Sauf à être footballeurs formés en France, les binationaux franco-algériens ne pourront plus être actionnaires de médias algériens, prétendre à en lancer, devenir ministres, élus, préfets, généraux d'armée, ou investis d'un quelconque mandat. Mais ce ne sont pas les seules restrictions : l'interdit s'étend à presque tout et élever la voix en langue française durant une assemblée publique vous fait taxer de traîtrise, immanquablement.