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Le fondateur de l'Observatoire du wokisme, Olivier Vial, sur le refus du footballeur Mostafa Mohamed de jouer ce week-end lors de la journée de lutte contre l'homophobie : «Au nom de la non-islamophobie, on accepte des choses inacceptables»

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Transcription
00:00Il est plus un symptôme qu'un symbole.
00:03On a une étude qui est sortie il y a quelques jours, il y a huit jours, en Belgique.
00:1018,4% des jeunes belges, dans cette étude, disent qu'ils acceptent les agressions contre les homosexuels.
00:17Et ça, SOS homophobie, sans le déplore, sauf qu'SOS homophobie, dans la même chose,
00:23évite de parler de la ligne d'en dessous.
00:25Ce qu'on apprend dans cette étude-là, c'est que c'est encore plus fort,
00:28c'est deux fois plus fort parmi les jeunes belges qui ont un parent étranger,
00:31ou parmi les jeunes belges qui sont de culture musulmane.
00:35Et ça, effectivement, c'est ce qu'on voit, c'est qu'effectivement, aujourd'hui,
00:38au nom du respect de la religion, au nom de la non-islamophobie,
00:42on accepte des choses qui sont inacceptables.
00:44En France, il y a un sondage, Harris, qui était sorti au mois de mars,
00:48et qui disait que 40% des jeunes, pareil, acceptent être normal qu'un livreur Uber, par exemple,
00:55ne livre pas quelqu'un en fonction de sa religion.
00:58Et qu'en gros, un livreur musulman n'avait pas à livrer quelqu'un qui était d'origine juive.
01:02C'est totalement intolérable, sauf qu'on voit que c'est de plus en plus répandu.
01:0640% des jeunes acceptent ça.
01:08Et là encore, on voit bien que c'est parce que, justement, on a laissé monter ce wokisme.
01:13On va...
01:13Sous-titrage Société Radio-Canada

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