[#Journal] Le 19H30 du 30 Mai 2025
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00:00Mesdames et Messieurs, bonsoir, ravis de vous retrouver sur GMT TV pour votre édition d'information du soir.
00:22Dans l'actualité de ce vendredi 30 mai 2025 vers une réduction drastique du nombre des partis politiques, c'est la question à laquelle on tentera de répondre dans ce 19h30 au terme des 10 jours de travaux du comité chargé de proposer une réforme de la loi sur les partis politiques.
00:40En ouverture, double audience à la vice-présidence du gouvernement, Alexandre Baruchambria a reçu ce jour en première heure.
00:50L'ambassadeur de la République fédérale d'Allemagne au Gabon venu faire ses adieux au terme de sa mission au centre des échanges, le bilan de la coopération multilatérale.
01:02Il s'est ensuite entretenu en deuxième heure avec le représentant résident du Fonds des Nations Unies pour la Population au Gabon, également venu dire ses au revoir au coordonnateur de l'action gouvernementale.
01:15Frédéric Andamoukoula, Peter Monfoumbi, Francis Ifounda.
01:18Dans les premières heures de la matinée, peu avant le conseil des ministres, le vice-président du gouvernement Alexandre Baruchambria s'est entretenu avec l'ambassadeur de la République fédérale d'Allemagne au Gabon,
01:28venu faire ses adieux à l'autorité. Après 23 mois d'activité diplomatique, l'heure est au bilan.
01:34Je dois bientôt partir du Gabon avec un peu de tristesse, mais bien rempli des expériences.
01:41C'était surtout la transition que j'ai vécue dans son entièreté.
01:47L'Allemagne est engagée dans le secteur vert, en général, dans le bassin du Congo.
01:54Et là, c'est quelque chose où le Gabon joue un rôle très important.
02:00Il se souvient aussi, depuis longtemps, de la coopération avec l'Allemagne, aussi une coopération avec nos agences, différentes agences.
02:12Et il a mentionné, par exemple, aussi l'entreprise Gov, qui était là pendant très longtemps.
02:18Il souhaite que cette relation va se renouer et va se renforcer.
02:23Dans un deuxième temps, Alexandre Barraud-Chambrier a devisé avec le représentant résident du Fonds des Nations Unies pour la Population au Gabon,
02:32venu également dire au revoir au coordonnateur de l'action gouvernementale au terme de trois années de mission dans notre pays.
02:38J'ai eu l'immense honneur de rencontrer son excellence, monsieur le vice-président du gouvernement,
02:48pour lui tout d'abord le féliciter pour sa nomination,
02:55et puis en particulier pour lui dire merci pour la belle collaboration que nous avons eue ces derniers mois,
03:02étant donné que je suis en fin de mission au Gabon.
03:04Avec le Fonds des Nations Unies pour la Population, nous avons principalement travaillé sur le recensement de la population et du logement.
03:13Nous avons signé un accord et nous avons travaillé aussi sur un programme d'assistance technique
03:19pour que cet exercice important pour l'acquisition de données,
03:25l'analyse des données pour le développement, soit fait dans les règles de l'art.
03:31Auguste Pognon laisse également derrière lui un bilan reluisant de son action au moment de sa mise à la retraite.
03:39Le Fonds des Nations Unies pour la Population a toujours accompagné le Gabon depuis de nombreuses décennies dans sa politique relative à la démographie.
03:46Le jeudi 28 mai 2025, le comité chargé de proposer une réforme de la loi sur les partis politiques a rendu ses premières conclusions.
03:56Après des jours de travaux, une question importante se pose toutefois.
04:00Allons-nous enfin assister à une réduction drastique du nombre de partis politiques ?
04:04José Biloguet nous explique tout.
04:06Après des jours de travaux, le comité chargé de proposer une réforme de la loi sur les partis politiques
04:12a rendu ses premières conclusions le jeudi 23 mai 2025.
04:16L'une des mesures phares préconisées est la réduction significative du nombre de formations politiques
04:20jugées excessives et inefficaces dans le paysage démocratique gabonais.
04:25Sous l'égide du ministère de la Réforme des Institutions,
04:27ce comité composé de personnalités politiques, de juristes et d'acteurs de la société civile
04:31s'est penché sur l'encadrement juridique des partis au Gabon.
04:35L'objectif ? Proposer un cadre plus rigoureux et plus cohérent
04:38avec les exigences d'un État en transition vers une démocratie plus responsable.
04:43Aujourd'hui, le Gabon compte plus de 100 partis politiques déclarés,
04:46mais très peu dispose d'un ancrage réel ou d'un programme structuré.
04:49Un trop-plein partisan qui délie le débat démocratique
04:51et affaiblit la représentativité politique, selon de nombreux observateurs.
04:56Qu'on soit d'avis ou pas, ce qui ressort dans l'opinion, c'est qu'il y a trop de partis politiques.
04:59A résumé, Michel Nongami sont nos membres du comité.
05:02Au terme des travaux, rapporte nos confrères de Gabon Actu.
05:05L'ancien ministre a salué la méthode inclusive du président de la transition,
05:08Brice Ruteroli-Gingema.
05:10L'objectif était de ne pas prendre une décision d'autorité.
05:13Il fallait écouter les uns et les autres,
05:15mettre en place un comité pour que nous puissions faire des propositions dans ce sens.
05:19Nous ne sommes pas venus ici pour guillotiner qui que ce soit, a-t-il insisté.
05:23Dans le nouveau projet de loi en cours de rédaction,
05:25plusieurs pistes sont envisagées pour rationaliser la carte politique.
05:29Limitation du nombre de partis par retard d'implantation territoriale,
05:33obligation de résultats électoraux,
05:35au dérégulier des financements publics
05:37et renforcement du contrôle administratif des activités partisanes.
05:40L'objectif affiché est clair.
05:42Assainir le fonctionnement des partis est exiger davantage de sérieux,
05:46de discipline interne et de proximité avec les citoyens.
05:49Il faut permettre à chacun de se retrouver
05:51et de faire le travail politique avec beaucoup de sérieux
05:53dans l'intérêt du peuple gabonais, a insisté Michel Nondamisson.
05:58Alors que le pays s'achemine vers des élections couplées en septembre 2025,
06:02cette réforme du cadre politique apparaît comme une étape décisive
06:05dans la refondation institutionnelle.
06:07Elle pourrait permettre de redonner du crédit à l'engagement partisan
06:10dans un pays longtemps marqué par l'instrumentalisation
06:12des partis politiques à défendre clientélistes ou opportunistes.
06:16Reste à savoir si les futures dispositions tiendront bon
06:18face aux résistances des barons politiques et aux jeux d'alliances en coulisses.
06:22La balle est désormais dans le camp du législateur de la transition
06:25pour transformer ses recommandations en textes de loi applicables
06:28et ce, dans l'intérêt exclusif de la démocratie gabonaise.
06:33Que se passe-t-il sur nos routes ?
06:35La question vaut son pesant d'or et pour cause,
06:38ce 30 mai 2025, Libreville a été le théâtre d'embouteillages monstres
06:44dans toute la zone d'AONG et dans le cinquième arrondissement,
06:47Damas et plein ciel à l'origine des accidents de la circulation
06:51à quelques cent mètres d'intervalle sur les deux sens de circulation.
06:56Le plus grave a impliqué un poids lourd et un pick-up,
07:00une situation qui remet au bout du jour la problématique de l'insécurité routière
07:05et qui nécessite des interventions urgentes des pouvoirs publics.
07:09Dans ce 19h30, nous avons en ligne Emmanuel Marcos-Zuemeier,
07:14manager du tabinet Nertigabon, président de la Confédération Générale
07:19des petites et moyennes entreprises et industries
07:22pour évoquer les causes structurelles des accidents.
07:25Bonsoir Emmanuel Zuemeier, merci de nous accorder votre temps.
07:30Alors sans plus tarder, dites-nous comment expliquer le phénomène
07:34des accidents récurrents dans le grand Libreville ?
07:37Alors, il faut déjà comprendre une chose.
07:50La survénue d'un accident n'est pas toujours le fait d'un seul événement.
07:54C'est la plupart du temps la combinaison d'un certain nombre de facteurs.
07:58Vous pouvez avoir le facteur de l'environnement qui peut influencer,
08:01notamment le climat, la question de la météorologie.
08:04Il pleut beaucoup à Libreville comme à l'intérieur du pays.
08:06Donc, le Gabon est une zone à forte diplométrique.
08:09Donc, on a généralement 19 mois sur 12 îles.
08:13Ensuite, vous avez la question liée à l'état structurel et l'état mécanique des véhicules.
08:19D'accord ?
08:20Ensuite, vous avez la question liée au comportement des conducteurs.
08:25Vous avez ensuite des infrastructures routières.
08:27qui, parfois, la plupart du temps, ne cadrent pas avec l'environnement sécuritaire nécessaire
08:34pour garantir le maximum ou le minimum de sécurité aux exagés de la route.
08:41Quels peuvent être les facteurs de cause des accidents ?
08:45Quelles peuvent être la part imputable à la vitesse ?
08:49Dans le cas des facteurs liés à l'origine d'un accident,
08:53la plupart du temps, j'entends souvent dire qu'il avait une vitesse excessive.
08:59Mais la vitesse ne peut pas être le fait d'un accident.
09:03Pas du tout, parce que sinon, on n'aurait pas de cause de voiture.
09:06On n'aurait pas de formule 1.
09:08La vitesse fait partie des facteurs affluents de l'accident,
09:11c'est-à-dire qui aggravent l'accident, mais pas les facteurs de cause.
09:15Il faut chercher les facteurs de cause dans, peut-être, le comportement du conducteur
09:18ou l'état mécanique où se structurait le véhicule.
09:22Peut-être même dans le cadre de l'environnement du conducteur,
09:24c'est-à-dire est-ce que l'éclairage était adapté ?
09:28Est-ce que la route était souzamment structurée ?
09:31Parce que vous avez vu, par exemple, sur la nationale,
09:32vous avez des accidents qui surviennent du fait de l'existence d'un nid de poules,
09:36de ces petits cratères-là sur la chaussée.
09:39Donc ça, ce sont des facteurs de cause des accidents.
09:42Maintenant, à ce moment-là, vous avez la vitesse qui vient aggraver l'accident
09:46parce qu'il était en pleine vitesse.
09:48Il n'a pas pu éviter le nid de poules.
09:49Il est entré de plein fond dans le nid de poules.
09:52Ensuite, vous avez une collision peut-être en face de lui.
09:54Donc, il faut rechercher de façon large l'érosion d'un accident.
09:58Est-ce que le cadre législatif et réglementaire actuel
10:02permet de lutter efficacement contre les accidents que nous connaissons ?
10:06Dans le cadre de ce que nous vivons actuellement,
10:08il faut comprendre que, par exemple,
10:11vous avez un véhicule comme celui de l'accident qui vient de se produire sur la voie express.
10:16Vous pouvez vous dire que le véhicule était défectueux ?
10:19Peut-être, oui.
10:21Ce qu'il faut comprendre derrière ça,
10:22c'est que le véhicule a peut-être présenté le niveau d'efficacité de freinage
10:28qu'il fallait en contrôle technique.
10:30Parce que, pour cela, il faut qu'il y ait un seuil de tolérance.
10:35Or, il n'y a pas de seuil de tolérance de l'efficacité de freinage en République gabonaise,
10:40c'est-à-dire la norme.
10:41Donc, c'est pour ces raisons que, lorsqu'on a organisé les assises dernièrement,
10:45on a proposé désormais qu'on institue des normes de contrôle technique automobile poids lourd.
10:51Parce qu'en instituant ces normes-là, à ce moment-là, d'abord, ce sont des contraintes.
10:57Et on aurait une forme de contrainte de tout ce qui est jauge dans le domaine de la métrologie.
11:04Donc, pour une mesure, on aura des normes de contraintes.
11:08Dès qu'on a les normes de contraintes instituées,
11:10il est plus facile pour les contrôleurs techniques, etc.,
11:13et pour les experts automobiles de travailler.
11:15Merci Emmanuel Zemeyer.
11:17Dans la suite de ce journal, l'ONG, le sel de la terre, a organisé,
11:22les 29 et 30 mai 2025, la première édition du Salon de la santé mentale,
11:27placée sous le thème « La santé mentale, socle d'une nation forte ».
11:31Cette initiative a permis de sensibiliser un large public à une problématique encore trop méconnue.
11:36Karl McAmban fait le point.
11:38La santé mentale sort enfin de l'ombre.
11:41Les 29 et 30 mai 2025, l'ONG, le sel de la terre,
11:45a organisé le premier Salon de la santé mentale à Libreville.
11:50Le Salon de la santé mentale, la première édition, a été mis en place
11:53pour vulgariser la notion de santé mentale, pour briser les tabous,
11:57mais aussi pour faire un lien entre les professionnels de santé et les malades
12:04qui sont en besoin de soins ou encore pour informer le public
12:08sur l'importance de la santé mentale.
12:10Un événement inédit pour briser les tabous et sensibiliser le public,
12:14un sujet souvent ignoré.
12:16Nous avons reçu plusieurs personnes, une centaine de personnes,
12:20qui sont dans les ateliers en matinée et en après-midi.
12:23Cela montre que le problème de la santé mentale est réel
12:26et que les gens ont besoin de solution.
12:28C'est normal, les émotions sont normales,
12:31mais est-ce le danger de rester renfermé à soi-même ?
12:35Donc n'hésitez pas à vous faire consister.
12:37Dans les structures publiques, il y a des psychologues
12:39qui sont disponibles à moins de 2 000 francs avec la CNAM-DS.
12:43Dans les structures privées, il y en a aussi.
12:45Mais la santé mentale est aussi importante que la santé physique.
12:48Prenez soin de vous pour être des meilleurs supériens pour le d'abord.
12:53Conférences, consultations gratuites, échanges.
12:56Pendant deux jours, la parole s'est libérée.
12:59La thérapeute Laure Bigour a rappelé l'importance des maux et du cerveau
13:03dans notre équilibre mental.
13:04Il faut savoir que nous sommes des êtres humains,
13:07que nous éprouvons des émotions.
13:08Les émotions sont innées chez l'être humain
13:11et que nous sommes aussi soumis au stress.
13:14Donc nous avons trois formes, on va dire trois particularités dans notre cerveau.
13:18Nous avons le cerveau reptilien, le cerveau limbique,
13:20le cerveau, on va dire la partie du néocortex.
13:23Et ces trois cerveaux manifestent chez l'être humain
13:26différentes formes d'intelligence.
13:28Les maux négatifs pour ces personnes ont un sens tellement puissant
13:31que ça va générer du stress et ça va perturber leurs émotions.
13:37Donc tout ça pour dire que la santé mentale,
13:39c'est quelque chose qui est très personnel
13:41et c'est quelque chose qui doit être pris en compte
13:45au même titre que la santé physique.
13:48Un premier pas vers une société plus consciente, plus humaine.
13:51Parce que pour aller bien, il faut d'abord être bien dans sa tête.
13:55Clap de fin à Dubaï pour les journées pétrole
13:59pendant trois jours juristes, experts et responsables publics
14:03ont débattu d'un enjeu central.
14:05Comment mieux négocier les contrats de partage de production
14:08sans perdre la main sur les ressources ?
14:10Une question de souveraineté de données et de stratégie.
14:13Reportage.
14:16Clap de fin à Dubaï.
14:18Après trois jours d'échanges intenses,
14:20les journées pétrole se referment ce vendredi
14:22sur une ambition commune, mieux négociée, mieux gérée
14:26et mieux anticipée, le cœur des discussions,
14:29les contrats de partage de production.
14:31Comment les États peuvent-ils défendre leur intérêt
14:34sans décourager les investisseurs ?
14:36Experts, juristes et responsables publics
14:38ont débattu autour d'un dilemme central.
14:40Concilier, souveraineté nationale
14:42et attractivité du cadre juridique.
14:44Que devons-nous retenir ?
14:47Que l'heure n'est plus à la réaction.
14:50Elle est à l'anticipation, à la structuration et à la coopération.
14:57Le CPP est un outil de pouvoir.
15:01Et ce pouvoir, il est entre nos mains.
15:04Autre enjeu soulevé, la maîtrise de la donnée.
15:08Géophysique, forage, production,
15:11tout repose sur la fiabilité des informations techniques.
15:14Des pays comme la Côte d'Ivoire, le Niger ou encore le Gabon
15:17ont partagé leur expérience.
15:20Rigueur, structuration et protection de la data
15:23sont devenues des priorités.
15:24Les échanges ont été très riches.
15:29Les interventions de très bonne qualité
15:32et les réflexions porteuses d'avenir
15:37pour nos pays respectifs et pour notre continent.
15:41En toile de fond, un besoin récurrent.
15:43La montée en compétence des cadres nationaux.
15:45Plus de technicité, plus d'anticipation
15:48et une meilleure coordination entre pays producteurs.
15:51Pour plusieurs délégations africaines,
15:53ces journées sont aussi l'occasion de bâtir des ponts,
15:56d'échanger des pratiques
15:57et de poser les bases d'un avenir plus équilibré.
16:01Il est essentiel que nous serions en mesure
16:03de négocier des contrats qui soient équitables
16:06et qui permettent à nos pays
16:08de bénéficier pleinement de leurs ressources.
16:11Négocier un contrat de partage de production,
16:16ce n'est pas juste signer un accord.
16:19C'est défendre une vision,
16:21prévoir des équilibres,
16:23encadrer des droits
16:25et surtout anticiper les leviers de contrôle
16:28pour ne jamais perdre la main.
16:30Nous devons nous assurer que nos ressources naturelles
16:33contribuent véritablement
16:35à la transformation de nos économies.
16:38La cérémonie de clôture vient à peine de s'achever,
16:43mais les enjeux soulevés résonnent déjà
16:46bien au-delà de Dubaï.
16:48Entre volonté de souveraineté,
16:50maîtrise des données et coopération régionale,
16:52les États producteurs repartent avec une boussole claire
16:55pour tirer pleinement partie de leur potentiel pétrolier.
16:59Il leur faudra conjuguer rigueur,
17:02stratégie et solidarité.
17:05Serge Kofi, depuis Dubaï, pour JMT TV.
17:09133,33%, c'est le pourcentage de l'augmentation
17:13de la redevance de surcaïrienne payée
17:15par les passagers à compter du 1er juin 2025
17:18sur les vols nationaux.
17:20La source est le ministère des Transports
17:22et de la Marine Marchande, vous l'aurez compris.
17:24Nous sommes dans le chiffre du jour et le verbatim.
17:26Nos ressources ne doivent pas seulement être exploitées,
17:29elles doivent être maîtrisées.
17:31Et cela commence, vous le savez, par la négociation
17:34qu'un contrat de partage de production,
17:36ce n'est pas un simple contrat,
17:38c'est un acte politique, un engagement économique,
17:41un choix social et environnemental.
17:43Le discours de clôture des journées de pétrole
17:46est la source de ce verbatim.
17:48L'auteur est Gesson Moueli-Mouanga,
17:50associé gérant du cabinet 3e Partners et Conseil.
17:53C'est la fin de ce 19h30.
17:54Merci pour votre attention.
17:55N'oubliez pas les gestes simples,
17:57likez, commentez, partagez.
17:58Bonne soirée à vous et bon au début de week-end à tous.
18:05Retrouvez JMT TV sur vos différents réseaux sociaux.