- 16/05/2025
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00:00Générique
00:00Bonjour à tous et bienvenue dans cette nouvelle édition du Grand JT des Territoires.
00:18Voici tout de suite les titres de ce journal.
00:20La vague d'agressions qui se multiplient en France inquiète les Français semaine après semaine.
00:25La situation contraint-elle le gouvernement à prendre des mesures particulières à l'entrée des établissements scolaires ?
00:32Nous le saurons dans quelques instants avec Vosges TV qui nous a permis d'assister à la manière dont un contrôle dans une école est mené par les forces de police qui pratiquent des fouilles inopinées, vous le verrez dans un instant.
00:44Des arnaques de faux dépanneurs, un fléau qui s'amplifie ces derniers mois et que la profession a du mal à endiguer.
00:51Vous le verrez, les malfaiteurs sont bien rodés, explication dans cette édition avec nos partenaires de TBO en Bretagne.
00:57Un avion sans bruit ni pollution, une première mondiale.
01:01L'unique appareil électrique autorisé à voler dans le monde est présent en France.
01:06Et TVR, Arène a pu monter à bord.
01:09Des sensations garanties à surtout ne pas louper.
01:12Et puis les amateurs de voitures, vous apprécierez forcément les coccinelles et les combis que vous verrez dans ce reportage en fin de journal.
01:20Des modèles mythiques de la marque Volkswagen que de nombreux fans sont venus apprécier lors d'un rendez-vous dans l'aube.
01:28Des véhicules merveilleux que Canal 32 a pu découvrir pour nous.
01:33Je vous le disais dans les titres, suite aux agressions qui se multiplient ces derniers mois dans les établissements scolaires,
01:39le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau souhaite la mise en place de fouilles inopinées.
01:44Pourquoi et comment ? Vous allez le découvrir.
01:48Partons à Epinal, dans les Vosges, où un contrôle a été réalisé à l'entrée d'un lycée.
01:53Vosges TV était présent pour nous sur place.
01:56Regardez.
01:56C'était un accueil plutôt inhabituel pour les élèves du lycée Viviani d'Epinal qui étaient attendus par une quinzaine de policiers pour un contrôle inopiné de leur sac.
02:07Une opération de prévention et de communication également qui fait suite aux directives du ministre de l'Intérieur,
02:13dans un contexte d'agressions qui se sont multipliées dans les établissements scolaires en France.
02:17Il s'agit d'une opération de contrôle d'identité et de contrôle de fouilles des sacs qui est destinée à rechercher soit la présence d'armes, soit la présence de stupéfiants.
02:27Les contrôles sont négatifs. Aucun sac ou aucun élève n'a été trouvé porteur de stupéfiants ou d'armes.
02:33Quand ils arrivent vers l'établissement et qu'ils s'avèreçoivent qu'il y a un contrôle de police à l'entrée,
02:37en général, ils savent qu'ils sont porteurs d'armes, donc ils s'en débarrassent ou alors ils ne rentrent pas.
02:41Parce qu'on a plusieurs élèves quand même qui ne sont pas rentrés ce matin.
02:44Pour la centaine d'élèves qui est rentrée à 8h, le contrôle s'est passé dans le calme et sans refus de la part des lycéens.
02:51Je vois les policiers à l'école qui fouillent mon sac comme ça. Je ne sais pas ce qui se passe.
02:55Tu es surprise ?
02:56Oui, je ne comprends pas ce qui se passe.
02:58Vous êtes surprise d'être fouillée ce matin ?
03:00Oui, un peu.
03:01Cette opération sera amenée à être renouvelée dans le cadre du plan d'action départementale de restauration de la sécurité du quotidien.
03:08Ces dernières années, on a quand même une hausse d'effets établissements.
03:12On a des paroles qui sont rudes entre élèves, y compris alimentées par un contexte géopolitique, si on prend des faits d'antisémitisme ou de racisme.
03:23C'est un type d'opération qui fait partie d'autres opérations de sécurisation comme les ventes d'alcool à proximité des établissements, comme d'autres opérations comme on le fait depuis des mois.
03:33C'est important pour toute la communauté éducative aussi de travailler sereinement.
03:36Chaque semaine, des faits de violence, verbal ou physique, sont transmis par les établissements vosgiens.
03:42Selon les services départementaux de l'éducation nationale, les situations les plus difficiles sont suivies de près.
03:48Depuis plusieurs années, le gouvernement développe le système d'alerte par téléphone mobile,
03:53un moyen pour les préfectures ou encore les maires d'avertir la population d'un risque technologique ou naturel.
04:00Ce système se répand progressivement sur tout le territoire, comme ici en Haute-Marne.
04:05Vous allez le voir, reportage de Gaël Bossu pour Puissance Télévisions sur place.
04:12Une sonnerie reconnaissable et une notification automatique avec un message d'alerte envoyé sur tous les téléphones portables d'une zone géographique.
04:20Ce nouveau système d'alerte à la population permet à la préfecture d'informer rapidement les habitants au sujet d'un risque technologique ou naturel en cours.
04:28Face aux crises, l'objectif c'est d'être capable de transmettre une information, une alerte, je dirais, le plus rapidement possible.
04:36Et le vecteur portable dans la société actuelle, toute la population est équipée de téléphones immobiles.
04:43Donc l'objectif c'est de compléter avec une capacité de réaction immédiate.
04:47L'objectif c'est que la population apprenne à vivre avec.
04:50C'est déjà le cas dans beaucoup de territoires en France et en Outre-mer.
04:52C'est dans la petite commune de Brio-Cours, au centre du département, qu'a été testé ce dispositif pour la première fois ce vendredi matin.
04:59En quelques minutes, 1900 appareils ont été informés de l'exercice.
05:03J'étais en train de pousser mon aspirateur et il était 11h30 à peu près et ça s'est mis à sonner.
05:08Donc du coup, c'est vrai qu'on est interpellé quand on entend le bruit parce que ça sonne très fort.
05:13Mais sinon après, voilà, on était au courant donc on avait reçu des messages.
05:17C'est une bonne alternative dans le sens où dans nos petites communes, on n'a pas le système d'alarme, d'alerte des grandes villes.
05:24Ça évite aussi aux élus de devoir faire tout le tour du village pour informer la centaine d'habitants des risques encourus.
05:33Lors de ce premier test, environ un téléphone sur cinq n'a pas reçu le message d'alerte, soit par échec, soit parce qu'il était éteint ou hors ligne.
05:40De nouvelles simulations auront lieu dans l'année pour raffiner encore un peu plus ce nouveau dispositif.
05:45Et puis toujours dans l'actualité, les démarches par de faux dépanneurs se multiplient partout en France.
05:52Les malfaiteurs arrivent avant le dépanneur mandaté par l'assurance et le client paye des sommes astronomiques.
05:59Voilà l'escroquerie. Exemple dans le Finistère avec TBO. Maëlle Delmure.
06:04Là, ce qu'on va faire ce matin, c'est appeler votre assistance pour avoir une prise en charge pour le remorquer.
06:08Remorquer des véhicules, voici le quotidien de cette entreprise proche de Quimper.
06:13Pourtant, depuis plusieurs mois, cette entreprise dénonce des dérives comme l'apparition d'usurpateurs.
06:19C'est une annonce qui est passée sur le bon coin avec notre nom de société, notre numéro de sirète.
06:27Et donc, quelqu'un a usurpé l'identité de l'entreprise et s'est amusé à faire du remorquage.
06:33C'est en région parisienne avec un prix très attractif quand on voit, 25 euros.
06:38Pour Eric, le mari d'Elisabeth, ces arnaques sont un danger.
06:42C'est vrai que ça arrive plus fréquemment, quelquefois sur les quatre voies, comme sur le réseau secondaire.
06:48On arrive, il n'y a plus de véhicules, ça c'est clair.
06:50Ils récupèrent un véhicule sur une quatre voies, ils ne sont pas protégés.
06:53Donc, il peut arriver à n'importe quoi.
06:56Mais bon, non, c'est à la course du véhicule.
06:58Pour trouver les véhicules en panne, les faux dépanneurs utilisent l'application Waze,
07:02une pratique utilisée également par certains professionnels, selon Dominique Tanguy.
07:06Vous avez un véhicule arrêté sur le bas-côté, donc on peut supposer en tant que professionnel qu'il est en panne.
07:11Je peux missionner un de mes dépanneurs pour aller les voir.
07:15S'il peut prendre la voiture.
07:16Mais on n'a pas été appelé en fait.
07:17Là, on appelle ça du marronnage.
07:19C'est trop facile, si vous imaginez, tous les dépanneurs commencent à faire ça dans le Finistère.
07:24On ne s'en sort plus, c'est le premier qui arrive.
07:26Les faux dépanneurs ne sont pas pris en charge par les assurances.
07:30Alors, pour éviter de tomber dans le panneau, il y a des réflexes à avoir.
07:33Ils appellent leur assistance.
07:35Ils reçoivent automatiquement soit le numéro de dossier ou un SMS avec l'entreprise qui intervient.
07:41Donc, s'ils ont le nom de l'entreprise, bien vérifier que c'est bien cette entreprise-là qui vient,
07:46qui s'arrête sur le panne ou d'accident.
07:49Ou bien vérifier le numéro de dossier.
07:51Autre solution, se méfier des camions ou des professionnels n'ayant aucune inscription,
07:57nom ou numéro de téléphone.
07:59Il peut s'agir d'entreprise malhonnête.
08:02Vous l'avez remarqué, les beaux jours reviennent de plus en plus tôt.
08:06Pour le plus grand bonheur des baigneurs, certaines plages sont prises d'assaut dès le mois d'avril.
08:11Ce qui pousse certaines municipalités à ouvrir les postes de secours un peu plus tôt que prévu.
08:17C'est le cas à Lacanau, en Gironde, avec ces belles plages.
08:20Vous allez le voir, reportage de TV7, la chaîne du groupe Sud-Ouest, Tristan Lambert.
08:26Même si elle n'est qu'à 14 petits degrés, certains courageux se mettent à l'eau.
08:30Sous l'œil avisé des maîtres nageurs.
08:32Vu les dangers qu'il y a ici, c'est rassurant.
08:34En plus, ils sont sympathiques, ils sont là, ils sont à l'affût, ils surveillent bien.
08:38C'est vraiment un bonheur de les voir là plus tôt.
08:39Moi, je ne me baigne que s'ils s'est surveillés.
08:42C'est des côtes girondines, il y a beaucoup de baïnes.
08:44On le sait, tous les ans, il y a des noyades.
08:47Et du coup, moi, c'est quelque chose qui est important pour moi de me sentir en sécurité.
08:51Une surveillance qui a commencé plus tôt que d'habitude cette année à Lacanau.
08:56Huit maîtres nageurs sont mobilisés chaque jour de midi à 18h30
09:00pour assurer la sécurité des baigneurs sur la plage.
09:02On fait un peu plus attention au mois d'avril et au mois de mai
09:05parce qu'on est pour l'instant le seul poste qui est ouvert, le poste de la centrale.
09:08Donc on doit surveiller ce qui se passe au sud et au nord.
09:10Or qu'à partir de mi-juillet, mi-juin, les autres postes ouvrent.
09:14Donc peut-être une vigilance plus grande sur l'ensemble de la plage.
09:19En juillet et août, 5 zones seront surveillées, réparties autour de 4 postes de secours.
09:24Mais pourquoi ouvrir une zone de baignade si tôt dans l'année ?
09:27La fréquentation.
09:28Sur les années précédentes, on s'est rendu compte que sur des belles journées du mois de mai,
09:35on a énormément de fréquentation sur cette période-là.
09:38Et ça permet de garantir une sécurité sur les baigneurs.
09:43L'an dernier, 200 sauvetages ont été réalisés sur la plage de Lacanau pour zéro décès.
09:48Concernant le dispositif de secours, il se tiendra jusqu'à début octobre.
09:53Voilà, et les beaux jours participent également à la prolifération des sargasses,
09:57un groupe d'algues flottantes.
09:59Ces herbes des mers sont très présentes aux Antilles.
10:02Cependant, elles présentent des risques importants pour la santé humaine.
10:06Les espèces marines aussi et surtout des nuisances visuelles et olfactives pour le tourisme.
10:11Ce qui pose des problèmes pour les commerçants en fond de mer notamment.
10:14Reportage de Via ATV en Martinique.
10:17Comme chaque matin, Mathieu prépare son restaurant pour le service du midi.
10:23Situé sur le bord de mer du Robert, il fait face aux sargasses, mais surtout à leur odeur.
10:28On prend régulièrement les odeurs le matin quand on arrive, des fois le soir aussi.
10:33Ce n'est pas régulièrement ramassé comme il devrait être.
10:36On voit des fois qu'il faut le ramasser aussi sur l'eau, mais ce n'est pas assez régulier.
10:40Des fois, on ressent aussi des problèmes de mal de tête qu'on a sur le corps.
10:44On le ressent sur nous.
10:45Et ce qu'on aurait aimé, c'est avoir une solution pour éradiquer ce mal.
10:50Des affaires qui tournent moins et une odeur persistante qui dérange.
10:54Toujours sur le bord de mer, cette supérette est également située en face des sargasses.
10:58Mais ici, un détail fait qu'aucun parfum nauséabond ne pénètre dans le magasin.
11:03Parce qu'on travaille plus à l'intérieur qu'à l'extérieur.
11:06Donc finalement, les sargasses n'ont pas plus que ça.
11:11Malgré l'odeur, les commerçants du marché sont bien présents eux aussi, un peu plus éloignés des sargasses.
11:17Leur nez est tout de même chatouillé sur la place principale de la commune.
11:21Certains d'entre eux nous confient s'y être habitués, comme Romuald.
11:25Personnellement, oui, puisque l'odeur n'est pas très supportable à certains moments dans la journée.
11:31Mais on s'y accommode par habitude.
11:33Sur le bord de mer, oui, je pense qu'ils sont fortement pénalisés, surtout les restaurateurs.
11:38Puisque les clients sont amenés à venir s'asseoir et déjeuner au dîner.
11:42Ils ne peuvent pas par rapport à cela.
11:45Et malheureusement pour ces commerçants robertins, la situation ne risque pas de s'arranger.
11:49Madjini Nair annonce des taux d'émissions d'hydrogène sulfuré élevés,
11:53voire très élevés comme au Robert ou encore au Vauclin.
11:57On sait, le changement climatique va s'intensifier dans les prochaines années.
12:03Ce qui pousse à repenser l'architecture de nos bâtiments et surtout à adapter les villes au réchauffement.
12:09La Biennale d'architecture de Versailles tente d'apporter des réponses concrètes sur le sujet.
12:14Écoutons des spécialistes au micro de TV78 dans les Yvelines.
12:18On ne pense plus la ville de la même façon.
12:22On veut que les villes soient plus vertes, on veut que les bâtiments soient plus économes de l'énergie.
12:27À travers cette Biennale d'architecture et de paysage qui en fait toute l'originalité,
12:32c'est marier ces deux approches.
12:34Par exemple à Arles où on a réalisé la transformation d'un site ferroviaire, d'une friche industrielle.
12:41On a baissé la température ressentie de 20 degrés par la plantation de 80 000 plantes.
12:45Du coup on sait scientifiquement que c'est possible de produire des microclimats.
12:51En France, les bureaux de poste font face à la forte baisse du courrier.
12:56Une situation préoccupante qui oblige la poste à se réinventer.
12:59Vous allez le voir, parmi ces nouveautés, vous pouvez notamment vous offrir un vélo de facteur.
13:05Reconditionner ces engins vous offriront le même confort.
13:09Présentation avec LMTV de Sartre, Anthony Piton.
13:12Il a sillonné les rues et déposé des milliers de lettres.
13:16Aujourd'hui, ce vélo de facteur à assistance électrique attend une seconde vie.
13:20La Poste du Mont-République le met en vente.
13:23Son prix, 1490 euros.
13:26Une opération nationale de la Poste qui revend un millier de vélos électriques.
13:31Débit clou reconditionné, avec 70% de pièces recyclées et disponible en différents coloris, sauf le jaune.
13:37Le vélo n'est pas jaune, c'est pour éviter que des personnes puissent prendre l'identité du facteur et puissent abuser de ce lien.
13:45Mais l'engin est robuste et a bien toutes les caractéristiques du vélotype de votre facteur.
13:51Imaginez que le facteur est entre 4 et 6 heures par jour sur le vélo.
13:55Donc il faut un vélo qui soit léger, fonctionnel, robuste.
14:00Et il ne faut pas que le facteur ne soit non plus usé par une tournée avec un vélo qui ne soit pas assisté par exemple.
14:06Jusqu'ici, les vélos des facteurs étaient mis au rebut après 5 ans d'utilisation.
14:11Au Mans, l'opération a été lancée début avril.
14:14Et c'est un ancien de la Poste qui s'est porté acquéreur de la toute première bicyclette.
14:19C'est un ancien facteur, tout à fait.
14:21Qui avait d'ailleurs oeuvré pour la mise en place de vélos électriques il y a quelques années déjà.
14:27Sitôt qu'il a entendu parler de cela dans les médias, il a couru au bureau de Poste.
14:32Tout à fait.
14:32Alors si vous avez toujours rêvé d'être facteur, rendez-vous au bureau de Poste du Mont-République.
14:37L'avantage avec ce vélo, vous n'aurez pas besoin de livrer le courrier.
14:41Un avion sans bruit ni pollution, y croyez-vous vraiment ? On y rêverait ?
14:46Eh bien figurez-vous que cet avion électrique existe.
14:50En escale en Ile-et-Vilaine, notre partenaire Tévert a pu monter à bord.
14:55Sensation plus garantie, regardez.
14:57Une prise de courant suffit pour refaire le plein du Pipistrel Vélis Electro, le seul modèle d'avion électrique autorisé à voler dans le monde.
15:09Depuis l'aéroport de Rennes et le parking de l'aéroclub, la société AirSchool propose des vols d'initiation avec cette propulsion électrique qui change la donne.
15:18On est plaqué au siège, on a des inclinaisons qui sont fortes, donc on va monter très vite, très fort, avec un bruit minimum,
15:27puisque à part le vent sur la cellule qui fait un peu de bruit, évidemment, on a très très peu de bruit sur cet avion qui fait 60 décibels,
15:33contre 82, 84 pour un avion thermique, donc on est 14 fois moins bruyant en fait.
15:41Vous avez vu, finalement, l'avion, on met quelques interrupteurs en marche et ça y est, c'est parti.
15:47La puissance qui arrive tout de suite.
15:49Avec cette nouvelle technologie se pose la question de la sécurité d'un avion électrique qui a une autonomie en vol de 45 minutes seulement.
15:57C'est deux batteries dans l'avion, deux batteries identiques et similaires qui sont utilisées simultanément en fait au cours de l'évolution et du vol.
16:05Si une batterie tombe en rideau, on a la deuxième qui est suffisante pour assurer, pour prendre le relais et aller atterrir.
16:12On n'est pas loin du planeur, donc j'allais dire, même sans moteur, un pilote confirmé peut ramener l'avion en toute sécurité.
16:18Airskoll est aussi une école de formation au pilotage en licence privée qui consiste en 45 heures de vol, dont les deux tiers sont réalisables en électrique.
16:27A noter donc le prix d'un vol d'initiation en avion électrique, le rêve d'Icar en bas carbone, c'est 165 euros les 30 minutes.
16:36Et puis cette semaine, vous pourrez retrouver en kiosque une nouvelle édition du magazine Le Point consacrée à Montpellier, une édition locale.
16:46Ce nouveau numéro propose un large focus sur le volet médical de la ville.
16:51La métropole montpellieraine participe grandement aux avancées, aux innovations et à la bascule vers l'intelligence artificielle.
16:59Cette édition spéciale du Point est bien sûr à retrouver dès jeudi dans vos kiosques.
17:03On retrouve également l'édition nationale du Point consacrée au nouveau pape Léon XIV, un numéro sur le pape d'un nouveau monde, comme l'indique Le Point.
17:15C'est un papier d'ailleurs de Jérôme Cordelier, le spécialiste religieux du Point. Un excellent papier.
17:21Tout autre chose maintenant en France, le gaspillage alimentaire représente 10 millions de tonnes de nourriture perdues ou jetées chaque année.
17:29C'est considérable et de nombreuses initiatives voient le jour pour lutter contre ce phénomène, comme Limit Gaspi, un concept qui brade des produits à très bas prix dans des distributeurs automatiques.
17:42Écoutons la créatrice de ce concept et des consommateurs au micro de Via Occitanie.
17:47L'idée, elle m'est venue pendant la Covid. Il faut savoir que nous, nos distributeurs automatiques ont été quand même arrêtés.
17:55Pour notre société, on a eu moins 90% de chiffre d'affaires et lorsqu'on a pu réaccéder aux distributeurs, la plupart de nos produits étaient à date dépassée.
18:05Et donc, on a jeté des palettes et des palettes entières.
18:08Là, concrètement, on a des prix qui sont 50% plus bas. Donc, concernant, on peut avoir des canettes qui sont vendues 1,10€ à 50 centimes.
18:15Et en vrai, ça se sent beaucoup sur le budget, surtout en fin de mois.
18:18Plus que de l'économie, ça nous permet d'en consommer davantage. Plutôt que de prendre une canette, potentiellement, on peut envisager d'en acheter deux, peut-être en offrir à une personne.
18:29Cette semaine, c'est Jean-Yves Le Drian qui était l'invité de Face au Territoire sur TV5MONDE avec la presse quotidienne régionale.
18:35L'ancien ministre de la Défense et des Affaires étrangères a répondu aux questions de nos partenaires, notamment sur la situation de l'Ukraine qu'il connaît bien. Écoutons-le.
18:45Il y avait quatre points concernant l'Ukraine qui sont restés les mêmes.
18:52Désarmement, annexion des territoires, dénazification et non-appartenance à l'OTAN.
18:58C'est la volonté d'élargir l'espace russe, de retrouver l'immesse de l'Empire soviétique.
19:07Les Européens se sont remis, et heureusement, dans le jeu avec cette rencontre de Kiev, avec les quatre leaders qui étaient là-bas,
19:17et qu'ils ont proposé la paix, le cessez-le-feu immédiat, sans préalable.
19:23Poutine a réagi en disant, je réfléchis, mais il faudra qu'on parle des questions essentielles.
19:29Les questions essentielles, cela revient parfois aux questions principales, ou les causes majeures.
19:37C'est quoi les causes majeures, les questions essentielles, qui reviennent dans chaque communiqué ?
19:40C'est les quatre points.
19:41Passionnés d'automobiles, vous allez adorer ce reportage.
19:45Une réunion autour des mythiques coccinelles et combis de la marque Volkswagen a rassemblé près de 200 véhicules.
19:53Ça se passe au Rissais, dans l'aube, et notre partenaire Canal 32 a pu découvrir de véritables merveilles.
20:01Regardez ça.
20:03Rose, rouge, bleu ou encore violette, les coccinelles sont de sortie au Rissais.
20:08Ce bruit à l'échappement, avec ce petit p'tit qu'on entend, c'est vraiment typique.
20:12Parmi les passionnés présents au 11e meeting de Cox Avenue, Jamy est venu exposer son véhicule.
20:18Vous avez un modèle 1200 de 1969, qui a été vieilli pour ressembler à un modèle de 1964.
20:26Et cette voiture qui a 56 ans maintenant est increvable, elle peut vous faire 1000 kilomètres sans problème.
20:32J'adore son moteur en fait, son moteur air-cooled, un moteur avec les cylindres à plat, avec un bruit bien spécifique,
20:41une tenue de route assez particulière, enfin voilà, c'est une voiture, il faut absolument monter dedans pour comprendre en fait.
20:47Organisé par l'association Cox Avenue, l'événement a pour but de rassembler les passionnés d'ancienne Volkswagen.
20:54Au programme, village d'exposants, concerts, balades et animations, tout genre.
20:59Plus de 200 véhicules sont exposés.
21:01La première conception de la coccinelle, c'est en 1938, donc avant-guerre carrément.
21:06Et après, la coccinelle a été produite jusqu'en 2003, donc elle a vraiment une grande carrière.
21:11Elle est connue grâce au cinéma, le côté sympa du véhicule, facile et accessible à tout le monde.
21:17Et si les coccinelles sont les stars de la journée, les combis ne sont pas en reste.
21:22Nathalie et Ludovic voyagent à bord de leur véhicule tout au long de l'année.
21:26On déplie notre banquette et donc voilà, le soir on dort, on dort là, on ferme nos petits volets.
21:33La choupette Mexico, la choupette, voilà, c'est toute notre enfance et puis du coup, ça nous a donné l'envie.
21:40Puis en vieillissant, on aime bien le confort, donc le combi, ça s'est imposé.
21:43C'est un ancien véhicule qui faisait du transport scolaire à Sao Paulo.
21:47On dort dedans, on fait à peu près 10 000 km par an, c'est nos vacances à l'année.
21:52Fondée en 1991, l'association Cox Avenue réunit aujourd'hui une trentaine de membres, tous passionnés par les belles Volkswagen.
22:01Ce meeting est organisé une fois tous les deux ans depuis 2003.
22:06Un rassemblement automobile d'un autre genre maintenant, une course de caisse à savon dans les rues de Bastia en Corse.
22:13Un événement convivial et surtout très fun qui a vu descendre de sacrés engins créés de toutes pièces par les participants.
22:20Écoutons-les justement nous présenter leur véhicule particulier au micro de Télépaésé présent sur place.
22:26Un jeu d'équipe en fait, ça nous a permis de nous concentrer sur nous et puis de passer des super bons moments avec toute l'équipe.
22:31C'est un châssis de voitures sans permis, après tout le reste c'est de la récup qu'on a récupéré de nos travaux et on a fait quelque chose de cohérent.
22:39Là, il y a eu du travail, il n'y a que pas mal d'heures.
22:43On est parti sur un train avant de quad, on a coupé, après on a pris, tout est entièrement récupéré.
22:49On a réussi à faire le mobsègue mais un peu 4-4.
22:54Voilà et puis maintenant dans ce journal partons visiter un musée mais un musée qu'on visite à l'aveugle.
23:00C'est le concept proposé par le musée Gravelot en Moselle.
23:03L'établissement retrace la guerre de 1870 et l'annexion de l'Alsace par l'Empire allemand.
23:11On ne touche plus avec ses yeux mais bel et bien avec ses mains.
23:14Et vous le verrez, les visiteurs perdent leurs moyens.
23:17Un reportage de Moselle TV.
23:18Je vais deviner ce que c'est.
23:20Je vous montrerai après mais je vois si vous avez une idée ce que ça peut être.
23:23Un canon qui lance plusieurs balles.
23:27Visite plutôt unique au cœur du musée de la guerre de 1870 et de l'annexion à Gravelot.
23:33Privés de leur vue, les visiteurs ont découvert d'une autre manière plusieurs objets de la collection permanente et sortis d'archives.
23:40Disons que de les avoir touchés à l'aveugle, ça donne une autre façon de percevoir les choses.
23:47C'est vrai que c'est super impressionnant de se dire je l'ai touché tout à l'heure en vrai.
23:52On a plus le détail et quand on regarde après l'objet, on est plus à regarder vraiment le motif, ce qu'on a ressenti au toucher.
24:01On essaie de le percevoir visuellement.
24:04La concentration est de mise.
24:06Sans la vue, mieux vaut écouter avec attention les explications des équipes encadrantes.
24:11Malgré tout, difficile parfois de deviner les objets entre ses mains.
24:14Équipé de gants, le toucher est également différent.
24:16Pour moi, il y a l'imaginaire qui vient contrer un peu la réalité.
24:25Le toucher, c'est spécial.
24:26J'ai regretté de ne pas pouvoir toucher avec mes mains et d'avoir un gant.
24:30Mais il faut respecter les objets, on comprend bien.
24:32La visite continue toujours à l'aveugle pour s'attaquer à du plus gros calibre.
24:37Une expérience originale proposée par le musée pour la première fois afin de redécouvrir l'histoire de manière ludique.
24:43Carton plein pour cette première édition, rendez-vous en octobre pour la deuxième.
24:47Et puis pour terminer cette édition, laissez-moi vous présenter l'abbé François-Xavier Brantome.
24:55Prêtre d'un petit village du Gers, il est aussi joueur de rugby.
24:59Il distribue les sacrements le dimanche matin et les plaquages l'après-midi.
25:04Deux influences autour d'une mission, le sacrifice.
25:07Écoutons ce prêtre au micro de notre partenaire de la dépêche du midi.
25:10La messe, on dit que c'est le sacrifice ou le renouvellement du sacrifice du Christ.
25:14Et au rugby, j'ai été très marqué par un entraîneur que j'ai eu à Montréal.
25:18A chaque fois qu'on me prenait le ballon, qu'on recevait le ballon sur un coup d'envoi,
25:21ils nous hurlaient dessus, sacrifice, sacrifice, sacrifice.
25:23Parce que le rugby, comme c'est un sport où on fait des passes en arrière, on est obligé d'aller au sacrifice.
25:28On réserve une prière pour l'avant-match et une autre prière pour après le match.
25:31Ça fait partie de confier tout ça au Seigneur.
25:35Et puis après, les rituels habituels, je me mets le bandeau autour de la tête,
25:39un petit peu de vaseline sur les temples et sur le reste pour que ça glisse mieux à l'impact.
25:44Voilà, c'est la fin de ce journal. Merci à vous de l'avoir suivi.
25:47On se retrouve très vite pour une nouvelle édition du Grand JT des Territoires.
25:51Au revoir à tous.
25:51Sous-titrage Société Radio-Canada
25:58Sous-titrage Société Radio-Canada
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