Deux employés de l'ambassade israélienne aux États-Unis ont été tués à l'extérieur du musée juif de Washington mercredi soir, ont annoncé les autorités américaines, faisant état de l'arrestation du tireur présumé qui appelait à "libérer la Palestine". Donald Trump a condamné d'"horribles meurtres" motivés par "l'antisémitisme". D’après des responsables interrogés par des médias locaux, le suspect, Elias Rodriguez, a été aperçu en train d’arpenter les abords du Musée Juif de la capitale américaine avant d’ouvrir le feu.
Selon le récit recueilli par CNN d’un témoin présent sur place juste après la fusillade, après avoir tiré sur les deux victimes, il aurait attendu l’arrivée de la police pendant dix minutes et se serait fait passer pour un témoin de la scène. Une fois interpellé, il aurait crié «Free Palestine» («Libérez la Palestine») lors de son arrestation.
Donald Trump a condamné d'"horribles meurtres" motivés par "l'antisémitisme". "Ces horribles meurtres à Washington, évidemment motivés par l'antisémitisme, doivent cesser, MAINTENANT !" a-t-il réagi sur son réseau Truth Social.
"La haine et le radicalisme n'ont pas leur place aux États-Unis", a-t-il ajouté. Le directeur du FBI, Kash Patel, a dit que lui et son équipe avaient été informés de la situation. "Priez pour les victimes et leurs familles alors que nous travaillons avec le (département de la police métropolitaine) afin d'agir et d'obtenir des informations supplémentaire", a-t-il écrit sur X.
Selon le récit recueilli par CNN d’un témoin présent sur place juste après la fusillade, après avoir tiré sur les deux victimes, il aurait attendu l’arrivée de la police pendant dix minutes et se serait fait passer pour un témoin de la scène. Une fois interpellé, il aurait crié «Free Palestine» («Libérez la Palestine») lors de son arrestation.
Donald Trump a condamné d'"horribles meurtres" motivés par "l'antisémitisme". "Ces horribles meurtres à Washington, évidemment motivés par l'antisémitisme, doivent cesser, MAINTENANT !" a-t-il réagi sur son réseau Truth Social.
"La haine et le radicalisme n'ont pas leur place aux États-Unis", a-t-il ajouté. Le directeur du FBI, Kash Patel, a dit que lui et son équipe avaient été informés de la situation. "Priez pour les victimes et leurs familles alors que nous travaillons avec le (département de la police métropolitaine) afin d'agir et d'obtenir des informations supplémentaire", a-t-il écrit sur X.
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