Retrouvez le replay du débat de l'Équipe du Soir du 24/05/2025.
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00:00Soyez les bienvenus, très heureux de vous retrouver pour cette édition spéciale finale de Coupe de France.
00:20Le Paris Saint-Germain s'est imposé face à Reims en finale 3 buts à 0.
00:24Sans grande surprise, Paris qui empoche sa 16e Coupe de France de son histoire.
00:29Toutes les réactions en direct du Stade de France.
00:31On se projettera sur la finale de Ligue des Champions évidemment face à l'Inter dans une semaine.
00:35Toutes les images de la soirée, il y en a des belles dans l'actualité.
00:38Le président de la soirée, Joe Miku, qui est toujours aussi élégant.
00:45C'est votre nouvelle musique.
00:49Ça va, c'est toujours élégant.
00:52Je ne vous reconnais pas, mais d'accord.
00:54C'est une musique de samedi soir.
00:56Un samedi soir, tête à tête.
01:02Est-ce que c'est avec le professeur ?
01:06Ça ne bouge pas, moi.
01:09Ça ne bouge pas.
01:10C'était quoi comme musique ?
01:11Je ne sais pas.
01:13C'est samedi.
01:15C'est samedi.
01:15Avec nous également ce soir, Sébastien Tarras.
01:22Sébastien, c'est génial.
01:25J'ai un chroniqueur qui nous regarde comme ça depuis tout à l'heure.
01:28Je vous laisse deviner qui c'est.
01:30Est-ce que c'est Ludo Bragnac ?
01:32Ce n'est pas lui.
01:32Non, ce n'est pas lui.
01:34Il se frite toujours.
01:34Vous n'êtes pas lui-même.
01:36Vous n'êtes pas lui-même.
01:36Vous n'êtes pas lui-même.
01:37Ah oui, les dogs.
01:38Voilà, très bien.
01:40Simple, efficace.
01:41La bois, ça grogne.
01:42Oui, il ne devait pas être avec nous ce soir.
01:46Mais il est là et c'est pour notre grand plaisir de déjanter l'équipe du soir.
01:49Il est là.
01:50Merci.
01:51Vestimentairement par là.
01:54Bonjour à tous.
01:54Bonjour à l'effort.
01:55Bonjour.
01:56Bonsoir.
01:56C'est Greg Stéder.
01:57C'est le déjanté.
01:58Vous êtes prêts pour débriefer cette grande finale avec toutes les images et toutes les infos ?
02:02Tanguy le sévillé.
02:02Ça va, Tanguy ?
02:03Ça va très bien.
02:03Oui, super.
02:06Tiens, au-delà de la finale, vous nous avez mis de côté quoi ce soir ?
02:10Il y a du Joko, il y a la Formule 1, du rugby bien sûr.
02:14Il y a du rugby, l'UBB, le champion d'Europe pour la première fois de l'histoire.
02:18Très belle chose.
02:20Vous étiez contents, c'est un peu chez vous quand même.
02:22Allez, on commence avec les images, Tanguy, de ce succès parisien qui a mis du temps à se dessiner quand même.
02:28Oui, effectivement, dès la 18e minute de jeu, le premier but parisien.
02:33Ce soir, il est signé Bradley Barcola, bien trouvé par Désir Edoué qui ne devait pas démarrer cette partie.
02:40Il a remplacé au pied levé avec Varadzkelia, victime de maux de tête.
02:42On va retrouver les deux mêmes hommes à la passe pour Désir Edoué et Bradley Barcola une minute plus tard.
02:482-0 après moins de 20 minutes de jeu.
02:50Le troisième but juste avant la pause.
02:53Le centre, cette fois-ci de Barcola pour Ashraf Hakimi.
02:563-0.
02:5716e Coupe de France pour le Paris Saint-Germain.
02:59Et dans une semaine, ils seront à Munich pour la finale de la Ligue des champions.
03:02L'Inter qui sont codés a perdu le titre, donc on fera la comparaison.
03:05Avec une petite info, évidemment, avec ce succès, c'est Lyon qui permet à Lyon d'accéder directement à la phase de poule de la Ligue Europa.
03:14Et Strasbourg qui sera en barrage de Ligue Conférence.
03:17Supporters lyonnais, petit message de remerciement à Barcola.
03:20N'hésitez pas, il mérite Barcola.
03:23Il vient de les envoyer en Ligue Europa, effectivement, ses anciens coéquipiers.
03:26Alors, les réactions en direct du Stade de France, avec David Aiello qui est en train de se mettre en place.
03:32La zone Ligue, ça va s'agiter assez vite parce qu'au niveau du protocole, les Parisiens ont promis de venir au micro avant de recevoir le trophée.
03:39C'est original, David.
03:43Oui, bonsoir, bonsoir à tous.
03:47La petite musique.
03:47Oui, je vous disais, effectivement, les Parisiens, il y a le souci de gérer au mieux cette soirée du côté des Parisiens,
03:55de ne pas trop s'éterniser ici du côté de Saint-Denis.
03:57Donc, effectivement, de venir rapidement.
03:59C'est ce qu'on vient encore de nous annoncer avant le début de la cérémonie post-match pour les Parisiens qui viendront juste ici à ce micro.
04:07On les attend à votre micro, donc, David, dans quelques instants.
04:09Priorité à vous, évidemment, en direct depuis le Stade de France.
04:12Qu'est-ce que vous dites après cette finale ?
04:13Félicitations Paris.
04:15Pas merci à Reims qui n'a pas opposé, qui n'a pas franchement fait trembler les Parisiens.
04:21Vous ressortez dans quel état, Greg ?
04:23Tu ne peux que féliciter Paris.
04:25Ils y ont quand même mis un investissement, une intensité.
04:28Ils ont attaqué le match à fond les ballons.
04:30Ils l'ont plié très vite.
04:31Je vois mal ce qu'on pourrait leur reprocher ce soir.
04:33Et certainement pas d'avoir coupé le moteur au bout d'une heure de jeu compte tenu des échéances qu'ils ont.
04:37Franchement, je trouverais ça.
04:38Tu envisages quand même de leur reprocher quelque chose.
04:40Tu dis qu'il ne faut pas leur reprocher, mais tu envisages pas.
04:41J'ai toujours un oeil sur la...
04:43Mais là, décemment, tu peux...
04:45Accessoirement, on a vu du foot quand même.
04:48Voilà.
04:48Joe, président, le Paris Saint-Germain vous a séduit ce soir dans sa manière de gérer une finale qui était très déséquilibrée ?
04:56Oui, oui, mais ça séduit après.
04:58Ce n'était pas non plus...
04:59Mais après, par rapport à eux, par contre, ils ont bien préparé la finale de la semaine prochaine.
05:04Il n'y a déjà pas de blessés.
05:05Ils ont mis l'intensité qu'ils mettent assez régulièrement.
05:08Sur un match où il y avait un vrai déséquilibre, ils ont quand même bien finalisé la première mi-temps pour tuer ce match-là.
05:15Et après, il y a eu un peu plus de gestion.
05:17Mais dans l'ensemble, ça reste un PSG qui maintient une pression.
05:22Et on sent que c'est un bon petit match pour bien se préparer pour la semaine prochaine.
05:28Donc, on traduit Paris à transformer une finale de la Coupe de France en match de préparation.
05:32Pour une finale de la Ligue des Champions, c'est pas mal.
05:35Non, mais après...
05:37Ça, c'est une sorte de mérite, Sébastien.
05:39Ils ont fait d'une finale à un match de préparation en maîtrisant...
05:41Il y a tellement d'écarts.
05:43Je pense qu'après, on ira voir sans doute Ludovic qui aura des choses à dire sur le stade de Reims.
05:49Mais il y a tellement d'écarts.
05:51Moi, avant le match, je disais 3-0 au bout de 30 minutes.
05:53Je me suis trompé.
05:55Il n'y a eu que 2-0 au bout de 30 minutes.
05:57Tu étais vraiment à côté.
05:59Je n'avais aucun doute sur le fait que cette équipe-là du Paris Saint-Germain,
06:03comment elle est bâtie, construite depuis désormais quelques mois,
06:07serait présente au rendez-vous.
06:08C'était impossible qu'il y ait un accident.
06:11Je ne voyais pas comment.
06:13Et ça, ça en dit long, Dave, sur ce PSG-là, en tout cas.
06:15Moi, c'est ce qui me frappe cette saison.
06:18C'est l'absence d'espace qu'ils donnent à leurs adversaires.
06:23C'est-à-dire qu'il n'y a pas de moment de déséquilibre
06:26où tu as l'impression qu'il peut y avoir un quart d'heure de flottement.
06:30Tu as l'impression que tout ça, c'est terminé.
06:31En fait, ils jouent à la hauteur de leur budget.
06:35Ce qui est presque une première depuis des années.
06:38C'est-à-dire que quand Paris joue comme un club qui a 850 millions
06:42avec des achats aussi importants, mais qui joue...
06:47Vous parlez d'argent, Dave.
06:48Non, mais dans le rapport de force, vous n'allez pas me dire
06:51qu'en face, c'était Manchester City.
06:52On va être d'accord.
06:53Non, mais sur une finale.
06:55Mais non, ce que je veux dire...
06:56Non, mais vous me faites dire ce que je n'ai pas dit.
06:57Ce que je veux dire, c'est que Paris, sur l'exigence dont vous parlez
07:02et qui est une bonne nouvelle, ça fait que maintenant, en fait,
07:04il y a un vrai, mais ce n'est même pas un écart.
07:06C'est un gouffre.
07:07Là où avant, sur un malentendu, tu peux espérer,
07:10parce que Paris peut avoir de la nonchalance,
07:12peut avoir un manque d'exigence, un manque même de sérieux et de préparation.
07:15Là, tu ne l'as plus.
07:16Donc, en fait, il n'y a pas un pouce d'espoir.
07:18Il n'y a pas quelqu'un avant le match parmi nous,
07:20et je pense parmi nos téléspectateurs, qui s'est dit...
07:22Et si Reims ?
07:23Il n'y a personne qui s'est dit ça Reims.
07:24Et c'est Reims, en plus.
07:25C'est-à-dire que déjà, avec Marseille, Nice, Lille,
07:29je pense que l'histoire leur a été pliée.
07:31Là, tu as Reims, qui est une équipe infiniment faible.
07:35Sur l'absence de...
07:37Il y a un match, moi, qui m'a marqué, c'est Dunkerque.
07:39Parce qu'on peut toujours rigoler et dire que c'est une Ligue 2,
07:41déjà, c'est probablement pas beaucoup moins fort que Reims.
07:43Et il y a quand même 2-0 au bout de 20 minutes pour Dunkerque.
07:46Alors, en plus, tu es au Stadium, tu es quand même à Lille,
07:48le public chaud comme les Braves.
07:51Et tu te dis, bon, il va falloir voir un peu le crash test de l'heure de jeu,
07:53parce que Dunkerque va faiblir.
07:55Mais à l'heure de jeu, il y a déjà 3-2 pour le PSG, en fait.
07:58C'est-à-dire qu'ils sont au-delà, même des...
08:00C'est deux tirs Dunkerquois, deux buts.
08:02Ils sont dans le sens du match, ils sont gonflés.
08:04Ils ont un fond de jeu qui était quand même très honorable.
08:07C'est déjà...
08:08Ils sont au-dessus de l'accident, comme a dit...
08:10Ou au-dessus de ce qui peut se passer dans un match.
08:12C'est fort, ça, d'être au-dessus de...
08:14Sur une saison, c'est quand même incroyable.
08:16Et tu arrives à un truc où, sous Louis-Saint-Riquet,
08:21Paris a raté un match.
08:23Dans le sens où ils ne sont pas allés au bout,
08:24c'est l'année dernière, ils s'arrêtent en demi-finale.
08:26Sinon, ils vont au bout du maximum de matchs possibles.
08:30C'est incroyable, sur deux ans.
08:31Non, mais ils ont structuré...
08:32Il a structuré, pour moi, ce club comme les grands clubs d'Europe.
08:35C'est-à-dire qu'en fait, à chaque fois qu'ils abordent un match et tout,
08:37ils sont dans une intensité et une préparation mentale
08:41pour écraser l'adversaire.
08:43Et souvent, ce qu'on reprochait à ce PSG-là,
08:45c'était peut-être ce manque de rigueur,
08:46où de temps en temps, il y avait des passages
08:48qui duraient, duraient, duraient assez longtemps dans les matchs.
08:50Et là, on le voit beaucoup moins.
08:52Alors, en deuxième mi-temps, on le voit un peu plus, peut-être,
08:53parce qu'il y a beaucoup de choses qui rentrent en jeu aussi.
08:55Mais je trouve qu'ils ont instauré ça.
08:57C'est-à-dire que quand tu voyais des grands clubs à l'étranger,
08:59moi, pour moi, si on cite le Bayern, le Real, le Barçal...
09:02C'était souvent ce qu'on leur reprochait à Paris.
09:04Voilà, ça arrivait sur des événements ou des gros matchs.
09:07Les mecs avaient quand même un certain niveau.
09:09Le curseur était assez élevé.
09:11Et là, je trouve que
09:12Lucien Ricard réussit aussi ça.
09:1423h03, on n'a pas encore entendu Ludo Braignac.
09:18Parce qu'on voulait parler de positif.
09:19Donc maintenant, on va parler de négatif.
09:21J'ai un garçon de pressage.
09:22J'attends qu'on me passe la balle.
09:26Parce que si je la prends, vous la reverrez.
09:28En général, c'est la plus ancienne qu'il a récupéré.
09:32Alors ça, Sébastien, un peu sur sa fin de carrière.
09:34Non, je le chauffe.
09:35C'est le but du jeu, quand même.
09:38Non, c'est plutôt en fin de carrière, ça, Ludo.
09:39Au début, ça allait bien.
09:41Bon, Ludo, plus sérieusement.
09:42C'est Reims qui vous a beaucoup déçu dans ce qu'ils ont offert ce soir.
09:45Déçu, oui, et non.
09:46Parce que moi, j'ai quand même
09:48cette Coupe de France.
09:50Il y a un côté sacré, je trouve.
09:52Pas parce que je l'ai gagné,
09:53mais parce que tous les matchs que j'ai joués,
09:56que ce soit les premiers tours,
09:58il y a quelque chose de magique avec cette Coupe-là
10:00qui n'avait pas la Coupe de la Ligue.
10:02Donc, je connais les enjeux.
10:04Je sais ce qui se passe à Reims.
10:05Je le sais très bien.
10:06Mais quand après le match,
10:07le dernier match de championnat,
10:08l'entraîneur nous annonce
10:10finalement que la Coupe de France
10:12sera bricotée
10:13au détriment du barrage.
10:17Vous ne pouvez pas m'empêcher
10:18d'être déçu.
10:19Il n'a pas dit comme ça ?
10:20Il n'a pas dit qu'on balance
10:23la finale de la Coupe de France.
10:24Il a dit qu'on fera des choix
10:26et quitte à faire des choix,
10:28on ne jouera peut-être pas la Coupe de France.
10:29Si on a des choix à faire,
10:31je le ressortirai.
10:32Mais il a clairement été énoncé
10:35qu'il ferait, en gros,
10:37l'impasse sur la Coupe de France.
10:38La question que tu poses,
10:39c'est s'il n'avait pas tenu ce discours.
10:42Je le crois.
10:43Est-ce que ça change fondamentalement quelque chose ?
10:45Je ne suis pas sûr
10:46que ce soit le meilleur moyen
10:47de préparer un match retour de barrage.
10:52Il a mis son équipe type ?
10:53Je ne veux rien que vous me racontent.
10:54Ce qu'il a laissé entendre,
10:55c'est que je vais mettre Ito.
10:57D'accord.
10:59Justement, je te pose la question.
11:00Ce qu'il a laissé entendre,
11:01c'est qu'on va mettre Ito à l'herbage,
11:03on va laisser Sibache sur le banc.
11:04Mais il les a mis.
11:05Il a mis son équipe type aujourd'hui.
11:06Si tu mets ces joueurs-là
11:10dans l'esprit de faire un footing
11:12et de dire que pendant 40 minutes,
11:14ces joueurs-là vont au moins courir
11:16pour pouvoir faire un peu,
11:17pour se mettre en route
11:18pour le match de mercredi,
11:20moi, personnellement,
11:21c'est ce que j'ai ressenti
11:22dans la façon de jouer,
11:22dans la tactique.
11:23Tu as quand même des supporters
11:24qui sont venus au stade.
11:26Bon, je suis désolé.
11:27Au moins, le premier quart d'heure,
11:28vous avez vu les stats ?
11:30Les fautes, deux fautes.
11:32De quoi vous voulez
11:32qu'ils fassent plus de fautes, Reims ?
11:33Essayez de jouer ton match.
11:35Tes supporters sont venus.
11:37C'est un déplacement
11:37tous les combien de temps ?
11:38Reims, ils n'ont pas joué une finale
11:40depuis combien de temps ?
11:41Les gens viennent.
11:42Mais essaye au moins.
11:44Montre qu'elle essaye
11:45au moins pendant un quart d'heure,
11:4520 minutes.
11:46Mets du tempo, mets du riz,
11:47second ballon.
11:48Tu vas là-bas,
11:49tu vas chez eux.
11:49Non, là, c'était...
11:51Allez, c'est pour vous, les gars.
11:55Les gars, c'est pour vous.
11:56On vous la donne.
11:57J'entends ce que tu dis,
11:58mais je trouve que cette équipe
12:00du PSG...
12:00Non, mais Dev,
12:01tu peux essayer quand même.
12:03Souvent, ils vous répondent.
12:06Ce que je veux dire,
12:07c'est que cette équipe du PSG,
12:09je comprends l'idée de départ
12:10sur ce que tu dis,
12:10mais cette équipe du PSG
12:11qui est d'une vivacité folle,
12:14qui est illisible au possible,
12:16qui est dans l'évitement,
12:17qui jamais ne conserve la balle,
12:19etc.,
12:20la fait toujours tourner
12:20et toujours en mouvement
12:21pour être dans les zones de contact
12:23comme tu préconises.
12:24Tu ne peux pas les choper.
12:24C'est compliqué.
12:26Ça me rappelle le grand Barça.
12:28Tu sais, on se disait
12:29pourquoi les mecs de Guardiola,
12:30on ne peut pas les attraper.
12:31Non, je parle dans l'idée.
12:33C'est-à-dire,
12:33pourquoi tu les attrapes ?
12:34Non, mais pourquoi tu ne les tamponnes pas
12:35les mecs de Guardiola ?
12:36Parce qu'en fait,
12:37ils ne sont toujours à l'évitement.
12:39Tu n'arrives pas à les attraper.
12:39D'une certaine manière,
12:40si tu as envie de les embêter
12:41au moins un quart d'heure,
12:41tu peux au moins essayer de les embêter.
12:49Oui, mais il y a quand même
12:52des situations où tu peux l'avoir.
12:54Non, mais ça, ce n'est pas vrai.
12:55Le premier but,
12:56ils le prennent justement
12:57contre-attaque
12:57parce que Reims
12:58met le nez à la fenêtre.
12:59C'est-à-dire que la fois où Reims,
13:01cependant 2-3 minutes
13:02met le nez à la fenêtre,
13:02ils ont le droit de dépasser
13:03le milieu de terrain.
13:04Oui, c'est pour ça
13:05qu'ils se sont fait prendre en transition.
13:07Donc, on va demander à David.
13:07Non, mais c'est vrai
13:08que jouer à 22 derrière,
13:09ça a bien marché.
13:10On va demander à David Aiello.
13:12L'impression depuis les tribunes.
13:13David, remettez l'ordre.
13:14Remettez un peu d'ordre
13:15parce que Ludo
13:16est en train de massacrer les Rémois.
13:18Oui, je vois que Ludo
13:19les massacre, à mon avis,
13:22de manière un peu injuste
13:23parce que, justement,
13:24sur l'intention, déjà,
13:25si on prend sur le coup d'envoi,
13:26ils essaient de balancer
13:27un long ballon
13:27et plutôt d'aller essayer
13:28de mettre la pression
13:29sur l'équipe parisienne
13:31dès le coup d'envoi.
13:32Et ensuite, sur la position
13:33du bloc Rémois,
13:35je suis désolé,
13:35en plus, ils viennent dire 22 derrière.
13:36Non, ce n'était pas 22,
13:37c'était juste 11 derrière.
13:38Mais ils n'ont pas mis le bus,
13:40justement, comme on pouvait l'attendre.
13:41Et c'est justement
13:41ce qui leur a posé
13:42beaucoup de problèmes.
13:43C'est qu'ils se sont fait prendre
13:43très souvent dans le dos
13:44parce qu'ils étaient
13:45dans un espèce de bloc
13:47médian légèrement bas.
13:48Mais en tout cas,
13:49ce n'était pas le bus.
13:49Le bus, il est venu
13:50beaucoup plus tard.
13:51Donc, je trouve que,
13:53voilà, le sentiment que j'ai eu
13:54plus qu'une mauvaise volonté,
13:56c'était surtout de l'impuissance
13:57de la part des Rémois.
13:58Ça a été évoqué par Dev.
14:00C'est bien beau de dire
14:01qu'ils ne voulaient pas,
14:02mais les Parisiens,
14:03quand ils ont le ballon,
14:03on ne peut pas.
14:04On est trop loin du ballon.
14:05Donc, c'est quand même difficile
14:06de récupérer ce ballon
14:08et de les mettre en danger.
14:11Donc, je trouve que
14:11leur faire le procès
14:13de l'intention ce soir,
14:14moi, surtout,
14:15ce que j'ai vu,
14:15c'est un fossé
14:16entre les deux équipes
14:17et, comme je le disais,
14:18le maître mot,
14:18l'impuissance rémoise.
14:19Mais c'est n'importe quoi.
14:20Donc, Dunkerque,
14:21ils ne pouvaient pas non plus.
14:22Mais tu ne peux pas.
14:22Ce n'est pas les mêmes matchs,
14:24Ludo.
14:24Ce n'est pas les mêmes matchs.
14:25Mais comment ça ne peut pas être
14:25les mêmes matchs ?
14:26Dunkerque, c'est une équipe
14:27moins bonne que...
14:29C'est pas beaucoup moins bonne.
14:29C'est pas beaucoup moins bonne.
14:29Le Paris n'a peut-être pas...
14:30Non, mais Dunkerque,
14:31ils ont essayé.
14:32Oui, mais ils n'ont peut-être pas
14:33pris le match de Dunkerque
14:34comme ils ont pris le...
14:34Mais à la fin,
14:35ce n'est pas grave.
14:35Non, on ne peut pas calmer.
14:37Mais tu n'essayes.
14:37On parle quand même...
14:38Non, me dites pas que Reims
14:39a essayé ce soir.
14:40On parle quand même...
14:41Sinon, ça voudrait dire
14:41que Nice est meilleur
14:42que Liverpool.
14:42On parle quand même...
14:43Ne dites pas que Reims
14:44a essayé ce soir.
14:44Greg et le Président, ensuite.
14:46On parle quand même
14:46d'une équipe
14:47qui se faisait tartiner
14:48par Saint-Étienne
14:48il y a deux semaines.
14:49On parle de Reims.
14:50On parle d'une équipe
14:51qui est traumatisée.
14:52Tu parles de signal
14:53envoyé aux vestiaires.
14:54On parle d'une équipe
14:54qui, lors du mercato d'hiver,
14:56pour s'en sortir,
14:56a lâché ses deux meilleurs joueurs.
14:58Donc, on est quand même
14:59dans un contexte déprimé.
15:00On est quand même
15:01dans un contexte...
15:02Et tu te prends
15:03cette espèce de machine de guerre.
15:04En plus, ça, c'est joyeuse.
15:05Le ballon va vite.
15:07Très franchement,
15:08ils n'étaient invités
15:08à aucun moment.
15:09Donc, tu ne peux pas leur faire un...
15:10Par exemple,
15:11on va y aller.
15:12Sur les joueurs,
15:13Ito, par exemple,
15:14l'entraîneur de Reims
15:15a expliqué qu'il aurait
15:16effectivement...
15:17Il était tenté
15:17d'en mettre certains de côté
15:18mais les joueurs
15:19ne l'auraient pas accepté.
15:20Ito, une finale de Coupe de France,
15:21il veut la jouer.
15:22Nakamura, une finale de Coupe de France,
15:23il veut la jouer.
15:24Tu ne peux pas les prendre
15:24en défaut de motivation, les mecs.
15:26Je veux dire,
15:26ce n'est pas vrai.
15:28Je ne vais pas taper
15:29sur les joueurs.
15:31Moi, ce qui m'accable ce soir
15:33et ce qui me met dans les cordes,
15:35c'est la manière
15:35dont tu abordes ce match.
15:37À quel moment
15:37vous aviez vu...
15:38À quel moment
15:39tu as vu
15:40au cours des deux dernières saisons
15:42de Lucendriquet
15:43que jouer à 5
15:44derrière contre Paris,
15:45c'est une bonne idée ?
15:46À quel moment
15:47tu as vu ça ?
15:48À quel moment ?
15:48À terminant,
15:49on va le faire
15:49la semaine prochaine,
15:50on verra bien.
15:50À l'internat même.
15:51Oui, mais si.
15:52Jouer à 5.
15:54Non, mais si on compare
15:54l'affaire de Milan...
15:55Non, tu me dis jouer à 5.
15:57C'est l'équipe
15:59qui maîtrise
16:00le système à 5
16:00le mieux au monde.
16:01On ne parle pas
16:02de la même chose.
16:02Donc, quand tu ne maîtrises
16:03pas tes bases
16:04du système à 5
16:04qui est un système inverse
16:06quand tu ne les maîtrises pas,
16:07tu ne fais pas ça
16:07contre Paris.
16:08Alors là, je vais dire un truc
16:10parce que Ludovic Braniac
16:13est en train de nous expliquer
16:14aujourd'hui
16:15que si Reims
16:16avait évolué à 4 derrière
16:18et gagnait la Coupe de France,
16:19moi je suis dit...
16:19Mais qui te dit ça ?
16:20C'est toi qui le dis.
16:21Ils jouent à 5.
16:22Ils n'ont pas joué à 5.
16:23On n'est pas joué à 5,
16:24on a joué à 4, les gars.
16:25Sérieux.
16:26Jouer, pour arbitrer
16:27un petit peu ça.
16:28Ce que je veux dire Ludo,
16:29ce que je veux comprendre,
16:30c'est que ce n'est pas
16:30juste au cours d'envoi,
16:31ils ont balancé le ballon
16:32dans le camp de Paris
16:34en disant
16:35bon, mais ça va,
16:38ce que je comprends,
16:39c'est de mettre plus d'impact.
16:40Moi, me dire
16:41alors Paris, ça va trop vite,
16:42ils n'arrivent pas...
16:43Alors peut-être sur des séquences
16:45de jeu, mais à un moment donné,
16:46il y a eu des duels quand même
16:47entre les Reims et moi
16:48et les Parisiens.
16:50Donc moi, je pense
16:51que c'est plus ça.
16:52Si tu montres quand même
16:53au PSG
16:53que tu es plus présent
16:54dans l'impact
16:55dès le début du match,
16:56etc.
16:57Sachant que Paris,
16:58quand même,
16:59dans 8 jours,
17:00joue une finale de Ligue des Champions,
17:02alors je ne te dis pas
17:02de remettre des tacs
17:04au niveau de la gorge,
17:05mais ça peut aussi
17:06un petit peu les calmer,
17:08pas plus haut que le genou.
17:10Non, mais ça peut peut-être
17:11calmer un peu...
17:12Je ne sais pas,
17:12j'en sais rien.
17:13Il y a des équipes
17:13mille fois supérieures.
17:15Tentez un truc.
17:16D'accord.
17:16Il y a des équipes
17:17mille fois supérieures
17:18à Reims
17:19qui, cette saison,
17:20ont pris la même sauce
17:21que Reims.
17:22Je te donne un exemple simple.
17:23Le match allé Liverpool
17:25payé Liverpool.
17:25Non, mais Dev,
17:25juste pour ta réflexion,
17:27après tu diras ce que tu veux.
17:28Mais je ne te dis pas
17:29que Reims aurait dû
17:30marcher sur Paris.
17:30Mais oui,
17:31mais c'est pas ça qu'on dit.
17:31On n'est pas en train de dire
17:32que ce n'est pas normal
17:33qu'il y ait eu 3-0,
17:34qu'il y ait eu un écart.
17:35C'est la logique.
17:36Là, je suis d'accord
17:37avec tout le monde.
17:37Mais montre un peu plus.
17:39Je trouve qu'ils ont subi
17:41un peu l'événement.
17:41J'allais répondre
17:42à ton premier argument
17:42qui était que tu peux
17:43quand même un peu
17:44les attraper,
17:45les mettre sous pression.
17:46Un peu, voilà.
17:47Les challenger.
17:49Paris contre Liverpool
17:51au Parc des Princes,
17:51je ne parle pas du résultat final.
17:52Mais Dev,
17:52ils ne sont pas dans l'intensité
17:53du match de Liverpool
17:54ce soir.
17:54Il les attrape pas.
17:56Liverpool,
17:57c'est Liverpool
17:58avec Michael Hissard
17:58mais ce n'est pas
17:59l'intensité du match
18:00de Liverpool.
18:01Il n'y a pas autant d'écarts.
18:04Il joue avec énormément
18:05de sérieux,
18:06mais ce n'est pas
18:06l'intensité du match
18:07de Liverpool.
18:08Je te dis en général
18:08qu'il y a un tel écart
18:09comme ce soir,
18:10ce n'était pas le cas
18:11de Liverpool-PSG
18:12selon moi.
18:13Pour essayer
18:14d'avoir un espoir
18:16de peut-être
18:17éventuellement faire
18:17quelque chose,
18:18tu ne vas pas jouer
18:20comme eux.
18:21Tu ne vas pas commencer
18:21à faire du toquet,
18:23de mettre de l'intensité.
18:24Donc, le truc qui reste
18:25ou qui est jouable,
18:27de mettre plus d'impact.
18:28C'est ça que je veux dire.
18:29Moi, je n'ai pas vu du tout.
18:31C'est ça que je veux dire
18:31ce soir, honnêtement.
18:32Tu es fier de ton équipe.
18:34Tu as appris ce que tu devais prendre.
18:35Non, mais ce que dit Ludo,
18:36il dit quand même un truc.
18:37Greg, je vous donne juste
18:38deux petites précisions.
18:40Il n'y a pas d'erreur
18:41sur les stats.
18:42Il y a deux fautes seulement
18:43de la part de Reims.
18:44En revanche,
18:4554% de duels gagnés
18:47par Reims
18:47sur les stats officielles.
18:48Ils en ont mis un peu.
18:50Si on essaie d'écouter
18:51ce que dit Ludo,
18:54même si je ne suis pas...
18:55Il n'est pas impossible
18:56effectivement
18:56que le PSG
18:58soit rentré dans la tête
18:59de ses adversaires
19:00cette saison
19:01au fil de leur succès,
19:03au fil de leur campagne européenne.
19:05C'est possible.
19:06C'est-à-dire qu'effectivement,
19:06quand Reims aborde le match,
19:08il n'est pas impossible
19:08qu'ils se sentent tout petits
19:09face au PSG.
19:10Ils sont en plein barrage
19:10pour se sauver en Ligue 1.
19:12Et à la limite,
19:14je peux à peu près l'entendre
19:15quand tu t'appelles
19:15Sibacheux ou Kipré.
19:17Tu ne te dis pas, Greg,
19:19que sur une mi-temps,
19:20si tu essaies d'aller...
19:21Enfin, je ne te dis pas
19:22que tu peux la challenger,
19:23mais au moins essayer
19:24de préparer ton barrage
19:26de la meilleure des manières.
19:28essayant peut-être
19:29de rivaliser
19:30sur un quart d'heure,
19:3020 minutes,
19:31en essayant des choses,
19:32en mettant de l'impact.
19:33Parce que ça va être ça,
19:34mercredi face à messe.
19:35Tu sais très bien,
19:36tu as traîné une équipe,
19:37ça fait des mois et des mois
19:38qu'ils rament.
19:39J'ai vu une équipe
19:39qui était déjà
19:40en position victimaire
19:41des coups de l'envoi.
19:42Oui, ça c'est sûr.
19:44Je pense que pour préparer
19:46le barrage,
19:47tu aurais pu essayer
19:47d'aller impulser.
19:50Déjà, ils sont malades.
19:51Il ne faut pas l'oublier.
19:52Donc, vouloir mettre
19:53de l'impact,
19:53c'est une chose,
19:54mais ils parvenirent,
19:55c'est autre chose.
19:56Parce que je pense
19:56que même physiquement,
19:57ils ne sont pas forcément
19:59en état.
20:00En plus,
20:00c'est complètement cuits
20:01au bout d'une demi-heure.
20:02Très très mal.
20:02Très très mal.
20:04Il y a un moment,
20:05si il y a 15 ans,
20:06vous faites un match
20:07mi-coup à Padoue,
20:08à Padoue,
20:09même s'il a envie
20:09de lui mettre des taquiers,
20:10à PPR,
20:12comme tout le monde.
20:12Tout le monde avait envie
20:13à l'époque.
20:14Mais il ne va pas l'attraper.
20:16C'est tout.
20:17Les gars,
20:18c'est les footballeurs
20:19qui ne parlent pas
20:20de la même chose.
20:20Mais il y a un écart énorme.
20:22Ludo,
20:23franchement,
20:23pour rebondir sur Sébastien,
20:25sur la prestation parisienne
20:26en première mi-temps,
20:27cet écart-là,
20:28il paraissait impossible
20:31à combler pour les Rémoins.
20:32Mais c'est aussi
20:32la faiblesse de Reims
20:33et de se mettre
20:34tout de suite en position.
20:36Mettez-vous à 22
20:37devant votre but,
20:38Paris va trouver
20:39avec Berkola,
20:40avec Doué,
20:41avec Dembélé.
20:42T'as vu ce qu'il ramasse,
20:42mais qu'il se livre un petit peu.
20:43Et en plus,
20:44il y a des oublis de marquage.
20:45C'est-à-dire que tu décides
20:46de jouer blindé de défenseurs
20:48derrière
20:48et t'as des oublis de marquage.
20:50Le but d'Akimi,
20:51tu l'oublies.
20:51Oui, mais comment
20:52ils prennent le premier but ?
20:53Ce n'est pas en blindant,
20:54justement.
20:54Mais ils sont sortis une fois.
20:55Et ils en prennent un.
20:56Ils en prennent un.
20:57Mais alors ?
20:58Ce n'est pas grave.
20:59Ce n'est pas grave.
21:00De toute façon,
21:01tu vas quand même en trompe.
21:02Donc, essaie quelque chose.
21:03T'entends un truc.
21:04Ils prennent une transition.
21:05T'entends un truc.
21:05Une transition au milieu de terrain.
21:06Ils ne sont pas sortis.
21:07Ils ne sont pas sortis.
21:10Ils étaient à 40 mètres
21:11de leur but.
21:12Non, mais ce n'est pas les seuls.
21:12Ce n'est pas les seuls.
21:14C'est mieux.
21:17Non, mais Slott,
21:17par exemple.
21:18Il ne trouve pas plus de chance
21:19de jouer comme ça ?
21:20Pas tous en même temps.
21:21Quand Slott est venu au parc,
21:23il a expliqué après le match
21:24qu'effectivement,
21:24il avait demandé à ses joueurs
21:26de jouer bas
21:26parce qu'ils sont terrorisés
21:28par la vitesse
21:29de Barcola,
21:31de Dembélé.
21:32Ils sont terrorisés.
21:33Et Slott a dit,
21:34il avait dit,
21:35je leur avais demandé ça.
21:37Par contre,
21:37mon problème,
21:37c'est qu'ils n'ont pas réussi,
21:38eux,
21:39à être dangereux
21:39et à passer le premier principe.
21:40Mais si Liverpool
21:42fait ce raisonnement-là,
21:43comment voulez-vous
21:44que le stade de Reims
21:45ne le fasse pas ?
21:45Ils sont terrorisés
21:46par la vitesse de Sénat.
21:47Mais on n'a pas demandé
21:47à Reims
21:48de venir à l'Ajax.
21:50Non.
21:50Non, mais ils ont demandé
21:51à mettre plus d'impact.
21:53Plus d'impact dans le jeu.
21:54Montrez à l'adversaire
21:54que tu es un peu là.
21:55Et je trouve qu'on n'a pas vu ça.
21:57Il y a un match
21:57qui, pour moi,
21:58est parlant.
21:59C'est Strasbourg
22:00qui va au parc.
22:02Bon, il y a 4-2 à la fin.
22:04Mais moi,
22:04je suis supporter de Strasbourg.
22:05Je sors de ce match-là
22:06et je dis,
22:06au moins,
22:07mon équipe,
22:07elle a tenté des choses.
22:09Elle a trouvé des trucs.
22:10Strasbourg finit au revoir.
22:11C'est pas la même équipe.
22:11Il y a un monde des cas
22:12aujourd'hui
22:12entre Reims et Strasbourg.
22:13Sur un match,
22:15tu ne peux pas tenter quelque chose.
22:17Il n'y a même pas
22:17une frappe au but.
22:18Il y a dû avoir une frappe.
22:19Même pas.
22:20Non, mais ça,
22:20moi, je suis d'accord.
22:21Mais qui est-ce ?
22:21Ludo, pour les Reims,
22:24on dira juste
22:25qu'avant cette défaite-là,
22:26il n'y avait que des matchs
22:27face au Paris Saint-Germain
22:28sur les 5 derniers matchs.
22:29D'ailleurs,
22:29pour les Rémois.
22:31Les Rémois
22:32n'avaient pas perdu
22:33face aux Parisiens
22:34sur les 5 derniers matchs,
22:35effectivement.
22:36Tanguy,
22:37le trophée,
22:38il a bien été remis aux Parisiens ?
22:39Oui,
22:39après la rencontre,
22:40évidemment.
22:41On va revoir les images
22:42de cette rencontre
22:44avec le premier but
22:45signé Brad Lebarcola.
22:47La bonne passe
22:47de Désiré Douai
22:49qui ne devait pas démarrer.
22:50C'est Gnichak Barajkeliak
22:51qui lui a dû rentrer chez lui
22:53pour des maux de tête.
22:54Le même passeur,
22:55le même buteur,
22:55Désiré Douai
22:56pour Barcola.
22:58Ça fait 2-0
22:59après moins d'une demi-heure
23:00de jeu,
23:00moins de 20 minutes même.
23:02Juste avant la pause,
23:03c'est Barcola
23:04qui va trouver
23:04au deuxième poteau
23:05Ashraf Hakimi tout seul
23:06qui conclut
23:08et Marquinhos
23:08qui va soulever
23:10le trophée
23:10pour les Parisiens
23:11qui sont à une semaine.
23:13On a les défis
23:13l'Inter Milan
23:14du côté de Munich
23:15à noter qu'on aura
23:15un PSG Marseille
23:16lors du prochain
23:17Trophée des Champions
23:17mais on ne sait pas
23:18où ce sera.
23:19Le PSG Marseille
23:20effectivement
23:20Trophée des Champions.
23:21La conséquence
23:22c'est que Lyon
23:22disputera la Ligue Europa
23:23donc Tanguy
23:24c'est bien ça ?
23:25Oui,
23:25Lyon est directement qualifié
23:26pour la phase de poule
23:27de la Ligue Europa
23:28Strasbourg en barrage
23:29de Ligue Conférence
23:30et Reims se contentera
23:31du barrage retour
23:32pour rester en Ligue 1
23:33ce sera jeudi prochain
23:33Auguste Delon
23:34Ce n'est pas des transitions
23:35de 70 mètres
23:36qu'on a vues
23:37Excusez-moi
23:38Elles sont belles les passes
23:38à un moment
23:40Ils sont en supériorité
23:40sur le but de Barcola
23:41Oui,
23:42mais Paris a le droit
23:42de bien jouer les actions
23:43Ils sont hauts
23:44C'est ça qu'on dit
23:45Excusez-moi d'être déçu
23:46Je suis quand même spectateur
23:48de ce métier
23:49Je suis désolé
23:51Regarde le premier but
23:52ils sont à 40 mètres
23:53J'ai vu une équipe
23:54qui a vu jouer les sparrings
23:55et voilà
23:55et point barre
23:56Une fois qu'on a vu ça
23:57c'est facile
23:57c'est une formule
23:58C'est une formule
23:59Mais c'est une finale
24:00de Coupe de France
24:01J'aurais aimé
24:02au moins
24:02Au moins ils se battent
24:05Tu nous as expliqué
24:08en long à l'arche
24:08qu'ils avaient mis le but
24:09dans leur 5,5 mètres
24:10Regarde le premier but
24:11Le premier but
24:11ils sont à 40 mètres
24:12Mais arrête
24:12ils perdent un ballon
24:13dans la construction
24:14et ils sont à 30 mètres
24:15de leur but
24:16Ils ont le droit quand même
24:17quand ils ont le ballon
24:18de faire 20 mètres
24:19Je ne sais pas
24:19tu nous as expliqué
24:19Le chiffre qu'a donné
24:31Messaoud
24:32quand même
24:32des 54% de duels
24:34gagnés par Reims
24:35moi ça m'intéresse un peu
24:35Ils en ont fait deux
24:3754%
24:38c'est pas divisible
24:41C'est des duels
24:42des duels
24:43tout confondus
24:44Il est fragile Ludo
24:46On va enchaîner
24:48avec le thème suivant
24:49T'essayes de mettre le pied
24:51Non mais je comprends
24:52pourquoi le football
24:53part en couille
24:5323h19
24:56Vous avez des standards
24:58qui sont quand même
24:59C'est vrai
24:59C'est rince quoi
25:01Voyons la suite
25:02les amis