- 30/05/2025
Avec Alex Darmon (journaliste politique, chaine Youtube Les Indécis) et Jules Laurans (Rédacteur en chef de Frontières)
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
🔴 Nous suivre sur les réseaux sociaux 🔴
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##LA_VERITE_EN_FACE-2025-05-30##
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
🔴 Nous suivre sur les réseaux sociaux 🔴
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##LA_VERITE_EN_FACE-2025-05-30##
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:009h10, Sud Radio, La Vérité en Face, Benjamin Glaze.
00:059h32 sur Sud Radio, La Vérité en Face, parlons-en avec nos débatteurs Alex Darmont, journaliste politique, chaîne YouTube Les Indécis.
00:12Bonjour Alex Darmont.
00:14Et puis face à vous, Jules Laurent, rédacteur en chef à Frontières. Bonjour Jules Laurent.
00:19Et bienvenue sur Sud Radio, on va évoquer un certain nombre de sujets ce matin ensemble,
00:26notamment l'interdiction de fumer à partir du 1er juillet sur les plages, dans les parcs et jardins publics,
00:32aux abords des bus, des arrêts de bus, pardon, et des écoles.
00:36On parlera aussi de ce prix Charlemagne qui récompense les personnalités qui se sont engagées en faveur de l'unification européenne
00:42et qui a été accordée à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.
00:47Mais d'abord, d'abord, je voudrais qu'on parle, c'est l'actualité ce matin, de ces propos d'Emmanuel Macron.
00:55La reconnaissance d'un... Ce sont des propos très forts.
00:58La reconnaissance d'un État palestinien est un devoir moral, je cite, et une exigence politique.
01:04Alex Darmont, propos très forts tenus par le président de la République.
01:10Qu'est-ce que vous en pensez de ces mots ?
01:12Oui, oui, c'est des propos très forts.
01:16Devoir moral, je comprends, j'entends ce qu'il veut dire.
01:20Mais après, on a l'impression toujours avec Emmanuel Macron sur la politique internationale
01:25que c'est son combat, son salut, qu'il parle très vite avant même de préparer ce qu'il va faire
01:31ou ce qu'il va dire au mois de juin à l'occasion de ce sommet qui aura lieu à New York
01:35en concertation avec les Saoudiens.
01:38Parce que reconnaître un État palestinien, oui, pourquoi pas ?
01:42Mais sur quelles frontières ?
01:44Vous allez parler avec qui après ?
01:46Et puis derrière, si vous avez un État palestinien, qu'est-ce qui se passe ?
01:48Si, et c'est possible, vous me l'accorderez, d'autres groupes terroristes palestiniens
01:53où le Hamas même directement décide de réattaquer Israël.
01:56Qu'est-ce qu'on fait, vu qu'il y a deux États ?
01:58Qu'est-ce qui va défendre l'État palestinien à ce moment-là ?
02:00Et c'est un peu le drame de cette région.
02:02Malheureusement, c'est qu'Israël aussi, d'ailleurs, en acceptant d'avoir un État
02:06qui, aujourd'hui, est un État quand même très important sur la planète,
02:12qui est en avance sur plein de choses,
02:14mais sans frontières reconnues avec l'État palestinien aujourd'hui.
02:17Ce livre, malheureusement, a une situation qui est extrêmement délicate.
02:21C'est que demain, vous allez accorder un État palestinien, mais sur rien.
02:24Sur aucune frontière viable.
02:26On ne sait même pas.
02:26Sur quelles frontières et avec qui ?
02:28Et avec qui vous allez parler derrière.
02:29Avec qui vous allez traiter diplomatiquement ?
02:31Avec le Hamas, qui est un mouvement, je le rappelle, terroriste,
02:33et qui, d'ailleurs, est aujourd'hui rejeté par la majorité, normalement,
02:36de la population palestinienne,
02:37ou avec l'autorité palestinienne, elle-même, qui agit dans les territoires de Cisjordanie,
02:42et qui est corrompue jusqu'à la moelle.
02:44Donc, en réalité, c'est un vrai, vrai problème.
02:47Parce que, je terminerai par là,
02:48quand vous reconnaissez un État palestinien
02:50avec la reconnaissance de leur part d'un État israélien de l'autre côté,
02:54vous oubliez quand même une chose,
02:55c'est que les deux parties doivent être d'accord.
02:57Et aujourd'hui, je pense que ni les Israéliens,
03:00ni les Palestiniens ne sont d'accord pour se reconnaître l'un l'autre.
03:03Jules Laurent.
03:04Moi, j'excluerais plutôt, quand même, le devoir moral,
03:07dans tout ce qui est relations internationales,
03:08j'irais plutôt sur les exigences politiques.
03:10Je pense que c'est ça qui est le plus réel, le plus concret,
03:12notamment dans tout ce qui est international.
03:15Effectivement, il faut qu'il y ait, un jour, un processus de paix
03:17qui conduise à des exigences politiques de reconstruction.
03:20Je suis d'accord avec Alex Armand,
03:21mais parce que, finalement, quand on écoute, par exemple,
03:23quelqu'un comme Rima Hassan, qu'est-ce qu'elle dit ?
03:25Elle dit, on ne se suffira pas de revenir aux conditions
03:28dans lesquelles on était de la bande de Gaza,
03:29de ce qui a été, à un moment, promis pour un État de Palestine.
03:32Nous, on veut plus. On veut aujourd'hui le même État qu'avec Israël.
03:36On veut habiter ensemble.
03:38Et ça pose une question démographique au sein d'un même pays.
03:40C'est-à-dire que si on fait rentrer, aujourd'hui,
03:42je crois que c'est 2 millions de Gazaouis
03:43qui arriveraient au sein d'Israël,
03:46ça poserait toute une question démographique,
03:48de droit de vote, de cohabitation ensemble.
03:50Donc, effectivement, même au sein,
03:51c'est-à-dire des populations qui se revendiqueraient
03:53d'un État palestinien, ils ne sont pas d'accord eux-mêmes
03:56sur qu'est-ce que serait aujourd'hui une Palestine.
03:58Ça aussi, il ne faut pas l'oublier.
03:59Ce n'est pas juste deux antagonismes qui sont d'un côté les Israéliens
04:02qui ouvraient certaines frontières
04:03et de l'autre côté les Palestiniens.
04:04Mais c'est même au sein même des pays,
04:06il y a des divisions.
04:07Et même au sein même des Israéliens,
04:08il y en a qui ne veulent pas du tout d'État de Palestine.
04:11Il y en a certains qui en veulent sur des petites limites.
04:13Et ça pose même la condition.
04:14C'est-à-dire que si, effectivement,
04:15on a d'un côté une bande de Gaza,
04:16de l'autre côté un État qui serait au niveau de la Cisjordanie,
04:18est-ce qu'on aurait un corridor qui passerait à travers Israël ?
04:21Je ne suis pas sûr que les Israéliens soient prêts à accepter ça
04:23après ce qui s'est passé au 17 octobre.
04:25Et pourtant, le temps presse,
04:26quand on voit ce qui se passe à Gaza en ce moment, Alex Darmon.
04:30Oui, bien sûr.
04:31Mais moi, je vais vous dire,
04:32je suis pour la reconnaissance des États palestiniens.
04:34Je suis pour deux États, pour une solution à deux États,
04:36parce qu'on parle de Rima Hassan ou de ces gens-là
04:39qui s'expriment d'ici,
04:40mais qui ne connaissent pas du tout la situation sur place,
04:43parce qu'ils ne peuvent même pas y entrer d'ailleurs.
04:45Moi, je suis pour la reconnaissance des deux États,
04:47mais il faut y travailler.
04:48Ça prend du temps, avec des initiatives solides,
04:50et surtout avec la reconnaissance de la part des Palestiniens,
04:52de l'existence de l'État d'Israël.
04:55Bon, ça, c'est une condition préalable.
04:57Il ne faut pas la négliger.
04:59Après, pour répondre à votre question sur le temps presse,
05:01bien évidemment que le temps presse,
05:02et quand on voit les images de ce qui se passe à Gaza,
05:06c'est un drame.
05:07C'est un drame humanitaire, réellement.
05:09Mais c'est un drame humanitaire, malheureusement,
05:11qui est partagé par tous les protagonistes de la région.
05:14On ne peut pas s'en remettre qu'à Israël
05:15en disant que c'est de la faute des Israéliens
05:17et de l'armée israélienne,
05:18s'il se passe ce qui se passe aujourd'hui.
05:19Je veux que ça s'arrête, que les choses soient claires.
05:22Mais c'est une guerre.
05:23Et quand on emploie des mots comme génocide
05:26ou comme ces choses-là,
05:27déjà, un, on ment,
05:28et deux, je ne pense pas que...
05:29Pour revenir à votre première question...
05:30Dans la classe politique, d'ailleurs,
05:30ce terme de génocide,
05:32qui était réservé plus ou moins à LFI jusqu'à présent,
05:35je vois Olivier Faure maintenant
05:36qui revendique ce terme-là.
05:37C'est de la politique.
05:39Et quand on emploie, vous savez,
05:41emploier les mauvais mots,
05:41ça rajoute au malheur du monde, vraiment.
05:43Et on emploie des mauvais mots.
05:45On verra s'il y a un génocide.
05:46Un génocide, pour le qualifier,
05:47il faut des années,
05:47il faut étudier, il faut en parler,
05:49il faut regarder,
05:50il faut entendre
05:51ceux qui ont vécu ces choses-là.
05:53Et aujourd'hui,
05:53comme dans tout,
05:54c'est la société de l'immédiateté,
05:55tout de suite, on voit quelque chose,
05:56tout de suite,
05:57on a envie de le qualifier,
05:58de donner son avis.
05:59Donc, le temps presse, oui.
06:00Mais ce matin,
06:01on apprend que le Hamas refuse,
06:03refuse la proposition américaine
06:05du plan Whitcoff.
06:08Il le refuse alors que les Israéliens
06:09l'avaient accepté hier.
06:11S'il y a génocide, il y a urgence.
06:12Il faut qu'ils acceptent ce plan-là.
06:13On n'a pas l'impression
06:14que c'est leur priorité.
06:15Je rebondis sur les propos
06:17de Marine Le Pen ce matin
06:18qui dit en l'État,
06:19aujourd'hui,
06:20reconnaître un État palestinien,
06:21c'est reconnaître un État Hamas.
06:24Je ne sais pas si vous en pensez.
06:26Elle est dans la continuité
06:26de ce qu'elle l'expliquait
06:27en disant qu'Israël fait ce qu'il peut,
06:30Israël pourrait quand même mieux faire
06:32sur certains sujets.
06:32Merci, évidemment,
06:33et c'est de se débrouiller.
06:34Donc, elle, elle est dans la continuité.
06:36C'est à savoir qu'en plus de ça,
06:36le Rassemblement National
06:37fait toujours très attention
06:39à cette question israélienne.
06:41Je pense qu'ils ne peuvent pas non plus
06:42se permettre, eux,
06:43d'aller dans toutes les nuances.
06:44Ils se mettent du côté aujourd'hui
06:45pro-israélien
06:46et c'est aussi une stratégie politique
06:47de par le passé.
06:49Ils ont peur d'être attachés aussi
06:50à ces questions-là.
06:52Donc, je pense que
06:53si on revient sur le côté
06:54de la stratégie politique,
06:56il y a aussi dans la conscience
06:58de tous que, effectivement,
06:59là, si on reconnaît,
07:00donc ce serait début juin,
07:01finalement, Macron parlait
07:03de début juin.
07:04Avec cette conférence, oui,
07:05qui aura lieu à ce moment-là.
07:06Voilà.
07:07Ce serait aussi, c'est vrai,
07:09au final,
07:09d'une certaine manière,
07:10une victoire du Hamas
07:11qui aurait finalement réussi,
07:12au final,
07:13à avoir un État palestinien
07:14après le 7 octobre
07:15parce que tout ça aura débouché
07:17du 7 octobre.
07:18Donc, il y aura quand même
07:19une certaine forme de victoire
07:20même s'il faut la reconnaissance
07:22d'un État palestinien
07:23parce que sans cela,
07:24c'est-à-dire qu'on ne va pas avoir
07:25des exilés,
07:25des personnes qui n'ont pas de pays
07:27en déshérence
07:27et dont aucun pays,
07:29en plus, autour
07:29ne veut d'eux.
07:31Reconnaissance mutuelle
07:32à Alex Armand,
07:34ça veut dire que
07:35si Emmanuel Macron
07:36reconnaît un État palestinien
07:38le mois prochain,
07:39c'est trop tôt.
07:40C'est une erreur ?
07:41Non, mais en fait,
07:41il faut qu'il soit cohérent
07:42avec ce qu'il veut proposer.
07:43S'il y a une reconnaissance mutuelle,
07:45ça voudrait dire
07:46que les Palestiniens
07:46reconnaissent l'État d'Israël.
07:48Mais encore une fois,
07:49ça voudrait dire
07:50qu'il demande ça à qui ?
07:51Mettez-vous dans cette position-là
07:52au mois de juin prochain
07:53à New York,
07:55quand il va y avoir
07:56cette conférence,
07:57et c'est bien
07:57de faire une conférence,
07:59parce que, de toute façon,
07:59il faut que ça s'arrête.
08:00qu'il faut que ça s'arrête,
08:02qu'on reconstruise Gaza,
08:03et qu'on puisse s'installer
08:05dans une solution durable.
08:07D'ici combien de temps ?
08:07J'en sais rien.
08:08Mais vous faites ça
08:09avec qui ?
08:09Encore une fois,
08:10demain,
08:10si vous reconnaissez
08:11un État palestinien
08:13qui, à la condition,
08:15lui-même aura reconnu
08:16l'État d'Israël.
08:17D'abord,
08:17vous demandez à l'État d'Israël
08:18de reconnaître l'État palestinien,
08:19donc vous demandez
08:19l'autorisation aujourd'hui,
08:21c'est lui le Premier ministre,
08:22Abdelham Netanyahou,
08:23s'il reconnaît l'État palestinien.
08:24Je ne suis pas sûr
08:25qu'aujourd'hui,
08:25ce soit le cas.
08:26Et puis,
08:26vous demandez à qui,
08:27du côté palestinien,
08:28s'il y a reconnaissance
08:29de leur État,
08:30de reconnaître l'État d'Israël ?
08:31À qui vous demandez ça ?
08:32Et le vrai problème diplomatique,
08:34il est là.
08:35C'est qu'on va faire
08:35un grand out médiatique,
08:37politique,
08:38diplomatique,
08:39sans les premiers concernés,
08:40les Israéliens
08:41et les Palestiniens.
08:41Ça ne peut pas marcher.
08:42Je le rends.
08:43Il y a aussi,
08:43effectivement,
08:44Benjamin Netanyahou
08:45qui est tenu ensuite
08:46par des processus politiques
08:47et il a aussi un cynisme,
08:48c'est qu'il est obligé
08:49de se maintenir
08:49en gardant des personnes
08:51plus à sa droite
08:51qui sont vraiment,
08:52eux, pour le coup,
08:53contre un État palestinien.
08:54Et ce qu'il faut aussi,
08:55je pense,
08:55aborder la question culturelle
08:56qui est celle
08:57qu'on est aussi dans des sociétés
08:58où la notion de pardon
08:59que nous,
09:00on a en Occident,
09:01n'est pas la même,
09:01qu'on est quand même
09:02dans des sociétés
09:02où la notion du talion,
09:04la loi des talions,
09:04notamment,
09:05près des Gazaouis,
09:06ça existe
09:06et que nous,
09:08par exemple,
09:08si on faisait un comparatif
09:09par rapport aux grandes guerres
09:10qu'on a eues face à l'Allemagne,
09:11oui, on a su se pardonner
09:12mais on avait aussi
09:12des cultures
09:13qui allaient vers le pardon.
09:15C'est-à-dire qu'il ne faut pas
09:16oublier ça,
09:16nous, on voit ça
09:17avec des yeux d'occidentaux.
09:18Finalement,
09:18il y a aussi des différences culturelles
09:20qui permettent moins le pardon là-bas.
09:21Alors moi,
09:22je mettrais un bémol là-dessus,
09:23regardez les Israéliens
09:24et les Égyptiens.
09:26Je suis désolé,
09:26mais il y a eu
09:27à un moment donné le pardon
09:28et aujourd'hui,
09:29d'ailleurs,
09:30les pays arabes,
09:30je suis désolé,
09:31moi, je trouve,
09:31ne jouent pas leur rôle
09:32dans ce conflit
09:33mais il y a eu
09:34à un moment donné
09:34une reconnaissance
09:35de la part de l'Égypte
09:37avec Sadat,
09:39notamment à l'époque.
09:41La reconnaissance d'Israël,
09:41les accords d'Abraham
09:42participent à cette forme
09:43de ce que tu appelles
09:44le pardon
09:45et du fait de dire
09:47bon,
09:47il faut qu'on apprenne
09:48à vivre tous ensemble.
09:49Le problème aujourd'hui
09:49de la société,
09:51pas de la société palestinienne,
09:53de ceux qui dirigent
09:53la société palestinienne
09:54et je vais faire cette nuance-là,
09:56c'est qu'ils sont soutenus
09:58par des gens
09:58qui veulent la mort
09:59de l'État d'Israël
10:00depuis sa création
10:02parce qu'ils vivent
10:03l'un à côté de l'autre.
10:03Pour moi,
10:04ce n'est même plus
10:04une guerre de territoire.
10:05Aujourd'hui,
10:06c'est une guerre culturelle
10:07mais entre effectivement
10:08palestiniens et israéliens.
10:09Et si demain,
10:10vous avez un leader
10:10qui émerge
10:12du côté palestinien,
10:14pourquoi pas ?
10:15Pourquoi pas
10:15croire à cette culture
10:16du pardon ?
10:17J'aimerais vous entendre
10:18aussi sur...
10:19parce qu'on parle beaucoup
10:20de ses propos
10:21d'Emmanuel Macron,
10:22devoir moral,
10:24exigence politique
10:24de reconnaître
10:25un État palestinien
10:26et quelque chose
10:27qui fait un peu moins de bruit.
10:28Il a quand même affirmé
10:28aussi que les Européens
10:29devaient durcir
10:30la position collective
10:31contre Israël
10:32s'il n'y a pas de réponse
10:33qui est à hauteur
10:34de la situation
10:35humanitaire
10:37et ce dans les prochains jours
10:38dans la bande de Gaza.
10:40Là aussi,
10:40ce sont des propos
10:42importants.
10:43Est-ce qu'il faut aller
10:43jusque-là ?
10:44Je ne sais pas,
10:45Alex Darmon,
10:46à ce sujet,
10:46ce que vous en pensez.
10:48Ça veut dire quoi ?
10:49Ça veut dire
10:49remettre en cause
10:51l'accord Europe-Israël,
10:52en gros ?
10:53C'est ça, en gros.
10:53J'imagine,
10:54j'imagine,
10:55c'est ce qui est sous-entendu.
10:56Oui,
10:56parce qu'il le répète,
10:57de toute façon,
10:57ça va être étudié
10:58au Parlement européen.
11:00Donc,
11:00c'est un effet d'annonce,
11:01encore une fois.
11:02Et puis,
11:02il faut savoir
11:04que je crois
11:04que l'Europe
11:04est le premier partenaire
11:05commercial
11:06de l'État d'Israël,
11:08mais c'est dans les deux sens.
11:09C'est dans les deux sens.
11:11Donc,
11:11Emmanuel Macron,
11:11il annonce cela.
11:14Et encore une fois,
11:15moi,
11:16je ne juge pas
11:16du rôle de la France
11:17qui doit quand même
11:18agir,
11:19réagir comme elle a agi
11:20face à l'Ukraine
11:21et qui doit affirmer
11:22ses positions
11:22et appeler à la paix.
11:24Mais appeler
11:25à durcir les relations,
11:27bon déjà,
11:27elles ne sont pas
11:28au beau fixe,
11:28les relations entre
11:29la France et Israël
11:30de tout temps,
11:30premièrement.
11:31Et deuxièmement,
11:32appeler à durcir
11:33les relations commerciales,
11:35je pense que
11:35ce n'est pas très malin.
11:36On a essayé de le faire
11:37avec la Russie,
11:37on a vu que,
11:38bon,
11:38ça ne fonctionnait pas forcément.
11:41Et surtout,
11:41il faut quand même se dire
11:42que tous les jours,
11:43aujourd'hui,
11:43en Europe,
11:44on se sert de technologies
11:45inventées,
11:47créées par les Israéliens.
11:48Donc,
11:48ça voudra dire quoi ?
11:49Ça voudra dire aussi
11:49un embargo de l'autre côté ?
11:51Pourquoi pas ?
11:51Je le rends pour conclure
11:52sur ce sujet.
11:53N'oublions pas que Macron,
11:54effectivement,
11:55depuis le point de vue
11:55de Netanyahou,
11:56il est très très mal vu.
11:57Il est vu,
11:58c'est un peu la position gaulliste
11:59qui est un peu une position
12:00d'entre deux,
12:00qui ne plaît pas du tout
12:01au gouvernement Netanyahou.
12:03Et quand il y a eu
12:04cet attentat terrible
12:06devant l'ambassade américaine,
12:07il a quand même dit
12:08que c'était les sociétés occidentales,
12:10la France notamment,
12:10qu'il y avait une part
12:11de responsabilité là-dedans.
12:12Donc,
12:13il y a déjà,
12:13moi je suis d'accord avec Alex
12:15sur le côté
12:15qu'il y a déjà des relations
12:16qui sont déjà très distendues.
12:18Et attention aussi
12:19à ne pas non plus
12:20se couper complètement d'Israël
12:21qui,
12:22tout de même,
12:23a été attaqué,
12:24a été agressé
12:24et qui,
12:25quoi qu'on en dise,
12:26tente quand même aussi
12:27de faire ce qu'il peut,
12:28mais pourrait mieux faire.
12:30Allez,
12:30on reste ensemble,
12:31Alex Armand,
12:32Jules Laurent,
12:33on revient dans un instant
12:34deux sujets
12:35dont on va,
12:36où on peut parler,
12:37dont on va parler.
12:38Ce prix reçu
12:39par la présidente
12:40de la Commission européenne,
12:41Ursula van der Leyen,
12:42le prix Charlemagne
12:43qui récompense
12:44les personnalités
12:44qui se sont engagées
12:45en faveur de l'unification européenne.
12:47Et puis,
12:47on va parler aussi
12:48de l'extension
12:49de l'interdiction
12:50de fumer
12:51dans les lieux publics
12:52en France.
12:52A tout de suite.
12:529h10,
12:54Sud Radio,
12:56La Vérité en Face,
12:57Benjamin Glaze.
12:58La Vérité en Face
12:59avec nos débatteurs
13:00jusqu'à 10h,
13:01Alex Darmon,
13:01journaliste,
13:02chaîne YouTube,
13:02Les Indécis,
13:03Jules Laurent,
13:04rédacteur en chef
13:05à Frontières.
13:06On va revenir
13:07sur un débat
13:08qui nous concerne tous,
13:10l'interdiction de fumer,
13:12alors directement
13:12ou indirectement,
13:13extension sur les lieux publics,
13:16plages,
13:16parcs,
13:16à bord des écoles.
13:18On va y revenir
13:18dans un instant
13:19pour savoir un petit peu
13:20ce que vous en pensez,
13:21quel est votre avis
13:22à ce sujet.
13:22Mais d'abord,
13:23j'aimerais qu'on parle
13:24de ce prix
13:25qu'a reçu
13:26la présidente
13:27de la Commission européenne,
13:28Ursula von der Leyen,
13:29le prix Charlemagne
13:30qui récompense
13:30les personnalités
13:31qui se sont engagées
13:32en faveur
13:33de l'unification européenne.
13:35Prix attribué
13:35pour avoir,
13:36je cite,
13:37un contribué
13:37à maintenir l'Europe
13:38unie,
13:39résiliente
13:39et capable d'agir.
13:41Jules Laurent,
13:42ça vous fait agir ?
13:43Il faut dire
13:44que je pense
13:45que personne
13:45n'avait autant
13:46incarné l'Union européenne
13:48que Ursula von der Leyen.
13:49C'est la vraie personnification
13:50de cette entité.
13:52Il faut savoir
13:52que dans sa famille,
13:53depuis très longtemps,
13:55depuis la Ligue Antéatique
13:57au XVIe siècle,
13:58elle est issue
13:59d'une famille Albrecht
14:00et sa famille
14:01avait déjà
14:02comme pour projet
14:02finalement
14:03d'être des commerçants
14:04qui voulaient unifier l'Europe.
14:06Donc en fait,
14:06elle,
14:06dans ses veines,
14:07ça vient de très très loin,
14:09cette envie d'Union européenne.
14:11Dans sa famille,
14:11c'est inscrit.
14:12Donc finalement,
14:12pour elle,
14:13c'est un petit peu,
14:13je pense,
14:14l'apothéose
14:15de ce qu'il a le mieux
14:17à reconnaître
14:18de recevoir un prix pareil
14:19parce qu'elle a ce projet
14:20depuis sa jeunesse,
14:21depuis qu'elle est née,
14:22depuis que ses parents
14:22justement l'ont éduquée.
14:24Elle a été éduquée pour ça
14:25dans cette envie.
14:25Elle a fait ses études
14:26en Angleterre.
14:27Elle est partie
14:28un peu partout dans le monde.
14:29Elle parle cinq langues.
14:30Elle est la personnification
14:31de cette Union européenne,
14:32cette envie d'union.
14:33Et finalement,
14:34on l'a vu aussi
14:35dans ses prises de position politique.
14:36Jamais personne
14:37n'avait pris autant en position
14:38sur les questions du vaccin,
14:42de la guerre en Ukraine
14:43où parfois,
14:44elle prenait même
14:44le devant sur les États
14:46et presque leurs armées.
14:47C'est une voix qui porte,
14:48que l'on entend
14:49et qui incarne l'Europe.
14:50C'est une voix
14:51qui a réussi.
14:52Elle peut évidemment
14:53leur agacer
14:54tous les souverainistes,
14:55toutes les personnes
14:56qui clivent,
14:56qui en ont marre
14:58et qui en plus
14:59se sentent lésés
15:00par ce fameux référendum
15:02de 2005
15:03qui a été évidemment
15:04outrepassé en 2007.
15:05Et dont on a beaucoup parlé
15:0620e anniversaire effectivement hier.
15:09Merci pour ce clin d'œil
15:11généalogique.
15:12Alex Darmon.
15:15Non mais je pense
15:16qu'elle l'a reçue
15:17par rapport à son action
15:18sur la guerre en Ukraine,
15:19enfin entre la Russie
15:19et l'Ukraine.
15:21Et on ne peut pas lui enlever
15:22le fait qu'elle ait été mobilisée
15:23et qu'elle ait réussi
15:24à rassembler
15:26et à fédérer autour d'elle
15:27une position commune
15:28sur l'Europe.
15:29On a longtemps dit
15:29que l'Europe n'avait pas de voix,
15:31qu'elle ne portait plus,
15:32qu'elle n'intéressait plus
15:34et surtout qu'elle n'avait
15:35plus aucune influence.
15:36Force est de constater
15:37que depuis quelques semaines,
15:38depuis quelques mois,
15:39plus,
15:40quelques mois,
15:40la France et l'Europe
15:43ont quand même eu
15:46un rôle à jouer.
15:47Et je dois dire
15:48que j'étais plutôt réticent
15:51au propos du président Macron
15:53sur la situation au Proche-Orient
15:54parce que je ne les trouve
15:55pas cohérents.
15:56or, sur la situation en Ukraine,
15:58il faut lui reconnaître
15:59qu'il a quand même participé
16:00à fédérer l'Europe
16:02et à fédérer les pays européens.
16:04Donc, elle lui doit beaucoup aussi
16:05parce que je pense qu'il a pris
16:06pas mal de coups pour elle.
16:08Et bon, après,
16:10elle représente aussi
16:10cette stratégie
16:11d'unification
16:13envers la Russie
16:15et même, d'une certaine manière,
16:16envers les États-Unis.
16:18Rappelez-vous,
16:18il y a quelques semaines,
16:19sur les droits de douane,
16:20notamment,
16:21elle a joué un rôle important.
16:22Donc, je ne sais pas
16:23quelle est la valeur de ce titre.
16:25Je ne sais pas qui le remet.
16:26Mais en tout cas,
16:27effectivement,
16:27moi, je ne connaissais pas
16:28son histoire européenne.
16:28Très rapidement,
16:29elle incarne quand même
16:31une vraie soumission
16:32aux États-Unis.
16:33Simplement,
16:33elle n'aime pas Trump.
16:34C'est ça la différence.
16:35Bon, ceci étant dit,
16:37la cigarette interdite
16:38dès le 1er juillet
16:39sur les plages,
16:40dans les parcs jardins publics,
16:42aux arrêts de bus
16:43et puis aux abords
16:44des écoles,
16:45annonce faite
16:46par la ministre de la Santé,
16:47Catherine Vautrin,
16:48ministre notamment de la Santé.
16:50C'était une promesse
16:51du gouvernement
16:51déjà il y a quelque temps,
16:532023.
16:54En cas de non-respect
16:54de cette interdiction,
16:56vous risquez
16:56une amende
16:57de 135 euros.
16:59Alex Armon,
16:59ça fait énormément réagir.
17:01Est-ce qu'il était nécessaire
17:02d'en arriver là ?
17:03Moi, d'abord,
17:03j'aimerais bien savoir
17:04comment ils vont proclamer
17:05cette interdiction.
17:06C'est un décret.
17:06J'aimerais bien comprendre
17:08comment ils vont le faire
17:08parce que j'avoue
17:09que je ne me suis pas renseigné.
17:10Je suis tout à fait honnête
17:11avec vous.
17:11Je l'ai lu comme...
17:12Ça ne peut être que par décret
17:13pour le 1er juillet, oui.
17:14Ça sera un décret.
17:15Après, c'est de la santé publique.
17:17Donc, ça serait cohérent
17:19de vouloir l'interdire
17:21par décret
17:21et de le mettre
17:22à exécution là
17:24d'ici quelques jours,
17:24quelques semaines.
17:25Après, franchement,
17:26c'est un peu fatigant quand même.
17:29Je trouve que c'est une liberté.
17:30On est en plein air.
17:31Sur les terrasses,
17:31je peux le comprendre,
17:32on est collés les uns les autres.
17:34Ça peut s'entendre
17:34et ça peut s'expliquer
17:35sur les plages.
17:36Les terrasses ne sont pas concernées
17:37par cette interdiction.
17:39Les terrasses de café,
17:40de restaurant
17:41ne sont pas concernées aujourd'hui.
17:42Très bien.
17:42Tant mieux, voilà.
17:43Je ne savais pas.
17:43Je n'avais pas compris.
17:44Je croyais que c'était aussi...
17:46Les terrasses de foot,
17:48je crois qu'ils sont concernés.
17:49Oui.
17:50Alors, les équipements sportifs,
17:51effectivement,
17:51qui sont concernés.
17:52Les stades,
17:53ce que je trouve logique aussi.
17:55Vous savez,
17:55moi, je trouve que
17:56tout ce qu'on fera
17:56pour lutter contre le tabac,
17:58ça sera une bonne chose.
17:59Moi, je ne suis pas fumeur.
18:00Je n'ai jamais fumé de ma vie.
18:01Je m'en porte très bien.
18:03J'ai des gens autour de moi
18:03qui ont fumé,
18:04qui l'ont regretté,
18:05qui ont eu du mal à arrêter après,
18:07qui ont mis des années à s'arrêter.
18:09Et donc,
18:09tout ce qui peut favoriser,
18:10tant qu'on n'en trace pas la liberté,
18:12j'entends,
18:12des uns et des autres,
18:13moi, me réjouis.
18:15Et si ce n'est pas dans des espaces,
18:16encore une fois,
18:17clos, fermés,
18:18et qu'on peut fumer en plein air,
18:20toutes ces choses-là,
18:21pourquoi pas ?
18:22Et puis,
18:22respect des fumeurs
18:24vis-à-vis des non-fumeurs,
18:25tout simplement.
18:25Exactement.
18:26Ça, c'est la base.
18:27Je le rends.
18:28Il y a un peu
18:28une majorité silencieuse
18:30de non-fumeurs,
18:30justement,
18:31qui subit parfois un peu
18:32les fumeurs,
18:34même si c'est vrai que,
18:35en fait,
18:35ça va un peu dans le sens.
18:37En France,
18:37parfois,
18:37on a un peu
18:38l'impression d'être considéré
18:39comme des bébés,
18:40c'est les 80 km heure,
18:42il ne faut pas construire
18:43sa piscine,
18:44attention,
18:44il y a un drone
18:44qui va vous regarder,
18:45il faut arrêter de fumer.
18:46À France,
18:47on a un petit peu l'impression
18:48que dès qu'on a l'État,
18:49dès qu'on a un rapport
18:49et qu'on voit une lettre
18:51de Marianne qui arrive,
18:52on se dit que c'est
18:52les mauvaises nouvelles.
18:53Donc, dès que c'est l'État,
18:53c'est un problème.
18:54Donc, ça,
18:55il y a quand même
18:55ce sujet-là
18:56qui doit être posé.
18:57Mais par contre,
18:57je trouve qu'il y a
18:58cette majorité silencieuse
18:59de non-fumeurs
19:00qui, de temps en temps,
19:01effectivement,
19:01sur les terrasses,
19:02les cafés,
19:03parfois,
19:03bon,
19:04ça peut aussi être réglé
19:05à l'amiable
19:06sans qu'il y ait besoin.
19:08C'est très simple
19:09de se parler entre nous,
19:10de dire,
19:10excusez-moi,
19:11vous pouvez fumer
19:11un petit peu à côté,
19:13il n'y a pas de souci
19:13à ce que vous fumez.
19:14Et sur les plages,
19:14ça me paraît aberrant.
19:15Les plages,
19:16c'est en plein air,
19:17je ne vois pas
19:17à quel moment,
19:19à moins qu'on soit
19:19sur la plage de Biarritz
19:21où peut-être
19:21tout le monde est serré,
19:22mais il y a quand même
19:22aussi d'autres plages
19:23où on peut fumer
19:24sans que ça pose de problème.
19:31les taxes et autres,
19:32ça rapporte à l'État
19:32le tabac,
19:33mais attention,
19:33en fait,
19:33on en perd plus
19:34d'un point de vue
19:35quand on soigne
19:37les cancers et tout,
19:39donc même d'un point de vue budget,
19:40en fait,
19:41ça coûte plus
19:41d'avoir des fumeurs
19:42dans une société
19:42que de ne pas en avoir.
19:44Il y a une question
19:44aussi de prévention,
19:45peut-être on l'oublie
19:46à ce sujet,
19:47peut-être qu'on n'en fait pas assez,
19:48je ne sais pas,
19:49dans les écoles.
19:50C'est applicable,
19:51en fait,
19:51simplement,
19:51c'est-à-dire qu'on va avoir quoi ?
19:52On va avoir des policiers
19:53qui en permanence
19:54vont chercher les fumeurs
19:55partout,
19:56un peu sur les plages
19:57et autres.
19:57Ça va commencer par,
19:58je suppose,
19:59de la Bribus,
20:00alors ça,
20:00oui.
20:01Ça fait un peu
20:02passe sanitaire à l'époque.
20:04Ça veut dire que
20:04si vous êtes à côté
20:05de la Bribus,
20:05vous avez le droit de fumer ?
20:06Je ne sais pas,
20:07c'est pas précisé encore,
20:09il faudra attendre
20:09les décrets en l'occurrence,
20:11mais oui,
20:12on est net,
20:12c'est encore une fois,
20:13on a le sentiment
20:14que c'est improvisé
20:15et très rapide,
20:15si c'est applicable là
20:16d'ici quelques semaines,
20:18enfin,
20:18je ne sais pas,
20:18faire de la pédagogie.
20:19Après,
20:20quand vous regardez quand même,
20:21moi je me rappelle
20:22à l'époque
20:22où on commençait
20:23à interdire
20:24les cigarettes
20:25dans les lieux clos,
20:26que sur les paquets de cigarettes
20:27on disait
20:28on va mettre des affiches
20:28et des photos
20:29qui,
20:29tout le monde crie
20:30en disant
20:30c'est la liberté,
20:32on attaque notre liberté
20:33et tout.
20:33Je pense que 5-10 ans plus tard,
20:34tout le monde est très content
20:35qu'on ait fait ça,
20:36au final,
20:37et on voit que le nombre
20:38de fumeurs
20:38a vraiment baissé,
20:39donc c'était une bonne chose.
20:41Alex Armand,
20:41journaliste politique,
20:42je rappelle la chaîne YouTube
20:44Les Indécis,
20:44je le rends rédacteur
20:45en chef à frontière.
20:47Merci,
20:47merci d'avoir été avec nous
20:48ce matin sur Sud Radio,
20:49c'était un plaisir,
20:50merci aussi à Dési
20:51qui réalisait cette émission
20:54ce matin,
20:559h56,
20:56dans un instant,
20:57vous avez rendez-vous
20:57avec Valérie Expert
20:58et Gilles Gonzman,
20:59Sud Radio Média,
21:00Valérie et Gilles
21:00qui reçoivent Karine Lemarchand,
21:02je vous souhaite
21:03une très belle journée,
21:03moi,
21:04et un très beau week-end.
Recommandations
27:54
|
À suivre
44:56