🌍 À la frontière entre combat écologique et destin personnel, un jeune homme redessine les contours du désert de Gobi. À 23 ans, Wang Jin s’impose comme un symbole de résilience et de lutte contre la désertification. Originaire du Sichuan, il consacre sa vie à reboiser les étendues arides de Mongolie intérieure, dans le cadre du gigantesque projet de la Grande Muraille Verte chinoise 🌱.
Malgré une cécité partielle, il s’engage dans une mission physique, rude, essentielle : planter des arbres dans le sable, au cœur d’un des environnements les plus hostiles de la planète. 🎋
📈 En Chine, la surface forestière ne cesse de progresser : de 5% en 1978 à près de 14% aujourd’hui, selon les chiffres officiels. Et derrière chaque arbre planté se cache le travail de milliers de travailleurs de l’ombre, comme Wang Jin.
🧬 Ce combat s’inscrit dans une démarche globale pour ralentir l’avancée des déserts, préserver les écosystèmes fragiles, et construire un futur plus durable. Si la Chine investit massivement dans cette stratégie verte, c’est aussi une réponse à l’urgence climatique mondiale et aux défis alimentaires à venir.
🔍 À travers sa popularité soudaine sur les réseaux, c’est aussi une autre question qui émerge : celle du héros écologique 2.0, entre image virale et engagement de terrain.