça depuis des années.
06:26J'ai défendu bec et ongles.
06:27Toujours.
06:28Quand même.
06:29Défendu bec et ongles.
06:31Et le jour où tu annonces que Mbappé part
06:35et que le PSG va gagner la Ligue des Champions,
06:39je suis dans le studio.
06:40Non.
06:41C'est incroyable.
06:42Je suis dans le studio.
06:43Il peut attester.
06:44Tu peux témoigner.
06:45Je confirme.
06:46On a tous été témoins de ça.
06:48Même sur TPMP, vous l'aviez dit.
06:49Je me suis dit.
06:50C'est pas du pipo non plus.
06:51Ah ben non, on s'en souvient tous.
06:53Donc, Géraldine Maillet, qu'est-ce que vous avez fait ?
06:55Et qu'est-ce que vous avez dit ?
06:56Alors, samedi soir, j'ai fait un dîner festif à la maison.
06:59C'était incroyable avec les enfants.
07:01On était tous habillés avec des maillots du Paris Saint-Germain.
07:05Il y avait un office qui était au Parc des Princes
07:07parce que là, ils avaient fait un truc incroyable avec des écrans géants.
07:11Et il m'a dit que de mémoire de supporters du PSG,
07:13il n'avait jamais vu une ambiance pareille.
07:15Il a pleuré.
07:16Tout le monde était en...
07:17Qui a dit ça ?
07:17Son fils.
07:18Mon beau-fils.
07:19Ah, parce que vous n'avez pas de fils.
07:20Non, mon beau-fils.
07:20Moi, je connais un petit peu la famille.
07:21Et il a dit, j'ai jamais vécu une telle ambiance.
07:25C'était exceptionnel.
07:2717 ans.
07:27Ah, d'accord.
07:28Donc, il a pleuré.
07:30Il n'avait plus de voix.
07:30Et tout ça, c'était incroyable.
07:32Mon compagnon, lui, a fait l'émission depuis les Champs-Elysées.
07:34Ah oui, j'ai vu ça.
07:35Jusqu'à 2h du matin.
07:36Et c'était, pour le coup, là, très chaotique.
07:37J'ai vu ça.
07:38Et j'aime bien.
07:38Il a fait son mea culpa.
07:40J'adore.
07:40C'est-à-dire ?
07:41Il a dit que, voilà, j'ai bien aimé.
07:43J'aime bien Daniel.
07:44J'aime bien il m'en sait.
07:45Tout ça pour dire que c'était incroyable.
07:47Et on était très contents.
07:48C'est bon.
07:49Je suis là pour lui parler.
07:51Moi aussi, je dis des conneries.
07:53Moi aussi, je dis des conneries.
07:54Mais lui, il n'a pas dit bêtises.
07:55Il se trouve que dans le foot, je me trompe rarement.
07:57Si, si, il a fracassé Louis Sénérique.
07:58Mais il a droit.
07:59Je vais vous dire la vérité.
07:59Oui, mais il a fait son mea culpa.
08:01On a le droit de fracasser les gens quand on n'est pas d'accord avec eux.
08:03Et après, les ont censé quand on trouve qu'ils ont changé.
08:05Il n'a jamais changé, Louis Sénérique.
08:07Ah bah si, il n'a pas changé.
08:09Non, non, non.
08:09Il n'a jamais changé.
08:09Jacques, il n'a jamais changé, Louis Sénérique ?
08:11Ah non, non, non.
08:11Louis Sénérique, il avait un projet.
08:15Depuis deux ans.
08:16Quand il insulte les journalistes, il n'a pas changé ?
08:18Il a raison parfois.
08:20Non, on n'insulte pas les journalistes.
08:21On insulte qui on veut quand on est champion d'Europe.
08:25Non, il n'était pas encore champion à l'époque.
08:26On l'a eu son micro.
08:28Ça commence à me faire chier, ça.
08:29Ça commence.
08:32Quand il était joueur, quand il était entraîneur.
08:35Et quand il était au Paris Saint-Germain, il n'a jamais changé de philosophie.
08:38Il n'a jamais changé.
08:39Il n'a même insulté les journalistes espagnols.
08:42C'est pas bien, je suis d'accord.
08:43Ah non, merci Jacques.
08:44Merci de vous donner raison.
08:44C'est vrai.
08:46Mais ne lui répondez même pas.
08:47On ne peut pas dire qu'il a changé.
08:49Elle va être longue l'émission.
08:50C'est rare.
08:51On l'a jamais changé.
08:52Mais faites pas du Louis Sénérique.
08:54J'adore Louis Sénérique.
08:56Je suis en dessous de Louis Sénérique.
08:59Et bravo à Louis Sénérique.
09:00Bravo à Louis Sénérique.
09:02Bravo à Louis Sénérique.
09:04Et Louis Sénérique, je voulais lui dire aussi.
09:07Vous savez que, bon, je disais à Nasser, je le dis, je le dis la vérité.
09:11En début de saison, j'étais sûr que le PSG allait gagner la Ligue des Champions.
09:13Et je lui disais, t'es sûr de Louis Sénérique, de ce qu'il fait, etc.
09:17Nasser ?
09:18Une fois, deux fois, trois fois.
09:20Nasser, il n'a jamais bougé.
09:22Il m'a dit, tu vas voir, il a un projet, ça va aller au bout.
09:25Je lui dis, d'accord, t'es sûr de toi.
09:26Je lui dis, vas-y, si tu ne me demandes pas d'argent, vas-y.
09:28Il n'y a aucun problème.
09:30Je lui dis, moi, la seule chose que je te demande, ne me demande pas d'argent.
09:32C'est tout ce que je te demande.
09:33Non, mais c'est vrai, c'est extraordinaire.
09:35Et en vrai, je le dis, bien sûr, les joueurs, extraordinaires.
09:38C'est la victoire de Nasser, mais c'est aussi, quand même, je me demande si avec un autre
09:43entraîneur, avec le même effectif, on fait la même saison.
09:46Non.
09:47On est d'accord ?
09:47Non.
09:47Jacques, voilà.
09:48Pourquoi vous dites ça ?
09:49Mentalement ?
09:50Non, mais c'est sûr.
09:51Laissez parler Jacques Mandoux.
09:52Le problème de Louis...
09:53Il est là jusqu'à 17h.
09:54Le problème de Louis Sénérique...
09:56Vous êtes là jusqu'à 15h.
09:57Le problème de Louis Sénérique, c'est que c'est quelqu'un qui est fidèle dans sa philosophie,
10:02fidèle en amitié.
10:04Jacques, il parle à moi.
10:05Pas la peine de lui parler à elle.
10:06Et qui existe de moins en moins dans le football, il va jusqu'au bout de son histoire.
10:12Même s'il se trompe, il va au bout.
10:13Quand on regarde le parcours, je l'ai dit tout à l'heure, quand on regarde le parcours
10:16de Louis Sénérique, en tant que joueur, leader, en tant que joueur, il est leader dans
10:22la grande équipe de Barcelone.
10:24Personne ne m'écoute ou pas ?
10:25Elle veut me donner son nom.
10:26Je ne veux pas de son nom.
10:28Il n'y a pas de problème.
10:30Je ne veux pas de son nom.
10:30À qui je peux parler ?
10:32À moi.
10:32On vous écoute, on vous écoute, Jacques.
10:34On boit vos paroles.
10:35À moi.
10:35Il n'a jamais changé de philosophie en tant que joueur, en tant qu'entraîneur
10:39de Barcelone, en tant qu'entraîneur de l'équipe nationale d'Espagne.
10:43Il ne faut pas l'oublier, il a été entraîneur de l'équipe nationale d'Espagne.
10:46Et là, depuis deux ans, il fait un travail exceptionnel.
10:49Et c'est un mec, franchement, j'ai plein de copains qui m'en parlent.
10:53Il est très sympa.
10:54Il est adorable dans la vie.
10:55C'est un mec, je n'aime pas le terme parce que c'est un peu galvaudé.
10:59C'est un seigneur.
11:00C'est un gentleman.
11:00Après qu'il soit hyper fort et archi-compétent, évidemment, Jacques, c'est incroyable.
11:04Mais qui vous a donné la parole, le singolier ?
11:05J'avais l'impression que Jacques...
11:07Non, j'avais l'impression que Jacques voulait...
11:09Non, non, il ne veut pas vous parler, il parle carré.
11:10Non, moi j'adore vous parler.
11:11Jacques, Jacques, vous lui parlez.
11:13Je voulais simplement vous dire qu'on ne s'est pas gouré.
