Sous le deuxième mandat du président Abdelmadjid Tebboune, la politique d’arabisation semble s’accélérer en Algérie. Plusieurs organismes et institutions publiques ont récemment pris la décision d'abandonner le français comme langue étrangère au profit de l'anglais. Ces initiatives ne sont pas le fruit d'une décision politique planifiée au sommet de l'État, mais elles relèveraient d'un processus visant à réduire le français dans les usages administratifs et dans les cursus scolaires.