Retrouvez le replay de l'Équipe de choc du 22/05/2025.
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00:00:00Bonjour à tous, bonjour à toutes, soyez les bienvenus dans l'équipe de choc, votre
00:00:10émission préférée.
00:00:11Qu'est-ce qui se passe ? Oula, alors là, c'est pas grave, vous savez quoi, c'est
00:00:15bientôt le week-end et ça se sent.
00:00:16En tout cas, nous on va essayer d'être meilleurs que le début d'émission.
00:00:19C'est votre émission préférée de l'après-midi et on a les preuves tous les après-midi.
00:00:23Vous êtes avec nous en direct à 16h45 et on est ravis de partager notre passion pour
00:00:27le sport avec vous.
00:00:28Tant mieux et ça marche pourquoi ? Parce qu'on a des copains très doués, très
00:00:32beaux aussi.
00:00:33Je ne sais pas, je ne saurais de qui dire qui est le plus beau, mais…
00:00:37Je sors d'un ravalement de façade, j'étais chez le coiffeur.
00:00:39Ça se voit pas, dis donc.
00:00:40Je pensais que t'étais tené comme ça.
00:00:41Et ça n'a pas duré.
00:00:42C'est un hommage pour Gébril, si c'est ? Pas encore, c'est en cours de travaux.
00:00:45Ouh, tu vas faire des tresses ? Non, non, je ne peux plus.
00:00:49Non, mais Jim, je suis obligé d'arriver et colorier un petit peu, tu vois, il faut
00:00:52faire… Le jubilé c'est ?
00:00:53Le 27, mardi.
00:00:54Et tu es titulaire, bien sûr.
00:00:55J'ai l'impression qu'il y a beaucoup de joueurs, mais je te jure que je n'ai pas
00:00:58joué beaucoup.
00:00:59Juju, tu ne joues pas ? Tu n'es pas ramasseur de balles, arbitre, quelque chose ?
00:01:02Non, même pas.
00:01:03Je regarde ça tranquillement.
00:01:04Devant la télé, au canapé.
00:01:05Bien sûr.
00:01:06Pour vous accompagner aujourd'hui, messieurs, j'ai le choix, j'ai un ancien footeur
00:01:08et un ancien basketteur.
00:01:09Ça vous va ? Plus sportif, plus lourd ?
00:01:10Parfait.
00:01:11Ok.
00:01:12On commence par qui ? Pas de journaliste, c'est très bien.
00:01:13Pas de journaliste, ça nous énerve.
00:01:14On est assez nombreux.
00:01:15Allez, on commence par Mathieu de Séville.
00:01:17Alors, il a rejoué à Valenciennes dernièrement, il était invité au Jubilé de Rudi Mater.
00:01:21Il n'a pas bougé d'un poil.
00:01:23Regardez les photos pendant qu'il va nous rejoindre.
00:01:24Alors, il y en a, ils vieillissent, ils grisonnent, ils ont une petite bedaine et tout.
00:01:28Et regardez Mathieu sur le terrain.
00:01:30Mais c'est comme si c'était hier en régie, si on peut être un petit peu réactif pour
00:01:34que mon lancement ne soit pas plombé.
00:01:35Il a eu le temps d'arriver.
00:01:36Voilà.
00:01:37Alors, écoute, regarde, là, on est bien.
00:01:39Pied droit.
00:01:40C'est en train d'habécar.
00:01:41En plus.
00:01:42D'accord.
00:01:43Et regarde, en gros plan.
00:01:44C'est comme si tu étais titulaire avant-hier.
00:01:47C'est hallucinant.
00:01:48C'est la même photo.
00:01:49C'est le même jour.
00:01:50Oui, je sais.
00:01:51Je n'ai pas comparé avec il y a 20 ans.
00:01:52Je ne sais pas.
00:01:53Par rapport à quoi vous battez ? Pierre Boubi, par exemple, quand il n'a pas la même tête
00:01:57ou quand il souhaite.
00:01:58J'ai 42 ans.
00:01:59Il n'y a pas de photo.
00:02:00Il a arrêté combien de temps ? Ça fait deux ans.
00:02:03Moi, ça fait cinq.
00:02:04Évidemment.
00:02:05J'avais au moins de cheveux.
00:02:06Je me défends comme tu le peux.
00:02:07Il y a une certaine élégance.
00:02:08Tout va bien.
00:02:09Je m'entretiens.
00:02:10Ça va venir.
00:02:11Le cardio, ça va ?
00:02:12C'était un petit peu dur, quand même.
00:02:13Mais je n'étais pas le pire.
00:02:14C'était qui le pire ? Balance, balance.
00:02:15Le sus nommé Rudy Mater a eu un peu de mal quand même.
00:02:16On aime bien les petits secrets.
00:02:17Tiens, le prochain.
00:02:18Il s'appelle Erwann Labotret.
00:02:19Il est meilleur enregistré qu'en direct.
00:02:20Il est toujours en retard, mais il possède une nonchalance élégante.
00:02:31Regardez.
00:02:32La démonstration.
00:02:33Par contre, j'ai une meilleure carrière de journaliste que de basketteur, donc j'aimerais
00:02:37te considérer comme un journaliste, s'il vous plaît.
00:02:39Non, on préfère le basketteur.
00:02:40Non, non, non.
00:02:41J'aimerais te considérer comme un journaliste.
00:02:42Combien d'années ?
00:02:43Quand je vois les journalistes autour de cette table.
00:02:44Combien d'années de basket ? Combien d'années de journalisme ?
00:02:47Combien d'argent dans le journalisme et combien d'argent dans le basket ? C'est comme ça
00:02:50que ça marche.
00:02:51On est ravis de vous avoir avec nous, évidemment, comme d'habitude.
00:02:53Le sommaire est dans le décor.
00:02:55On est d'accord avec toi quand même.
00:02:57Comme la musique.
00:02:58Le sommaire est dans le décor.
00:02:59Mais sachez qu'on va parler un peu plus précisément basket aujourd'hui, avec l'Euroleague qui
00:03:02se rapproche et un club français dans le dernier carré.
00:03:04C'est Monaco.
00:03:05On sera avec l'un des joueurs à la veille de leur entrée en liste face à l'Olympiakos.
00:03:08Une compétition qui va se jouer à Abu Dhabi.
00:03:10Ça fait un petit peu grasser les dents.
00:03:11Le tirage au sort de Roland-Garros a eu lieu cet après-midi.
00:03:14On pourrait se diriger vers un huitième de finale entre Arthur Fyss et Siner.
00:03:17Ou encore un quart de finale potentiel entre Djoko et Zverev.
00:03:20On vous donnera aussi les principaux tirages pour les Français.
00:03:23Et justement, qui a donc effectué ce tirage au sort à Roland ?
00:03:27C'est Ousmane Dembélé, l'attaquant du PSG, qui attire toute la lumière en cette fin de saison.
00:03:32Est-ce encore une fois la preuve qu'il a changé de dimension ?
00:03:35Celui qui postule aussi pour le ballon d'or.
00:03:37Qu'est-ce que je vois au-dessus de vous, des filles ?
00:03:39Petite révolution chez les bleus avec des joueuses cadres qui n'ont pas été appelées par leurs sélectionneurs.
00:03:44On a des infos NBA.
00:03:45Tiens, avec le rookie de l'année, on a du Tottenham qui a remporté la Ligue Europe 1.
00:03:49J'ai dit quoi ?
00:03:50Le rookie.
00:03:51Ah, c'est pas ça.
00:03:52Tu vois, l'émission commence très bien.
00:03:53Je n'ai pas les bonnes infos.
00:03:55Mais ça va être bien quand même.
00:03:57On commence 16h49 ?
00:03:59Bien sûr.
00:04:00Merci.
00:04:01Tu connais ton texte ou pas ?
00:04:02Non.
00:04:03On va débuter avec du basket.
00:04:04Et la plus prestigieuse des compétitions après l'NBA, bien sûr, c'est l'EuroLeague qui va débuter demain.
00:04:09C'est quoi le petit programme, mon Juju ?
00:04:11Alors, ça se passe à Abu Dhabi pour ce Final Four 2025.
00:04:15Alors, voici le programme.
00:04:16Fenerbahçe et le club turc face au Panathinaikos de Mathias Lussor.
00:04:20Et Monaco, demain à 19h.
00:04:22Monaco affrontera l'Olympiakos d'Evan Fournier.
00:04:24Le match pour la troisième place aura lieu dimanche à 16h.
00:04:27Et la finale à 19h.
00:04:2920h, si je peux me permettre.
00:04:30Ah !
00:04:31Une correction.
00:04:32Mais c'est une émission de précision.
00:04:33Ah non.
00:04:34Je te corrige jamais.
00:04:35Mais là, je...
00:04:36Ferme-toi.
00:04:37On fait la vraie émission.
00:04:38Oui, ce n'est pas une répétition.
00:04:39Dans un instant, on sera avec le pivot de Monaco, Mam'JT.
00:04:43Il va pouvoir nous parler de ce...
00:04:44C'est un aîlé.
00:04:45Oh, il a le souvenir.
00:04:46Non, c'est un pivot.
00:04:47J'ai révisé.
00:04:48Et il joue à l'Olympiakos.
00:04:50C'est pas possible.
00:04:51Non, il va nous parler de son excitation.
00:04:53On va discuter un match pareil, évidemment.
00:04:55Mais je me tourne vers la caution basket.
00:04:56Je crois que c'est lui, sur ce tour-là.
00:04:59Olympiakos, grand favori, forcément, Erwann ?
00:05:01Grand favori, je ne dirais pas ça.
00:05:03Je dirais favori parce qu'ils ont fini premiers de la saison régulière.
00:05:05Mais le Panathinaikos, leur ennemi de toujours, est aussi vraiment fort.
00:05:10Il y a une très belle équipe avec beaucoup de moyens mis aussi.
00:05:13Le Fener, Fenerbahce côté turc, c'est pareil.
00:05:17Ça met beaucoup d'argent.
00:05:19C'est une équipe très solide.
00:05:21De toute façon, un Final Four, c'est toujours ouvert.
00:05:23Et puis, on sait que c'est sur un week-end, vendredi,
00:05:25donc samedi off et dimanche les finales.
00:05:27Ça se joue sur un match.
00:05:29C'est un format très particulier où tout peut se passer.
00:05:31On peut parfois avoir des surprises.
00:05:33Donc, tout reste très ouvert.
00:05:35Le premier n'arrive pas forcément au vainqueur.
00:05:37Pas toujours.
00:05:38On est chauvin.
00:05:39On va parler un petit peu des clubs français et du club français.
00:05:41C'est assez rare pour en parler.
00:05:42Ça arrive souvent.
00:05:43Juju, un Monaco, par exemple, qui arrive dans le demi-final ?
00:05:45Final Four, non, c'est assez rare finalement.
00:05:47La dernière fois que Monaco a atteint ce palier, c'était en 2023.
00:05:51Ils avaient perdu en demi-finale contre qui ?
00:05:53L'Olympiakos.
00:05:54Et puis après, il faut fouiller.
00:05:55Là, c'est les derniers parcours de Monaco qu'on vous a mis sur ce tableau.
00:05:58Mais dans le Final Four, hormis Monaco, il y a Limoges en 93 à Rouen.
00:06:03Alors, 93, ils sont champions.
00:06:04Et le dernier club après Limoges, c'est 97, c'est L'Asvel.
00:06:07C'était à Rome.
00:06:08Ils avaient fini 4e.
00:06:09Ils avaient perdu en demi-finale.
00:06:10Donc, ça remonte.
00:06:11Donc, c'est assez rare.
00:06:12Ça veut dire que c'est déjà un événement d'avoir un club français en Final Four de Euroleague.
00:06:14Exactement.
00:06:15Voir un club français, ça fait deux fois en trois ans qu'on le voit.
00:06:19Et c'est un vrai plaisir pour les fans du basket français de voir un club français
00:06:24qui arrive deux fois comme ça en quelques années à ce niveau-là.
00:06:28Pour tous les fans du basket européen, c'est un vrai événement.
00:06:31C'est le rendez-vous, le Final Four, cette formule-là du match sec.
00:06:35Donc, c'est très bien de pouvoir voir Monaco.
00:06:37On se souvient qu'il l'avait fait en 2023.
00:06:39Ça avait été déjà face à l'Olympiakos.
00:06:41Et après une première mi-temps magnifique, il s'était fait démolir en deuxième mi-temps.
00:06:44Mais il découvrait l'événement.
00:06:46L'année dernière, ça s'est joué au match 5.
00:06:48En quart de finale, à domicile, il perd contre le Fener.
00:06:50Et ça avait été très, très dur.
00:06:52Là, il retrouve le Final Four avec une autre expérience et d'autres ambitions.
00:06:55On a les images de l'arrivée des joueurs.
00:06:57On reconnaît Mike James, bien sûr, qui a fait le voyage jusqu'à Abu Dhabi.
00:07:00On va en parler de la ville qui accueille la compétition, parce que c'est un peu particulier.
00:07:03Mathieu de Séville, toi qui es très branché NBA, Euroleague aussi,
00:07:05c'est un rendez-vous que tu ne rates jamais ou un peu moins ?
00:07:08C'est français quand même, on va regarder.
00:07:10Oui, on va regarder par curiosité.
00:07:12C'est vrai que moi, je ne suis pas très football.
00:07:16T'en as vu toute ta carrière.
00:07:19C'est pas faux, t'as raison.
00:07:21Plus NBA.
00:07:23Moi, je regarde vraiment par curiosité.
00:07:26Beaucoup moins que la NBA, où là, je suis un peu plus…
00:07:29Et pourtant, il y a énormément de Français concernés par cette finale.
00:07:32Il n'y a pas que Monaco parmi les joueurs, j'entends.
00:07:34Oui, parmi les joueurs.
00:07:35Déjà, au Panathinaikos, il y a Mathias Lessor qui revient de blessure,
00:07:38qui avait subi une grave blessure en fin d'année 2024 pour le pivot français.
00:07:42Du côté de l'Olympiakos, on va retrouver Evan Fournier, star de l'équipe de France,
00:07:45ou encore Mustapha Fall.
00:07:47Et puis, à Monaco, il y en a plusieurs.
00:07:49Eliocobo, Mathieu Strassel, Mamdjéïté Konora tout à l'heure,
00:07:52Thierry Tarpé ou encore Peter Corneli.
00:07:55Peter.
00:07:56Peter.
00:07:57Ça se prononce Peter.
00:07:58Peter, très bien.
00:07:59Pierre Bouvy, on est branché NBA, basket et Euroleague.
00:08:01C'est un petit rendez-vous que tu vas regarder absolument ?
00:08:04En plus, ce n'est pas obligé.
00:08:06On peut être honnête.
00:08:07Par curiosité, oui.
00:08:08Déjà, j'ai appris ce qu'était le basket français, l'Euroleague
00:08:11et tout ce qui était avec cette émission.
00:08:14Donc, oui, je vais regarder par curiosité.
00:08:17Et puis, il y a aussi le fait qu'il y ait Evan Fournier aussi en face.
00:08:20Et cette revanche un petit peu, ce choix un peu compliqué qu'il a fait
00:08:24justement d'aller en Euroleague et en Grèce pour pouvoir être important
00:08:27dans un gros club.
00:08:29Erwann le disait, ils ont mis des moyens.
00:08:31Donc, c'est tout ce petit monde-là qui m'intéresse.
00:08:34Donc, là, on arrive vraiment dans le vif du sujet.
00:08:36Donc, oui, je pense que je vais regarder et je pense que ça va me plaire.
00:08:38Evan Fournier qui livrait un bel entretien ce matin dans l'équipe.
00:08:41Avec Yann Onona, oui.
00:08:42Magnifique.
00:08:43Tu vas me couper beaucoup comme ça ?
00:08:45Mais c'est ma partie le basket.
00:08:47J'ai 20 minutes d'émission, j'ai 2 000 euros à prendre.
00:08:49Ah oui, c'est bien payé.
00:08:51Ce que je veux dire, c'est que je sais que Mathieu et Pierre sont plus branchés NBA.
00:08:54Vas-y, convainc-les.
00:08:56Ça fait des années que je regarde le Final Four.
00:08:59J'ai eu la chance de voir de mes propres yeux 4 Final Four.
00:09:02On n'est jamais déçus.
00:09:04Parce que c'est la meilleure ligue derrière la NBA.
00:09:07Cet espèce de format doux hors d'ail.
00:09:10C'est-à-dire que si tu perds, tu es éliminé.
00:09:12Vraiment, le vendredi, le match à 17h, le match à 20h, les deux demi-finales, on n'est jamais déçus.
00:09:17C'est des matchs de muerté.
00:09:19C'est ce que fait l'Europe de mieux.
00:09:21Il y a plein de choses.
00:09:23Et tu l'as dit, Evan Fournier côté Olympiacos qui revient, qui fait une super saison.
00:09:26Qui joue contre un club français.
00:09:28Il y a beaucoup d'histoires.
00:09:29Le retour de Matthias Lessord, ça va aussi interroger.
00:09:31Parce que depuis sa blessure, il n'a joué aucun match.
00:09:33Et là, il devrait revenir pour le Final Four.
00:09:35On a pas mal d'interrogations.
00:09:37Le Final Four, je vous le dis, hors NBA, c'est ce qui se fait de mieux en spectacle.
00:09:41En fait, il ne faut pas la comparer.
00:09:43Ce n'est pas comparable.
00:09:44Ce n'est pas deux sports différents.
00:09:46Je te dis, mettez-vous devant la télé.
00:09:48Et vous m'envoyez un message à 23h après les deux demi-finales.
00:09:52Et vous allez vous régaler.
00:09:54Mettez-moi sur Instagram.
00:09:55Moi, où j'avais toujours été impressionné, c'est parce que j'ai eu la chance de jouer à Olympiacos.
00:09:58On m'avait été invité à un match de basket.
00:10:00Et moi qui ai aussi vu des matchs de NBA.
00:10:02L'ambiance, franchement, c'est incomparable.
00:10:05C'est incroyable.
00:10:06C'est l'une des meilleures ambiances d'Europe.
00:10:08Là, évidemment, ça sera un peu différent parce que c'est délocalisé.
00:10:11C'est une des questions.
00:10:12On en parle dans un instant.
00:10:13Juste Evan Fournier qui s'est exprimé ce matin dans l'équipe.
00:10:15Si je reprends le fil.
00:10:16Qu'il nous a dit quoi de beau ?
00:10:17Il a parlé de cette absence de titres majeurs dans sa carrière.
00:10:21Evan Fournier, 12 saisons NBA.
00:10:23Alors, quand il arrive à Olympiacos, il remporte une super coupe de Grèce.
00:10:25Mais pour lui, ce n'est pas un titre.
00:10:27Regardez, un titre, c'est une coupe d'Europe, un championnat national.
00:10:29Le reste, voilà.
00:10:31Pour moi, je n'ai toujours rien gagné.
00:10:33Je n'en fais pas des cauchemars.
00:10:34Mais j'y pense.
00:10:35Surtout quand il s'agit de l'Euro, une compétition qui a plus de résonance
00:10:38parce qu'on la joue depuis gamin.
00:10:40Il y a tant de facteurs qui entrent en jeu pour gagner un titre.
00:10:42Après, il évoque ses défaites face aux États-Unis aux Jeux Olympiques.
00:10:46Rien d'infamant pour lui.
00:10:47Mais Arouan, on sent vraiment que c'est un moteur chez lui,
00:10:50cette absence de titres majeurs en carrière.
00:10:53Evan, quand on le découvre en jeune,
00:10:55le premier truc, le mot qui sort, c'est « c'est un gagnant ».
00:11:00Et c'est ce qu'il a toujours guidé.
00:11:02Et c'est vrai que, quelque part, quand on fait le bilan de sa carrière,
00:11:04il n'a rien gagné comme titre.
00:11:06Il est drafté.
00:11:07Il a fait des saisons à 18, 19, 20 points par match en NBA.
00:11:10Il a ramené, avec Nikola Vucevic, Orlando en playoff.
00:11:14Il a joué à New York.
00:11:15Il a vécu plein de choses.
00:11:17Il est deux fois vice-champion olympique.
00:11:19Mais c'est vrai qu'au bout d'un moment,
00:11:20il n'a jamais été sur la marche numéro 1 du podium.
00:11:23Et quand on est Evan Fournier, quand on a l'esprit d'Evan Fournier,
00:11:25il ne va pas se contenter de ce qu'il a.
00:11:27Et aujourd'hui, le choix qu'il a fait de revenir en Europe,
00:11:29c'était d'abord de jouer et de gagner aussi.
00:11:31Et venir à l'Olympiacos, c'était aussi pour gagner.
00:11:33C'est un club qui n'a pas gagné l'Olympique depuis un petit moment aussi.
00:11:36Donc, quelque part, pour lui, il y a un vrai enjeu sur ce week-end-là.
00:11:39C'est enfin soulever un trophée.
00:11:40Les titres, c'est ce qui crédibilise un peu le statut d'un joueur,
00:11:44l'importance dans sa carrière.
00:11:46Il a fait un peu le rapprochement avec Damien Lillard, par exemple, en NBA,
00:11:49qui est un peu dans cette même situation.
00:11:51Et quelque part, sans titre,
00:11:54on ne peut pas te mettre à la même table de certains joueurs.
00:11:57C'est ce qui lui manque.
00:11:59Sa carrière est immense.
00:12:00Il a fait une brillante carrière, que ce soit en NBA ou en équipe de France.
00:12:03Mais ce manque de titres majeurs, je pense,
00:12:05c'est ça qui l'empêche d'avoir un autre statut.
00:12:08C'est ce qui permet de graver l'histoire.
00:12:10C'est laisser ton nom quelque part sur un truc.
00:12:12Evan Fournier, par exemple, on peut le comparer à Nando Docolo.
00:12:15Ils sont à peu près de la même génération.
00:12:17Nando est à 3 ou 4 ans de plus vieux.
00:12:21Nando a gagné l'Euroleague.
00:12:22Nando a gagné l'Euro avec l'équipe de France.
00:12:23Ce n'est pas le cas d'Evan.
00:12:24Donc, tout ça, il l'a en tête, évidemment.
00:12:26Evan Fournier qui sera opposé à Monaco.
00:12:28Je te coupe parce que dans un instant,
00:12:29on est avec Mame Géité, le pivot de Monaco,
00:12:31qui va nous parler de son excitation avant ce match.
00:12:33Mais juste, on peut parler du lieu.
00:12:34C'est un minute, quand même.
00:12:35Abu Dhabi.
00:12:36Ce n'est pas franchement une terre de basket.
00:12:37Je ne vous la prends pas pour un Final Four.
00:12:39C'est dommage.
00:12:40C'est scandaleusement logique.
00:12:41C'est l'argent qui dirige le monde.
00:12:43J'ai envie de te dire que si c'est fait là-bas,
00:12:44ça veut dire que ça commence à avoir de l'attrait.
00:12:46Ça commence.
00:12:47Non, mais ça commence à avoir de l'attrait.
00:12:49Je parle mondialement.
00:12:50Enfin, je veux dire, l'Euroleague,
00:12:52toutes les choses qui sont bankables,
00:12:55qui sont intéressantes,
00:12:57vont là-bas pour l'instant.
00:12:59Pour les sportcos, c'est ça.
00:13:01Je ne dis pas que c'est bien.
00:13:02Pour les supporters, c'est un peu bizarre.
00:13:03Ce que je te dis, c'est que ça prouve quand même
00:13:04un certain attrait pour la compétition
00:13:06de la part des pays qui veulent mettre de l'argent
00:13:07et investir sur des compétitions.
00:13:09Oui, mais c'est quand même au détriment de…
00:13:11Pour les sportcos, autant.
00:13:12Il y a souvent la boxe, par exemple, là-bas.
00:13:14C'est des trucs individuels
00:13:15où tu peux avoir des spectateurs
00:13:18entre guillemets un peu différents.
00:13:19Mais là, tu supportes ton équipe, ta ville.
00:13:21C'est pareil.
00:13:22Tous tes supporters, avoir une finale,
00:13:24c'est un peu la récompense,
00:13:25de pouvoir y assister.
00:13:26Mais c'est le même sujet pour tous les sportcos, Mathieu.
00:13:28C'est sûr.
00:13:29C'est pour ça que ça me dérange plus
00:13:30pour les sportcos que pour un sport individuel.
00:13:32C'est sûr que faire Athènes-Madrid,
00:13:33Athènes-Caonas, Athènes-Berlin
00:13:36pour voir un Final Four,
00:13:37c'est autre chose que faire Athènes-Abu Dhabi.
00:13:39Maintenant, il y a deux choses.
00:13:41C'est qu'Abu Dhabi veut organiser des choses.
00:13:44Ils sont déjà en deal avec l'NBA.
00:13:45Chaque année, ils organisent deux matchs de prépa
00:13:47de NBA là-bas.
00:13:49Ils ont poussé pour avoir le Final Four cette année.
00:13:52Ce n'est pas l'ADN historique de l'EuroLeague,
00:13:55mais on est dans un monde où les choses changent aussi.
00:13:57Qui va y assister ?
00:13:59C'est une bonne question.
00:14:00Moi, j'attends demain parce que pour avoir,
00:14:02je le répète, avoir eu la chance
00:14:03et avoir eu des tribunes garnies de plusieurs supporters,
00:14:06il y a un combat de supporters qui est exceptionnel.
00:14:08Et quand je dis combat,
00:14:09c'est dans le bon sens du terme,
00:14:10au travers des champs.
00:14:11Il faut déjà y aller à Abu Dhabi.
00:14:12Exactement.
00:14:13Aller à Abu Dhabi,
00:14:14ce n'est pas pareil qu'aller en Europe.
00:14:15J'attends de voir l'ambiance
00:14:16qui va être dans cette salle
00:14:17qui est forcément plus petite
00:14:18que les grandes arènes européennes.
00:14:21C'est une page nouvelle.
00:14:22On sait que Dubaï a créé une équipe
00:14:24qui a joué l'EuroCup cette année.
00:14:25Ils devraient normalement intégrer aussi l'EuroLeague l'année dernière.
00:14:28Il y a tout un attrait du Moyen-Orient aussi
00:14:31pour le basket,
00:14:32que ce soit NBA ou l'EuroLeague.
00:14:34Maintenant, c'est vrai qu'on n'est pas habitués
00:14:36à voir des grands événements comme ça
00:14:39de basket européen à Abu Dhabi.
00:14:41Maintenant, j'ai envie de dire,
00:14:43donnons sa chance au produit
00:14:44et on pourra faire un bilan dimanche soir.
00:14:46Ça bouscule, c'est normal.
00:14:47Par le passé, c'est toujours joué en Europe,
00:14:49ce Final Four, dans des lieux symboliques ?
00:14:51Oui, toujours.
00:14:52On l'a cité Kaonas tout à l'heure, Erwann.
00:14:53On peut citer Berlin, Paris, Belgrade, Cologne.
00:14:57Donc oui, il y a des villes européennes
00:14:59pour ce Final Four.
00:15:00Même pour les joueurs,
00:15:01de façon générale,
00:15:02même si tu gagnes,
00:15:03tu as envie de célébrer avec tes supporters.
00:15:05Après, tu rentres.
00:15:07Tu rentres, mais c'est très bien.
00:15:08Sur le moment,
00:15:09il y a quand même une fermeur à mort avec quelque chose.
00:15:11Là, tu vas célébrer avec qui ?
00:15:13C'est le point d'or de la saison quand même.
00:15:15C'est le moment où il doit y avoir
00:15:16l'explosion de doigts de tes supporters.
00:15:17Et tu vas te retrouver à l'envers.
00:15:19Moi, encore une fois,
00:15:21je ne veux pas trop me mouiller
00:15:23parce que peut-être que les clubs
00:15:24ont mis en place des choses,
00:15:25ou même avec le Rouly,
00:15:26des billets et des hôtels à prix attrayants
00:15:29pour que les supporters puissent se déplacer.
00:15:31J'ai du mal à croire
00:15:33que ce Final Four-là
00:15:35soit qu'avec des locaux
00:15:36dans une ambiance un peu juste, feutrée.
00:15:39J'ai du mal à croire.
00:15:40Si c'est le cas,
00:15:41on serait évidemment très déçus
00:15:42parce que ce qui fait partie
00:15:43de l'ambiance d'un Final Four,
00:15:44c'est aussi les supporters.
00:15:45Dans un instant,
00:15:46on sera avec Mam'GT,
00:15:47le pilote de Monaco
00:15:48qui est en train de se connecter.
00:15:49Ils sortent de l'entraînement.
00:15:50Tu peux nous dire un petit mot
00:15:51sur ce qu'ils ne connaissent pas bien,
00:15:52sur notre invité qui ne va pas tarder ?
00:15:54Mam'GT, c'est un joueur
00:15:56qui est passé par l'INSEP,
00:15:57qui a choisi d'aller en Pro B
00:15:59au sortir de l'INSEP,
00:16:00qui est devenu MVP de Pro B,
00:16:01qui ensuite est passé par Nanterre,
00:16:03par l'Ivoge,
00:16:04qui a eu du mal un petit peu
00:16:05à se faire accepter en France.
00:16:07Oui, parce qu'il a longtemps hésité
00:16:09entre un poste 4, un poste 5.
00:16:11On ne savait pas trop vraiment
00:16:13où il allait se situer.
00:16:14Et c'est vraiment à l'étranger,
00:16:15passé par la Russie,
00:16:16des équipes un peu sombres,
00:16:17la Turquie.
00:16:18Et puis, il a explosé
00:16:19du côté de Fortitude Bologne,
00:16:21où il était MVP de l'Eurocup.
00:16:23Il a notamment joué
00:16:24avec un joueur qui s'appelle
00:16:25Miloš Theodosic,
00:16:26qui est une légende serbe
00:16:28et qui l'a régalé,
00:16:29qui en a fait le joueur
00:16:30qu'il est devenu aujourd'hui.
00:16:31Et puis, par son statut de JFL,
00:16:33donc on sait que les clubs français
00:16:34ont besoin d'avoir des joueurs formés en France,
00:16:35il est revenu dans le championnat de France,
00:16:37mais par la grande porte,
00:16:38avec Monaco.
00:16:39Et depuis qu'il est à Monaco,
00:16:40il fait le taf
00:16:41et c'est devenu un joueur,
00:16:42un pivot majeur du championnat
00:16:44et un pivot aussi qui compte en Euroleague.
00:16:47Tu ne dis pas ça parce qu'il est
00:16:48en train de t'écouter là, bien sûr.
00:16:49Mais Mame, c'est la fin de l'émotion.
00:16:51Mame, je le connais,
00:16:52t'es encore à l'INSEP,
00:16:53parce qu'on a un point commun,
00:16:54comme je te l'ai dit, France.
00:16:55Il est en train de se connecter.
00:16:56Juste, est-ce qu'ils ont des chances,
00:16:57tant qu'ils ne nous écoutent pas trop encore,
00:16:58ou alors c'est plié,
00:16:59parce que c'est quand même Olympiakos,
00:17:00l'ogre,
00:17:02et Monaco qui a galéré
00:17:03contre le Barça.
00:17:04Ce n'est pas les grands favoris,
00:17:05mais toutes les équipes
00:17:06qui se retrouvent dans une finale à quatre,
00:17:08donc dans un Final Four,
00:17:09ont une chance.
00:17:10Il y a deux matchs à gagner.
00:17:11Ça va très vite.
00:17:12La semaine dernière, il me semble,
00:17:14on avait Valérie Ranailly en plateau.
00:17:16Elles sont arrivées dans un Final Six,
00:17:18c'est un peu bizarre,
00:17:19mais elles sont arrivées dans un Final Six
00:17:20où elles n'étaient pas favoris
00:17:22et elles ont gagné
00:17:23parce que sur quatre jours,
00:17:24elles ont été les meilleures.
00:17:26Donc en fait, la question là,
00:17:27c'est tout ce qui s'est passé avant,
00:17:28ça ne compte plus,
00:17:29il n'y a plus d'avantage du terrain,
00:17:30il n'y a plus de...
00:17:32Mon bilan de la saison,
00:17:33c'est être meilleur là
00:17:34sur les 72 heures qui vont arriver.
00:17:36Donc vendredi, se qualifier,
00:17:37samedi se reposer,
00:17:38dimanche, gagner.
00:17:39C'est comme ça que ça fonctionne.
00:17:41Donc tout ce qui s'est passé avant
00:17:42ne compte plus.
00:17:43Lui, si je ne dis pas de bêtises,
00:17:44c'est très long la connexion.
00:17:45C'est à bout d'habits,
00:17:46donc ça met un petit peu de temps.
00:17:47Ce sera son premier Final Four d'EuroLeague.
00:17:49Est-ce que ça peut mettre les jetons ?
00:17:51Peut-on mettre les cocottes ?
00:17:52Alors le public, avec ou sans,
00:17:53mais l'enjeu déjà ?
00:17:54C'est une des questions
00:17:55que j'ai envie de lui poser
00:17:56parce que je vous le dis,
00:17:57un Final Four pour un joueur
00:17:59qui évolue en Europe,
00:18:00c'est toujours un événement particulier.
00:18:02Maintenant, Mam,
00:18:03il a une expérience européenne.
00:18:04Ça fait quand même plus de deux ans
00:18:07qu'il joue l'EuroLeague
00:18:08avec un rôle majeur.
00:18:09L'année dernière,
00:18:10il a quand même joué un quart de finale
00:18:11face au Fener,
00:18:12où il était à deux doigts
00:18:13d'aller au Final Four.
00:18:14Il a été MVP de la finale
00:18:15de l'EuroCup,
00:18:16EuroCup qu'il avait d'ailleurs gagné.
00:18:18Il a une expérience,
00:18:19Mam'Jahité, européenne,
00:18:20donc de l'excitation,
00:18:22un peu de pression certainement
00:18:23liée à l'événement,
00:18:24mais je crois qu'aujourd'hui,
00:18:25Mam'Jahité, il a l'âge,
00:18:26il est au moment de sa carrière
00:18:27où ce genre d'événement,
00:18:28il sait pouvoir le gérer.
00:18:29Et en termes d'équipe,
00:18:31parce qu'on a parlé de Mam'Jahité ?
00:18:32Toujours pas de connexion apparemment.
00:18:33Toujours pas, non.
00:18:34Il nous entend ou il nous entend pas.
00:18:35Bref, on est en train de régler ça.
00:18:36Est-ce que les individualités de Monaco
00:18:39peuvent s'en sortir
00:18:40et faire la différence ?
00:18:41Je ne connais plus seul Monaco
00:18:42et l'Olympiakos.
00:18:43Ce n'est pas très grave,
00:18:44on ne va pas t'en vouloir,
00:18:45mais on sait que le style de jeu de Monaco
00:18:47les avait tués il y a deux ans
00:18:50sur cette espèce d'isolation
00:18:52d'un contre un permanent
00:18:53autour des Lyokobos et des McJams.
00:18:54En deuxième mi-temps,
00:18:55ils avaient complètement exposé,
00:18:56marqué trois points, il me semble,
00:18:57dans le troisième quartan.
00:18:58Et il n'y avait pas eu vraiment
00:18:59de deuxième mi-temps
00:19:00et on avait été très frustrés
00:19:02et très déçus pour Monaco.
00:19:03On sait que Stanislas,
00:19:04ils ont changé de coach.
00:19:05Obradovich est parti.
00:19:06Spanoui s'est arrivé
00:19:07pour un basket un petit peu plus collectif,
00:19:09un peu plus de passing game,
00:19:10ce qu'on appelle.
00:19:11On se passe la balle.
00:19:12Donc, ils ont maintenant
00:19:13un peu plus d'armes.
00:19:14En tout cas, un basket offensif,
00:19:16un petit peu différent.
00:19:17Donc, on va voir
00:19:18un petit peu d'alternance
00:19:19entre du un contre un,
00:19:21du passing game.
00:19:23En tout cas, on a vu cette année
00:19:25sur toute la saison régulière de Roli
00:19:27qu'ils pouvaient battre les meilleurs
00:19:29et on rappelle qu'ils sont allés
00:19:30gagner à l'Olympiakos
00:19:31cette saison régulière de Roli.
00:19:33Donc, Monaco peut très bien
00:19:34venir à bout de l'Olympiakos.
00:19:36On aurait aimé en parler
00:19:37avec Mame Jaïté,
00:19:38mais il y a un petit problème
00:19:39de connexion.
00:19:40On va régler tout ça.
00:19:41Après la pub, vous restez amis avec nous.
00:19:42On ira sur la planète sport.
00:19:43On parlera tennis
00:19:44avec une pépite,
00:19:45une pépitasse.
00:19:46Elle s'appelle Elidja Inissan.
00:19:47Elle a 16 ans.
00:19:48Elle a fait son premier Roland-Garros en pro.
00:19:49Elle le fait aussi en junior.
00:19:50C'est un rayon de soleil.
00:19:51Vous allez voir,
00:19:52elle sera avec nous
00:19:53pour parler de la terre battue
00:19:54de Parisienne
00:19:55et des chances des Français.
00:19:56A tout de suite.
00:20:04Le tirage au sort de Roland-Garros
00:20:05a eu lieu cet après-midi.
00:20:06On pourrait se diriger
00:20:07vers un huitième de finale
00:20:08entre Arthur Fyss et Siner
00:20:09ou encore un quart de finale potentiel
00:20:11entre Djoko et Zverev.
00:20:12On vous donnera les tirages également
00:20:13pour les principaux français.
00:20:14A suivre dans l'équipe de choc.
00:20:16Juste avant la pub,
00:20:17on était en train de parler basket
00:20:18parce qu'il y a le Final Four
00:20:19d'Euroleague
00:20:20pour un club français.
00:20:21Monaco face à l'Olympiakos
00:20:22qui débute demain.
00:20:23Et ça y est,
00:20:24on vous l'avait promis.
00:20:25On s'est connectés avec Abu Dhabi.
00:20:26Ça a mis un petit peu de temps
00:20:27et on est avec le pivot.
00:20:28Mme Jahyte,
00:20:29merci d'être avec nous.
00:20:30Ça va, Mme ?
00:20:31Merci à vous.
00:20:32Ça va très bien.
00:20:33Tout va bien.
00:20:34Bon alors,
00:20:35les Grecs d'Olympiakos.
00:20:36Premier de la saison régulière.
00:20:37Meilleure équipe de la saison.
00:20:38Énorme morceau.
00:20:45Clairement,
00:20:46on sait déjà
00:20:47que ça va être un gros match.
00:20:48Après,
00:20:49on parle du principe
00:20:50qu'au cours de la saison régulière,
00:20:51ça a été deux matchs accrochés.
00:20:53Deux fois qu'on a joué contre eux,
00:20:55ils nous battent une fois chez nous.
00:20:57On les bat une fois chez eux.
00:20:58Donc,
00:20:59les armes,
00:21:00on les a.
00:21:01Ils les ont aussi pour nous battre.
00:21:03Ça va se jouer à rien.
00:21:04Mais on y va dans les pieds
00:21:06dans le but de tout donner.
00:21:08Surtout,
00:21:09d'avoir aucun regret
00:21:10pendant ce qui va se passer.
00:21:11Mam,
00:21:12je te passe quelqu'un
00:21:13qui a un point commun
00:21:14d'avoir joué à Malakoff.
00:21:15Erwann Abotret,
00:21:16qui m'a appris cette info,
00:21:17qui va te poser une question aussi.
00:21:18Moi,
00:21:19j'ai joué lui il y a grandi.
00:21:20Mam,
00:21:21j'ai deux questions.
00:21:22J'ai deux questions pour toi.
00:21:23T'as déjà gagné ?
00:21:24Écoute,
00:21:25moi,
00:21:26je l'ai vu jouer jeune.
00:21:27Dis-leur que j'étais
00:21:28un vrai joueur de basketball
00:21:29parce qu'il ne me prend pas sur le plateau.
00:21:31Il ne me prend pas sur le plateau.
00:21:33Très bon potentiel.
00:21:34Très gros potentiel.
00:21:35Voilà.
00:21:36Tu l'as dit,
00:21:37potentiel.
00:21:38Potentiel raté
00:21:39qui se retrouve sur l'équipe de choc.
00:21:40Mam,
00:21:41j'ai deux questions.
00:21:42T'as déjà gagné l'Eurocup.
00:21:43T'as une expérience européenne.
00:21:44Là,
00:21:45t'es mineur à 72 heures
00:21:46de faire un doublé assez rare.
00:21:47C'est l'Eurocup
00:21:48plus l'Euroleague.
00:21:49Donc,
00:21:50dans quel état d'esprit tu es
00:21:51et dans quel état d'esprit
00:21:52vous arrivez sur ce Final Four ?
00:21:53Et puis,
00:21:54Malakoff s'est maintenu en National 3.
00:21:55J'aimerais que t'aies un petit mot là-dessus quand même.
00:21:56J'ai subi l'ascension de Malakoff.
00:21:57Ça fait plaisir.
00:21:58Et ensuite,
00:21:59pour moi,
00:22:00c'est les premières
00:22:01que je découvre
00:22:02en même temps que Malakoff.
00:22:03Donc,
00:22:04ça fait plaisir.
00:22:05Et ensuite,
00:22:12en tant que spectateur,
00:22:13j'ai vraiment envie
00:22:14d'apporter un pire à l'édifice.
00:22:15Et
00:22:16je pense qu'il y a une certaine expérience
00:22:18que le club a
00:22:19et qui va nous permettre
00:22:21de pouvoir gérer ce moment-là.
00:22:23Et clairement,
00:22:24je pense que l'équipe,
00:22:25les coachs,
00:22:26les joueurs qui réussiront
00:22:27à garder leur sang froid
00:22:28sur ce match-là
00:22:29vont se donner des chances
00:22:30de pouvoir gagner le match demain.
00:22:31Dernière question,
00:22:32c'est presque mieux
00:22:33de jouer l'Olympiakos
00:22:34à l'étranger,
00:22:35à Abu Dhabi
00:22:36que chez eux,
00:22:37j'imagine,
00:22:38parce qu'en termes d'ambiance
00:22:39et de supporters,
00:22:40c'est un peu comme
00:22:41ce Final Four
00:22:42en terre poitrée
00:22:43de basket.
00:22:44C'est pas français,
00:22:45ce que j'ai dit.
00:22:46Clairement,
00:22:47on est tous en train
00:22:48de découvrir,
00:22:49je pense qu'on est arrivés
00:22:50quelques jours
00:22:51plus tôt
00:22:52pour s'acclimater
00:22:53parce que
00:22:54c'est quand même
00:22:55un autre monde,
00:22:56entre guillemets.
00:22:57Clairement,
00:22:58les deux équipes,
00:22:59on est dans un,
00:23:00on va dire,
00:23:01dans l'étranger,
00:23:02on ne sait pas quoi s'attend.
00:23:03C'est peut-être mon avantage
00:23:04de jouer en deuxième
00:23:05parce qu'on aura le temps
00:23:06de voir un peu
00:23:07la première équipe
00:23:08comment ça va se passer.
00:23:09On ne la connaît pas forcément.
00:23:10Mais on sait que,
00:23:11voilà,
00:23:12ils vont avoir
00:23:13une grosse fin de baisse
00:23:14qui va venir,
00:23:15qui va aller sur.
00:23:16Donc malgré tout,
00:23:17on va essayer
00:23:18de mettre tout ça
00:23:19de côté
00:23:20et de se concentrer
00:23:21sur ce qu'on doit faire
00:23:22contre eux.
00:23:23Et on sera tous avec vous,
00:23:24bien sûr.
00:23:25C'était Mam,
00:23:26j'ai été en direct
00:23:27d'Abu Dhabi
00:23:28pour Monaco
00:23:29qui affronte
00:23:30l'Olympiacos
00:23:31vendredi soir.
00:23:32Premier match
00:23:33de ce Final Four.
00:23:34Deuxième match.
00:23:35Salut Mam,
00:23:36merci d'avoir été avec nous.
00:23:37Merci à vous,
00:23:38parce qu'on a pris
00:23:39un petit peu de retard.
00:23:40Vous savez que,
00:23:41toute cette semaine,
00:23:42on s'intéresse
00:23:43aux mini-pouces.
00:23:44Les futurs champions
00:23:45de tennis de demain.
00:23:46On passe un petit peu de temps
00:23:47avec cette fameuse
00:23:48Team Jeune Talent.
00:23:49Quatre jeunes joueurs
00:23:50et joueuses
00:23:51qui sont accompagnées
00:23:52dans leur toute jeune carrière
00:23:53pour toucher leur rêve du doigt
00:23:54et accéder au plus haut niveau.
00:23:55Et en cette semaine
00:23:56de Roland-Garros,
00:23:57on est gâtés
00:23:58puisqu'ils participent
00:23:59tous au tournoi.
00:24:00Laissez-moi vous présenter
00:24:01ou vous représenter
00:24:02nos quatre jeunes héros
00:24:03de la semaine
00:24:04qu'on peut suivre
00:24:05dans la websérie Bleu horizon.
00:24:06On a eu la marraine
00:24:07de tennis fauteuil,
00:24:08on a eu Arthur Cazot hier
00:24:09et ça va continuer
00:24:10avec Lucas Vanacher
00:24:11qui joue sa qualif en ce moment,
00:24:13on l'aura demain,
00:24:14et Elidja Enissant.
00:24:15Je vous le disais,
00:24:16attention,
00:24:17petite prodige de 16 ans,
00:24:18elle aussi,
00:24:19elle a fait le tournoi
00:24:20de Roland-Garros,
00:24:21double dose,
00:24:22puisqu'elle l'a fait en pro.
00:24:23Bon, elle s'est ramassée,
00:24:24mais elle a fait
00:24:25sa première expérience en pro
00:24:26et elle le fait aussi en junior.
00:24:27C'est la plus jeune de la bande.
00:24:28On découvre un petit extrait
00:24:29qui lui est consacré
00:24:30dans Bleu horizon
00:24:31et ensuite,
00:24:32elle sera avec nous.
00:24:33Regardez.
00:24:34Toi, comment tu te présenterais ?
00:24:36Je pense que je suis souriante,
00:24:37on va dire.
00:24:40Mais moi, je ne sais pas trop.
00:24:41Je m'appelle Elidja Enissant,
00:24:43j'ai 16 ans
00:24:44et j'ai commencé le tennis
00:24:45à l'âge de 3 ans.
00:24:51Moi, j'ai grandi du coup
00:24:52en Bretagne,
00:24:53pas loin de Rennes.
00:24:54J'ai commencé le tennis
00:24:55chez moi.
00:25:00Et à partir de mes 12 ans et demi,
00:25:03on m'a appelée
00:25:04pour me proposer
00:25:05si je voulais aller au CNE.
00:25:07C'est ma quatrième année
00:25:08et franchement,
00:25:09je suis vraiment bien ici,
00:25:10on va dire.
00:25:11Au début,
00:25:12on a souhaité vraiment
00:25:13être très très présente.
00:25:14C'est pour ça qu'on ne l'a pas
00:25:15forcément mis à l'internat.
00:25:16On sentait qu'elle avait besoin
00:25:18de pouvoir rentrer à la maison
00:25:20et de pouvoir avoir
00:25:22une vie familiale classique.
00:25:24Donc, je vais gérer
00:25:26moi un peu difficilement.
00:25:28Puisqu'habitant en Bretagne,
00:25:30ça me faisait vraiment une rupture,
00:25:32mais ça nous tue à tous.
00:25:45Quand j'ai su
00:25:46que tu étais dans
00:25:47le nouveau casting,
00:25:48franchement,
00:25:49j'étais trop heureuse.
00:25:50Je me suis dit yes !
00:25:52Tu as déjà fait Winto ?
00:25:53Non, non jamais.
00:25:54Tu vas le faire cette année
00:25:55en junior ?
00:25:56J'ai tenté de le faire
00:25:57quelques juniors avant Roland,
00:25:58mais je pense que j'ai légué les pros
00:26:01et jusqu'à Roland,
00:26:02je ne vais pas faire
00:26:03beaucoup de juniors.
00:26:04Franchement, le but,
00:26:05c'est de progresser
00:26:06et de savoir ce que tu veux faire
00:26:07dans le long terme
00:26:08et tes projets plus tard.
00:26:10Comme moi, pareil,
00:26:11la dernière année,
00:26:12je n'étais même plus numéro ninja
00:26:13en 2004.
00:26:21Je suis habillée en arc-en-ciel
00:26:22aujourd'hui.
00:26:26Je suis ici à Nice
00:26:27pour un stage
00:26:28qui a été fait par la FFT.
00:26:32C'est un stage qui a été fait
00:26:33par la FFT.
00:26:34C'est un stage qui a été fait
00:26:35par la FFT.
00:26:36Donc là, je viens de passer
00:26:37un moment un petit peu long et dur,
00:26:39deux mois d'arrêt.
00:26:41J'ai eu une fissure
00:26:42à l'avant-bras gauche,
00:26:43donc à l'os.
00:26:44J'ai dû arrêter
00:26:45de jouer des revers
00:26:46pendant pratiquement
00:26:47un mois et demi.
00:26:52Je n'avais jamais fait ça
00:26:53depuis trois ans, je pense.
00:26:55Les blessures,
00:26:56on ne sait pas
00:26:57quand ça va s'arrêter,
00:26:58on ne sait pas
00:26:59quand tu vas pouvoir
00:27:00reprendre,
00:27:01et c'est ça
00:27:02qui est très très long.
00:27:23Là aujourd'hui,
00:27:24j'étais un peu agacée.
00:27:25C'était ma reprise de points.
00:27:27C'était le tout premier jour
00:27:28où je faisais des sets.
00:27:29J'avais fait quelques points,
00:27:30mais je n'avais pas compté.
00:27:31Donc déjà, rien que
00:27:32compter les points,
00:27:33c'est totalement différent.
00:27:41La relation avec mon coach,
00:27:42elle est un petit peu électrique
00:27:43de temps en temps.
00:27:44Donc forcément,
00:27:45des fois, il me dit quelque chose.
00:27:47Moi, je suis énervée,
00:27:48je suis moins à l'écoute,
00:27:49donc c'est un petit peu électrique.
00:27:56C'est ça, des fois,
00:27:57qui est un peu frustrant
00:27:58quand on a du mal
00:27:59à s'écouter.
00:28:07Pour que ça fonctionne,
00:28:08on a besoin
00:28:09d'un petit temps d'isolement.
00:28:10Je pense que, voilà,
00:28:11pendant 3-4 points,
00:28:12on souffle.
00:28:13Moi, je suis de mon côté,
00:28:14je pense à ce que je dois faire.
00:28:15Je l'écoute aussi
00:28:16parce que même
00:28:17si je suis énervée,
00:28:18je l'écoute.
00:28:19J'assume que je l'écoute
00:28:20même s'il m'énerve.
00:28:25Il met beaucoup d'énergie
00:28:26dans ce qu'il fait.
00:28:27Très investi.
00:28:28Et c'est hyper agréable
00:28:29de travailler avec lui
00:28:30parce que travailler
00:28:31avec quelqu'un
00:28:32d'hyper investi,
00:28:33c'est...
00:28:34Enfin, t'as confiance
00:28:35en la personne, quoi.
00:28:42Là, on est à Saint-Malo
00:28:43sur un 125 000,
00:28:44un de mes plus gros tournois.
00:28:50En plus, on est chez moi.
00:28:51Je venais ici
00:28:52quand j'avais,
00:28:53je pense, 5 ans.
00:28:54Je regardais
00:28:55les grandes joueuses.
00:28:56J'allais à la finale
00:28:57et je me disais,
00:28:58peut-être un jour,
00:28:59je jouerai le tournoi et tout.
00:29:00Et bah...
00:29:01Je suis là.
00:29:04Tu vois un peu
00:29:05comment elle joue ou pas.
00:29:06C'est une fille
00:29:07qui se bat tout le temps.
00:29:08Donc, faut que t'ailles
00:29:09chercher tes points
00:29:10sans te précipiter.
00:29:11Et c'est pas parce que
00:29:12tu joues une fille
00:29:13qui est mieux classée,
00:29:14beaucoup mieux classée,
00:29:15finalement,
00:29:16qu'il faut surjouer
00:29:17ou faire des choses différentes.
00:29:18Non, surtout pas.
00:29:19T'es forte
00:29:20quand tu joues ton jeu.
00:29:27Allez, Lydia !
00:29:29En venant ici,
00:29:30j'étais assez stressée
00:29:31parce que, déjà,
00:29:32jouer devant ma famille,
00:29:33un de mes plus gros tournois,
00:29:34on va dire.
00:29:41Et surtout,
00:29:42la reprise
00:29:43après la blessure,
00:29:44j'ai pas forcément
00:29:45très bien joué.
00:29:46Donc, j'étais pas forcément
00:29:47en grande confiance.
00:29:48Donc, ouais,
00:29:49c'est vrai que
00:29:50j'étais assez stressée.
00:29:54Elle sert très bien, là.
00:29:55Franchement,
00:29:56je suis contente de son service.
00:29:57Le fait que
00:29:58je sois à domicile
00:29:59et qu'il y ait
00:30:00toute ma famille,
00:30:01c'est incroyable.
00:30:02Après, ça peut vite
00:30:03se transformer en un stress
00:30:04parce qu'on n'a pas
00:30:05envie de les décevoir.
00:30:06On a envie de faire bien.
00:30:07Mais en fait,
00:30:08ils m'ont donné
00:30:09tellement de force
00:30:10que c'était génial.
00:30:11C'est ma première victoire
00:30:12ici
00:30:13et c'est surtout
00:30:14ma première victoire
00:30:15au circuit WTM.
00:30:17Voilà !
00:30:19C'était chaud !
00:30:21Oui, mais t'as été sérieuse.
00:30:22Je sais pas qui se joue,
00:30:23maintenant.
00:30:25Cette première victoire,
00:30:26c'est beaucoup d'émotion.
00:30:27Je suis super contente.
00:30:28Après,
00:30:29c'est qu'un seul match.
00:30:30Mon objectif,
00:30:31c'est d'être au plus haut.
00:30:32Donc, un match,
00:30:33c'est un peu rien.
00:30:34Après, c'est le début,
00:30:35bien sûr,
00:30:36mais je ne vais pas
00:30:37m'arrêter là.
00:30:42Elle a 16 ans,
00:30:43elle est 986e
00:30:44joueuse mondiale
00:30:45et elle est en plein Roland-Garros.
00:30:46Salut Alidja,
00:30:47merci d'être avec nous
00:30:48dans l'équipe de choc.
00:30:50Bonjour.
00:30:51T'es en direct d'où, là ?
00:30:52Parce qu'on sent
00:30:53que t'es à Paris,
00:30:54là, c'est ça ?
00:30:56Oui, je suis à Boulogne.
00:30:57Forcément, ça passe mieux.
00:30:58Avant de parler de ton Roland,
00:30:59Alidja,
00:31:00parle-nous de cette team
00:31:01jeune talent
00:31:02qui fait un peu
00:31:03office de deuxième famille,
00:31:04j'ai l'impression, pour toi.
00:31:05C'est un peu ça,
00:31:06à ton jeune âge,
00:31:07on a besoin d'être
00:31:08entourée, accompagnée.
00:31:10Oui, c'est sûr.
00:31:11Du coup, grâce à la BNP,
00:31:12j'ai intégré
00:31:14la team jeune talent
00:31:15qui est vraiment top.
00:31:17On a vraiment
00:31:18comme une famille
00:31:19avec tous les jeunes.
00:31:20On évolue ensemble,
00:31:21on se voit environ
00:31:22quatre fois par an.
00:31:23On a des séminaires
00:31:24et franchement,
00:31:25c'est trop cool.
00:31:27On peut évoluer,
00:31:28on peut apprendre
00:31:29grâce à d'autres sportifs.
00:31:31On a des séminaires
00:31:32avec des sportifs
00:31:33de haut niveau,
00:31:34que ce soit dans le tennis,
00:31:35mais aussi d'autres sportifs,
00:31:36d'autres sports.
00:31:37Donc, c'est super intéressant.
00:31:39On a vraiment...
00:31:40Enfin, on fait
00:31:41beaucoup d'apprentissage
00:31:42dans cette team.
00:31:43C'est trop cool.
00:31:44T'as rencontré qui
00:31:45comme autre univers ?
00:31:46C'est intéressant, ça.
00:31:47Je sais qu'il y avait
00:31:48Alizé Cornet
00:31:49et de Wilfried Songuet,
00:31:50bien sûr, en parrain
00:31:51de tennis.
00:31:52Qu'est-ce qui t'a marquée ?
00:31:57Je ne me rappelle plus
00:31:58de son nom,
00:31:59mais elle était vraiment top.
00:32:02Désolée !
00:32:09Elle a fait les JO.
00:32:12C'était une femme
00:32:13et franchement,
00:32:14elle était top.
00:32:15C'était trop bien.
00:32:16On ne va pas te mettre
00:32:17en difficulté,
00:32:18mais on sent que...
00:32:19Oui, mais ce n'est pas grave.
00:32:20Il y a des témoignages,
00:32:21c'est important.
00:32:22La team Jeune Talent
00:32:23te vient en aide
00:32:24sous plusieurs formats.
00:32:25Il y a les séminaires,
00:32:26vous rencontrez plein de gens
00:32:27d'univers différents
00:32:28et puis, notamment,
00:32:29un soutien financier
00:32:30sous forme de bourse.
00:32:31Qu'est-ce qui coûte
00:32:32le plus cher en tennis ?
00:32:33On ne se rend pas forcément compte.
00:32:35Dans un circuit tennistique,
00:32:38déjà, il y a
00:32:39tous les déplacements.
00:32:40Moi, je suis aidée
00:32:41par la Fédération française
00:32:42de tennis,
00:32:43donc déjà,
00:32:44ils m'aident beaucoup
00:32:45sur mon circuit,
00:32:46mais je sais que
00:32:47ce qui coûte cher,
00:32:48c'est les déplacements,
00:32:49payer le coach.
00:32:50Il y a beaucoup de paramètres
00:32:51qui rentrent en jeu,
00:32:52donc je sais que
00:32:53ça coûte très cher.
00:32:54Et puis, toi,
00:32:55tu es au CNE,
00:32:56donc le CNE,
00:32:57c'est le centre national
00:32:58d'entraînement
00:32:59depuis tes 12 ans.
00:33:00C'est hyper tôt.
00:33:01Alors, je crois que
00:33:02tu n'as pas quitté
00:33:03le cocon familial immédiatement,
00:33:04mais c'est rude.
00:33:05Depuis très, très tôt,
00:33:06tu es déjà petite championne.
00:33:07Il faut le porter
00:33:08sur ses épaules, ça.
00:33:10C'est vrai que je suis partie tôt.
00:33:12Après, moi,
00:33:13c'est mon objectif.
00:33:14J'ai vraiment envie
00:33:15d'être la meilleure.
00:33:16Pour moi, en fait,
00:33:17c'était normal.
00:33:18C'était ce que j'avais envie.
00:33:19Donc, j'ai été appelée
00:33:20par le CNE
00:33:21quand j'avais 12 ans.
00:33:22Je suis allée à 13 ans
00:33:23et mes parents
00:33:24ont pu m'accompagner.
00:33:25Donc, ça,
00:33:26c'est vraiment super.
00:33:27Mais partir aussi jeune,
00:33:28moi, ça ne m'a pas frustrée
00:33:29parce que pour moi,
00:33:30c'était vraiment
00:33:31l'objectif que j'avais
00:33:32envie de faire.
00:33:33Souvent, on compare,
00:33:34on parle des footballeurs
00:33:35qui partent très tôt,
00:33:36qui quittent le foyer,
00:33:37dans les autres sports
00:33:38et en tennis.
00:33:39Tu as été récompensée,
00:33:40Elidja,
00:33:41pour ta belle saison
00:33:42par une équipe
00:33:43d'entraînement.
00:33:44C'est super.
00:33:45Tu as été récompensée,
00:33:46Elidja,
00:33:47pour ta belle saison
00:33:48par une invitation,
00:33:49mesdames et messieurs.
00:33:50Une wildcard
00:33:51pour jouer
00:33:52les qualifs de Roland-Garros
00:33:53à seulement 16 ans.
00:33:54Je crois que cette semaine,
00:33:55il y a même eu un article
00:33:56dans l'équipe sur toi
00:33:57et les ados de Roland.
00:33:58Ça a donné quoi ?
00:33:59C'était des débuts
00:34:00un petit peu difficiles,
00:34:01impressionnants peut-être,
00:34:02ce premier Roland en pro,
00:34:03en tout cas en adulte ?
00:34:04Écoutez,
00:34:05c'était vraiment génial
00:34:06en termes d'ambiance.
00:34:07J'ai vraiment adoré
00:34:08jouer chaque point
00:34:09sur le cours,
00:34:10le cours 14,
00:34:11un petit peu.
00:34:12C'était vraiment
00:34:13super.
00:34:14J'ai vraiment eu
00:34:15énormément de chance
00:34:16d'avoir été invitée
00:34:17par la FFT,
00:34:18donc ça,
00:34:19c'était trop cool.
00:34:20Je pense que j'étais
00:34:21moins forte
00:34:22que mon adversaire
00:34:23sur ce jour-là.
00:34:24Elle était meilleure,
00:34:25elle a très bien joué
00:34:26même s'il y a eu
00:34:27un gros combat,
00:34:28mais ça m'a vraiment
00:34:29donné envie
00:34:30de progresser
00:34:31et de revenir
00:34:32sur ses cours
00:34:33parce que l'ambiance,
00:34:34elle est incroyable.
00:34:35Mais tu continues,
00:34:36tu vas aussi faire
00:34:37le tournoi en junior.
00:34:38Il y a une grosse différence,
00:34:39il y a un gouffre,
00:34:40il y a un fossé
00:34:41de niveaux
00:34:42dans le monde.
00:34:43Est-ce qu'il y a
00:34:44un fossé de niveau,
00:34:45d'ambiance
00:34:46quand tu joues Roland
00:34:47en junior et en pro ?
00:34:48Du coup,
00:34:49j'ai déjà joué
00:34:50deux ans auparavant
00:34:51le junior.
00:34:52C'était trop cool aussi.
00:34:53L'ambiance,
00:34:54c'est pareil,
00:34:55mais c'est
00:34:56un peu différent
00:34:57sur les juniors.
00:34:58Chez les plus jeunes,
00:34:59chez les grands,
00:35:00c'est toujours
00:35:01plus impressionnant,
00:35:02mais il y a
00:35:03des très bonnes joueurs
00:35:04aussi
00:35:05et c'est très intéressant.
00:35:06C'est quoi
00:35:07tes ambitions
00:35:08maintenant sur le junior ?
00:35:09Tu as déjà fait
00:35:10premier tour,
00:35:11on veut aller plus loin
00:35:12et tu as déjà
00:35:13un deuxième.
00:35:14Oui,
00:35:15j'aimerais bien
00:35:16faire mieux
00:35:17que premier tour.
00:35:18Je n'ai jamais
00:35:19gagné
00:35:20deux matchs
00:35:21à Roland-Garros
00:35:22pour l'instant.
00:35:23Déjà,
00:35:24ça va être l'objectif
00:35:25de gagner un match.
00:35:26Ce serait cool,
00:35:27mais vraiment
00:35:28de donner mon maximum
00:35:29et de profiter
00:35:30de chaque point
00:35:31sur le cours.
00:35:32On est de tout cœur avec toi.
00:35:33Le public français,
00:35:34il est difficile ou pas ?
00:35:35Quand il voit
00:35:36une gamine de 16 ans
00:35:37débouler,
00:35:38il doit être à fond
00:35:39derrière toi,
00:35:40non ?
00:35:41Je suis hyper surprise
00:35:42de comment ils étaient
00:35:43et ils sont restés
00:35:44jusqu'à tard.
00:35:45C'était le dernier match
00:35:46donc,
00:35:47franchement,
00:35:48j'étais trop contente
00:35:49qu'ils restent tous
00:35:50et il y a une super ambiance.
00:35:51Et on parle
00:35:52de cette team
00:35:53jeune talent
00:35:54parce que demain,
00:35:55il y a Lucas Van Acher
00:35:56qui sera avec nous.
00:35:57Normalement,
00:35:58ça dépend de son calendrier
00:35:59parce qu'il joue tout le temps
00:36:00ce jeune garçon.
00:36:01C'était son deuxième tour
00:36:02de qualif aujourd'hui
00:36:03contre le Kazakh Skatov
00:36:04et il a gagné
00:36:05Lucas Van Acher.
00:36:06Il a gagné en 3-7.
00:36:07Il a d'abord perdu
00:36:08le premier set 7-6
00:36:09mais ensuite,
00:36:10il affrontera
00:36:11le portugais Enrique Rocha
00:36:12pour intégrer
00:36:13le grand tableau
00:36:14de Roland-Garros.
00:36:15Ce sera demain
00:36:16normalement vers 14h
00:36:17ce match-là.
00:36:18Est-ce que c'est un joueur
00:36:19que tu regardes
00:36:20particulièrement,
00:36:21Elidja,
00:36:22Lucas Van Acher ?
00:36:23Déjà,
00:36:24je le côtoie
00:36:25un petit peu au CNE.
00:36:26Je le vois
00:36:27parce qu'on s'entraîne
00:36:28dans la même structure.
00:36:29Donc,
00:36:30je le vois là-bas
00:36:31et je vois
00:36:32comment il s'entraîne
00:36:33et je trouve
00:36:34que c'est vraiment
00:36:35un joueur
00:36:36qui met beaucoup
00:36:37d'intensité
00:36:38dans ses entraînements.
00:36:39J'ai pu regarder
00:36:40son premier tour
00:36:41de qualif'
00:36:42contre Manarino.
00:36:43C'était vraiment
00:36:44un super match.
00:36:45Donc,
00:36:46j'aime beaucoup
00:36:47comment il joue
00:36:48et l'intensité qu'il met.
00:36:49C'est vraiment...
00:36:50On espère qu'il ira
00:36:51le plus loin possible
00:36:52et toi,
00:36:53évidemment,
00:36:54on t'accompagnera.
00:36:55Ce n'est pas la fraîcheur
00:36:56incarnée,
00:36:57ce n'est pas du sourire
00:36:58qu'on a envie de soutenir.
00:36:59C'était Elidja Nyssen.
00:37:00Merci d'avoir été avec nous
00:37:01et bonne chance
00:37:02avec cette team jeune talent.
00:37:03Merci beaucoup.
00:37:04Ça donne envie.
00:37:05Il y a des pépis,
00:37:06tu vois,
00:37:07du tennis français,
00:37:08c'est sûr,
00:37:09numéro un monde.
00:37:10On vous l'aura présenté
00:37:11en exclusivité.
00:37:12A 17h24,
00:37:13sur la plate-forme
00:37:14Planète Sport.
00:37:15Evidemment,
00:37:16pas que.
00:37:17A mon Juju.
00:37:18Allez,
00:37:19bonne chance.
00:37:20Allez,
00:37:21belle billet
00:37:22pour démarrer
00:37:23cette Planète Sport.
00:37:24Shea Guildius-Alexander,
00:37:25nouveau MVP
00:37:26de la NBA.
00:37:27Plus d'un mois
00:37:28après la fin de la saison régulière,
00:37:29les 100 journalistes du jury
00:37:30ont couronné
00:37:31le meneur canadien,
00:37:32lauréat du trophée
00:37:33pour la première fois
00:37:34de sa carrière.
00:37:35La star de hockey ici,
00:37:36devance Nikola Jokic,
00:37:38son sacre vient récompenser
00:37:39sa saison de dingue.
00:37:40C'est le meilleur marqueur
00:37:41de la ligue,
00:37:42avec quasiment 33 points
00:37:43de moyenne.
00:37:44C'est le leader de la meilleure
00:37:45équipe de la NBA
00:37:46en saison régulière.
00:37:47Et il devient le deuxième
00:37:48Canadien à remporter
00:37:49cette distinction
00:37:50après un certain Steve Nash.
00:37:51Alors quand il a appris
00:37:52justement cette distinction,
00:37:53il était forcément
00:37:54très fier
00:37:55et très ému.
00:37:56Regardez.
00:37:57Hum.
00:38:03Thanks.
00:38:08Sorry, I'm so dramatic.
00:38:10Ah, Hailey Summers.
00:38:12I wouldn't be the man I am,
00:38:13I wouldn't be the player I am,
00:38:14I wouldn't be the father
00:38:15I am without you.
00:38:16Thank you for that.
00:38:17So thank you everybody.
00:38:21Pour!
00:38:22Alors il rendait hommage
00:38:23à sa femme,
00:38:24la mère de ses enfants.
00:38:25Et Erwann,
00:38:26c'est un sacre mérité
00:38:27pour Shea Guildress-Alexander,
00:38:28il n'y avait pas vraiment débat ?
00:38:30Alors, quand même.
00:38:31Alors c'est un sacre mérité
00:38:32pour Shea Guildress-Alexander,
00:38:33il y avait pas vraiment débat ?
00:38:34Alors, quand même.
00:38:35Alors, c'est un sacre mérité
00:38:36C'est un sac qu'on méritait, par contre il y avait débat frérot, parce qu'on a certainement assisté à l'une des courses pour le MVP les plus disputées.
00:38:45Il était en bugne à bugne, comme j'aime dire, avec Nikola Jokic, le pivot serbe d'Enver Nugent qui a réalisé la première saison en triple double pour un pivot.
00:38:55Après tu l'as dit, c'est le meilleur joueur de la meilleure équipe, ils avaient 17 matchs d'écart, 17 victoires d'écart entre les deux équipes.
00:39:02C'est ce qui a certainement fait basculer la bascule du côté de Charles Guy-José-Alexander.
00:39:08Pour moi, il n'y avait pas de mauvaise réponse, j'avais un petit faible pour le serbe Nikola Jokic, qui pour moi est le meilleur joueur du monde.
00:39:14Ça ne veut pas dire que tu dois être un MVP, Jordan n'a pas été MVP toutes les saisons, et LeBron James pareil, pourtant ça a été le meilleur joueur du monde pendant 10 ans.
00:39:22C'est largement mérité, il avait déjà été deuxième la saison dernière, il y a une vraie régularité chez ce garçon.
00:39:27Il est encore en liste pour l'épreuve, il pourrait être champion NBA, pourquoi pas être un MVP des finales, c'est un joueur magnifique.
00:39:35Un peu old school, très fort à mi-distance.
00:39:38Dans le mid-range, c'est mi-distance, tu es allé à l'école un peu.
00:39:43Pas tout le monde qui nous regarde, je ne pense pas qu'à moi.
00:39:46Dans ce cas-là, raison de plus, allez vraiment à l'école.
00:39:49Le mid-range.
00:39:52Pardon, je ne sais pas ce que ça veut dire mi-range, excusez-moi, je suis allé à l'école et je n'ai pas le mid-range.
00:39:57C'est un joueur magnifique, grand, élancé, meneur de jeu, filiforme, bon défenseur.
00:40:04Et puis c'est un attaque en phasé qui a un flot incroyable.
00:40:08Moi je l'ai connu pour ça, j'ai découvert le basketteur derrière.
00:40:12Quand est-ce que s'arrêtent les votes ? J'aimerais bien savoir aussi ça.
00:40:18Pourquoi ?
00:40:19Ils ont une confrontation directe.
00:40:21Ça s'arrête avant les playoffs.
00:40:24Ça s'arrête avant les playoffs, c'est une certitude.
00:40:28Après Nicolas Lukic, il y a trois titres de MVP.
00:40:31On peut expliquer sur plein de choses.
00:40:33Pour moi vraiment, c'est l'une des courses MVP les plus compliquées.
00:40:38Il n'y avait pas de mauvaise réponse.
00:40:39Je suis content de voir un nouveau joueur.
00:40:41On peut aussi dire qu'il n'y a pas d'Américain.
00:40:43Il n'y a pas d'Américain qui a MVP depuis 2018 et James Sardenne.
00:40:46Et ça veut dire quoi du basket américain ?
00:40:48Ils sont nuls gros !
00:40:50Ça veut dire quoi du basket américain ?
00:40:52C'est une bonne question parce qu'on voit qu'il domine encore le monde.
00:40:54On l'a vu aux Jeux Olympiques cet été.
00:40:56Mais c'est vrai qu'on le voit avec ce magnifique tableau.
00:40:59Mais individuellement, ce n'est pas ça.
00:41:01Individuellement, ça ne veut rien dire.
00:41:03Steph Curry est toujours là.
00:41:04Mais en tout cas, après le visage de l'NBA,
00:41:08le meilleur joueur du monde aujourd'hui, c'est Nicolas Jokic,
00:41:10pour moi depuis cinq ans.
00:41:11Et que les MVP, ils n'arrivent pas.
00:41:13Le deuxième, c'est Jokic.
00:41:14Le troisième, c'est Yanis.
00:41:15Donc sur le podium, il n'y a pas un Américain.
00:41:17Donc c'est une question qu'on se pose.
00:41:19Mais maintenant, il y a des jeunes joueurs qui arrivent.
00:41:21Il y a Victor aussi qui arrive, qui risque de prendre des places.
00:41:24Il y a Cooper Flagg qui risque d'être drafté numéro un aussi,
00:41:26qui va peut-être, pour les Américains, remettre un petit peu l'église au milieu du village.
00:41:30Mais c'est intéressant de suivre cette évolution.
00:41:32Ça montre aussi que le basket européen et international
00:41:34a pris de plus en plus de places dans le NBA.
00:41:36Tu parles bien aussi.
00:41:37C'est une question à te poser.
00:41:39Mais on ne peut plus.
00:41:41Il faut qu'on avance.
00:41:42Tu me fais sauter une newsleak.
00:41:43Non, on s'en fout.
00:41:44Il y a les barrages, tes barjous.
00:41:46On va parler des Knicks.
00:41:47On va parler des Knicks.
00:41:48Oh là là.
00:41:49On va parler des Knicks.
00:41:50Je n'ai pas dormi.
00:41:51Final de la conférence.
00:41:52C'était l'énorme coup des Pacers d'Indiana
00:41:54qui s'impose aux Knicks de New York,
00:41:56au Madison Square Garden,
00:41:57138 à 135 après prolongation.
00:42:00L'action de la nuit est signée Theresa Liberton,
00:42:02la star des Pacers,
00:42:03qui va arracher la prolongation au buzzer, s'il vous plaît,
00:42:06et climatiser la salle.
00:42:07Je vous laisse revoir ça dans les conditions du direct.
00:42:20Oh oh oh oh oh oh !
00:42:25C'est un 2.
00:42:27Je pense que c'est un 2.
00:42:29C'est seulement 10 fois le jeu.
00:42:31Et il a essayé de donner le signe de choc au Knicks.
00:42:34Et le jeu n'est pas fini.
00:42:36Waouh !
00:42:39Incroyable.
00:42:40Alors, il finit le match avec 31 points.
00:42:42En face, Jalen Brunson,
00:42:43lui, en met 43, le joueur des Knicks.
00:42:45Quand même.
00:42:46Le prochain match sera toujours regardé le vendredi.
00:42:47Erwan, t'es un fan des Knicks.
00:42:49Est-ce que t'as bien dormi, déjà ?
00:42:50Parce qu'on fait mal.
00:42:51La célébration à la Reggie Miller.
00:42:52Oui, tu le fais très très bien.
00:42:54Est-ce que t'as bien dormi ?
00:42:55En plus large, quand même.
00:42:56J'ai vu un match.
00:42:57J'ai vu ce pourquoi j'aime la NBA.
00:42:59Un spectacle extraordinaire,
00:43:01avec, déjà, du basket de très haut niveau,
00:43:04un basket d'attaque.
00:43:05Et surtout, j'ai vu un storytelling,
00:43:07avec justement cette espèce de revival.
00:43:09Reggie Miller.
00:43:10Theresa Liberton,
00:43:11qui fait une dédicace à Reggie Miller,
00:43:13qui commentait le match.
00:43:14Donc ça, c'est fantastique.
00:43:15Maintenant, les Knicks avaient fait le plus dur.
00:43:17Et je pense que les Knicks se sont arrêtés de jouer
00:43:19un petit peu trop tôt.
00:43:20Donc, 1-0 pour l'épaisseur.
00:43:22Ce qu'on voit surtout,
00:43:23c'est que ces deux équipes sont très proches
00:43:24les unes des autres.
00:43:25Et qu'on risque d'avoir une série très longue.
00:43:26On va se régaler.
00:43:27Marine Johannes, forfait pour l'Euro.
00:43:29Les mauvaises nouvelles s'enchaînent
00:43:31pour l'équipe de France féminine de basket.
00:43:33Après Gabby Williams, Dominique Malonga,
00:43:34encore Carla Leitte,
00:43:35c'est une autre joueuse,
00:43:36Kadebleu,
00:43:37qui a officialisé son forfait,
00:43:38hier, sur ses réseaux sociaux.
00:43:40Après avoir pris un temps nécessaire de réflexion,
00:43:42j'ai finalement pris la décision
00:43:43de ne pas participer aux championnats d'Europe cet été.
00:43:45C'est un choix qui n'a pas été facile à faire,
00:43:47mais il me semble être le bon aujourd'hui.
00:43:49La joueuse de New York, Liberty, en WNBA,
00:43:51sera libre de signer où elle le souhaite
00:43:53à l'issue de son année avec Liberty.
00:43:55Malheureusement, Erwann, c'était prévisible.
00:43:58Ça commence à faire beaucoup, là.
00:44:00C'était prévisible.
00:44:01T'as raison.
00:44:02C'est compliqué.
00:44:03C'est compliqué.
00:44:04C'est des sujets très compliqués.
00:44:05Le bon choix, c'est donc de jouer en WNBA,
00:44:08de ne pas venir en équipe de France
00:44:10après une campagne où on finit vice-championne olympique.
00:44:14L'année prochaine, c'est une Coupe du Monde.
00:44:16Tu l'as dit, elle sera free-agent.
00:44:18Elle va certainement signer un beau contrat l'année prochaine
00:44:20qu'elle va devoir honorer.
00:44:21Coupe du Monde chez les filles,
00:44:22ça n'a pas vraiment une grande importance.
00:44:24Même si on sait que la WNBA stoppe
00:44:26pour les Coupes du Monde des filles,
00:44:27pour que Team USA puissent jouer,
00:44:29maintenant, il va falloir quand même faire des compétitions
00:44:31et montrer un peu d'amour à ce maillot bleu
00:44:33avant les JO 2028.
00:44:34On ne peut pas juste show-up pendant les Jeux olympiques.
00:44:36Évidemment que Marine Joannès, quand elle n'est pas là,
00:44:38elle manque à tout le monde.
00:44:40Pour assurer tous les gens qui nous écoutent,
00:44:42c'est qu'il y a un vrai vivier
00:44:43et que certainement les filles auront à cœur d'être...
00:44:45Comment s'est vécu dans le groupe, justement,
00:44:46tous ces forfaits ?
00:44:47Je ne sais pas.
00:44:48Je n'ai pas les infos.
00:44:49Tu n'as pas ces infos-là ?
00:44:50Je n'ai pas les infos inside.
00:44:51Je n'ai pas des infos inside,
00:44:52mais en tout cas, on imagine.
00:44:53En tout cas, moi, ce que j'aime dans le sport collectif
00:44:55et le vivier du basket français,
00:44:57j'aime à me dire que
00:44:59quand quelqu'un n'est pas là,
00:45:01quelqu'un d'autre se montre.
00:45:02Le basket français,
00:45:03et chez les filles notamment,
00:45:04aussi comme chez les garçons,
00:45:06il y a beaucoup de filles
00:45:07qui ont envie de prendre leur chance
00:45:08et je reste persuadé que
00:45:09malgré l'absence de Gabi Wilhelms
00:45:11et de Marine Joannès et de Malonga,
00:45:13on est encore favoris pour cette compétition.
00:45:16On va enchaîner avec du tennis.
00:45:17Grande victoire pour Alexandre Muller.
00:45:19Le Français,
00:45:2040e mondial,
00:45:21a créé la sensation en battant l'Allemand.
00:45:22Alexander Zverev,
00:45:23numéro 3 mondial.
00:45:24Oui, c'était hier.
00:45:25Victoire 6-3, 4-6, 7-6.
00:45:28C'était à la TP500 d'Ambourg.
00:45:30Il signe la première victoire de sa carrière
00:45:32contre un joueur du top 5.
00:45:34Un gros poisson,
00:45:35je vous le dis, Zverev,
00:45:36qui a gagné ce tournoi en 2023,
00:45:37finaliste l'an dernier.
00:45:38Bref, Alexandre Muller
00:45:39confirme sa bonne forme
00:45:40après un premier titre à Hong Kong en janvier
00:45:42et une finale à Rio en février.
00:45:44Il affrontera en quart le Canadien
00:45:45Félix Auger-Aliassime.
00:45:46Et puis on va terminer avec Simon Gozy.
00:45:49Mondiaux de tennis de table.
00:45:50Depuis temps !
00:45:51Oui, il s'arrête en 8e de finale.
00:45:52Le Français,
00:45:53il a perdu contre le numéro 2 mondial,
00:45:55le Chinois Wang Shuking.
00:45:57Et Simon Gozy menait 2-7 à 0 dans ce match
00:46:00avant le retour Tony Truant,
00:46:02du Chinois piqué au vif,
00:46:04qui va finalement s'imposer.
00:46:05C'est son nom, piqué au vif ?
00:46:06Non, Wang Shuking.
00:46:08Ça s'appelle Wang Shuking.
00:46:10Victoire donc en 4-7 à 2 pour le Chinois.
00:46:13Il ne reste plus que Félix Lebrun,
00:46:15en simple,
00:46:16qui joue au début de soirée.
00:46:18On le suivra, évidemment.
00:46:20S'il fait un match en 4 minutes,
00:46:21on pourra donner le résultat
00:46:22avant la fin de l'émission.
00:46:23Et avec lui, ça peut arriver.
00:46:24C'est possible, oui.
00:46:25Après la pluie,
00:46:26on parlera d'un certain Ousmane Dembélé
00:46:27qui attire toutes les lumières
00:46:28en cette fin de saison.
00:46:29C'est lui qui a été invité
00:46:30à effectuer le tirage au sort
00:46:32de Roland Garros cet après-midi.
00:46:33Est-ce la preuve
00:46:34qu'il a changé de dimension,
00:46:35l'attaquant parisien,
00:46:36avant la Ligue des champions ?
00:46:37Et pourquoi pas,
00:46:38un éventuel ballon d'or ?
00:46:39On en parle en quelques minutes
00:46:40dans l'équipe de Choc.
00:46:41À tout de suite.
00:46:51C'est la révolution chez les filles
00:46:52avec l'absence de joueuses-cadres
00:46:53dans la liste des bleus.
00:46:54Pas de Wendy Renard,
00:46:55pas de Jenny Le Sommer,
00:46:56pas de Dali
00:46:57avant la Ligue des Nations
00:46:58et probablement l'Euro dans la foulée.
00:46:59Des choix forts
00:47:00de la part du sélectionneur
00:47:01Laurent Benally
00:47:02qui annonce peut-être
00:47:03leur retraite internationale.
00:47:04Scandaleo-logique,
00:47:05on en parle dans un instant
00:47:06dans l'équipe de Choc.
00:47:07Ce sera dans la planète foot.
00:47:08Mais qu'est-ce qui se passe encore ?
00:47:09La 12ème étape du Giro.
00:47:10Ton plus grand plaisir, Pierrot.
00:47:11Une victoire au sprint
00:47:12d'un Irlandais, Olaf Kooij.
00:47:13Sa 40ème victoire en carrière
00:47:14qui s'est imposée aujourd'hui.
00:47:15Il a profité aussi
00:47:16d'un très grand Wout van Aert.
00:47:17Le sprinter de Wismali se bat
00:47:18avec de l'avance d'une roue
00:47:19son compatriote Kasper van Nudel.
00:47:20Au classement général,
00:47:21pas de changement.
00:47:22Le maillot rouge,
00:47:23Isaac Del Toro
00:47:24conserve sa place de leader.
00:47:25Délicieux par contre.
00:47:26Pas mal.
00:47:27Lactaire.
00:47:28C'est un moment
00:47:29qu'il a son maillot de rose
00:47:30de leader.
00:47:31Lactaire il a dit.
00:47:32Merci.
00:47:33Merci pour ce petit point vélo.
00:47:34On revient au tirage au sort
00:47:35de Roland Garros
00:47:36si vous voulez bien.
00:47:37On parlera tennis tout d'abord
00:47:38mais plutôt
00:47:39on va parler de celui
00:47:40qui était invité
00:47:41à effectuer le tirage au sort
00:47:42à secouer les petites boules.
00:47:43C'est Ousmane Dembélé,
00:47:44dis donc.
00:47:45C'est Ousmane Dembélé.
00:47:46C'est Ousmane Dembélé.
00:47:47C'est Ousmane Dembélé.
00:47:48C'est Ousmane Dembélé.
00:47:49C'est Ousmane Dembélé.
00:47:50C'est Ousmane Dembélé.
00:47:51C'est Ousmane Dembélé.
00:47:52C'est Ousmane Dembélé.
00:47:53C'est Ousmane Dembélé.
00:47:54C'est Ousmane Dembélé.
00:47:55C'est Ousmane Dembélé.
00:47:56C'est Ousmane Dembélé.
00:47:57C'est Ousmane Dembélé.
00:47:58C'est Ousmane Dembélé.
00:47:59C'est Ousmane Dembélé.
00:48:00C'est Ousmane Dembélé.
00:48:01C'est Ousmane Dembélé.
00:48:02C'est Ousmane Dembélé.
00:48:03C'est Ousmane Dembélé.
00:48:04C'est Ousmane Dembélé.
00:48:05C'est Ousmane Dembélé.
00:48:06C'est Ousmane Dembélé.
00:48:07C'est Ousmane Dembélé.
00:48:08C'est Ousmane Dembélé.
00:48:09C'est Ousmane Dembélé.
00:48:10C'est Ousmane Dembélé.
00:48:11C'est Ousmane Dembélé.
00:48:12C'est Ousmane Dembélé.
00:48:13C'est Ousmane Dembélé.
00:48:14C'est Ousmane Dembélé.
00:48:15C'est Ousmane Dembélé.
00:48:16C'est Ousmane Dembélé.
00:48:17C'est Ousmane Dembélé.
00:48:18C'est Ousmane Dembélé.
00:48:19C'est Ousmane Dembélé.
00:48:20C'est Ousmane Dembélé.
00:48:21C'est Ousmane Dembélé.
00:48:22C'est Ousmane Dembélé.
00:48:23C'est Ousmane Dembélé.
00:48:24C'est Ousmane Dembélé.
00:48:25C'est Ousmane Dembélé.
00:48:26C'est Ousmane Dembélé.
00:48:27C'est Ousmane Dembélé.
00:48:28C'est Ousmane Dembélé.
00:48:29C'est Ousmane Dembélé.
00:48:30C'est Ousmane Dembélé.
00:48:31C'est Ousmane Dembélé.
00:48:32C'est Ousmane Dembélé.
00:48:33C'est Ousmane Dembélé.
00:48:34C'est Ousmane Dembélé.
00:48:35C'est Ousmane Dembélé.
00:48:36C'est Ousmane Dembélé.
00:48:37C'est Ousmane Dembélé.
00:48:38C'est Ousmane Dembélé.
00:48:39C'est Ousmane Dembélé.
00:48:40C'est Ousmane Dembélé.
00:48:41C'est Ousmane Dembélé.
00:48:42C'est Ousmane Dembélé.
00:48:43C'est Ousmane Dembélé.
00:48:44C'est Ousmane Dembélé.
00:48:45C'est Ousmane Dembélé.
00:48:46C'est Ousmane Dembélé.
00:48:47C'est Ousmane Dembélé.
00:48:48C'est Ousmane Dembélé.
00:48:49C'est Ousmane Dembélé.
00:48:50C'est Ousmane Dembélé.
00:48:51C'est Ousmane Dembélé.
00:48:52C'est Ousmane Dembélé.
00:48:53C'est Ousmane Dembélé.
00:48:54C'est Ousmane Dembélé.
00:48:55C'est Ousmane Dembélé.
00:48:56C'est Ousmane Dembélé.
00:48:57C'est Ousmane Dembélé.
00:48:58C'est Ousmane Dembélé.
00:48:59C'est Ousmane Dembélé.
00:49:00C'est Ousmane Dembélé.
00:49:01C'est Ousmane Dembélé.
00:49:02C'est Ousmane Dembélé.
00:49:03C'est Ousmane Dembélé.
00:49:04C'est Ousmane Dembélé.
00:49:05C'est Ousmane Dembélé.
00:49:06C'est Ousmane Dembélé.
00:49:07C'est Ousmane Dembélé.
00:49:08C'est Ousmane Dembélé.
00:49:09C'est Ousmane Dembélé.
00:49:10C'est Ousmane Dembélé.
00:49:11C'est Ousmane Dembélé.
00:49:12C'est Ousmane Dembélé.
00:49:13C'est Ousmane Dembélé.
00:49:14C'est Ousmane Dembélé.
00:49:15C'est Ousmane Dembélé.
00:49:16C'est Ousmane Dembélé.
00:49:17C'est Ousmane Dembélé.
00:49:18C'est Ousmane Dembélé.
00:49:19C'est Ousmane Dembélé.
00:49:20C'est Ousmane Dembélé.
00:49:21C'est Ousmane Dembélé.
00:49:22C'est Ousmane Dembélé.
00:49:23C'est Ousmane Dembélé.
00:49:24C'est Ousmane Dembélé.
00:49:25C'est Ousmane Dembélé.
00:49:26C'est Ousmane Dembélé.
00:49:27C'est Ousmane Dembélé.
00:49:28C'est Ousmane Dembélé.
00:49:29C'est Ousmane Dembélé.
00:49:30C'est Ousmane Dembélé.
00:49:31C'est Ousmane Dembélé.
00:49:32C'est Ousmane Dembélé.
00:49:33C'est Ousmane Dembélé.
00:49:34C'est Ousmane Dembélé.
00:49:35C'est Ousmane Dembélé.
00:49:36C'est Ousmane Dembélé.
00:49:37C'est Ousmane Dembélé.
00:49:38C'est Ousmane Dembélé.
00:49:39C'est Ousmane Dembélé.
00:49:40C'est Ousmane Dembélé.
00:49:41C'est Ousmane Dembélé.
00:49:42C'est Ousmane Dembélé.
00:49:43C'est Ousmane Dembélé.
00:49:44C'est Ousmane Dembélé.
00:49:45C'est Ousmane Dembélé.
00:49:46C'est Ousmane Dembélé.
00:49:47C'est Ousmane Dembélé.
00:49:49Et je pense qu'il n'y avait pas un meilleur ambassadeur du foot justement, en plus dans
00:49:53le contexte actuel, pour remettre en valeur un petit peu Roland Garros et le tirage parce
00:49:58que c'est ce que tous les tennismen attendaient.
00:49:59C'est anecdotique ou vraiment ça montre quelque chose ? Il sort de son statut juste de footballeur
00:50:03du PSG quoi.
00:50:04Tu vas à Roland.
00:50:05Les deux.
00:50:06Moi ce que j'aime bien avec Dembélé c'est que c'est un footballeur, ça restera un footballeur
00:50:09et que sa priorité ça restera le terrain.
00:50:13C'est ce que j'aime chez lui.
00:50:14On a vu des fois certains aimer la fame, aimer les à côté.
00:50:19Un peu trop aimer ?
00:50:20Non, pas du tout.
00:50:21Ce n'est pas le nom qui me vient.
00:50:22Balance.
00:50:23Tu penses à qui ?
00:50:24Je ne sais pas.
00:50:25Par exemple, Lévin Kurzawa.
00:50:26Quand tu ne joues plus en fait et que tu es dans un concours compliqué.
00:50:30Même quand il jouait, qu'on a croisé pas mal dans la night.
00:50:33Moi ce que j'aime de Dembélé c'est qu'il fait des choses qui lui plaisent.
00:50:36Là il vient.
00:50:37Je vois un mec qui est content d'être là, qui est dans une bonne phase de sa carrière
00:50:41et qui est appelé parce qu'effectivement il a un peu plus de popularité qu'à une époque.
00:50:45Il vient, il est content.
00:50:46Il ne vient pas en faire trop.
00:50:47Moi ce que j'aime chez Dembélé c'est que je sens chez ce garçon-là que sa priorité
00:50:50c'est le terrain.
00:50:51Et on sait que des fois, il y a des mecs qui basculent dans la fame.
00:50:54Surtout quand tu es à Paris.
00:50:55Lui, il n'a pas ça.
00:50:56Et pourtant je sais qu'on lui a reproché parfois de se coucher tard, de jouer à la console.
00:51:00Je trouve qu'il est dans un croisement de sa carrière où tout est aligné.
00:51:04Et il prend ce qu'il a envie de prendre et ce que ça lui plaît.
00:51:06Mais toujours pour les bonnes raisons.
00:51:07Et ça j'aime bien chez Dembélé.
00:51:08On invite souvent des stars comme ça à faire les tirages au sort ?
00:51:11Oui, des très grandes stars.
00:51:12La plus grande star de l'histoire du sport français.
00:51:16Chez les filles par exemple.
00:51:17Marie-Josée Perrec en 2024 qui a fait le tirage au sort.
00:51:20Antoine Dupont en 2023.
00:51:22Il y a beaucoup de sportifs.
00:51:23Peu de footballeurs finalement.
00:51:25Teddy Riner en 2019.
00:51:27Quentin Fillon Maillet en 2022.
00:51:28Alors il n'y a pas eu en 2021 ni en 2020 à cause du Covid.
00:51:31En 2018 c'était les patineurs.
00:51:33Papadakis ou encore Cizeron.
00:51:34En 2015 c'était Mathieu Dosseville aussi.
00:51:37C'est dommage, ça s'est arrêté vraiment.
00:51:41Très mauvaise infographie par contre.
00:51:43Comme vous pouvez le voir, il n'y a pas beaucoup de footballeurs.
00:51:46Là Ousmane Dembélé, il rentre dans une caste privilégiée.
00:51:49C'est vrai ça Mathieu, il n'y a pas de footeux dans cette liste.
00:51:51Ils n'ont pas leur place, ils ne sont pas invités à Orleans.
00:51:53C'est des deux mondes qui ne se côtoient pas.
00:51:54Je ne sais pas.
00:51:56Je pense aussi que c'est déjà assez médiatisé.
00:51:59On va peut-être mettre en lumière d'autres sports.
00:52:02Des personnes qui grillent dans d'autres sports.
00:52:03Donc ça peut jouer.
00:52:06Non mais parce que le fait qu'il y ait Dembélé.
00:52:09Le footballeur n'est pas quelqu'un d'exemplaire.
00:52:11En tout cas, on n'a pas envie de le mettre en avant.
00:52:12Et de prendre l'exemple sur les footballeurs depuis un bon moment.
00:52:16Parce qu'il a mis en image le footballeur.
00:52:18Il faut demander à des parents il y a 10 ans.
00:52:20S'ils voulaient que leurs enfants fassent du foot.
00:52:23Avec tout ce qui se passait.
00:52:24Je peux vous dire que ce n'était pas l'objectif prioritaire.
00:52:27Mbappé a un peu changé les choses.
00:52:29Mais malgré tout, je trouve que l'humilité que diffuse le PSG.
00:52:34Le fait d'être présentable.
00:52:35Le fait d'être au-dessus de la mêlée par rapport à ce que peut représenter un footballeur.
00:52:40Je me dis que Roland Garros a peut-être pensé à Dembélé par rapport à ça.
00:52:43Le travail, l'humilité.
00:52:46Je ne vais pas inventer quelque chose en disant que le PSG a une cote de popularité.
00:52:51Qui est montée en flèche durant cette saison.
00:52:53Par rapport au travail qu'ils ont fait.
00:52:54Au fait qu'il y ait un peu moins de stars.
00:52:59Je pense que c'est en relation aussi.
00:53:01Par rapport au fait que le football diffusait quelque chose avant.
00:53:03Là, le PSG avec le contexte qu'ils sont en train de faire.
00:53:06Et l'image qu'il renvoie.
00:53:07Ça paraît crédible d'arriver dans un sport comme le tennis.
00:53:10Où on prône un peu le gentleman.
00:53:12L'élégance.
00:53:13Ce genre de trucs.
00:53:15Ça dépend où tu es situé.
00:53:17Deux jours avant sa finale de Coupe de France.
00:53:19On ne va pas lui reprocher de s'éparpiller.
00:53:21Je ne crois pas.
00:53:22S'il fait un non-match samedi, je n'en sais rien.
00:53:24Encore une fois.
00:53:25Je pense que Dembélé, sur ce qu'il vient de faire depuis un an.
00:53:28A gagné le droit de faire ce genre de choses.
00:53:30On sait qu'il faut être légitime pour le faire.
00:53:32J'ai l'impression que Dembélé est légitime.
00:53:34Ce n'est pas parce qu'il est allé faire un tirage au sort à Roland Garros en plein après-midi.
00:53:38Ça lui a pris de bonnes heures.
00:53:39Il n'est pas allé ouvrir la saison d'un club à Ibiza.
00:53:43Tu vois ce que je veux dire ?
00:53:45Tu penses à qui, encore une fois ?
00:53:47Pas à Jérôme Koundé, ça c'est sûr.
00:53:51Je pense qu'à deux jours de fin de Coupe de France, il sera au rendez-vous.
00:53:53Après, la réalité d'un terrain, il y a des jours avec, il y a des jours sans.
00:53:56Mais ne mélangeons pas tout.
00:53:58Chaque fois, dans ses discours, on le voit.
00:54:00Il a fait d'autres émissions aussi.
00:54:01Je pense à The Bridge.
00:54:02On sent qu'il est naturel, qu'il explique sa vie.
00:54:04Donc non, je n'ai aucun souci avec ça.
00:54:06Je trouve ça très cool.
00:54:07Je trouve ça même bien pour lui.
00:54:08Ça nous a fait tous très plaisir de le voir faire ce petit tirage au sort.
00:54:11On peut avoir les résultats quand même ?
00:54:13Bien sûr.
00:54:15Le numéro 1 français Arthur Fyss pourrait défier le numéro 1 mondial, rien que ça.
00:54:19Yannick Seyneur en 8e de finale.
00:54:20Pour le dernier tournoi de sa carrière, Richard Gasquet a hérité au premier tour
00:54:24de son compatriote Terence Atman, qui lui aussi a bénéficié d'une invitation.
00:54:28On peut dire que le numéro 2 mondial, Carlos Alcaraz débutera la défense de son titre
00:54:32contre Kaini Shikori et pourrait avoir comme adversaire au troisième tour
00:54:35Giovanni Impechi Pereycar, notre français.
00:54:37Et dans le tableau aussi, masculin, on peut dire que Joko et Alexander Zverev
00:54:42pourraient se rencontrer en quart de finale.
00:54:44C'est prometteur.
00:54:45Ce sera à suivre, bien évidemment.
00:54:46De toute façon, c'est ce tirage au sort.
00:54:48Et puis Roland-Garros, on en reparlera demain avec Patrick Mouratoglou,
00:54:50le coach des stars, le mentaliste, comme on l'appelle.
00:54:53Et on pourra parler de Nadal et tout ce que vous attendez de ce tournoi.
00:54:5517h51, pour l'heure, il faut qu'on aille sur la planète foot.
00:54:58Toujours avec Juju.
00:55:03Tottenham a remporté le choc tant attendu.
00:55:05Qu'est-ce qu'il t'a dit ?
00:55:06Une bêtise.
00:55:08Tottenham, je reprends, a remporté le choc tant attendu
00:55:12à Manchester United.
00:55:13Une finale de Ligue Europa, victoire écrasante 1-0.
00:55:16Les Spurs, le 17ème de Première Ligue, donc, qui remportent à Ligue Europa à San Mames
00:55:21avec un but à l'image du match, finalement.
00:55:24Un but assez vilain, oui, de Johnson.
00:55:27L'hélié gallois qui met son 18ème but de la saison.
00:55:31A la 68ème, presque l'action de ce match, le sauvetage ninja de Van De Ven,
00:55:38défenseur de Tottenham.
00:55:42Le dernier titre du club remonté à 2008.
00:55:44La dernière Coupe d'Europe, c'était il y a 41 ans pour les Spurs,
00:55:47qui se qualifie donc pour la prochaine Ligue des Champions.
00:55:50Mathieu, c'était parfois dur à regarder.
00:55:52Finalement, le but, il est à l'image du match.
00:55:55Honnêtement, on ne s'est pas régalé.
00:55:57C'était triste.
00:55:58Mais bon, après, on met ça en perspective.
00:56:01C'était le 16ème contre le 17ème de Première Ligue.
00:56:05C'est la réalité du moment pour ces deux équipes.
00:56:07On a senti que l'enjeu prenait quand même un petit peu le pas.
00:56:11Il y avait énormément, au niveau du contexte,
00:56:14cette obligation de gagner pour ces deux équipes.
00:56:18Ça s'est ressenti, très physique, très haché.
00:56:21Franchement, on ne s'est pas régalé.
00:56:23Ce n'est pas une belle pub pour la Ligue Européenne, tout ça.
00:56:25Pour la Première Ligue, surtout.
00:56:27Le vainqueur ne joue pas contre un, ce n'est pas l'épargne.
00:56:33Pierre, pour Manchester, c'est une saison en enfer.
00:56:35Ils ont semblé amorphes dans cette finale.
00:56:37Il y a un joueur comme Bruno Fernandez
00:56:40qui a survolé la compétition, le meilleur buteur de la compétition.
00:56:43Je ne l'ai pas reconnu.
00:56:45Je ne suis pas un fan de Bruno Fernandez.
00:56:48C'est un joueur de petits matchs ?
00:56:50Non, ce n'est pas forcément ça.
00:56:52Je le dis, tranquillement.
00:56:54Vas-y, je t'en prie.
00:56:56L'altitude est souvent très élevée pour Bruno Fernandez,
00:56:59mais il disparaît souvent.
00:57:01Dans les grands matchs de Première Ligue, il n'est jamais là.
00:57:03Contre Ipswich, contre Leicester, Bondmouth, il y a du monde.
00:57:06Mais contre City, contre Liverpool, il n'est jamais là.
00:57:10Sauf qu'en fait, s'il n'y a pas Bruno Fernandez
00:57:12dans la saison de Manchester United,
00:57:14je ne sais pas qui on ressort.
00:57:16Il a sauvé bon nombre de matchs où c'était catastrophique.
00:57:19Non, lui, il joue contre Manchester United.
00:57:21Ce n'est pas pareil.
00:57:25Il faut mettre en contexte, encore une fois,
00:57:27ce qu'a fait Bruno Fernandez.
00:57:29Honnêtement, essayer de briller
00:57:31et avoir autant de statistiques
00:57:33dans une équipe qui est insupportable à regarder jouer,
00:57:36rien n'a de sens.
00:57:39Ça manque de talent, d'une façon générale.
00:57:41Tu regardes les joueurs, c'est Manchester.
00:57:43Mais tu peux mettre un architecte en coach au lieu de Bruno Fernandez.
00:57:45C'est pareil, c'est compliqué.
00:57:47Avec ce Manchester qui a toujours eu des joueurs incroyables.
00:57:52C'est triste de voir un Manchester comme ça.
00:57:54Mais ça fait longtemps, Mathieu.
00:57:56On est surpris aujourd'hui.
00:57:58Et en plus, on ne peut même pas dire
00:58:00qu'ils n'ont pas de problèmes financiers.
00:58:02Ils investissent de l'argent.
00:58:04Ils dépensent des 60-70 millions sur des joueurs
00:58:06qu'on ne connaît pas.
00:58:08Manchester, on peut tomber sur eux.
00:58:10Depuis que Ferguson est parti sur le terrain,
00:58:12c'est minable.
00:58:14Mais on ne le dira jamais assez.
00:58:16La vision bien pensée,
00:58:18parce qu'ils n'ont pas de problème d'argent,
00:58:20ça vient d'en haut.
00:58:22Aujourd'hui, la vision des mecs qui décident de Manchester
00:58:24est catastrophique.
00:58:26Les premiers mecs qu'on cible,
00:58:28ce sont les joueurs qui sont sur le terrain.
00:58:30Ce ne sont pas les bons joueurs.
00:58:32Ce n'est pas eux qui doivent incarner
00:58:34ce qu'on a connu de Manchester.
00:58:36C'est un match minable.
00:58:38Tottenham gagne, mais on peut leur jeter
00:58:40les mêmes pierres.
00:58:42Je me dis que Manchester,
00:58:44c'est ça.
00:58:46Leur fameux fighting spirit.
00:58:48Même là, dans une finale de grand rendez-vous,
00:58:50ils n'ont même plus ce supplément d'âme.
00:58:52Pour moi, ils ont touché le fond.
00:58:54Il va falloir repenser les choses.
00:58:56On avance dans cette planète de foot
00:58:58avec Luka Modric.
00:59:00Le Real Madrid, c'est la fin.
00:59:02On se dirige vers la fin du mandat de 12 ans.
00:59:0413 ans même de Luka Modric au Real.
00:59:06Il va quitter le club
00:59:08après le Mondial des clubs.
00:59:10Le Ballon d'Or 2018 l'a annoncé sur ses réseaux sociaux.
00:59:12Le Real a confirmé
00:59:14cette décision du croate sur son site officiel.
00:59:16Il a disputé 590 matchs
00:59:18avec le Real.
00:59:20Il a fiché surtout 28 titres,
00:59:22dont 6 Ligues des champions, 4 Ligas, 2 Coupes du Roi.
00:59:24Pierrot, toi qui es fan du Real,
00:59:26est-ce que tu as un petit pincement au cœur ?
00:59:28Luka Modric, Ballon d'Or 2018,
00:59:30qui va s'en aller après le Mondial des clubs.
00:59:32Pas du tout.
00:59:34Pourquoi tu me poses la question ?
00:59:36On en a parlé tout à l'heure.
00:59:38Ils ne comprennent pas.
00:59:40Je m'attendais à ce qu'il arrête
00:59:42déjà beaucoup plus tôt.
00:59:44J'étais préparé à sa fin aussi.
00:59:46Il avait prolongé pour le Mondial des clubs,
00:59:48ce qui est une très bonne chose.
00:59:50Mais en termes de transmission,
00:59:52c'est difficile de faire mieux
00:59:54que ce qu'a fait Modric depuis qu'il est au Real Madrid
00:59:56et depuis qu'il est plutôt sur le déclin.
00:59:58A chaque fois qu'il joue, il est bon,
01:00:00il est auprès de la jeunesse
01:00:02et il les aide à montrer ce qu'est le Real Madrid
01:00:04et l'importance qu'il y a.
01:00:06Le club est dans une transition
01:00:08et on voit bien que c'est une fin de cycle
01:00:10depuis un petit moment.
01:00:12C'est l'un des derniers soldats qui était là depuis longtemps.
01:00:14Je pense aussi à Vasquez qui va partir.
01:00:16Ce n'est pas le même degré.
01:00:18S'il est encore capitaine quand il joue,
01:00:20c'est qu'il y a quelque chose aussi.
01:00:22Il véhicule quelque chose à l'intérieur de ce club.
01:00:24Maintenant, merci.
01:00:26Merci pour les bijoux,
01:00:28merci pour le service à la patrie
01:00:30et bravo pour ce que tu as fait.
01:00:32Je ne pense même pas qu'il va arrêter
01:00:34parce qu'il a encore quelque chose.
01:00:36Je crois qu'il a 39 ans.
01:00:38Mais je crois qu'il voulait encore continuer.
01:00:40C'est juste que le Real
01:00:42n'a rien proposé.
01:00:44Mais d'après ce que j'ai entendu...
01:00:46Après, ça fait cher quand même
01:00:48pour être juste dans la transmission.
01:00:50C'est légitime.
01:00:52On avance les copains.
01:00:54Pas de vainqueur dans le barrage allé
01:00:56et le stade de Reims.
01:00:58On y revient.
01:01:00Un partout entre les deux équipes.
01:01:02L'ouverture du score des Messins.
01:01:04Corner joué à deux.
01:01:06La tête de Sabali pour Udol.
01:01:08Au milieu de 4 rémois.
01:01:10L'enfant du club.
01:01:124 fois les croisés.
01:01:14On va permettre à son équipe de mener 1-0.
01:01:16Au retour des vestiaires.
01:01:18Akiyeme qui tire ce coup franc parfaitement.
01:01:20Fort devant le but.
01:01:22C'est dévié par Cédric Kipré.
01:01:24C'est la finale de Coupe de France.
01:01:26Samedi contre le PSG pour Reims.
01:01:28Mathieu, qui t'a fait la meilleure impression
01:01:30hier sur ce barrage allé ?
01:01:32Tottenham.
01:01:34Le mec qui n'a rien compris.
01:01:36Ceux rouges.
01:01:38Mess a dominé le match.
01:01:40C'est dommage qu'ils prennent ce but.
01:01:42Ça aurait été mieux pour eux psychologiquement
01:01:44pour le deuxième match.
01:01:46Mais ils ont été costauds.
01:01:48Aussi pour Reims.
01:01:50Honnêtement, le contexte est vraiment compliqué.
01:01:52Les problèmes qu'ils ont.
01:01:54Cette finale qui arrive.
01:01:56Ils ne vont même pas pouvoir profiter.
01:01:58C'était censé être le point d'orgue
01:02:00de leur année.
01:02:02Malheureusement,
01:02:04c'est un peu pris en sandwich.
01:02:06Ça peut être une fin d'année
01:02:08en fanfare aussi pour Reims.
01:02:10Là, c'est quand même difficile
01:02:12de profiter de la finale.
01:02:14Je ne dis pas que tu vas gagner.
01:02:16Tu es obligé de mettre ta priorité
01:02:18sur ce barrage.
01:02:20Je ne suis pas convaincu.
01:02:22Je ne peux pas galvauder une finale de Coupe de France.
01:02:24Je vois ce que tu veux dire.
01:02:26Tu perdrais trop d'énergie.
01:02:28En plus, c'est Paris.
01:02:30L'énergie, c'est différent.
01:02:32Tu as le maintien derrière.
01:02:34Je pense que le meilleur moyen
01:02:36d'être à 100% sur les deux événements
01:02:38et pas à 110 d'un côté et 80 de l'autre
01:02:40c'est de se dire
01:02:42vas-y, on joue avec la meilleure équipe.
01:02:44Tu laisses faire le destin.
01:02:46Parce que tu ne peux pas faire autrement.
01:02:48Si ça avait été quelqu'un d'autre
01:02:50que PSG, je t'aurais dit
01:02:52peut-être.
01:02:54Mais là, c'est compliqué.
01:02:56Tu vas y aller ?
01:02:58Évidemment.
01:03:00Ça fait vilain d'arriver
01:03:02à la finale de Coupe de France
01:03:04pour Reims qui n'est pas habitué
01:03:06à mettre une équipe A, B ou B.
01:03:08Ça fait très embourgeoisé de faire ça.
01:03:10C'est les instances
01:03:12qui ont mal positionné ça.
01:03:14Ils n'auraient pas un barragiste
01:03:16qui serait capable d'être un finaliste
01:03:18de Coupe de France et qui place ça là.
01:03:20En l'occurrence, c'est de la faute des instances
01:03:22d'avoir placé ça là.
01:03:24Comment tu veux qu'ils le jouent à 100% ?
01:03:26On avance les copains.
01:03:28Le sélectionneur de l'équipe de France féminine
01:03:30Laurent Bonadelli a donné sa liste
01:03:32pour les deux derniers matchs de la Ligue des Nations
01:03:34contre la Suisse ou encore l'Islande.
01:03:36On vous le disait hier, pas de Wendy Renard
01:03:38ni de Jenny Le Sommer ou encore moins de Kenza Daly
01:03:40qui devrait également manquer
01:03:42le prochain Euro début juillet.
01:03:44Le sélectionneur des Bleus a expliqué
01:03:46sa décision en conférence de presse
01:03:48un peu plus tôt dans la journée.
01:03:50Déjà, je tiens à préciser que ce n'est pas une décision
01:03:52qui est prise contre ces joueuses.
01:03:54C'est une décision qui est prise pour l'avenir
01:03:56de l'équipe de France.
01:03:58Ce n'est pas par rapport au niveau,
01:04:00c'est aussi des choix pour d'autres joueuses.
01:04:02C'est ça que je veux bien faire comprendre
01:04:04pour des joueuses qui sont un peu plus jeunes
01:04:06et qui représentent l'avenir de l'équipe de France
01:04:08sur le projet que je dois mener sur les trois années
01:04:10qui font partie de mon contrat.
01:04:12Wendy Renard, c'est 168 sélections.
01:04:14Jenny Le Sommer, 200 sélections.
01:04:1694 buts avec les Bleus.
01:04:18Kenza Daly, 76 sélections.
01:04:20Pierre, c'est plutôt logique
01:04:22ou tu es surpris de voir que ces monuments
01:04:24du football féminin français
01:04:26soient mis de côté ?
01:04:28Je ne dirais pas qu'il y a une certaine logique
01:04:30mais c'est un choix qui est largement compréhensible.
01:04:32Tout à l'heure, on parlait des baskets
01:04:34féminines. Là, ce n'est pas du tout le même contexte
01:04:36mais malgré tout, il y a une jeunesse qui est derrière
01:04:38et la petite Bussi qui a prouvé pas mal de choses
01:04:40et qui va pouvoir montrer des choses aussi
01:04:42avec Léa.
01:04:44Personne n'est indispensable dans le football
01:04:46et que ce soit dans tous les sports.
01:04:48Surtout toi, Pierrot !
01:04:50C'est un sacré changement.
01:04:52On a toujours connu l'équipe de France
01:04:54avec Le Sommer et Wendy Renard.
01:04:56Quand elle aura 65 ans, elle va jouer avec sa canne.
01:04:58Il faut prévoir aussi l'avenir.
01:05:00Ta canne secours !
01:05:02C'est brillant !
01:05:04Double pige !
01:05:06C'est bien !
01:05:08Je pense que c'est...
01:05:10Il ne faut pas prendre ça comme une attaque pour moi.
01:05:12En tout cas, c'est bien de découvrir...
01:05:14Quand tu es joueur, les joueuses,
01:05:16elles ne peuvent prendre ça que personnellement.
01:05:18Tant pis pour elles !
01:05:20C'est ça, faire des choix quand on est un sélectionneur.
01:05:22Après, on aime, on n'aime pas.
01:05:24Mais le discours de ne pas qu'elles le prennent personnellement...
01:05:26Evidemment que quand tu es joueuse et qu'on ne t'appelle pas
01:05:28et que tu es quelque part une dolière...
01:05:30Elles sont à 3. C'est un peu différent si elle était toute seule.
01:05:32Là, quand tu es à 3, tu comprends le message
01:05:34beaucoup plus facilement et tu vas moins le prendre personnellement.
01:05:36Encore une fois, ça ne veut pas dire qu'elles ne seront pas là à l'Euro.
01:05:38Un peu, quand même.
01:05:40Tu prends deux matchs de Ligue des Nations,
01:05:42tu vas reconstruire une équipe.
01:05:44Ce n'est pas pour les rappeler pour l'Euro.
01:05:46À moins qu'il y ait une déconvenue.
01:05:48Mais si ça se passe bien, il n'y a pas de chance que tu vas continuer.
01:05:50Si ça se passe mal, tu les rappelles.
01:05:52Bonne ambiance ! Salut, ça va ?
01:05:54Si vous mettez l'ego tout le temps devant,
01:05:56tu ne peux rien faire, tu ne peux rien construire.
01:05:58Parce que tu ne veux pas toucher les gens.
01:06:00Après, tu assumes ta responsabilité.
01:06:02Ce soir, tu fais quoi, Pierrot ?
01:06:04Je vois après, Pierrot.
01:06:06J'ai un truc entre 18h15 et 20h25.
01:06:08Ça ne nous intéresse pas.
01:06:1020h25,
01:06:12Pierre qui va commenter l'équipe de France U17
01:06:14contre le Portugal.
01:06:16Deuxième match de l'Euro U17.
01:06:18Les joueurs de Lyon et de Bruxelles
01:06:20ont battu assez largement l'Allemagne
01:06:22lors du premier match.
01:06:24Une rencontre commentée par Raph Sebaoune.
01:06:26Attention, le rein !
01:06:28Oui, il va tomber.
01:06:30Hop là !
01:06:32Pierrot, tu as été bluffé par certains joueurs
01:06:34de l'équipe de France U17
01:06:36dans ce premier match.
01:06:38Raconte-nous un petit peu.
01:06:40Le petit Zizi à Toulouse,
01:06:42si je ne dis pas de bêtises,
01:06:44qui est un joueur assez remarquable
01:06:46dans la gestuelle avec le ballon.
01:06:48Franchement, ils ont fait un gros match.
01:06:50Ça a été très costaud, très rigoureux,
01:06:52très précis dans la tactique
01:06:54et par rapport à ce que demandait Lyon et Bruxelles.
01:06:56Très difficile à bouger,
01:06:58mais dès qu'ils ont le ballon,
01:07:00ils arrivent à piquer.
01:07:02Ils sont en nombre devant.
01:07:04C'est la 45e seconde,
01:07:06ils n'ont pas eu le temps.
01:07:08Les 30 premières secondes,
01:07:10c'est l'Allemagne qui a le ballon.
01:07:12Beaucoup de puissance,
01:07:14très fort dans les duels.
01:07:16Honnêtement, j'ai été assez bluffé
01:07:18par la gestion émotionnelle du match.
01:07:20Il n'y a pas eu de relâchement.
01:07:22Ils ont failli se faire punir
01:07:24par le petit Allemand qui s'appelle Karl.
01:07:26Quand il faut faire tourner, ils font tourner.
01:07:28Quand il faut piquer, ils savent piquer.
01:07:30Une défense très costaud
01:07:32et très organisée tactiquement.
01:07:34C'est une génération
01:07:36qui a beaucoup évolué ensemble.
01:07:38On voit beaucoup d'automatisme dans cette équipe.
01:07:40S'il gagne ce soir Portugal, il se qualifie ?
01:07:42Quasiment, parce qu'après le dernier match
01:07:44contre l'Albanie,
01:07:46l'Albanie a pris 4-0 contre le Portugal.
01:07:48Là, c'est le match de qualif.
01:07:50On compte sur toi pour faire des oh là là
01:07:52et des onomatopées à chaque fois qu'il y en a un.
01:07:54Ça fait partie du métier, Pierre.
01:07:56J'ai vu cette séquence à charge.
01:07:58Je me désolirise complètement.
01:08:00C'est le festival des onomatopées.
01:08:02Il va y avoir d'autres
01:08:04dans les tirs au but.
01:08:06On joue, messieurs, si vous le voulez bien.
01:08:08Quoi qu'il en soit, on place une dans cette émission.
01:08:10Le jingle, peut-être.
01:08:12Je peux le faire.
01:08:14Je suis dramatique, moi, sur le quiz.
01:08:16C'est l'heure de tester vos connaissances,
01:08:18de vérifier si vous avez bien révisé l'actu du jour.
01:08:20La Team Moubi se fait gentiment remonter
01:08:22mais il y a encore pas mal d'avance
01:08:24sur le reste du monde, je crois.
01:08:28Chaque équipe répond chacun son tour
01:08:30à une question d'actualité où vous pouvez vous concerter
01:08:32à voix haute pendant 15 secondes.
01:08:34Et attention à la carte bonus qui peut tomber à tout moment.
01:08:36Team Moubi, vous commencez ?
01:08:38C'est nous, aujourd'hui ?
01:08:40Je vais faire rose.
01:08:42Très bien. Tu dis ça avec une conviction.
01:08:44Je le sens bien, la rose, aujourd'hui.
01:08:46C'est la couleur que je vais faire pour les cheveux, c'est pour ça.
01:08:48Première question, Team Moubi.
01:08:50Question finale de la Ligue Europa.
01:08:52C'est quoi cette musique ?
01:08:54Quels sont les deux joueurs de Manchester United
01:08:56les plus mal notés dans l'équipe ?
01:09:00Onana.
01:09:02Il en a eu trois.
01:09:04Et l'autre ?
01:09:08L'attaquant, là.
01:09:10No, l'autre.
01:09:12C'était qui ?
01:09:14Vous l'aviez ?
01:09:16Je ne l'avais pas.
01:09:18Il marque en son cas.
01:09:20Luc Chaud, très gros crédit à la cantine.
01:09:22Attention.
01:09:24Merci pour cette remarque.
01:09:26Déjà une carte bonus ?
01:09:28Reste du monde, écoutez le grand show.
01:09:32Mathieu et Erwann, vous avez double jauge pour cette réponse.
01:09:34Parce que ça va être un petit peu long.
01:09:36Attention, vous aurez double jauge.
01:09:38Il y a neuf Français qui participent à l'Euroleague.
01:09:40Est-ce que vous pouvez m'en citer six ?
01:09:42Si vous citez les neuf, vous aurez droit à un joker
01:09:44sur une autre question.
01:09:46Régale-toi.
01:09:48C'est bon.
01:09:50C'est bon.
01:09:52C'est bon.
01:09:54C'est bon.
01:09:56C'est bon.
01:09:58Il en manque quatre.
01:10:00C'est bon.
01:10:04Non, ça ne va pas.
01:10:06Qui participe à l'Euroleague ou au Final Four ?
01:10:08Au Final Four.
01:10:10Ça marche pour les deux.
01:10:12Tu l'as déjà dit.
01:10:14Et le combo ?
01:10:16Il en manquait deux.
01:10:18C'est fini.
01:10:20J'ai double jauge.
01:10:22Troisième, s'il vous plaît.
01:10:24Tu as une bonne réponse.
01:10:26Tu as six, donc c'est bon.
01:10:28En revanche, tu n'auras pas de joker
01:10:30parce que tu ne m'as pas compté les neufs.
01:10:32Il manquait Fall.
01:10:34Et Bégarin ?
01:10:36C'est vrai, il joue très peu.
01:10:38C'est pas mal pour un débutant en basket.
01:10:40Premier point pour la team.
01:10:42Il a joué au Hanout.
01:10:44Pas en direct.
01:10:46Pas devant des millions de spectateurs.
01:10:48Qui va devenir le prochain entraîneur de Valenciennes ?
01:10:50Moulin.
01:10:52Stéphane Moulin.
01:10:54Bien sûr.
01:10:56C'est une bonne réponse.
01:10:58Bravo, premier tir au but.
01:11:00En Ligue 2, chez eux, il y a sa jeune personne.
01:11:02Tu vas en avoir une si tu veux.
01:11:04Reste du monde.
01:11:06Hung Minson a remporté hier son premier trophée en club.
01:11:08C'est vrai ou c'est faux ?
01:11:10Hung Minson.
01:11:12Je ne dis pas bien.
01:11:14Son.
01:11:16Est-ce que c'est vrai ou c'est faux ?
01:11:18C'est son premier trophée en club.
01:11:20Vrai, allez.
01:11:22J'aime bien te faire douter.
01:11:24C'est une bonne réponse.
01:11:26Comment vous dites-vous ?
01:11:28Hung Minson.
01:11:30C'est juste qu'ils ne le connaissent pas.
01:11:32Pas le prénom.
01:11:34Ça fait 2 à 1.
01:11:36Mathieu de Séville a-t-il joué plus, moins
01:11:38ou le même nombre de matchs pour Metz
01:11:40que Pierre Bouby ?
01:11:42Les coquins.
01:11:44Plus, moins ou le même nombre de matchs ?
01:11:46Je ne sais rien.
01:11:48Tu crois que c'est le même ?
01:11:50C'est impossible.
01:11:52On va rentrer dans sa tête.
01:11:54Mais vous avez raison.
01:11:56Merci.
01:11:58C'est combien ?
01:12:0033 matchs chacun.
01:12:02Une saison.
01:12:04On ne demande pas qui a gagné.
01:12:06Qui a gagné le plus d'oseilles à Metz ?
01:12:08Je crois que c'est lui.
01:12:10On a la réponse.
01:12:12C'est faux parce que j'étais prêté.
01:12:14C'était un piège.
01:12:16Tu me restes du monde.
01:12:18Sur 116 matchs joués à Roland-Garros,
01:12:20combien Nadal en a-t-il gagné
01:12:22à un prêt ?
01:12:24116 matchs à un prêt,
01:12:26combien il en a gagné ?
01:12:28114, 113.
01:12:30Après il est jeune peut-être.
01:12:32Il a joué en junior.
01:12:34Attention.
01:12:36114.
01:12:38C'était 112.
01:12:40En jeune, il a dû en perdre.
01:12:42Quand il était jeune.
01:12:44Tu ne connais pas trop les règles du sport.
01:12:46Mithio, Milran.
01:12:48Timbobile.
01:12:50C'est la carte handicap.
01:12:52C'est ça ?
01:12:54On va voir.
01:12:56Tu dois me donner la réponse
01:12:58en américain.
01:13:00Il y a pire comme accent.
01:13:02American Way.
01:13:04Tu réponds en américain.
01:13:06Jonathan Edwards a pris une amende
01:13:08de la NBA pour avoir dit en conf de presse
01:13:10« Je n'ai pris que 13 peu de tirs. »
01:13:12Ce n'est pas Jonathan Edwards.
01:13:14C'est Anthony Edwards.
01:13:16Quel est le montant de l'amende
01:13:18à 10 000 $ de prêt ?
01:13:20Ça ne sert à rien.
01:13:22En Amérique, c'est 20 000.
01:13:24Ça ne sert à rien.
01:13:26Je ne connais même pas Jonathan Edwards.
01:13:28C'est Anthony Edwards.
01:13:3060 000 $.
01:13:32J'ai fait comme lui.
01:13:34C'était 50 000 $.
01:13:3650 000 $.
01:13:38Il a fait un accent.
01:13:40J'ai refait le même.
01:13:4250 000 $.
01:13:44J'avais faux ?
01:13:46Oui.
01:13:48C'était à 10 000 $ de prêt.
01:13:50Tu n'as pas répondu en américain.
01:13:52C'est moche.
01:13:54Il fallait répondre en américain.
01:13:56Il vient de faire quoi avec sa trompette ?
01:13:58On enchaîne.
01:14:00Reste du monde.
01:14:02Quel champion du monde 98
01:14:04a été formé à Reims avant de se révéler à Metz ?
01:14:06Robert Pires.
01:14:08Respectez-nous.
01:14:10Pourquoi il fait l'actu ?
01:14:12A quelle heure il fait l'actu ?
01:14:14Je ne sais pas.
01:14:16C'est une bonne réponse.
01:14:18On parlait de Metz.
01:14:20Ce n'est pas son anniversaire aujourd'hui.
01:14:22Quel tennis-man a déclaré à propos de la terre battue ?
01:14:24Je ne dirais pas que c'est ma surface préférée.
01:14:26Muller.
01:14:28J'ai envie de dire Rafa.
01:14:30Alcaraz.
01:14:32Je ne sais pas.
01:14:34Bon courage.
01:14:36Je n'en ai aucune idée.
01:14:38Alcaraz.
01:14:40Parce qu'il était avec Dembouze.
01:14:42C'est une excellente réponse.
01:14:44Tu t'en veux.
01:14:46C'est pas sa surface préférée.
01:14:48On se dépêche.
01:14:50Un an après sa retraite,
01:14:52la légende du surf Kelly Slater
01:14:54a été invitée à concourir
01:14:56dans le circuit pro.
01:14:58Mais quel âge a-t-il ?
01:15:00Il revient dans le circuit pro.
01:15:02Je dirais 46 ans.
01:15:0445 ans.
01:15:06Un peu plus.
01:15:0852 ans.
01:15:1050 ans.
01:15:1253 ans.
01:15:14Il a eu 50 ans.
01:15:16Je l'avais celle-là.
01:15:18C'est une victoire de la team reste du monde.
01:15:20Elle est belle.
01:15:22On va pouvoir attendre Greg Acher
01:15:24pour nous parler de l'équipe de Greg.
01:15:26Je ne savais pas qu'on faisait
01:15:28les Américains de Deauville en revanche.
01:15:30Parce que là, c'était Patrick Abitbol.
01:15:32Ce n'était pas du tout Anthony Edouard.
01:15:34C'est l'accent qui m'a fait.
01:15:36Là, il va avoir des problèmes.
01:15:38La grand-chose t'aura des problèmes.
01:15:40De quoi on parle ?
01:15:42On va se demander pourquoi Manchester
01:15:44est devenu un géant aussi faible.
01:15:46Pourquoi est-ce qu'ils sont vraiment
01:15:48sur une pancarte acrysmique
01:15:50C'est le pourquoi du soir.
01:15:52Campos au PSG.
01:15:54C'est très important.
01:15:56Il a prolongé.
01:15:58Il est l'architecte du succès du PSG.
01:16:00On va en parler longuement.
01:16:02Il y a un avant-cap mercato énorme
01:16:04avec Modric qui s'en va du Real Madrid.
01:16:06C'est la part du légende au Real.
01:16:08C'est pour ça qu'il n'est pas dans le déjà.
01:16:10Si vous voulez jouer avec des vieillards,
01:16:12c'est bien.
01:16:14On se retrouve demain à 16h45.
01:16:16La fofto finit.
01:16:18C'est pour vous !