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  • 29/05/2025
Retrouvez le replay de l'Équipe de choc du 29/05/2025.

Catégorie

🥇
Sport
Transcription
00:00Bonjour à toutes et à tous, c'est l'équipe de choc.
00:08Une équipe de choc à 48 heures du choc justement de cette finale de Ligue des Champions entre le PSG et l'Inter.
00:15Pour avoir toutes les dernières infos sur cette affiche, les témoignages et les débats autour de ce match, vous êtes au bon endroit.
00:23Et moi je suis bien entourée avec Pierre Bouby et Julien Allianne aujourd'hui.
00:26Comment ça va ?
00:27Synchro, magnifique.
00:29On est ensemble mon gars, on est ensemble.
00:32La première victoire de la semaine au jeu.
00:34Pourquoi tu mets une balle là, on vient de passer un bon moment comme ça ?
00:36Je crois que vous n'avez pas gagné de la semaine, c'est juste qui me l'a dit.
00:38C'est pas grave, regarde comment on s'entend bien.
00:40Vous savez que l'émission est raccourcie aujourd'hui parce que juste après on passera sur la demi-finale de l'Euro U17.
00:46On a failli enlever le jeu.
00:48Du coup on s'est dit, émission raccourcie, rassurez-vous, il y aura bien le jeu dans quelques instants.
00:52Et pour vous affronter justement dans la team Reste du Monde, on accueille Erwan Abotrette, journaliste First Team.
00:59Plus journaliste que basketteur, attention.
01:01Et s'il vous plaît, voici l'entrée la plus élégante de l'équipe de jeu.
01:05C'est naturel, c'est comme ça.
01:08C'est un flot qui vient sur scène.
01:10Ça vous a plu ça, plus journaliste que basketteur ou l'inverse ?
01:12On m'a dit que tu y tenais beaucoup.
01:15C'est pas vrai, moi je suis tout en fait, je sais tout faire.
01:18Aussi bien le journalisme que le basket ?
01:20J'espère, ça serait bon signe pour mon métier.
01:24T'es sûr ?
01:25On va appeler le prochain.
01:29On appelle Braque, journaliste Winamax 7C.
01:32Il est de retour à Marrakech.
01:33Peut-être qu'il est allé à Marrakech justement pour déstresser un peu.
01:38Parce que je crois qu'il compte les heures jusqu'à ce samedi.
01:41Tu peux nous rejoindre Braque.
01:42On m'a dit que t'étais un petit peu stressé, tendu.
01:45On est à 48 heures là.
01:46C'est eux qui racontent ça.
01:47Ça fait 6 mois qu'ils veulent nous faire passer pour un stressé.
01:50Parce que ça y est, il y a la...
01:51Bah oui, vous, et toi en plus.
01:53T'en particulier plus que Julien.
01:54C'est grave.
01:56Mais moi, je suis très bien.
01:56Je suis très détendu.
01:57Marrakech m'a fait beaucoup de bien.
01:59J'ai pu voir quelques petits cousins d'Achrafakimi.
02:00Tout se passe bien.
02:01Donc tout va bien.
02:02Tout va bien.
02:02Confiant pour sa missoir ?
02:04J'ai envie d'être confiant.
02:05Vous avez vu, il ne le dit pas confiant.
02:08J'ai envie.
02:10Au sommaire de cette émission, on se demande qui a le plus de pression à l'approche de cette finale.
02:15Le PSG d'Ousmane Dembélé ou l'Inter de Marcus Thuram ?
02:19On posera la question.
02:20Un champion d'Europe.
02:21Un champion d'Europe avec le PSG en 96.
02:23Vincent Guérin sera avec nous dans quelques instants.
02:26Et puis votre rendez-vous de la soirée sur la chaîne L'Équipe.
02:28Oui, c'est au sommaire de l'équipe de choc.
02:29Ça aussi, c'est les Fléchettes.
02:31La finale de la première Ligue.
02:33C'est ce soir.
02:34Luc Littler va-t-il conserver son titre ?
02:36Là aussi, on a un expert Fléchettes.
02:38Benoît Cossé nous dira tout sur cette formidable soirée à partir de 20h08.
02:42Et puis, vous le voyez dans le décor.
02:44Allez Paris, il y a écrit derrière moi.
02:46La chaîne L'Équipe est derrière le PSG pour cette finale de Ligue des Champions.
02:50Mais est-ce que c'est le cas de tout le territoire français ?
02:53Est-ce que c'est logique de soutenir le PSG ?
02:55Quand on est français, je crois que tout le monde n'est pas d'accord en plateau.
02:59Mais ça, on en parlera en fin d'émission.
03:01Pour l'instant, on parle donc de pression.
03:03Qui a le plus la pression entre le PSG et l'Inter ?
03:07Avant, samedi soir, on lisait aujourd'hui dans l'équipe Bernard Lama qui disait
03:11la clé, ce sera la maîtrise des émotions.
03:14Et ça, le coach parisien Louis Sénréqué l'a forcément parfaitement appréhendé, Julien.
03:18Oui, ça va être un élément très important à gérer.
03:21Louis Sénréqué est revenu sur la préparation mentale de cette finale.
03:25Après la victoire en Coupe de France, pour lui, cette finale de Ligue des Champions,
03:29elle s'est préparée très très en amont.
03:31Écoutez-le.
03:33Nous préparons ce match du 31 depuis peut-être le 14 ou le 15 juillet, l'après-saison.
03:41Ce match est dans la tête de tous les joueurs du PSG, dans la tête de toute l'équipe,
03:46dans la tête du club entier, de tous les supporters.
03:50Pas seulement les supporters, mais aussi les fans du monde entier.
03:54Donc, c'est un match qu'on a marqué d'une croix dans le calendrier.
03:59On va essayer de le jouer, de gérer cette émotion qui nous entoure.
04:03Parce qu'un excès d'émotions, un excès de quoi que ce soit est toujours mauvais.
04:07Donc, nous allons essayer de gérer cela.
04:09La gestion des émotions qui sera une des clés du match, forcément.
04:13En tout cas, Pierre, on a l'impression qu'ils n'ont pas beaucoup la pression.
04:16Ces parisiens, ou en tout cas, qu'ils la gèrent parfaitement depuis le début de cette campagne de Ligue des Champions.
04:21Oui, bien sûr. La pression, je pense qu'ils ont appris justement à la gérer.
04:25C'est l'une des forces de cette équipe de Luis Enrique, justement, de dédramatiser un peu quasiment tous les événements qui étaient importants dans la saison.
04:32Je repense à ce match contre City, qui était super important, qui a été bien géré et très mal commencé de la part du PSG, mais très bien fini.
04:40Voilà, je pense que c'est l'une de leurs forces.
04:42On a beaucoup parlé justement de la jeunesse de cet effectif.
04:45Et je trouve que, et je l'ai souvent rappelé sur ce plateau, la gestion émotionnelle du scénario du match, peu importe en fait la chronologie du match,
04:55je trouve qu'ils ont la capacité de répondre quasiment à toutes les situations.
05:00Quand ils sont menés, quand ils mènent, quand il y a des moments un peu plus compliqués, avant ils perdaient ce genre de match.
05:04Maintenant, ils arrivent à faire le dos rond et Donnarumma arrive à maintenir son équipe dans le match.
05:10Donc moi, je ne suis absolument pas inquiet sur la façon de gérer ce genre de match-là.
05:16Maintenant, je ne me dis pas du tout que ça va être facile.
05:19Je pense qu'en face, ça va être un peu la même chose.
05:21Mais la pression pour moi, les deux équipes sont prêtes à la gérer.
05:26Peut-être même un peu plus du côté de l'Inter parce qu'il n'y a zéro trophée.
05:29Ils ont raté le Scudetto, donc ils ont pris un petit bout.
05:31On verra la dynamique des deux clubs dans quelques instants.
05:34Ils ont pris un petit coup de pelle derrière la nuque dernièrement.
05:35mais je ne suis pas convaincu que les deux équipes vont mal gérer cet événement-là.
05:43En tout cas, la gestion de cette pression-là, c'est le premier truc à cerner avant cette finale.
05:50Cette équipe du PSG, elle a joué une finale il n'y a pas si longtemps que ça.
05:52Mais l'effectif, ce n'était pas du tout le même, à part certains.
05:56Il y a beaucoup d'inconnus.
05:57On a beau spéculer sur la pression, ils vont mieux la gérer.
06:00Je pense que ça va bien se passer.
06:01On ne sait pas.
06:02Des fois, tu peux être surpris au bout de 10 minutes et c'est déjà trop tard.
06:04Et tu peux faire une super entampe de match et plier peut-être la feuille.
06:08C'est un des scénarios qui arrive.
06:09Par contre, les seules choses dont on est sûr, c'est ce que le PSG est capable de faire sur le terrain,
06:15ce qu'est capable de proposer le PSG depuis maintenant six mois, voire plus.
06:18Ça, c'est une certitude qui te permet de bien gérer la pression.
06:21Quand tu arrives sur la pelouse pour un événement comme celui-là, qui reste un événement rare,
06:24ce n'est pas le Real Madrid non plus, le PSG, qui a un nombre de finales de Ligue des Champions incroyable.
06:29Donc, quelque part, il y aura une part d'inconnus par rapport à cet événement-là.
06:31Mais par contre, il y a beaucoup de certitudes sur ce qu'il propose collectivement depuis un bon bout de temps
06:35et des deux côtés du terrain.
06:37Tu parlais de Donnarumma dans les cages, tu parlais sur l'animation offensive.
06:40Donc voilà, il faut s'accrocher sur des choses sûres qu'il connaisse,
06:43qui travaillent depuis, comme le dit Lucien Riquet, depuis le mois de juillet.
06:47Maintenant, dans ces matchs-là, et c'est ce qui rend ces matchs-là fantastiques,
06:50il y a une part de doute sur plein de choses.
06:51La part de doute, elle n'est pas due à un manque d'état d'esprit ou d'attitude.
06:55Ah non, certainement pas.
06:56Non, mais c'est pour ça qu'il y a un manque de confiance.
06:57Ça, ça fait partie des certitudes.
06:58Voilà, mais c'est ce qui définit aussi le fait que tu vas bien gérer,
07:02même dans les moments compliqués, tu as des certitudes dans le jeu.
07:04Donc, tu sais te raccrocher à des choses qui sont acquis,
07:08avec des automatismes, même dans des moments qui sont compliqués.
07:11C'est le meilleur moyen de sortir de moments compliqués
07:14quand tu as des certitudes dans le jeu.
07:15Il y a assez d'attitude pour rassurer le supporter stressé que tu es, Braque ?
07:21Oui, moi, ça fait un petit moment que j'ai été rassuré,
07:24parce que je me raccroche toujours à ce que j'ai pu voir du Paris Saint-Germain
07:27pendant de très, très, très nombreuses années.
07:29Erwan en a parlé, il y a des moments où tu perdais naturellement le fil
07:33parce que tu n'avais pas encore ce socle de confiance
07:36qui faisait que tu l'aies passé ces tours-là.
07:39Là, on a eu des matchs, des vrais tests.
07:41Parfois, on les qualifie de tests.
07:43Liverpool, Aston Villa, je trouve que c'est des matchs
07:46qui sont très, très, très difficiles à gérer d'un point de vue mental.
07:49Et pourtant, quand on regarde un petit peu les choses,
07:52tu es allé gagner à Anfield.
07:54Tu t'es imposé aussi face à Aston Villa
07:57dans un contexte où tu as très, très peu douté, finalement, dans ce match-là.
08:02Tu as eu ces 25 minutes où ça a été très compliqué.
08:04Mais si tu prends l'ensemble des matchs à chaque fois,
08:06on se rend compte que tu es quand même largement devant
08:08d'un point de vue de confiance.
08:09J'aurais mis voir ta tête sur les 25 minutes à Aston Villa.
08:11Tu dis qu'on n'a pas souffert, tu n'as pas bégayé ?
08:14Ah bon, alors tu es devin.
08:15Parce qu'il y a 25 minutes où un moment où on se dit
08:17« Oula, oula, ils vont faire sortir ».
08:18C'est ce que j'ai dit.
08:19J'ai dit pendant ces 25 minutes, tu as souffert,
08:21mais tu as réussi à les tenir ces 25 minutes.
08:23Et après, tu as Arsenal.
08:24Donc en fait, moi, ce que je me dis par rapport à cette saison,
08:26c'est que tous les doutes sur la certitude,
08:29sur la confiance, sur l'aspect mental,
08:30ils ont été balayés.
08:31Parce que tu as eu les plus gros tests possibles
08:33dans cette Ligue des Champions.
08:34Pour moi, là, il t'en reste un dernier.
08:36Mais je pense que tu l'as préparé, ce dernier test,
08:39de la meilleure des manières, en répondant à chaque fois.
08:42En plus, accompagné par ton jeu,
08:44qui, pour moi, est tout simplement parfaitement rodé,
08:47avec des joueurs qui répondent parfaitement
08:49à ce que l'entraîneur demande.
08:50Moi, je n'ai pas envie de parler de pression mentale, en fait.
08:53Avant cette rencontre, ce n'est pas ce qui me fait peur.
08:55Et il y en a un qui l'a parfaitement géré, cette pression.
08:57C'était il y a presque 30 ans maintenant, en 1996.
09:00Il a remporté une Coupe d'Europe avec le PSG.
09:03C'est Vincent Guérin.
09:04Bonjour, Vincent.
09:05Merci beaucoup d'être avec nous.
09:06Alors, justement, il y a presque 30 ans,
09:08toi, tu étais dans quel état ?
09:09Est-ce que la question de la gestion de la pression
09:12était problématique ou pas dans votre groupe à ce moment-là ?
09:16Bonjour à toutes et à tous.
09:18Le facteur émotionnel est un facteur quand même très important.
09:22Et une finale, ça n'a rien à voir avec les matchs coups prêts
09:25qu'on peut jouer avant, demi-finale, quart de finale.
09:28Une finale, c'est un match.
09:31Et surtout, on vous en parle à la fois de votre environnement proche
09:36comme les amis, comme les médias.
09:41C'est une pression qui est permanente.
09:43Et là, il y a quand même du temps entre la qualification et la finale,
09:47ce qui fait qu'il faut gérer ce temps-là à l'approche de cette finale.
09:52Après, on a effectivement sur le terrain des atouts.
09:55Après, ça, c'est une chose.
09:57Mais après, sur le facteur de gérer soi-même son émotion et un groupe aussi,
10:04le rôle de l'entraîneur et du staff est très, très important.
10:07On vous lisait dans l'équipe ce matin avec ces mots.
10:10Nous, on avait tellement envie de gagner qu'on a pu surjouer à un moment.
10:14C'est ça le principal risque de subir la pression ?
10:17C'est de ne pas être soi-même, tout simplement.
10:22Soit d'être en dedans ou de surjouer.
10:27Donc, de ne pas jouer son jeu et ce qu'a pratiqué le Paris Saint-Germain.
10:30On va dire, il y a eu le Paris Saint-Germain avant Manchester City
10:33et après Manchester City.
10:35Et avec, je dirais, le match d'Aston Villa,
10:38où on a l'impression que sur la première mi-temps, sur le match retour,
10:42on se dit que le match est plié.
10:44Et puis, on se rend compte que, pas du tout.
10:46De nouveau, il y a un peu des fantômes qui reviennent.
10:50Aston Villa revient dans la partie.
10:52Et Paris Saint-Germain ne montre plus du tout le même visage que sur la première mi-temps.
10:57Donc, c'est un peu ce genre de choses qu'il faut essayer de gommer
10:59sur un match et sur une finale.
11:02Vincent, j'aimerais parler de l'adversaire du PSG.
11:05Samedi, l'Inter, qui a perdu la finale de Coupe d'Italie contre le Milan,
11:08qui n'a pas réussi à remporter le championnat,
11:10est juste à un point derrière le Napoli.
11:13Ça, les interistes, ils l'ont un petit peu en travers de la gorge.
11:16On va écouter d'ailleurs Simon Inzaghi.
11:17Et après, j'ai une question à te poser.
11:20La perte du championnat est un motif de souffrance,
11:23pour moi comme pour l'équipe.
11:25Il nous a manqué un petit quelque chose.
11:27On le sait tous.
11:27Maintenant, c'est fini depuis deux jours.
11:29Ça nous laisse un arrière-goût.
11:31Il nous manque une victoire pour réaliser un rêve et rentrer dans l'histoire.
11:35Ma question, Vincent, est-ce que ça n'ajoute pas de la pression,
11:38justement, de se dire du côté de l'Inter
11:40que tu es passé à côté de tous les trophées de la saison
11:43et que tu peux encore te prendre les pieds dans le tapis samedi soir ?
11:49C'est à double tranchant.
11:51C'est-à-dire qu'effectivement, on peut voir la chose de ce côté-là.
11:55Mais aussi, c'est une chance pour eux, une opportunité en tout cas de sauver leur saison
11:59et de pouvoir encore aller truster un trophée et de ne pas terminer la cuillère de bois en rugby.
12:09Ça serait un peu la même chose pour les interistes s'ils perdaient cette finale.
12:13Braque est très assidu.
12:14Je le vois, bon élève.
12:15Il prend des notes depuis qu'on vous écoute.
12:18Vincent et Braque, tu as une question.
12:20Oui, j'ai une question.
12:21Vincent, salut à toi.
12:23C'est un plaisir de pouvoir discuter avec toi
12:26parce que tu l'as vécu ce moment, toi, tout simplement.
12:28Tu l'as vécu, tu as été au cœur du truc.
12:31Et moi, ce qui m'intéresse vraiment, c'est les derniers moments avant que le match commence
12:34parce que là, on est en train de parler de pression.
12:35Mais je pense que c'est à ce moment-là qu'on évacue toutes ces petites choses
12:39parce que quand le match commence, il commence et c'est terminé.
12:41Maintenant, quels ont été les mots à l'époque de Luis Fernandez ?
12:43Quels ont été les mots de ses adjoints ?
12:46C'est quoi qui s'est dit avant que ce match contre le RapidBand de Vienne commence ?
12:51Je n'ai pas les phrases exactes.
12:55Je ne m'en souviens plus.
12:57Mais avant tout, c'est de nous mettre en confiance.
13:00Je me souviens très fortement de ça.
13:02C'était de nous mettre en confiance avant de rentrer sur le match.
13:05Et nous, on n'aspirait qu'à une chose.
13:07Effectivement, c'est que la mèche s'allume parce que tu boues, tu boues, tu boues.
13:11Tu as l'échauffement.
13:13C'est d'essayer d'être le plus tranquille possible
13:15pour pouvoir après s'exprimer et être en pleine confiance et être tranquille.
13:22Vincent, j'avais une question, moi, un petit peu.
13:24On va en débattre tout à l'heure sur les soutiens du Paris Saint-Germain.
13:28Quand t'entends Basile Boli, le Marseillais contre qui tu as joué,
13:31qui t'a mis d'ailleurs quelques tacles bien appuyés,
13:33qui dit qu'il va soutenir le Paris Saint-Germain.
13:35Comment tu le vis ?
13:37Comment tu vois ça ?
13:39Moi, je ne fais pas trop.
13:43Franchement, j'aime le foot.
13:48Je pense que le Paris Saint-Germain, justement, au niveau de son image cette année,
13:51je crois que la star, c'était l'équipe.
13:53Ce qui n'a pas été le cas peut-être sur le projet avant des Qataris.
13:57Et je pense que le Paris Saint-Germain a été apprécié de par son comportement,
14:01son attitude et l'âme que dégage cette équipe-là.
14:04Et je pense que les gens, globalement, ont une très bonne image de cette équipe
14:09parce que tout le monde se bat les uns pour les autres
14:11et on retrouve l'essence même d'une équipe de football.
14:15Et que ce soit Paris Saint-Germain, Marseille, Lyon, Lille, Lens, Brest,
14:20peu importe, on doit soutenir, évidemment,
14:23enfin, pour moi, je suis français avant tout,
14:24évidemment, je comprends les rivalités.
14:26Mais avant tout, on est français, c'est quand même…
14:28Moi, je trouve ça scandaleux qu'on soit derrière la Belgique et l'Écosse
14:32au niveau des trophées européens depuis l'existence des compétitions européennes
14:35avec le nombre de joueurs de qualité qu'il y a eu au niveau français,
14:39d'être simplement qu'à deux trophées européens.
14:42Je trouve ça complètement incroyable.
14:46Et on reparlera de ce débat en fin d'émission.
14:48Mais justement, tu disais qu'elle te plaisait, cette équipe.
14:50Elle a quoi en commun avec votre équipe de 96, si elle a des points communs ?
14:54Le Bayou.
14:55Merci, Rwes.
14:56Oui, c'est évidemment les couleurs,
14:59mais les couleurs aussi qu'elles dégagent sur le terrain.
15:02C'est ce que je disais, la star du club, aujourd'hui, c'est l'équipe,
15:06ce n'est pas les personnalités, les individualités.
15:09Et je pense que nous, c'était un peu la même chose.
15:12On était une équipe, on se défendait les uns pour les autres
15:15avec le talent qu'il y avait à l'époque.
15:16Donc, je pense qu'il y a cette ressemblance, en tout cas,
15:20entre la formation du Paris Saint-Hermain édition 2025 par rapport à l'édition 96,
15:26même si c'est très loin en arrière.
15:27Il y avait du talent, mais surtout, il y avait la volonté de mouiller le maillot
15:32et de se battre les uns pour les autres.
15:34Et quels que soient les joueurs qui rentrent dans l'équipe, c'est la même chose.
15:39Donc, ça, c'est aussi la réussite, je pense, de Luis Enrique.
15:43Allez, Vincent, on vous garde encore quelques secondes avant de vous libérer.
15:46Et le meilleur pour la fin, Pierre Bouby, pour terminer ce moment.
15:49Vincent, moi, j'ai une question, justement, par rapport...
15:51Alors, il y a un choc des générations, justement, entre ton équipe
15:55et celle qui va en finale de Ligue des Champions.
15:58Est-ce qu'elle te bluffe, cette équipe, dans la gestion des émotions
16:04dans les moments forts de la saison par rapport à leur âge,
16:06à leur façon d'aborder les matchs et à leur certitude aussi dans leur jeu ?
16:12Alors, oui et non.
16:14Comme je l'expliquais en amont, c'est que je pense qu'il y a eu un avant
16:18et un après sur le Manchester City.
16:21Je pense que le Manchester City, mentalement, je pense qu'avant ce match-là,
16:26ils avaient des difficultés, justement, pour se persuader qu'ils avaient du talent
16:31et qu'ils étaient capables de renverser des grandes équipes.
16:33Et ce match-là leur a permis, je pense, de débloquer un petit peu cet aspect mental
16:38et de pouvoir aller, aujourd'hui, rencontrer n'importe quelle équipe
16:42et prendre surtout conscience de leur force.
16:46Ils n'avaient peut-être pas, justement, pris conscience de leur potentiel collectif
16:52et il leur fallait une victoire référence.
16:54Et ils l'ont eu contre City.
16:55Et je pense que depuis, ça déroule.
16:59Je pense qu'on l'a vu à Liverpool, même s'il y a eu, comme je l'ai dit,
17:02un petit peu de troubles à Aston Villa sur la deuxième mi-temps,
17:05où ça a été un peu plus compliqué, mais ils ont quand même résisté.
17:07Donc, ils ont démontré des vertus.
17:10C'est vrai qu'à travers leur jeunesse, c'est une qualité qui est rare.
17:15Alors, ça vient souvent avec la maturité, avec l'expérience des événements.
17:19Mais c'est vrai qu'aujourd'hui, on joue de plus en plus jeune,
17:21de plus en plus tôt aussi dans les grandes équipes.
17:24Donc, c'est aussi un apport et un plus de certitude par rapport au niveau.
17:29Merci beaucoup, Vincent, d'avoir été avec nous dans l'équipe de Choc
17:33pour parler de ce match.
17:35On est en avant-match 48 heures avant cette finale.
17:38D'ailleurs, vous serez où samedi ?
17:40Vous faites un petit aller-retour à Munich
17:42ou vous regardez le match tranquillement devant la télé ?
17:47Allez, Paris, on sera à Munich.
17:49On sera à Munich, on est invités par le club.
17:52Donc, ça, c'est super.
17:56Donc, la question, ce n'est pas posée de ne pas y aller.
18:01C'est plus facile.
18:03Non, non, mais c'est bien de pouvoir soutenir le club
18:06parce qu'ils ont fait énormément de choses.
18:09Et bon, je pense que là, ça prend aussi une autre direction
18:11et une bonne direction.
18:13On a pu visiter aussi, il n'y a pas très longtemps,
18:15la semaine dernière, le campus de Poissy,
18:18qui est un outil vraiment incroyable.
18:21Et ce qui démontre la volonté aussi du club d'aller vers le haut
18:26et de continuer ce projet qui prend en tout cas une nouvelle direction,
18:31comme je le disais, par rapport à un projet d'équipe.
18:34Et ça, c'est super.
18:37Donc, on est automatiquement à fond derrière le club
18:41et on envisage la victoire samedi soir contre l'Inter de Milan,
18:45même si ça ne sera pas facile, évidemment.
18:47Eh bien, on vous le souhaite et profitez bien samedi soir.
18:49Donc, la fête sera belle, on l'espère, à Munich.
18:52Merci beaucoup d'avoir été avec nous en direct dans l'équipe de choc.
18:55Alors, qui aura plus la pression ?
18:57C'est l'intitulé de notre débat entre le PSG et l'Inter.
19:01Peut-être qu'il y a des joueurs aussi, en particulier,
19:04qui auront plus la pression parce qu'il y a des matchs dans le match.
19:06Oui, je pense notamment à Ousmane Dembélé et à Otaro Martinez.
19:09C'est un match qui va aussi décider le futur vainqueur du Ballon d'Or.
19:13Eux sont dans le top 5 aujourd'hui.
19:15On est d'accord avec peut-être la Minyamal, avec d'autres Catalans.
19:19Vous parlez de leur saison.
19:2033 buts pour Dembélé, 22 pour le capitaine Interest.
19:24Mais j'aimerais aussi vous faire écouter une déclaration
19:26d'Ousmane Dembélé.
19:28C'était mercredi dernier, lors du Mediaday,
19:32ouvert à la presse pour parler de cette finale de Ligue des Champions.
19:35Lui, il insiste sur les trophées collectifs
19:37avant les trophées individuels.
19:40Écoutez-le.
19:41Mais comme je le répète,
19:43quand tu es un joueur du Paris Saint-Germain,
19:44il y a bien plus important que de penser aux titres individuels.
19:47Surtout que le club n'a jamais gagné le trophée tant attendu.
19:51Et avant de penser à moi,
19:53je veux penser à l'équipe d'abord et au club.
19:54Pierre, moi j'aime son approche.
19:56Il met avant tout l'esprit, l'équipe, le collectif avant lui,
20:01avant le ballon d'or.
20:02Tu le voyais dire l'inverse ?
20:03Non, mais on a l'impression que ce n'est pas fin.
20:06Je trouve que ça dénote vraiment ce qu'il est devenu aujourd'hui.
20:08Un joueur déterminé, qui pense au collectif.
20:10Et il se délaisse de la pression du ballon d'or, justement.
20:14Ah mais je pense...
20:15Après, Ousmane Dembélé, je ne me rappelle pas avoir vu un match
20:18où il avait forcément la pression.
20:19Ce n'est pas quelqu'un qui se la met.
20:21Ça lui glisse dessus, cette personnalité-là.
20:24Maintenant, il n'est pas plus bête que les autres.
20:25Ça veut dire qu'il sait très bien qu'en fait,
20:27en ayant justement un...
20:30S'il est performant, le collectif va être performant.
20:32Si le collectif fait performant, ça va aussi ruisseler vers lui.
20:35Et puis peut-être aussi le ballon d'or.
20:36Donc c'est logique d'avoir ce discours.
20:38Non, mais ce que je veux dire, c'est qu'il ne va pas faire une finale
20:40où il va dribbler quatre mecs,
20:41où il va être incroyable, mais il ne va pas être utile à l'équipe.
20:43C'est impossible.
20:44On essaie d'avoir plein de certitudes qui, pour moi, sont impossibles.
20:47C'est pour ça qu'on spécule.
20:47Mais si !
20:48Par contre, une chose dont on est sûr,
20:49c'est que Ousmane Dembélé, certes, a fait une saison monumentale.
20:52La dernière finale qu'on a vue jouer par Ousmane Dembélé, c'était quoi ?
20:55C'est la finale de la Coupe du Monde.
20:57Il a fait une mi-temps dramatique.
20:59Donc, on est tous là en train de se dire
21:00« Oui, parce qu'on joue mieux. »
21:01Et tu penses, là, tu compares l'ancien Ousmane Dembélé à celui de maintenant.
21:04Je ne dis pas ça, mais encore une fois,
21:05une finale, et Vincent Guérin, qui en a joué deux de Coupe d'Europe,
21:09le dit, c'est un match particulier.
21:10Il y a des joueurs, des fois, qui sont équipés pour jouer des grands moments.
21:13Il y a d'autres joueurs, des très grands joueurs,
21:15qui sont équipés beaucoup moins pour jouer ces matchs-là.
21:17Donc, en fait, il y a plein de joueurs qui vont découvrir ce stade de la compétition.
21:20Donc, on peut avoir des certitudes collectives.
21:22On est tous d'accord là-dessus, sur ce que fait Paris depuis pas mal de temps.
21:25Pareil, pour ailleurs, pour l'Inter.
21:26Mais après, l'émotion individuelle, la gestion de grands événements comme ça,
21:30on ne peut pas savoir.
21:31On ne peut que spéculer.
21:32Et dire que Dembélé, la dernière fois, on l'a vu,
21:36sur une grande finale, c'était une finale de Coupe du Monde.
21:38Il est sorti à le texte.
21:39Ça n'a rien à voir.
21:40Et selon Pierre, c'est pas une finale de Dembélé.
21:42Je vais dire quelque chose à Rouen.
21:43Je ne te dis pas qu'il va faire pareil.
21:45Je te dis qu'il a déjà vécu ça.
21:47Il est passé au travers.
21:48Est-ce qu'il a progressé là-dedans ?
21:50Je ne parle pas du footballeur.
21:51Je parle de la gestion d'un grand événement.
21:52Si c'est une finale de Coupe du Monde et des Champions, ça n'a rien à voir.
21:55Non, ça n'a rien à voir par rapport à la personnalité qu'il a.
21:58Parce que là, il a rajouté quelque chose à son jeu.
22:00C'est sa manière de défendre.
22:01C'est sa manière d'orienter le pressing pour son équipe.
22:03Et la façon de donner le corps à la science et à son équipe.
22:06Avant, il ne l'avait pas.
22:07Mais là, tu parles de foot.
22:08Là, je te parle d'un truc.
22:11Vas-y, vas-y.
22:12Excuse-moi, parce que tu me parles de la finale de la Coupe du Monde
22:18où tout est concentré autour de Kylian Mbappé.
22:20Tu me parles d'Ousmane Dembélé à ce moment-là.
22:22Par rapport à ce Ousmane Dembélé-là,
22:24Ousmane Dembélé, c'est le leader de cette équipe.
22:26C'est le joueur numéro un, même si on vend partout.
22:28Que c'est un collectif, que ça se joue là-dessus.
22:31Je suis désolé, c'est lui le patron.
22:32C'est à lui, justement, de montrer aux autres comment ça se passe.
22:35Et quand tu le vois sur le terrain, Ousmane Dembélé,
22:37aujourd'hui, aller faire à chaque fois le premier pressing,
22:40arrasser, prendre le jeu à son compte,
22:41je suis désolé, ce n'est pas le même Ousmane Dembélé
22:43qu'en équipe de France.
22:43Vous m'amenez des réponses sportives, tactiques.
22:47Oui, parce que c'est ça qui a changé, en fait.
22:49C'est ça la grosse différence entre ce que tu veux dire
22:51et ce dont on parle maintenant.
22:53Mais non, c'est pas les spéculations, c'est du factuel.
22:55C'est du factuel.
22:56Ce qui est factuel, c'est que
22:57tu rentres dans un grand match de football,
23:00finale de Coupe du Monde, finale de Ligue des Champions,
23:02c'est le grand match de football.
23:02Tactiquement, je ne parle même pas de tactique,
23:04je te parle de gérer une émotion d'un grand match de foot.
23:07Tu es en train de me dire qu'il fait le premier pressing.
23:09Mais tu ne vas pas la gérer avec le même costume, l'émotion.
23:11Tu ne vas pas la gérer avec le même costume.
23:12On a un docteur Phil, apparemment, avec toi.
23:14Donc, le mec, il est psychologue.
23:16Moi, je demande à moi.
23:18Erwan, ce qu'on veut t'expliquer,
23:20c'est qu'avec le comportement et l'attitude d'un Dembélé,
23:23évidemment qu'en fait, ça va transpirer à travers son équipe.
23:25Il passe son pas à travers.
23:26On ne dit pas qu'il va gagner, qu'il va faire un match exceptionnel.
23:29Il va rater peut-être des occasions.
23:30Mais n'empêche que dans l'attitude...
23:31On va mettre sur la table que la dernière finale qu'il a faite,
23:33il était passé complètement au travers.
23:35Dans un autre jeu.
23:35C'est négatif, de toute façon.
23:36On reparlera du PSG dans cette émission.
23:40En fin d'émission.
23:42On reparlera du PSG.
23:44Mais juste après la pause,
23:45on parlera d'une autre finale,
23:47celle de la Première Ligue de Fléchettes.
23:50C'est ce soir, sur la chaîne, l'équipe,
23:51le dénouement dans une ambiance de fou.
23:54Ce sera à Londres, dans une odeur,
23:55une aréna pleine à craquer.
23:56Près de 15 000 personnes ce soir.
23:58Qui sera sacré ?
23:59On en parle juste après une courte pause.
24:00Être ou ne pas être supporter du PSG samedi soir.
24:15En tant que Français,
24:16doit-on absolument soutenir le club parisien
24:19en Ligue des champions ?
24:20La question fait débat.
24:21Il s'en amuse autour de ce plateau
24:22et on l'abordera juste après
24:24le Planet Sport de Julien Allian.
24:26S'il vous plaît.
24:27Oui maîtresse.
24:28C'est très sérieux.
24:29Ah oui.
24:30Et direction la NBA, les copains.
24:34Oklahoma City s'est qualifié
24:35pour les finales NBA.
24:37Le Thunder a balayé les Wolves
24:39de Rudy Gobert.
24:40Victoire 4-1 dans cette série
24:42de finale de conférence à l'Ouest.
24:43Vous voyez Shea Gildius Alexander
24:45qui a été élu MVP de ces finales
24:46parce qu'il a été au rendez-vous encore.
24:48Comme Caruso
24:49qui a volé beaucoup de ballons.
24:524 interceptions pour Alex Caruso.
24:5334 points, 7 rebonds, 8 passes
24:55pour Shea Gildius Alexander.
24:57Le meneur de jeu canadien
24:59de la meilleure équipe de la saison régulière
25:02a été au rendez-vous hier soir encore une fois.
25:06Prochaine étape, la finale à partir de jeudi
25:07à domicile pour commencer
25:08soit contre New York
25:09ou face aux Pacers.
25:11Erwan, il n'y a pas eu de match finalement,
25:14de surprise, de suspense même dans cette série.
25:16au Casey a balayé les Wolves.
25:18Oui, 4-1.
25:19Un gentleman sweep
25:20comme on appelle ça, 4-1.
25:22C'est vrai qu'il n'y a pas eu de match.
25:23Il y a eu un petit sursaut d'orgueil.
25:25Je t'expliquerai ce que ça veut dire.
25:27On apprend plein de choses ce soir.
25:28Entre la philosophe et toi
25:29qui me sort des mots en anglais.
25:30Et le docteur Phil.
25:32Et donc, oui, c'est la meilleure équipe
25:34de la saison régulière.
25:35C'est la meilleure équipe de l'Ouest aussi.
25:37Et on l'a vu.
25:38Il y a eu, je le disais,
25:39le sursaut d'orgueil de Minnesota à domicile.
25:41Mais sur un match à peine,
25:42finalement, sur l'ensemble des 5 matchs,
25:44il n'y a pas photo.
25:45Ça va plus vite, ça va plus haut,
25:46ça va plus fort.
25:47C'est mieux coaché.
25:48Il y a plus de profondeur.
25:49Cette équipe du Thunder,
25:50il lui reste une marche encore
25:51pour soulever le premier titre
25:53de l'histoire de cette franchise.
25:55Mais quelle impression visuelle impressionnante.
25:59Cheikh Guiljous Alexander,
26:00je l'ai dit,
26:00il a été l'U-MVP de la saison régulière.
26:02MVP des finales de conf à l'Est.
26:05Il prend une dimension,
26:07la R1 de cette saison qui est colossale.
26:09Oui, mais il est dans la suite logique
26:10de ce qu'il fait depuis maintenant
26:112-3 saisons.
26:12L'année dernière,
26:13il avait déjà fini deuxième
26:14au titre de MVP.
26:15C'est un joueur qui n'a que 26 ans.
26:17Il décroche son premier titre de MVP.
26:19Il confirme avec un run de play-off
26:20qui va l'amener en finale.
26:22C'est assez rare ces dernières années
26:23de voir un MVP qui va jusqu'en finale.
26:26Il sera peut-être champion.
26:26Il va aller remonter à 2016,
26:27je crois, avec Steph Curry.
26:28Exactement.
26:29Si il est champion,
26:30on imaginera que ce sera lui
26:31le MVP des finales.
26:32Il est tout simplement en train
26:33de faire une saison historique.
26:36Cheikh Guiljous Alexander,
26:37c'est un joueur magnifique,
26:38très bon défenseur,
26:39attaquant en repère.
26:40Il sait tout faire.
26:40Il est capable de se rapprocher
26:43aussi du cercle.
26:43C'est un très bon slasher,
26:45comme on dit,
26:45en pénétration.
26:47Et puis ça fait peur
26:48parce que leur coach,
26:49il a 40 ans à peine.
26:51Lui, il a 26 ans.
26:51Toute l'équipe est jeune aussi.
26:54Il faudra gérer les contrats
26:56de tout le monde
26:57parce qu'on ne pourra pas
26:57ressigner tout le monde.
26:58Mais on est peut-être en train
26:59de voir le début
27:00d'une nouvelle ère en NBA.
27:01Ah oui, rien que ça.
27:03Je voulais parler aussi
27:04de l'adversaire,
27:06les Wolves.
27:06Anthony Edwards,
27:08je l'ai trouvé très décevant
27:09sur cette confrontation
27:11alors qu'on a beaucoup
27:13d'espoir concernant
27:14Anthony Edwards.
27:15C'est l'un des futurs visages
27:16de la NBA.
27:17Et là, cette fois-ci,
27:18il s'est pris les pieds
27:18dans le tapis encore.
27:19Un peu.
27:20Un peu pris les pieds
27:21dans le tapis.
27:22C'est la deuxième finale
27:23de conférence d'affilée
27:23pour Minnesota.
27:25Ce n'est pas rien.
27:26Il y a des équipes
27:27qui rêveraient de ça.
27:28Johan Embiid n'a jamais fait
27:28de finale de conférence.
27:30Anthony Edwards vient
27:30d'enchaîner une deuxième finale
27:31de conférence d'affilée.
27:31Ça fait partie de son apprentissage.
27:33À 23 ans.
27:34Vous vous rendez compte ?
27:35Il a 23 ans,
27:36Anthony Edwards.
27:37Calma.
27:37Il va y arriver.
27:38Alors, il est un peu
27:39des fois en travers.
27:40Il a des déclarations
27:41un petit peu fofolles.
27:42C'est un vrai personnage.
27:43C'est un talent fantastique.
27:44Mais à 23 ans,
27:45avoir coché déjà
27:45deux finales de conférence,
27:48c'est déjà bien.
27:48Maintenant,
27:49il est dans une franchise
27:49qui a fait un choix
27:50l'été dernier
27:50de se séparer
27:51de son deuxième meilleur joueur
27:52pour des raisons économiques.
27:54Donc, avoir maintenant
27:55entre l'ambition...
27:55Exactement,
27:56Karl-Anthony Edwards,
27:57voir l'ambition maintenant
27:58sportive
27:59et l'ambition financière
28:01de cette équipe-là.
28:02Est-ce qu'à un moment donné,
28:03l'ambition d'Anthony Edwards
28:05va matcher
28:05avec ce que veulent faire
28:07les dirigeants ?
28:08Mais honnêtement,
28:08à 23 ans, oui,
28:09on peut être déçu,
28:10on attendait plus.
28:11Il y a eu des drôles de matchs
28:12où il n'a pris que trois tirs
28:13dans une mi-temps.
28:13Il a fini qu'à 13 tirs.
28:14Il y a eu pas mal de déchets.
28:1523 ans,
28:17still learning.
28:17Ah ouais,
28:18il est facile en danger en plus.
28:19Et bilingue.
28:20On va enchaîner
28:20avec la Betkik Elite
28:22Bourg-en-Bresse
28:23qui est en demi-finale
28:24pour la troisième année
28:29Cholet,
28:30après avoir remporté
28:30le match allé
28:31à 95-71.
28:33Alors,
28:34ce deuxième match,
28:34il a été un peu plus accroché.
28:35Ils ont quand même mené
28:36de 20 points
28:36au milieu du deuxième quart-temps.
28:38Mais ensuite,
28:39il a fallu être bien concentré
28:41du côté des Bressans.
28:43Notamment,
28:43Joël Ayaïi
28:43qui a mis 18 points
28:44comme le meilleur marqueur
28:45de la rencontre
28:46parce que finalement,
28:47Bourg-en-Bresse
28:48va faire la différence
28:49dans les dernières secondes
28:50de la partie.
28:51Ça va jouer sur la ligne
28:52des lancers francs.
28:53Là, vous voyez Cholet
28:53qui va revenir à un petit point.
28:55Et ensuite,
28:55Hugo Benitez
28:56et Jordan Heusher
28:56sur la ligne des lancers francs
28:58vont faire la différence.
28:59Ils vont rencontrer
28:59en demi-finale
29:00soit Paris,
29:01soit Dijon.
29:02Erwan,
29:02ce deuxième match
29:03pour les Bressans
29:04était beaucoup plus difficile
29:05que le premier.
29:07Heureusement qu'ils ont pu compter
29:07sur un grand Joël Ayaïi.
29:09Oui,
29:09il finit très fort
29:10la saison Joël Ayaïi.
29:12Ben oui,
29:13Cholet,
29:13c'était doux hors d'oeil.
29:14Comme on dit,
29:15s'il perdait,
29:16c'était la fin de saison pour eux.
29:17Ils sont arrivés forcément
29:17à Bourg-en-Bresse
29:18avec un peu d'orgueil
29:20en se disant
29:20si on ne le prend pas celui-là,
29:21pour nous,
29:22c'est fini.
29:22On sait qu'ils ont fait
29:23une très belle saison régulière.
29:25Maintenant,
29:25on a vu qu'entre ces deux effectifs-là,
29:27c'est quand même
29:27deux budgets assez différents.
29:28Bourg-en-Bresse
29:29est construit
29:30pour être la quatrième
29:31meilleure équipe
29:31de ce championnat.
29:32Cette année,
29:33c'est Cholet qui lui a pris
29:33sa place sur le sportif.
29:35Mais on a vu
29:35dans ces deux matchs de play-off
29:37que Bourg-en-Bresse
29:37était quand même
29:38une équipe mieux montée
29:40avec un peu plus de talent
29:41et ça s'est joué.
29:42On l'a vu sur ces deux matchs
29:43et sur la fin de match
29:44de ce match 2.
29:44Mais grand bravo
29:45à Cholet Basket
29:46pour leur saison quand même.
29:47On va enchaîner
29:48avec des fléchettes.
29:49Ce soir,
29:49c'est la finale
29:50de la Première Ligue
29:51sur notre antenne
29:52à partir de 20h10.
29:53Ça va être commenté
29:54par Swan Borsellino,
29:56Alex Vizorek,
29:57le comédien
29:57et puis Benoît Cosset
29:59qu'on a contacté.
30:01Benoît,
30:02pourquoi il faut absolument
30:03suivre cette finale ?
30:04C'est à partir de 20h10
30:05sur notre antenne.
30:07C'est la grande finale.
30:09On a vécu
30:09la Première Ligue
30:1016 étapes.
30:11On rappelle,
30:11ils étaient 8,
30:12donc les 8 meilleurs joueurs du monde.
30:14Ils ne sont plus que 4
30:14pour la grande finale
30:15dans l'O2 Arena
30:17qui sera pleine à craquer
30:18et il y aura 14 000 personnes
30:19pour voir notamment
30:20là,
30:21Luc Lickler.
30:22Parce que Luc Lickler,
30:23il a déjà encore,
30:24j'ai envie de dire,
30:24battu un record.
30:25On le rappelle à 18 ans.
30:26Il a gagné 6 fois cette saison.
30:286 étapes cette saison.
30:29C'était du jamais vu.
30:31Et si jamais
30:31il gagnait
30:32la Première Ligue ce soir,
30:34je rappelle qu'il est tenant du titre,
30:35donc il l'avait gagné
30:36déjà à 17 ans,
30:37eh bien il rentrerait
30:37dans les légendes du fléchette
30:38pour avoir gagné
30:39deux fois de suite
30:40la Première Ligue.
30:41Et si jamais
30:41il battait à Garwin Price,
30:43eh bien on attend
30:45un mondial Luc Humphreys.
30:46Bref,
30:47c'est une soirée incroyable
30:48qu'on vivra en plus
30:49avec Alex Vizrec
30:50sur la chaîne d'équipe
30:51et Swan Borsellino,
30:52bien sûr,
30:53le monsieur fléchette.
30:54Donc,
30:54il faut être là
30:55parce que c'est le bouquet final
30:56de cette saison de Première Ligue.
30:58A tout à l'heure,
30:59Benoît.
30:59Merci.
31:00Merci pour tous ces arguments.
31:01Il faut suivre cette finale
31:02de Première Ligue
31:03à partir de 20h10
31:04sur notre antenne.
31:05On avance dans cette planète sport
31:07avec de la voile,
31:08avec la Transat.
31:08C'est ici Normandie
31:09Channel Race.
31:11Une course de double,
31:12je le rappelle,
31:12pour les immocats classe 40.
31:1514h et le groupe de tête
31:17mené par Corentin Duguay
31:18et Alex Tréhin
31:19est tout proche de l'arrivée.
31:22On est dans le sprint final.
31:23Ils devraient arriver
31:24dans les prochaines minutes,
31:25prochaines heures.
31:26Mais leur avance se réduit.
31:27Ils n'ont plus que
31:283000 nautiques d'avance
31:29sur leur poursuivant.
31:30On va les écouter.
31:31Eux, ils sont confiants
31:32sur leur arrivée
31:33dans la soirée.
31:36Mais là,
31:36on est content.
31:37C'est que si ça se passe
31:38comme prévu,
31:39il n'y aura pas de nuit encore.
31:41Normalement,
31:41on va arriver deux jours.
31:44On va arriver deux jours
31:45parce que ce jeudi matin,
31:46on est à Guernesay.
31:50Que l'on distingue.
31:51Yala !
31:53Alors, il y a une régate,
31:54a priori.
31:55Probablement le Tresco,
31:56on imagine,
31:57sans certitude.
31:59Il y a des croiseurs
32:00autour de nous,
32:01un peu à droite, à gauche.
32:04Voilà.
32:06Direction la Hague.
32:08Barfleur et Caen.
32:09A ce soir.
32:13A ce soir, donc.
32:14Un peu de football
32:15maintenant dans cette planète sport.
32:17Chelsea a remporté
32:18la Ligue Europa conférencière
32:20face au Betis-Sévi.
32:21Victoire 4 buts à 1.
32:23Score flatteur
32:23qui a mis du temps
32:24à se dessiner.
32:25Magnifique passe aveugle.
32:26Disco pour Rézabdé.
32:28L'ouverture du score
32:28du Betis.
32:30Égalisation à la 65e
32:32d'Enzo Fernandez
32:33après ce centre délicieux
32:35de Cole Palmer
32:35qu'on va retrouver encore là.
32:37Cole Palmer,
32:385 minutes plus tard,
32:38le centre pied droit
32:39cette fois-ci pour Jackson
32:40de la tête encore.
32:42Et puis le plus beau but
32:43peut-être de la soirée
32:43inscrit par
32:44Jadon Fancho.
32:46Frappe pleine lucarne
32:47pour l'ancien joueur
32:48de Manchester
32:49encore du Borussia Dortmund.
32:50Chelsea devient
32:51la première équipe
32:52à remporter
32:52toutes les Coupes d'Europe.
32:53La Ligue des Champions,
32:54la Coupe des Coupes,
32:55Feu, Coupe des Coupes,
32:56la Ligue Europa
32:56et là,
32:57la Ligue Europa conférence.
32:58Braque.
32:59Chaque équipe a eu sa période.
33:00Le Betis a très très bien
33:02entamé le match.
33:03Ils auraient pu se mettre à l'abri
33:04en marquant un deuxième but
33:05avec Barthras.
33:06Et puis Chelsea s'est réveillé
33:07et Chelsea l'emporte largement
33:10mais je trouve
33:10le score un peu flatteur.
33:11Oui,
33:12le score est un petit peu flatteur
33:13et puis c'est vrai
33:14qu'il est d'autant plus flatteur
33:15quand on connaît
33:16la saison de Chelsea.
33:18On sait que c'est une équipe
33:19qui est passée par des hauts,
33:20par des bas
33:20qui finalement
33:22a plutôt bien fini quand même.
33:23On l'a vu,
33:24ils ont réussi à se qualifier
33:24pour la Ligue des Champions
33:25sur le final
33:27et puis on a eu
33:29de certains joueurs.
33:30Je pense notamment,
33:31tu l'as dit,
33:32ce but de Jadon Sancho,
33:33un joueur qu'on aime beaucoup
33:34mais qui a du mal
33:36à trouver de la régularité.
33:37Ça fait plaisir pour lui.
33:39Je pense à Cole Palmer.
33:40Cole Palmer
33:40qui avait clairement disparu
33:42des radars,
33:43disparu de la conversation
33:44des meilleurs joueurs
33:45de la saison
33:46et voilà,
33:46il arrive à montrer
33:47qu'il n'a pas tout perdu
33:48finalement de son talent.
33:50Moi,
33:51cette saison de Chelsea,
33:52je trouve qu'elle est
33:53un petit peu difficile à lire
33:54mais avec ce qu'on voit
33:56ces derniers temps,
33:57on se dit qu'Enzo Maresca
33:58a peut-être de quoi
33:59travailler sur quelque chose
34:00d'assez solide
34:02pour les prochaines saisons.
34:03Il y a pas mal de jeunesse,
34:04il y a pas mal de tri
34:05qu'il y a encore à faire
34:06dans cette équipe de Chelsea
34:07mais ça ne m'étonnerait pas
34:09qu'elle joue
34:10les premiers rôles
34:11sur la saison prochaine.
34:12Pierrot,
34:13tu t'es régalé hier
34:14devant ce match,
34:15je sais que tu aimes
34:15beaucoup Isco,
34:16tu aimes beaucoup
34:17les joueurs de ballon,
34:18il a 33 ans Isco,
34:19il a retrouvé
34:20la sélection espagnole
34:21là pour la Ligue des Nations
34:23six ans après quasiment,
34:24c'est un joueur délicieux,
34:26malheureusement,
34:26ça n'a pas payé hier.
34:27Non mais oui,
34:28après honnêtement,
34:29il faut une première
34:30à mi-temps
34:30où Chelsea ne voit pas le jour,
34:32ils ont complètement
34:33la maîtrise du match,
34:35Chelsea était complètement absent
34:36et c'est vrai
34:37qu'ils ont raté le coche.
34:38Maintenant,
34:38le problème c'est qu'à Séville
34:39il y a Isco
34:40mais de l'autre côté
34:40il y a Palmer
34:41et les passes qu'il fait
34:45elles sont dingues.
34:46La première sur le centre,
34:47sur la tête
34:48d'Enzo Fernandez,
34:50il y a un mec
34:50sur le côté droit,
34:51il peut lui donner le ballon
34:52mais en fait c'est lui
34:53qui veut faire la diff tout seul
34:54et il met ce ballon
34:55avec une délicatesse.
34:57C'est un génie.
34:57Il l'imite,
34:58en même pas regardant
34:58où est-ce qu'il va la mettre,
34:59c'est déjà comment ça va se terminer.
35:01Il est fascinant ce jour
35:02et c'est vrai qu'il a eu
35:03un trou d'air
35:04mais honnêtement,
35:04sur la saison qu'il fait,
35:06même s'il y a eu
35:06un manque de régularité,
35:08je pense qu'on va l'entendre
35:09parler quand même
35:09dans les dix prochaines années
35:10parce qu'il est phénoménal
35:12dans la gestion du ballon
35:14et il n'a pas de dégain,
35:15il est fou,
35:16je ne sais pas comment expliquer
35:18mais il a une personnalité
35:19qui est ultra différente.
35:20Moi j'adore ce joueur.
35:21Maintenant Chelsea
35:22a sûrement beaucoup plus
35:23de talent aussi
35:24dans son équipe
35:25plutôt que Séville
35:27mais bon,
35:28on peut voir Chelsea
35:30pendant un petit moment aussi.
35:31Je pense qu'il travaille bien.
35:32Ils ont quasiment
35:33tous les joueurs de la planète
35:34donc je vais réussir
35:35à faire une équipe complétée.
35:36Il n'y a encore
35:36qu'ils vont venir.
35:38Ah !
35:38Pourquoi ?
35:40La bicyclette !
35:40Exactement,
35:41la 18ème étape
35:42du Giro,
35:43les copains
35:44qui viennent de s'acheter.
35:45Nico Zenz
35:46qui remporte
35:47cette 18ème étape.
35:48Le courant allemand,
35:49surtout j'espère pour lui,
35:50le courant allemand
35:51de Red Bull
35:53pour Hans Greux
35:53était présent
35:54dans un groupe
35:55de tête de 11 coureurs
35:56et s'est achapé
35:56à 11 kilomètres
35:57de l'arrivée.
35:58Il a géré son avance
35:59pour s'imposer en solitaire
36:00et signer son 3ème succès
36:01sur le Tour d'Italie.
36:02Heureusement qu'il ne s'appelle pas Paul du coup.
36:04Oh là là là là !
36:05Pas mal !
36:05Paul Dance !
36:06Vous l'avez ?
36:06Oui, merci.
36:07Bref, Del Toro conserve
36:08le maillot rose
36:09de leader.
36:10Merci Piero.
36:11Il est trop content !
36:11Il est trop fier d'aller !
36:13Il est trop votre sabêtise !
36:14Lionel Messi,
36:15tu parlais de pied gauche délicieux
36:16avec Cole Palmer,
36:17on va rester dans cette thématique
36:19avec l'Argentin
36:20qui joue à l'Inter Miami.
36:22On vous rappelle en MLS,
36:23victoire 4-2 hier
36:23contre l'impact Montréal,
36:24il va mettre un doublé.
36:26Special Messi quasiment
36:27après cette passe de Gousquet,
36:29il revient sur son pied gauche,
36:30la frappe puissante
36:31dans le petit filet opposé
36:33pour la Punga.
36:35Mais j'ai préféré son deuxième but.
36:36Ah bon ?
36:36Pourquoi ?
36:37Une-deux parfait avec Suarez
36:38et là, hop là !
36:40Merci beaucoup
36:40le petit ballon piqué,
36:42la spéciale de Léo Messi.
36:45Messi...
36:45Il vient de jour en Europe lui,
36:46il a des qualités.
36:47Il est bien, il fait.
36:47Je parle peut-être
36:48de la Coupe du Ville de 2026,
36:49c'est bon bref.
36:50Est-ce que tu suis d'ailleurs
36:51toujours ses performances,
36:53Erwan ?
36:53Tu fais le malin là.
36:54Alors, grâce à toi,
36:55le champion américain,
36:57j'en suis d'autre
36:59de champion américain
36:59mais pas de foot.
37:01Mais du coup,
37:02c'est vrai que
37:02Messi reste Messi
37:03parce que dès qu'il met un but,
37:04dès qu'il met un doublé,
37:05dès qu'il fait quelque chose,
37:06ça tourne sur tous les réseaux
37:07et ça alimente des chroniques
37:09d'habitude très vides
37:10et là, pour le coup,
37:11ça permet de te faire briller.
37:12Donc, bravo.
37:13J'adore, merci à vous.
37:14Merci.
37:14C'est le meilleur du juge.
37:15Ce soir,
37:16c'est le barrage retour
37:17entre Reims et Metz
37:20et on saura
37:20qui sera en Ligue 1
37:21la saison prochaine.
37:23Au match allé pas de vainqueur,
37:23je vous le rappelle,
37:24un but partout
37:24entre les deux équipes
37:25mais les Rémois
37:26jouent à domicile ce retour
37:27et ont bien saisi
37:28tout l'enjeu
37:29de cette rencontre.
37:31Sergio Hakimi,
37:31latéral gauche espagnol,
37:32s'est exprimé sur le sujet
37:33en conférence de presse.
37:35Oui,
37:35on a bien conscience
37:36que ce soir,
37:37c'est une finale.
37:39Ça ne dépend que de nous.
37:40Notre avenir,
37:41celui du club,
37:41des supporters,
37:43on tient à les remercier
37:43pour leur soutien
37:44malgré les hauts et les bas.
37:45On va tout donner
37:46pour gagner ce match.
37:47Au fond de moi,
37:48je crois qu'on va le faire.
37:49On a les capacités pour.
37:51Braque,
37:52tu as beaucoup suivi
37:52la saison des Rémois.
37:54Tu les sens suffisamment armés
37:56pour s'imposer ce soir
37:57et rester en Ligue 1 ?
37:58De base,
37:59je les sens armés.
37:59C'est une équipe
38:00où je n'ai pas trop compris
38:02comment cette équipe
38:03a pu couler autant.
38:07Ça s'est joué
38:07sur la dernière journée
38:08mais ça s'est aussi joué avant
38:09parce qu'il y a eu
38:10un énorme,
38:11énorme trou d'air.
38:13Cette équipe
38:13est complètement tombée.
38:15C'est vrai que
38:15je suis assez inquiet pour eux.
38:17J'ai l'impression
38:17que d'un côté,
38:18on a ces messins
38:18qui n'ont pas trop de pression,
38:20qui sont tranquilles.
38:21Ils ont l'élan avec eux.
38:22Il y a eu ce match nul
38:23qui pour moi
38:23et un très bon résultat
38:24pour Metz
38:24parce que quelque part,
38:25je trouve que ça rajoute
38:26de la pression
38:27sur le stade de Reims
38:28qui aurait pu être bien inspiré
38:30justement de se mettre
38:31un petit peu plus à l'abri
38:32sur ce match allé.
38:33Finalement, c'est non.
38:34On a beaucoup parlé
38:35de cette finale
38:36de Coupe de France.
38:36Est-ce qu'il faut faire tourner ?
38:37Est-ce qu'il ne faut pas faire tourner ?
38:38Finalement,
38:38Samba Diawara a envoyé
38:39une équipe quasi-type honnêtement
38:41parce que c'est quasiment
38:42les joueurs qu'on a vus
38:42toute la saison
38:43du côté du stade de Reims
38:44et je me demande
38:45si cette équipe
38:45n'est pas juste fatiguée,
38:46pas en bout de course,
38:48mentalement encore présente
38:50pour livrer ce dernier combat
38:52et vraiment,
38:53je crains pour eux
38:54parce que je vois des médecins
38:55qui peuvent très largement
38:57se servir de ça
38:58pour leur faire très mal.
38:59Piro,
38:59est-ce que tu as peur
38:59pour les Reims ce soir ?
39:01Oui,
39:02parce qu'évidemment,
39:06ils sortent de cette finale
39:07de Coupe de France
39:08où ils ont pris une rouste.
39:10Mentalement,
39:10c'est compliqué
39:10mais ce qui s'est passé
39:13durant la saison,
39:14c'est aussi les problèmes internes
39:15dans l'effectif
39:16avec des états d'âme
39:17et une gestion
39:19qui n'était pas forcément
39:20la bonne
39:21et puis voilà,
39:22trop jouer avec le feu,
39:23à un moment donné,
39:24tu te brûles
39:24et malgré tout,
39:26cette équipe de Metz
39:26a vraiment du talent
39:27et il y a vraiment
39:28de la qualité
39:28et dans cette équipe
39:30de Reims aussi,
39:31honnêtement,
39:31je n'ai aucune idée
39:32de l'issue de ce match.
39:34Ça me paraît,
39:35il y en a une
39:36qui a beaucoup plus à perdre,
39:37évidemment,
39:37c'est le stade de Reims
39:38mais je pense
39:40qu'ils sont capables
39:40de le faire
39:42mais au même titre,
39:44je vais être tiède de fou
39:45mais même Metz
39:46qui est capable
39:46de gagner là-bas,
39:47franchement,
39:47je n'ai aucune idée
39:48de l'issue de ce match.
39:49Merci pour l'analyse.
39:50Si tu sais,
39:51vas-y,
39:51on en parlera demain.
39:52On a bien vu,
39:53il serait très discret.
39:55Bon blanc sur l'NBA,
39:56sur le basket,
39:56sur la bête qui calique,
39:58moi je sais,
39:58c'est toi le mec débarrage.
40:00On en parlera demain
40:01une fois qu'on aura
40:02le résultat de ce match
40:03et tu auras sans doute
40:03une analyse pertinente.
40:04Je pense qu'on aura
40:04un gros avis
40:08au bout du premier quart d'heure.
40:10Celui qui rentrera
40:11le mieux dans le match,
40:12en fait,
40:12à mon avis,
40:13gagnera.
40:13Eh bien voilà.
40:14Celui qui m'a fait
40:15le plus de but
40:15va gagner.
40:16Merci Julien
40:19pour ce Planète Sport.
40:21Allez nous,
40:21on rebascule
40:22sur notre finale
40:23de Ligue des Champions
40:24PSG-Inter.
40:25C'est dans 48 heures
40:26maintenant.
40:26C'est samedi soir
40:27et ça fait quelques jours
40:28maintenant
40:28qu'on entend
40:29une petite musique
40:30de l'Union Sacrée
40:31derrière le PSG.
40:33On a entendu Zizou
40:34même dire,
40:35même moi qui suis marseillais,
40:36il va falloir
40:36que l'équipe française
40:37gagne.
40:38Basile Bolli
40:38également a dit
40:40qu'il était derrière
40:41le Paris Saint-Germain
40:42et d'autres athlètes
40:43assez récemment
40:44athlètes de l'équipe de France
40:45se sont également exprimées
40:46derrière le club français.
40:48Oui,
40:48notamment Alexis Pinturo
40:49dans le cadre
40:50du rassemblement
40:51pré-olympique
40:51du CNESF
40:52pour les Jeux d'hiver
40:532026 en Italie.
40:55Il a été questionné
40:56par nos journalistes
40:56Tanguy Kiroas
40:57et Charles-Antoine Nora
40:58sur cette finale
40:59de Ligue des Champions.
41:00Sera-t-il
41:01pour le Paris Saint-Germain ?
41:03Écoutez sa réponse.
41:05C'est quand même
41:05pas tous les jours
41:06qu'on a un club français
41:07en finale de Champions League
41:08et puis
41:09donc du coup
41:10je pense que
41:11dans cette première réponse
41:12il y a la réponse
41:13à la deuxième question
41:14qui est où je serai
41:15pour le PSG
41:15naturellement.
41:17Je suis français
41:17donc je supporte
41:18un club français.
41:19Je suis français
41:21donc je supporte
41:22logiquement
41:23le PSG.
41:24C'est logique
41:25vraiment
41:25Pierre
41:26de supporter le PSG
41:27samedi soir
41:28sous prétexte
41:28qu'on est de nationalité française ?
41:31Quand on représente
41:31un sport blanc
41:32et qui plus est la France
41:33évidemment
41:33c'est logique de son côté.
41:35Après
41:35moi je vais pas
41:37je pense que c'est
41:38très personnel
41:39moi évidemment
41:39que je vais être
41:40derrière le PSG
41:41parce que j'ai envie
41:42je pense que ça va faire du bien
41:44déjà à notre égo
41:46à nous
41:46faut pas s'embourgeoiser
41:48en se disant
41:48qu'en fait
41:48un club français
41:49en finale de Ligue des Champions
41:50quasiment tous les ans
41:51c'est pas vrai
41:51c'est difficile
41:52mais je comprends
41:54totalement
41:54je comprends totalement
41:56ceux qui sont marseillais
41:58par exemple
41:58et qui ne supportent pas
41:59le PSG
42:00et qui ont un peu
42:01je vais pas dire de haine
42:02mais je trouve que
42:03ça fait partie du jeu
42:04et c'est même pas malveillant
42:05je trouve que c'est bien
42:06justement que le PSG
42:07soit détesté aussi
42:08par une partie de la France
42:10parce qu'il y a ce derby
42:11qui est national
42:12et je pense qu'à l'inverse
42:14ce serait exactement
42:15la même chose
42:15et ça il faut l'accepter
42:17maintenant
42:17moi je suis consultant sportif
42:20j'aime le foot
42:20si ça avait été
42:22l'OM à cette place
42:23j'aurais été à fond
42:23derrière l'OM aussi
42:24j'ai vraiment pas d'animosité
42:25envers les deux clubs
42:26je suis pas supporter
42:26d'un club français
42:27donc de toute façon
42:27je m'en fous
42:28mais je le comprends totalement
42:30maintenant
42:30évidemment que je pense
42:32qu'il y a une certaine empathie
42:34aussi qui s'est créée
42:35durant la saison
42:35avec cette équipe du PSG
42:36parce qu'elle est agréable
42:37à avoir joué
42:37parce qu'il y a de l'humilité
42:39aussi dedans
42:39parce que Louis Sénriquet
42:40a fait un travail
42:41et a fait un travail révolutionnaire
42:43depuis qu'il est arrivé
42:44et il a réussi
42:45à améliorer
42:47l'image de ce club
42:48mais j'aime
42:51j'aime qu'il y ait des gens
42:52qui aiment détester aussi
42:53le PSG
42:53maintenant il ne faut pas
42:54que ça parte dans l'excès
42:55non plus
42:55et puis qu'on casse des voitures
42:56et puis que ça parte
42:56un peu en cacahuètes
42:57mais malgré tout
42:58je trouve cette animosité
42:59plutôt saine
43:01à l'intérieur du championnat français
43:02Pour rebondir à tes propos
43:04Pierre j'aimerais vous lire
43:05une déclaration du Richard KF
43:06qui a joué à la fois
43:07au Paris Saint-Germain
43:07et à l'Inter
43:08il a gagné des coupes d'Europe
43:09dans les deux clubs d'ailleurs
43:10notamment sur la cote de popularité
43:12du Paris Saint-Germain
43:13toute la France regarde Paris
43:14pour aimer ou détester
43:16c'est ça qui est beau
43:17Erwan tu penses que
43:19quand tu es joueur de foot
43:21de savoir que ton club
43:22est détesté dans tout le pays
43:24ça peut être une source
43:25de motivation supplémentaire
43:27pour briller le soir de la finale ?
43:30Moi j'imagine que
43:30quand on est un sportif de haut niveau
43:31on a une manière de se construire
43:33où toutes les choses négatives
43:35peuvent servir à s'endurcir
43:36et à se donner un supplément d'âme
43:37maintenant je ne suis pas persuadé
43:38que le PSG soit détesté
43:40par toute la France
43:41loin de là
43:42Par une bonne partie
43:43Par une bonne partie
43:43Non
43:43Par une bonne partie
43:44Ah si les gars
43:46Ok d'accord
43:46on a des stats apparemment
43:47Mais c'est pas qu'on a des stats
43:49c'est que c'est une évidence
43:49Je ne crois pas
43:50mais autant que Marseille
43:51est détesté par une partie
43:52de la France
43:52autant que l'Olympique
43:53l'on est détesté
43:53donc en fait
43:54pas plus eux que les autres
43:55Non mais à t'entendre
43:56c'est comme si
43:56ils n'étaient pas du tout détestés
43:57Je ne sais pas ce que j'ai dit
43:58mais j'ai dit
43:59et je ne pense pas
44:00qu'ils soient détestés
44:00par toute la France
44:01Après aujourd'hui
44:02je trouve qu'on est tous
44:04supporters certains de clubs
44:05alors les postures
44:06de sportifs de haut niveau
44:07ils ont bien raison
44:08évidemment qu'ils sont tous
44:09pour le PSG
44:10par rapport à leur image
44:11ils ont raison
44:11maintenant quand on parle
44:13de supporter tous
44:14le Paris Saint-Germain
44:15c'est l'appétence
44:16ou le fanatisme
44:17qu'on peut avoir
44:17pour ce club
44:18Bon des fois
44:18si tu supportes un autre club
44:20en championnat de France
44:20moi je suis marseillais par exemple
44:22j'aime bien
44:23cette ravalité qui existe
44:24avec le Paris Saint-Germain
44:25alors il n'y a pas besoin
44:25de tomber dans de la haine
44:26dans des insultes
44:27de manifester plus que ça
44:28un anti-parisianisme
44:30une semaine de finale
44:33mais bon
44:33s'ils perdent
44:34ils perdent
44:34et voilà
44:35et puis s'ils gagnent
44:36je serai content pour mes potes
44:36je n'irai pas célébrer
44:37que ce soit l'un ou l'autre
44:38mais venir dire
44:39il faut que tout ce qu'on soit
44:41derrière le Paris Saint-Germain
44:42ça ça n'existe pas
44:42et ça montre quelque part
44:44que les gens qui disent ça
44:45et qui demandent ça
44:46ils ont un rapport au sport
44:47qui s'arrête à la télé
44:49Est-ce que ça s'explique aussi
44:50parce que justement
44:52les clubs français
44:53sur la scène européenne
44:54peinent à exister
44:55est-ce que c'est un débat
44:56qu'on n'a pas en Italie
44:58ou en Angleterre
44:58parce que des clubs
45:00en finale de Ligue des Champions
45:01Aller demander aux supporters
45:02du Milan AC
45:03Non mais tu le disais au début
45:04tu disais quand même
45:05c'est une rareté
45:05il ne faut pas s'embourgeoiser
45:06un club français en finale
45:07de Ligue des Champions
45:08Est-ce que c'est typique
45:09à la France
45:10qu'on demande un peu
45:11à tout le monde
45:11d'être pour un club ?
45:12Non mais déjà
45:13je pense que le débat
45:14il ne devrait pas vraiment exister
45:15parce que
45:16tu es supporter d'un club
45:18tu n'es pas trop fou
45:20tu es un peu fou
45:21tu es un peu niche
45:22on s'en fout en fait
45:23tu supportes qui tu veux
45:24tu regardes ce que tu veux
45:24et si tu as envie d'être
45:25derrière le PSG
45:26tu peux l'être
45:27en fait il n'y a pas vraiment
45:27d'obligation
45:28mais moi c'était un petit peu
45:29mon avis
45:30c'est qu'on n'a pas
45:31beaucoup l'occasion
45:32justement d'avoir
45:33des événements comme ça
45:34alors ça ne se passe pas
45:35en France
45:35mais ça concerne
45:36le football français
45:37parce qu'on a un club français
45:38qui finalement joue cette finale
45:40en fait moi je pense
45:41qu'il faut s'en réjouir
45:42il faut espérer
45:43en avoir encore plus
45:44il faut espérer retrouver
45:45des Olympiques de Marseille
45:46aller très très loin
45:47dans ce genre de compétition
45:49l'OL
45:52plus on va avoir justement
45:53ce genre d'événement
45:54plus ça va renforcer
45:55notre football
45:56et donner envie
45:57et bien voilà
45:57d'avoir cette envie
45:58d'y retourner
45:59moi c'est pas d'un point de vue
46:00soutien ou supporterisme
46:02que je vois cette finale
46:02moi je le vois comme une chance
46:04pour notre football
46:04plutôt que comme un truc
46:06où il faut absolument soutenir
46:07mais c'est pas
46:08je ne sais pas comment expliquer
46:09c'est à dire que
46:10en fait le débat
46:11il est venu sur la table
46:12la question se pose
46:14parce qu'en fait
46:14il y a tous les clubs
46:15les entraîneurs
46:16parce qu'il y a beaucoup
46:17de Marseillais aussi
46:17mais non
46:18on s'est amusé
46:19à demander
46:20ah tiens les Marseillais
46:21qu'est-ce qu'ils pensent
46:22mais non mais c'est même pas ça
46:23et je suis même
46:24le truc c'est qu'il y a
46:27tellement de coachs
46:28qui ont affronté le PSG
46:29et qu'on dit
46:29elle est injouable
46:30c'est une équipe
46:30qui est exceptionnelle
46:31le coach de Brest
46:32Eric Roy
46:33le coach de Marseille
46:34de Derby
46:35il a dit
46:35ils jouent bien
46:36ils sont bons
46:37c'est vrai
46:37et en fait tout le monde
46:37est obligé de constater
46:38que cette équipe
46:39elle a changé
46:40c'est plus la même
46:40et il y a une certaine
46:42je ne vais pas dire
46:42une identification
46:43mais le PSG
46:44est revenu un petit peu
46:45dans le cœur des Français
46:46par rapport aux événements
46:48qui sont passés
46:51c'est compliqué
46:51ils ont gagné aussi
46:52dans la douleur
46:53ça a été dur
46:54là ils se retrouvent
46:54sur le toit de l'Europe
46:56justement avec cette finale
46:57évidemment que tu as envie
46:58qu'ils aillent au bout
46:59maintenant
47:00moi je suis content
47:02aller demander à un Milanais
47:03de la Cé Milan
47:05de savoir s'il est pour Paris
47:06ou pour l'Inter
47:07évidemment qu'il va être le PSG
47:08il va acheter tous les maillots du monde
47:09on n'a pas demandé à des Milanais
47:10mais on a demandé à d'autres supporters
47:11mais c'est normal
47:12notre journaliste
47:13Colline Méran
47:13a contacté
47:14des supporters de clubs français
47:16dans la journée
47:16et vous allez comprendre
47:17assez vite
47:18tous n'ont pas une envie débordante
47:19de voir le PSG remporter
47:21la Ligue des Champions
47:21samedi
47:22pour moi c'est assez logique
47:25parce que forcément
47:26c'est un club français
47:28il faut soutenir la France
47:29etc
47:29je ne vais pas sauter de joie
47:31etc
47:31mais ça me fera plaisir
47:33et puis ça fera un petit
47:34répondant à dire
47:36aux Marseillais
47:37qui disent qu'ils sont
47:37la seule équipe
47:38à avoir gagné
47:38la Ligue des Champions
47:39là maintenant
47:40on pourra dire
47:40bah non
47:41il y a Paris aussi
47:42donc ça fait aussi
47:43un petit contre pour ça
47:45pour moi absolument pas
47:46quand on est supporter
47:47de l'OM
47:48quand on est français
47:49c'est une chose
47:50mais quand on est supporter
47:51de l'OM
47:51c'est encore plus important
47:52que d'être français
47:53pour moi
47:53et quand on est encore plus
47:55supporter de l'OM
47:56depuis tout petit
47:57comme moi
47:57né le jour
48:00où Marseille a gagné
48:01la Coupe d'Europe
48:02donc j'ai eu 32 ans
48:03lundi
48:04donc voilà
48:06à jamais les premiers
48:07et peu importe
48:08qui aura en finale
48:09on ne pourra pas supporter
48:10notre équipe française
48:11pour moi
48:11logique
48:12ça peut l'être
48:13quand on est français
48:15après
48:15tout dépend
48:16de quel club
48:17on supporte
48:18après nous
48:18en tant que Niçois
48:20c'est encore plus compliqué
48:22parce qu'on a une très grande amitié
48:23avec les supporters
48:24de l'Inter de Milan
48:26autant géographiquement
48:27que du point de vue sentimental
48:28on va dire
48:29on est plus pour l'Inter ici
48:31moi
48:31ouais
48:32je trouve que c'est totalement logique
48:33en tant que supporter
48:35l'en soit
48:35parce que
48:36en vrai
48:37je pense
48:39que tu mets ton pays
48:39en avant
48:40avant de mettre
48:42ton club
48:43après en tant que Lençois
48:44si ça avait été
48:45Lille
48:46un peu plus compliqué
48:48quand même
48:48mais je pense que
48:49au fond de moi
48:50j'aurais quand même dit
48:51bon allez
48:51on va être quand même derrière eux
48:54alors pour moi
48:54il n'y a pas de question
48:55franchement
48:56samedi je serais à fond
48:57derrière le PSG
48:58surtout que je trouve
48:59que c'est l'équipe
49:00qui m'a fait rêver
49:00toute la saison
49:01avec des joueurs
49:02qui ont été incroyables
49:03donc moi surtout
49:05en tant que supporter
49:06de Saint-Etienne
49:06qui va en Ligue 2
49:07si je peux sauver
49:08ma saison avec le PSG
49:09je signe direct
49:10mais par contre
49:11si ça avait été
49:12tu vois
49:12Lyon
49:13en finale
49:14de Ligue des Champions
49:15plutôt crevé
49:16bon très bien
49:18on a vu l'intérêt
49:19de certains supporters
49:20ça ne ferait pas du bien
49:21au foot français
49:22quand même
49:22que le PSG gagne samedi soir
49:23ça ferait du bien au PSG
49:24ça ferait du bien
49:25à l'égo
49:25aux supporters
49:25parce qu'ils ont beaucoup
49:26souffert aussi
49:27mais ça ne fera pas
49:28ça ne va pas faire vendre
49:30le championnat plus cher
49:31moi j'avais une petite question
49:32pour Erwan
49:32je t'en prie
49:33est-ce que tu penses
49:33en tant que supporter
49:34de l'Olympique de Marseille
49:35que ça ne rendrait pas service
49:37à l'OM justement
49:37de rester passé dans son truc
49:39de aller aimer les premiers
49:40et de passer à autre chose
49:41ça c'est un autre débat
49:42il est grand temps
49:42effectivement que Marseille
49:43retrouve de l'ambition
49:44soi-même
49:45avant d'espérer
49:46que les autres
49:46ne fassent pas aussi bien qu'eux
49:48mais aussi pour revenir
49:49sur le débat
49:50qui est l'union sacrée
49:51autour des clubs français
49:51ça ne marche pas comme ça
49:52on supporte son club
49:53on ne souhaite pas
49:54le meilleur aux autres clubs
49:55ça ne veut pas dire
49:56qu'on leur souhaite
49:56le mal au pire
49:57on ne souhaite pas
49:57le meilleur aux autres
49:58pour ça il y a l'équipe de France
49:59voilà basta
50:00fin du débat
50:01messieurs d'art
50:01le mot de la fin
50:03on va jouer au quiz
50:05effectivement
50:05j'ai rien à dire
50:06non j'avais un pied
50:07mais du coup
50:07ça suffit à soi
50:08j'en ai deux
50:09j'ai deux pieds
50:10c'est pas ce qu'ils disaient
50:11des entraîneurs
50:12on n'a pas mis la forme
50:18à fait du score
50:18on peut revenir à l'égalité
50:19ce soir
50:20le reste du monde
50:21parce qu'il y a 84
50:22à 83
50:23pour la team boobie
50:25et c'est d'ailleurs
50:25la team boobie
50:26qui choisit l'enveloppe
50:27ce soir
50:27je ne suis pas en forme
50:28j'ai tout lu
50:29mais je ne suis pas en forme
50:30je ne me sens pas
50:31d'attaque
50:32ça va vous
50:34et la première question
50:35est donc pour la team boobie
50:36c'est une équipe
50:37pas en forme
50:38vous avez toutes vos chances
50:39messieurs
50:40qui a déclaré
50:41Neymar a brisé
50:43le football
50:44vous êtes échargé
50:46brisé le football
50:47brisé le football
50:48j'ai l'impression
50:51que vous ne l'avez pas
50:51pas du tout
50:52a brisé le football
50:54je n'en ai aucune idée
50:56on a dit un truc
50:57on a le chaloti
50:58non
50:58Ravier Pastore
51:00et pour quoi faire
51:01au journal AS
51:02Neymar est bien plus
51:03qu'un joueur de football
51:04après Léo Messi
51:05c'est le meilleur joueur
51:06avec lequel j'ai joué
51:06il a brisé le football
51:08il a tout brisé
51:09à cause de l'ampleur
51:10de son transfert
51:11mais il fait où
51:11l'actu Neymar
51:12il fait l'actu
51:14Ravier Pastore
51:15parce qu'il s'est exprimé
51:16voilà
51:17d'accord
51:17sur la finale
51:18avec Neymar
51:19à Romain Gégou
51:21deuxième question
51:22qui a déclaré
51:23comme pour les autres
51:24je vais être très méchant
51:26mais très honnête
51:27je ne voulais pas
51:29que l'Inter
51:29fasse le triplé
51:30je crois que je l'ai vu
51:32je crois que je l'ai vu
51:34je crois que je l'ai vu
51:34je t'en prie
51:35je vais être très méchant
51:37t'es sûr à 100% ou pas ?
51:41il va pas revenir
51:42c'est pas Patrick Vieira
51:43c'est pas Patrick Vieira
51:44c'est pas Patrick Vieira
51:44je vais être très méchant
51:49mais très honnête
51:50j'avais peur
51:51qu'il réalise le triplé
51:52car je ne voulais pas
51:53que l'Inter
51:53fasse le triplé
51:54le triplé est à moi
51:56ok
51:58très bien
51:59aucun point zéro partout
52:01aujourd'hui messieurs
52:02une question de tennis
52:03parce que Gasquet
52:04a affronté Siner
52:05le numéro 1 mondial
52:06vous le savez
52:06combien de français
52:07ont réussi à battre
52:09un numéro 1
52:09dans l'histoire
52:10de Roland Garros
52:11à un prêt
52:14qu'est-ce que j'en sais
52:15on cherche le nombre
52:17de français
52:18qui ont battu
52:18un numéro 1
52:19dans l'histoire
52:20de Roland Garros
52:20hommes et femmes
52:21plutôt hommes
52:225-6
52:236
52:23un seul
52:25c'était Christophe Roger Vasselin
52:28en 88
52:29ça c'est Jimmy Connors
52:30c'était hier
52:32ça ne vous fait pas de mal
52:33encore une question
52:35au tennis
52:35quel tennisman
52:36a été aperçu
52:37à vélo hier soir
52:38place de l'étoile
52:39à Paris
52:40à la veille de son match
52:41à Roland Garros
52:42j'ai trois propositions
52:44ouais
52:44Novak Djokovic
52:45Yannick Siner
52:47ou Gaël Monfils
52:48c'est le super moite moite
52:53vous pouvez passer
52:54à deux propositions
52:55Djokovic ou Monfils
52:56c'est facile
52:58alors
52:59mon fils
52:59Monfils
53:00c'est lui quoi
53:01Monfils
53:01Monfils
53:02réponse en vidéo
53:03yes
53:04c'est terrible
53:05grosse séance
53:08de qui revient
53:08mais c'est quoi cette séance
53:09c'est un fiasco
53:11on est bon
53:12on parlait des formes
53:14des pieds tout à l'heure
53:14regardez les boîtes
53:16grosse séance
53:19à vélo
53:19ça va vous
53:21zéro partout
53:21aucun point encore marqué
53:22dans cette séance
53:23écoute c'est une dure semaine
53:24d'accord
53:25citez moi
53:265 des 7 légendes du PSG
53:28quoi qui ?
53:30retourne ton journal
53:31présente sur la une
53:32de l'équipe du jour
53:33légende
53:34Lama
53:355 des 7
53:36bravo
53:38pareil
53:383
53:39fournier
53:394
53:40et
53:41j'allais dire
53:42Djorkovic
53:43mais il fait la une
53:44ouais Djorkovic
53:44Djorkovic
53:45réponse en image
53:47ouf
53:48ouf
53:50ouf
53:50ouf
53:51ouf
53:52l'ouf
53:52Fernandez
53:53c'était le coach
53:54ouf
53:54oui mais on a dit
53:57ceux qui sont en eux
53:58écoute les questions
53:58écoute les questions
54:00ça va toi
54:01ça va
54:01messieurs vous le savez
54:03jusqu'après l'équipe de choc
54:04il y a la demi-finale
54:05de l'Euro des moins de 17 ans
54:06bien sûr
54:07et oui on l'a dit
54:07de grec normalement
54:09qui est l'adversaire des bleuets
54:10oh la fastoche
54:11la Suisse
54:13la Suisse
54:15c'est votre dernier mot
54:17c'est notre dernier mot
54:18c'est francophone
54:19mais c'est pas la Suisse
54:20c'est la Bête
54:20c'est impossible
54:22sur de lui
54:22mais c'est pas impossible
54:23j'aime bien quand t'es comme ça
54:24mais attends
54:261-0
54:27tu l'as vu
54:28la Suisse
54:30la Suisse
54:30c'est sûr
54:31qui a été victime
54:33la Suisse
54:33d'une rupture
54:34du tendon d'Achille
54:35ah Lionel Charbonnier
54:36lors du jubilé
54:37de dire si c'est art
54:38mais il y a une carte bonus
54:39carte bonus là-dessus
54:41pour valider cette réponse
54:42Pierre Boupi
54:44doit nous dire
54:44qui a fait
54:45le plus la bringue
54:46au jubilé
54:47t'es obligé
54:48de dire deux noms
54:48obligatoires
54:50toi
54:52euh
54:52bah moi
54:54alors c'est
54:55Lionel Charbonnier
54:56et je vais dire moi
54:57et j'en passe
54:58Jean-Pascal Mignot
55:00ah bon
55:00non mais il doit dire deux noms
55:01toi c'est facile
55:02tu dois dire un autre nom
55:03c'est validé
55:03non quand même
55:04c'est validé
55:05non mais je suis couché
55:06à 4h30
55:06trop vas-y
55:07ne sois pas
55:08mauvais pardon
55:09c'est plus facile
55:09de tout ça
55:10faux
55:10mais vous pouvez encore
55:12gagner
55:12il faut marquer
55:14euh
55:15Oklahoma City
55:16ah c'est toi
55:17oui bien sûr
55:18c'est qualifié
55:18pour la deuxième fois
55:19de son histoire
55:20en finale NBA
55:21en quelle année
55:22ont-ils disputé
55:22la première
55:232012
55:24même pas besoin
55:26d'attendre la fin
55:27avec une sacrée équipe
55:27t'es pas sûr
55:28Kevin Durant
55:29t'es pas sûr
55:30tu vies en marmonnant
55:31non non
55:322012
55:32contre le Miami Heat
55:33c'est pas trop intéressant
55:35tout est encore possible
55:36ils avaient gagné
55:36le premier match
55:37figure-toi
55:37vous pouvez encore
55:38espérer égaliser
55:39mais là si vous marquez
55:40la team
55:41soyez beaux joueurs
55:42en prolongation
55:42ouais on va essayer
55:43c'est encore une question basket
55:44aïe aïe aïe
55:46l'Euroleague
55:46va passer de 18 à 20 équipes
55:48à partir de l'année prochaine
55:49oula
55:49et une équipe
55:51non européenne
55:52oula
55:52va intégrer l'Euroleague
55:54quelle est cette équipe
55:55non européenne
55:56oui
55:56l'équipe anglaise
56:00suisse
56:01ici
56:02il va me falloir une réponse
56:05je sais pas
56:05une équipe anglaise
56:09non européenne
56:10allez c'est bien
56:10bravo
56:11ils disent que c'est plus
56:13c'est l'Europe
56:15c'est quoi ce sport là
56:20c'est comme le rugby
56:21il faut le coup d'Europe
56:22avec l'Afrique du Sud dedans
56:23il n'y a aucun sens
56:23à Paul-Jérusalem
56:24Valence
56:25et Dubaï
56:25pour les fans de l'Europe
56:26il faut absolument marquer
56:28le team reste du monde
56:29pour espérer
56:30passer à la dernière question
56:32à la suite de la mise
56:34à l'écart
56:34de Wendy Renard
56:35qui est désormais
56:37la nouvelle capitaine
56:38j'ai vu passer
56:39de l'équipe de France
56:39j'ai vu passer l'info
56:40mais j'ai pas le nom
56:40moi je sais
56:41j'ai pas le nom non plus
56:42vous voulez que je le dise
56:43ou pas ?
56:43j'ai pas le nom
56:44on peut le dire
56:44si tu l'as vu passer
56:45il faut que tu le nom
56:45j'ai pas le nom
56:46marines fichon
56:47mais arrête
56:48arrête
56:48arrête
56:49je ne sais plus
56:50comment ça s'appelle
56:50j'ai vu passer
56:51il y a eu un pouce
56:51le sommeur
56:52Catoto
56:53non c'est pas Catoto
56:54bien sûr
56:57c'est terminé
57:01victoire pour la team Boobie
57:05magnifique
57:06victoire 2-1
57:07ouais c'était pas terrible
57:08quand même
57:08cette séance
57:09de tir au but
57:10deux points d'avance
57:12désormais
57:13pour la team Boobie
57:1485 à 83
57:15ce soir
57:16donc
57:16là tout de suite
57:18dans quelques instants
57:18demi-finale de l'Euro U17
57:20France
57:20Belgique
57:21France Belgique
57:22bravo
57:23avec Raphaël Sebaounet
57:24Olivier Rouillet
57:25aux commentaires
57:25est-ce qu'ils sont là ?
57:26est-ce qu'ils sont avec nous ?
57:27est-ce qu'ils peuvent nous faire
57:28nous vendre un petit peu
57:30le match qu'on va voir
57:31les bleus qui ont terminé
57:32premier de leur groupe
57:33c'est ça ?
57:33oui exactement
57:34Anne-Sophie
57:34bonsoir à tous
57:35premier de leur groupe
57:36ils vont affronter la Belgique
57:37en demi-finale
57:38donc pour une finale
57:39on l'espère dimanche
57:40sur la chaîne
57:40l'équipe
57:41il y a du talent
57:42il y a de la génération
57:43il y a les futures stars de demain
57:44à voir dans quelques instants
57:45Anne-Sophie
57:46et c'est juste après
57:47une très courte pause
57:48France Belgique
57:49Sous-titrage Société Radio-Canada
57:54Sous-titrage Société Radio-Canada
58:03Sous-titrage Société Radio-Canada

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