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  • 12/05/2025
Les vols de GPS agricoles sont un nouveau fléau inquiétant. Avec d’importants préjudices pour les agriculteurs, la situation est alarmante. Certains malfaiteurs courent toujours, comme en Moselle par exemple.

La vie chère touche de plein fouet les Français, notamment en Martinique, où malgré la mise en place d’un protocole pour baisser les prix, les locaux ne constatent aucun changement. Ils comptent bien avoir des explications de la collectivité et notamment de son président.

Quand le burger se transforme en véritable œuvre d’art ! Vainqueur du prix du Meilleur burger de France 2024, Anthony Pautrat est un spécialiste de ce plat. Immersion à ses côtés lors d'une compétition.



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Transcription
00:00Générique
00:00Bonjour à tous et bienvenue dans cette nouvelle édition du Grand JT des Territoires.
00:18Voici tout de suite les titres de l'actualité.
00:21La vie chère est une des principales préoccupations des Français.
00:24Chaque fois qu'ils sont interrogés, nous irons donc en Martinique
00:27où malgré la mise en place d'un protocole pour lutter contre,
00:31les locaux ne constatent aucun changement.
00:33Via ATV prend le pouls de la situation sur place.
00:37C'est un fléau très inquiétant qui touche les agriculteurs, les vols de GPS agricoles.
00:43Plusieurs cas ont été recensés partout en France,
00:45ce qui les pénalise grandement pour le bon fonctionnement de leurs activités.
00:49Notre partenaire Moselle TV a pu rencontrer des victimes.
00:53En France, le nombre de décès des usagers des deux roues motorisées
00:57augmente chaque année.
00:58Une situation qui pousse les autorités à organiser des ateliers de sensibilisation
01:03autour de la sécurité.
01:05Et vous le verrez, la méthode est bien perçue.
01:07Reportage de Puissance Télévision dans un instant.
01:10Et puis, avis à tous les gourmands,
01:12ne manquez pas cette rencontre avec Anthony, spécialiste des burgers.
01:16Il transforme ce plat en véritable œuvre d'art
01:19où rien n'est laissé au hasard, vous le verrez.
01:21Immersion lors d'une compétition proposée par TV78 dans les Yvelines.
01:25Je vous le disais dans les titres,
01:28la vie chère est un phénomène qui touche l'ensemble des Français.
01:32La Martinique est l'une des régions les plus touchées.
01:35En début d'année, un protocole a été mis en place
01:37pour réduire les prix de près de 6 000 produits
01:40de première nécessité, comprenant les produits alimentaires, bien sûr.
01:44Cependant, les locaux trouvent que la situation reste inchangée,
01:48voire amplifiée.
01:50Via ATV prend le pouls de cette situation sur place en Martinique.
01:53Exiger la démission du président du conseil exécutif,
02:01le mot d'ordre de cette mobilisation face à la CTM.
02:04Les manifestants mobilisés sont avant tout insatisfaits
02:07du protocole contre la vie chère mis en place en début d'année.
02:11Parce que depuis la mobilisation, tout a augmenté.
02:14Il y a eu une table ronde, on pensait que ça allait...
02:16Même si le Airpac n'a pas signé,
02:19on s'est dit qu'il y aurait peut-être une bonne volonté derrière,
02:21mais il n'y en a pas.
02:22On est toujours étonnés, farés, lorsqu'on arrive en caisse ?
02:25Non, on ne peut pas continuer ainsi.
02:27Il faut que les gens répondent dans leurs actes.
02:29Les somme de la CTM, valet, valet, chibi !
02:32Des assises populaires contre la vie chère,
02:35le nouveau projet initié par le Airpac.
02:37L'objectif est de réunir de nouveaux acteurs
02:40comme les députés des Drumcom,
02:42afin de trouver une solution définitive contre la vie chère.
02:45Pour organiser un tel événement,
02:47l'association demande à la CTM
02:50de faire partie du comité de pilotage.
02:52Aujourd'hui, on attend depuis à peu près
02:53plus de trois semaines la réponse de la CTM
02:55à qui on avait demandé
02:57de piloter cet événement.
03:01Donc, d'y porter un cadre
03:02et d'y apporter de la sécurité.
03:04Et ils nous répondent samedi soir,
03:06non, on va observer de loin
03:09parce que d'ici septembre,
03:10on a prévu de faire des ateliers
03:12de je ne sais quoi.
03:14Et puis après, on a un autre événement.
03:16Une réponse défavorable pour l'association
03:18qui demande des mesures urgentes.
03:20Ils nous parlent de réunions
03:22qu'il va faire avec ses amis en septembre.
03:24Mais est-ce que la souffrance du peuple
03:25qui est mise en avant depuis le 1er septembre
03:27a encore le temps d'attendre
03:28jusqu'à septembre qui arrive ?
03:30Ce n'est pas possible.
03:31Aujourd'hui, si on a un président
03:33de la collectivité
03:35qui ne peut pas s'investir pour le peuple,
03:37qui refuse de s'investir pour le peuple,
03:39qu'est-ce qu'il fait encore à la CTM ?
03:42Toujours dans l'actualité,
03:44c'est un fléau inquiétant
03:45qui se répand dans le pays,
03:47les vols de GPS agricoles.
03:49Les malfaiteurs repèrent les exploitations le jour
03:52et agissent la nuit.
03:54Un important réseau de voleurs
03:56a déjà été condamné.
03:57Mais vous allez le voir en Moselle,
03:59les malfaiteurs courent toujours.
04:01Le préjudice est important
04:02pour les agriculteurs.
04:04Moselle TV.
04:04La console G5 avec Autotrack
04:07et la coupure de section.
04:09Et le montage est mis en route
04:10par le concessionnaire,
04:12par le pôle.
04:14Donc ça, c'est le devis
04:16que tu peux donner à l'assurance.
04:17Pierre, comme au moins
04:18cinq autres agriculteurs
04:19du pays des trois frontières,
04:21est en colère.
04:23En deux nuits,
04:23des individus ont subtilisé
04:25pour près de 100 000 euros
04:27d'équipements agricoles,
04:28GPS, écran et antennes de guidage.
04:31À ce rythme-là,
04:32beaucoup de paysans
04:33ne vont plus tenir très longtemps,
04:34je pense.
04:35C'est déjà compliqué comme ça.
04:36Si maintenant,
04:36on nous rajoute ça
04:37du matin au soir,
04:38je pense que le monde agricole
04:39va aller de plus en plus mal.
04:40Ici, le système de vidéosurveillance
04:42n'a pas suffi pour les dissuader.
04:45Par contre, à quelques kilomètres,
04:47les caméras ont donné l'alerte.
04:49Mon frère est associé
04:50à repérer autour de minuit 20
04:53sur les caméras
04:54qu'il y avait deux individus
04:56qui étaient en train de rentrer
04:57dans la ferme,
04:58qui circulaient autour de la ferme à pied.
05:00Et en fait, en arrivant,
05:01ils étaient encore présents
05:01sur l'outil.
05:03Ils avaient déjà embarqué
05:04l'antenne de guidage
05:05et ils étaient en train
05:06de prendre l'écran,
05:07mais ils ont réussi
05:07à partir juste devant lui.
05:08Aperçus,
05:09les hommes semblent expérimentés.
05:11Cagoule,
05:12lampe infrarouge,
05:13repérage en amont.
05:14L'un comme l'autre
05:15sont persuadés
05:16que les voleurs
05:17peuvent revenir
05:18dans les prochains jours.
05:19Sans GPS,
05:20les agriculteurs
05:21ne peuvent plus
05:21faire fonctionner leur véhicule.
05:23Une enquête est en cours.
05:25En 2024,
05:26deux ressortissants Moldaves
05:28avaient été condamnés
05:29à de la prison ferme
05:30pour des faits similaires.
05:33C'est une histoire
05:34qui garde encore
05:35beaucoup de zones d'ombre.
05:37Après la guerre d'Algérie,
05:38des milliers d'Algériens
05:39ont fui vers la France.
05:41Appelés les Harkis,
05:42ils vivaient
05:42dans des conditions précaires
05:44et pour beaucoup
05:44ont trouvé la mort.
05:46Depuis de nombreuses années,
05:47la situation
05:48d'un cimetière
05:49très peu entretenu
05:50et avec des cercueils vides
05:51à Rives-Alpes
05:52dans les Pyrénées-Orientales
05:53pose question.
05:54Les familles des victimes
05:56attendent des réponses,
05:57notamment des élus locaux
05:58et de l'État.
05:59Reportage de Via Occitanie
06:01sur place.
06:02Elles écoutent
06:03les conclusions
06:03du rapport
06:04des fouilles archéologiques
06:05réalisé en novembre dernier
06:06sur le site
06:07de l'ancien camp
06:08de Rives-Alpes
06:08qui accueillit
06:09les Harkis
06:10dans des conditions indignes
06:11après la guerre d'Algérie.
06:12Les familles de Harkis
06:13veulent savoir
06:14pourquoi le cimetière
06:15découvert sur l'ancien camp
06:16a été effacé
06:17en 1986
06:18et les restes des corps
06:19transférés
06:20dans le cimetière
06:21Saint-Saturnin
06:22de Rives-Alpes
06:22sans prévenir personne.
06:24C'est la ministre
06:25chargée de la mémoire
06:26et des anciens combattants
06:27qui avaient convié
06:28ce lundi
06:28les familles de Harkis
06:29au mémorial du camp
06:30pour la remise
06:31du rapport de fouilles
06:32et un moment d'échange.
06:33Je leur avais dit
06:33que tout ce que j'avais pu voir,
06:35tout ce qui était consultable,
06:37je le leur mettrai
06:37à disposition.
06:38C'est ce que j'ai fait,
06:39je m'y étais engagée.
06:41Donc ils ont tous reçu
06:42tous les éléments
06:43que j'ai aujourd'hui.
06:45Effectivement,
06:46on se rend compte
06:46qu'il nous manque
06:47des éléments.
06:48Je compte beaucoup
06:48sur le maire de Rives-Alpes
06:50qui devrait avoir
06:51dans ses archives.
06:52Alors, comme il avait
06:53déménagé les archives,
06:55ils sont en train
06:55de chercher.
06:56C'est ce que confirme
06:57le maire de Rives-Alpes
06:58qui était déjà en poste
06:59en 1986.
07:01Il s'était excusé
07:02en février dernier
07:03face aux familles.
07:04Aujourd'hui,
07:04il confirme ses excuses
07:06tout en étant plus prudent
07:07sur la responsabilité
07:08de la ville.
07:09Aujourd'hui,
07:10aucune pièce d'archives
07:12ne révèle précisément
07:14qu'in fine,
07:15la mairie
07:16ait fait l'exhumation.
07:18Voilà ce que je veux dire.
07:18Donc nous cherchons
07:19encore dans les archives
07:21la preuve formelle
07:22de celle-ci.
07:23Les familles de Harky
07:24veulent réaliser
07:25des tests ADN
07:25sur les ossements
07:26enterrés dans le cimetière
07:27de Rives-Alpes.
07:28Elles attendent beaucoup
07:29des archives de la ville
07:30et certaines ne cachent pas
07:31leur colère
07:32contre son maire.
07:33De sa part,
07:33nous n'avons aucun
07:34document administratif,
07:35on va dire le dédouanant
07:37ou l'accusant
07:39d'avoir écrit
07:40parce qu'on a des éléments
07:41d'échange de courrier
07:42entre la mairie
07:43et le ministère des armées
07:44mais des éléments
07:45de sa part,
07:46il ne nous en apporte
07:47aucun de nouveau.
07:48Il est vrai que l'État
07:48a fait son travail.
07:49Aujourd'hui,
07:50c'est la municipalité
07:51de Rives-Alpes
07:51de faire le reste
07:52et apparemment,
07:54ça n'a pas l'air
07:55de vouloir suivre
07:56le mouvement.
07:57Le combat des familles
07:58de Harky
07:58pour connaître la vérité
07:59sur le cimetière
08:00du camp de Rives-Alpes
08:01va se poursuivre.
08:02Certaines ont évoqué
08:03une action en justice.
08:05Direction la Gironde
08:06maintenant dans ce journal.
08:08Après la crise sanitaire
08:09liée au neurovirus
08:10de décembre 2023,
08:12la filière austréicole
08:14du bassin d'Arcachon
08:15fait désormais face
08:15à une surmortalité
08:17inquiétante
08:18de ses huîtres.
08:19Les professionnels
08:20cherchent à comprendre
08:21ce phénomène.
08:22Regardez ses éléments
08:23de réponse
08:24avec TV7,
08:25la chaîne du groupe
08:25Sud-Ouest,
08:26Océane Archambault.
08:28Les austréiculteurs
08:30doivent désormais
08:30apprendre à vivre avec.
08:32On subit de grosses mortalités
08:33ce qui nous entraîne
08:35de gros trous
08:35au niveau de nos stocks.
08:36En première année,
08:37on doit être à peu près
08:38à 80% de mortalité,
08:4070-80% de mortalité.
08:42Et sur le cheptel,
08:43en fait,
08:44restant en deuxième année,
08:45on doit être à peu près
08:46à 40%
08:47et à peu près pareil
08:49en troisième année.
08:50Une nouvelle difficulté
08:52qui fragilise encore
08:53un peu plus
08:54la filière conchilicole.
08:56Pour comprendre
08:56et sensibiliser,
08:58les professionnels
08:58du secteur
08:59et les scientifiques
09:00se sont rencontrés
09:01pour échanger
09:01sur ce phénomène.
09:03Depuis 3-4 ans,
09:04il y a une accélération
09:05du phénomène
09:05et surtout,
09:06sur toutes les tranches d'âge,
09:07sur le naissin,
09:08sur le demi-levage
09:09et sur l'huître marchande.
09:10Mais sur des taux
09:11qui peuvent aller
09:11jusqu'à 90%
09:12sur les huîtres
09:13la première année
09:14et jusqu'à 40%
09:15la dernière année.
09:16Réchauffement climatique,
09:18abondance du verre plat
09:19ou présence
09:20d'un micropolluant
09:20dangereux pour les huîtres,
09:22les hypothèses sont nombreuses
09:24mais encore incertaines.
09:25Il faut faire face
09:26au changement climatique.
09:27Donc peut-être
09:27qu'il y a des premières solutions
09:30qui sont gérables.
09:32Il faut limiter au maximum
09:33ce contexte
09:34de stress multiple,
09:35donc limiter les rejets
09:36de polluants
09:37dans le bassin d'Arcachon.
09:38C'est des mesures politiques
09:39qui permettent
09:40de limiter tout cela
09:41mais également
09:42des mesures
09:43qui permettent
09:44de résister mieux
09:45dans un contexte
09:45de changement climatique.
09:46Et alors que les solutions
09:47restent encore difficiles
09:48à trouver,
09:49certains professionnels
09:50ont préféré déplacer
09:51une partie de leur production
09:53dans une région austréicole
09:54moins soumise
09:55à cette problématique,
09:57en Bretagne notamment.
09:58Inquiétude maintenant.
10:00En 2024,
10:01726 usagers
10:02et des deux roues motorisées
10:04ont perdu la vie
10:05sur la route.
10:06Un chiffre à la hausse
10:07ces dernières années.
10:09Pour lutter contre
10:09la sensibilisation
10:11semble être
10:11le meilleur moyen
10:12pour faire prendre conscience
10:13aux motards
10:14des règles de sécurité
10:16à adopter.
10:17Une méthode bien reçue,
10:18vous allez le voir,
10:19reportage de Puissance Télévisions.
10:23Retrouvez les bons réflexes
10:24avant de reprendre la route.
10:25Près de 50 motards
10:27se sont réunis
10:28à Chaumont
10:28pour une opération
10:29reprise de guidon
10:30organisée par la gendarmerie
10:31de Chaumont.
10:32Une journée
10:33pour rappeler
10:33la sécurité
10:34aux conducteurs
10:35de deux roues motorisées.
10:37La matinée
10:37a débuté
10:38par un cours théorique,
10:39l'occasion de revoir
10:40les fondamentaux
10:41de la conduite.
10:42Toujours fixer
10:42son regard au plus loin,
10:43toujours fixer son regard
10:44là où je veux aller.
10:45Les participants
10:46sont ensuite montés
10:47sur leur moto
10:47pour se rendre
10:48sur le lieu d'entraînement.
10:52On sait que malheureusement
10:53les motards
10:53représentent 5%
10:55des usagers
10:55et 20% des tués.
10:57Donc quand on est en moto,
10:59on n'est plus vulnérable.
10:59On est obligé
11:00de rappeler aussi
11:00qu'un tiers
11:01des tués en moto
11:02se sont tués tout seuls.
11:03Sur place,
11:04les motards
11:05ont été répartis
11:05en 5 ateliers pratiques.
11:07Exercice technique,
11:08freinage d'urgence
11:09et gestion de la vitesse.
11:13Ces ateliers
11:14avaient pour objectif
11:15de permettre
11:16aux participants
11:16de retrouver leur réflexe
11:18et d'améliorer
11:18la maîtrise
11:19de leur moto.
11:20C'est vrai
11:21qu'il y a tellement
11:21d'accidents de moto
11:23qu'il faut absolument
11:25aider les gens
11:27à se contrôler,
11:28à mieux se contrôler.
11:29Il ne faut pas avoir peur
11:30de se remettre en cause,
11:31de se poser
11:32les bonnes questions.
11:32Je pense qu'il n'y a rien
11:33de pire que celui
11:34qui a la prétention
11:35de dire je connais tout
11:37et je sais tout.
11:38Au contraire.
11:38En plus des forces de l'ordre,
11:406 motos et écoles locales
11:41ont encadré les ateliers
11:42apportant leur expertise.
11:44Le premier petit bilan,
11:45c'est qu'on a vraiment
11:45des niveaux variés
11:46et beaucoup font de la moto
11:48sans forcément
11:48se rendre compte
11:49des phénomènes
11:50physiques de la moto,
11:51notamment sur les distances
11:52de freinage,
11:53sur la maniabilité
11:54de leur moto
11:54et ça les rapproche
11:56au maximum
11:57de la réalité
11:57en cas d'urgence.
11:58Selon l'Observatoire national
12:00interministériel
12:00de la sécurité routière,
12:02726 usagers
12:03de deux roues motorisées
12:04ont perdu la vie
12:05sur les routes françaises
12:06en 2024,
12:07soit une augmentation
12:08de 20 décès
12:09par rapport
12:09à l'année précédente.
12:13Les avez-vous remarqué
12:14et les panneaux
12:15villes et villages
12:16ambassadeurs
12:17du don d'organes
12:18apparaissent
12:19progressivement
12:20dans nos communes.
12:21L'objectif,
12:22sensibiliser les passants
12:23sur le sujet.
12:24Regardez ce reportage
12:25de 8 Montblanc
12:26signé Fanny Savard.
12:29C'est un panneau
12:29qui commence à
12:30par être progressivement
12:31dans les communes françaises,
12:33celui des villes
12:34et villages ambassadeurs
12:35du don d'organes.
12:37Impulsé par l'association
12:38Grève Plus,
12:39il permet de sensibiliser
12:41les passants
12:41à la question.
12:42Aujourd'hui,
12:43il y a 3 personnes
12:44en France
12:44qui vont décéder
12:45par manque d'organes.
12:46Il y en a eu 3 hier,
12:47il y en aura 3 demain,
12:481000 par an.
12:50L'objectif
12:50de l'action
12:51des villes ambassadrices
12:53du don d'organes
12:53ou des villages ambassadeurs,
12:55c'est de sauver
12:56ces 1000 personnes.
12:58On a des centaines
12:58de communes
12:59qui communiquent
13:00dans leur bulletin municipal
13:01avec 3 pages,
13:022 pages
13:03sur le don d'organes
13:04pour expliquer
13:04à leurs habitants
13:05pourquoi il y a
13:06des panneaux
13:07villes ambassadrices,
13:08expliquer la loi
13:09sur le don d'organes.
13:10Ça, ça n'était jamais arrivé
13:11en France.
13:13Depuis le 1er janvier 2017,
13:15la loi énonce
13:15que nous sommes tous
13:16donneurs d'organes,
13:17sauf si nous en avons exprimé
13:19le refus de notre vivant.
13:21Mais bien souvent,
13:22le défunt n'a pas fait part
13:23de son choix
13:23à ses proches
13:24qui, endeuillés
13:25et sous le choc,
13:26refusent le don.
13:27Avec cette action lancée
13:29il y a 2 ans,
13:30l'association a déjà conquis
13:317000 communes
13:32sur les 34 000
13:33que compte la France.
13:34C'est tout naturellement
13:35que le conseil municipal
13:37il a répondu présent,
13:39d'autant plus
13:39que sur la commune
13:40on a des personnes
13:41qui sont concernées
13:42par des grèves d'organes.
13:44En France,
13:45on estime que 25 000 personnes
13:46sont en attente de grèves.
13:48Chaque année,
13:49elles sont 8 000
13:50à rejoindre la liste d'attente,
13:52une situation
13:52qu'a vécue Samy
13:53il y a 13 ans.
13:55Né avec une malformation
13:56du cœur,
13:57il s'est retrouvé
13:57à l'âge de 40 ans
13:59en phase terminale.
14:00Donc moi,
14:00j'ai été inscrit
14:01le mois de février 2012,
14:02donc dans la liste d'urgence.
14:04Mon cas s'est avéré
14:06que se dépréciait
14:08de plus en plus.
14:10Un jour à la maison
14:11en juillet 2012,
14:12au début juillet,
14:14en me douchant,
14:15je suis venu tout bleu.
14:17Voilà,
14:17parce que ça circulait
14:19de mois en mois.
14:20Il est alors placé
14:21sur la liste
14:22d'hyperurgence.
14:23Au bout de trois tentatives,
14:25les médecins trouvent
14:25enfin un organe compatible
14:27et il est transplanté
14:28le 25 juillet 2012.
14:30Juste avant la grève,
14:31je suis allé voir une thérapeute
14:33pour appréhender mon organe
14:35et pour appréhender
14:35la mort justement.
14:38Donc quand il est rentré,
14:39quand ils me l'ont mis,
14:41pour moi j'étais serein.
14:42C'était à moi.
14:43C'est un ange
14:43qui est passé sur le chemin
14:45et qui a permis
14:45à une autre personne
14:47de vivre.
14:48Tout à fait autre chose,
14:50avant d'être
14:50de haut fonctionnaire,
14:52les étudiants de l'INSP,
14:54anciennement l'ENA,
14:55doivent absolument participer
14:57à une immersion militaire.
14:58Le but, c'est de leur inculquer
15:00des valeurs de la nation
15:02avant d'accéder
15:03aux plus hautes fonctions
15:04du pays.
15:05Nos partenaires
15:06et équipes vidéo
15:07de la Provence
15:07étaient présents
15:08au camp militaire
15:09de Canguers
15:10dans le Var.
15:11Regardez ce reportage.
15:14Section pour un banc
15:15vers la gauche
15:16de 5 mètres en avant.
15:19A première vue,
15:20on pourrait croire
15:20qu'il s'agit d'un entraînement
15:21de soldats
15:22de l'armée de terre.
15:23Mais il n'en est rien.
15:25Sur le terrain
15:25du camp militaire
15:26de Canguers,
15:27des élèves
15:27de l'Institut national
15:28du service public,
15:30anciennement appelé l'ENA,
15:32sont là
15:32pour une formation
15:33obligatoire
15:34dans leur cursus.
15:35Cette période
15:36d'immersion,
15:37on l'a fait
15:37en deux temps.
15:39Ça dure trois semaines.
15:41Il y a une première semaine
15:41qui se passe ici
15:42à Canguers
15:43où les élèves
15:44sont habillés
15:45en uniforme
15:46et font des activités
15:47purement militaires.
15:48C'est eux qui pratiquent.
15:50Et puis,
15:50il y a deux semaines
15:51où on va aller
15:52dans les différentes unités
15:54des trois armées
15:54et de la gendarmerie
15:56et où les élèves
15:57vont rencontrer
15:59du personnel,
16:00vont voir
16:01des matériels,
16:02des équipements.
16:03On est plus
16:04dans la démonstration
16:05de matériel
16:06et d'équipement.
16:07Au programme,
16:08parcours d'obstacles,
16:09déplacements militaires,
16:11tir à l'arme automatique.
16:14Tout le panel
16:15du soldat
16:15pour une formation
16:16qui,
16:17pour ses étudiants
16:18des hautes instances,
16:20paraît indispensable.
16:21La hiérarchie,
16:22ce n'est pas une question
16:22de pouvoir
16:23ou de domination,
16:24mais c'est une question
16:25d'organisation.
16:26On a essayé,
16:26par exemple,
16:27de faire un exercice.
16:27On était 15 autour
16:28de la table
16:29à discuter.
16:30C'était impossible.
16:31On s'est mis à deux à trois
16:32en disant,
16:32ok, telle personne
16:33responsable de ceci,
16:34telle personne responsable
16:35de cela.
16:36C'était beaucoup plus clair,
16:37c'était beaucoup plus précis.
16:38Apprendre
16:38et surtout comprendre
16:40le fonctionnement
16:40de ceux
16:41avec qui ils seront
16:43amenés à collaborer
16:44dans leurs futures fonctions.
16:45Une nécessité
16:46qui s'explique
16:47d'autant plus
16:48dans le contexte
16:49mondial actuel.
16:50Tout autre chose
16:52depuis le début
16:53des années 2000.
16:55Les progrès scientifiques
16:55et technologiques
16:56ont permis
16:57aux médecins
16:58d'opérer leurs patients
16:59grâce à des robots.
17:01Cette pratique
17:02permet des gestes
17:03plus précis,
17:04avec moins d'incision
17:04et une récupération
17:06beaucoup plus rapide.
17:07Alors,
17:08comment cela fonctionne-t-il ?
17:09Réponse avec
17:10LM Télésart,
17:12Colin Ancel.
17:13Dernière désinfection
17:16avant d'entrer au bloc.
17:18Dans cette salle,
17:18on opère à l'aide
17:19d'un robot
17:20et d'une console.
17:21Le chirurgien
17:21manipule les commandes
17:22sans toucher
17:23directement au patient.
17:24On va réaliser
17:25l'ablation
17:26d'un cancer du rein
17:27chez un patient
17:29d'un peu plus de 60 ans.
17:31Je reste ici
17:31et on communique
17:32avec l'équipe
17:33qui est sur le patient
17:34et qui m'assiste
17:35pour la réalisation
17:36de l'intervention.
17:37Cette machine
17:37va nous permettre
17:38d'être plus précis,
17:40de pousser
17:41la technicité
17:42de ce que l'on fait
17:43et de faire
17:44des chirurgies
17:44de plus en plus complexes
17:45de manière
17:46la moins agressive possible.
17:48Concrètement,
17:48une fois au bloc,
17:49le patient anesthésié
17:50est alors incisé,
17:51des outils médicaux
17:52glissés à l'intérieur
17:53de son corps.
17:53À l'ère de l'intelligence
17:54artificielle,
17:55on se demande
17:55est-ce que c'est le robot
17:56qui fait tout seul ?
17:57La réponse est non.
17:58Sans nous,
17:58le robot ne fait rien.
17:59Depuis 15 ans,
18:00au Pôle Santé Sud,
18:01des chirurgies robotiques
18:01sont pratiquées.
18:03Le robot n'est pas
18:03applicable à chaque fois,
18:05mais pour ceux
18:05qui touchent au cancer,
18:06la machine est utilisée
18:07dans 80 à 90% des cas.
18:09Ça nous permet
18:09d'éviter de la chirurgie
18:10qu'on appelle ouverte,
18:12c'est-à-dire ouvrir
18:12les patients
18:13pour pouvoir intervenir,
18:14ce qui permet aux patients
18:15de rester moins longtemps
18:16hospitalisés,
18:17d'avoir moins de douleurs,
18:18moins de saignements
18:19et d'avoir eu un retour
18:21à leur vie quotidienne
18:22le plus rapidement possible.
18:23Les chirurgiens
18:24sont de plus en plus
18:25formés à ces technologies,
18:26utilisées presque
18:27quotidiennement maintenant.
18:28Chaque année,
18:29ce sont environ
18:29200 opérations
18:30qui nécessitent l'aide du robot.
18:34Quand Nicolas Stoufflet
18:35et son équipe
18:36se déplacent
18:37de ville en ville,
18:38l'engouement
18:39est toujours au rendez-vous
18:41pour le jeu
18:42des 1000 euros.
18:43Plus anciennes émissions
18:44de radio de France,
18:46les spectateurs
18:47répondent toujours présents
18:49pour tenter
18:49de remporter
18:50le super banco.
18:52Regardez cette immersion
18:53lors d'une étape
18:55dans l'aube
18:55avec Canal 32
18:57sur place.
18:58Chers amis,
18:59bonjour !
19:00Bonjour !
19:01C'est le jeu iconique
19:03de la radio en France.
19:04Quand Nicolas Stoufflet
19:05et son équipe
19:06se déplacent
19:07pour un enregistrement,
19:08le public répond présent.
19:10Plus de 200 personnes
19:11se sont massées
19:12dans la salle des fêtes
19:13d'Herville-Châtel
19:13pour l'émission
19:14de France Inter.
19:15Il y a un attachement
19:16à cette émission.
19:17Ce n'est pas une émission
19:18de radio comme les autres.
19:19C'est un petit spectacle.
19:20On l'écoute souvent
19:21d'une génération à l'autre
19:22et on a envie
19:23de voir comment ça se passe
19:24et peut-être participer.
19:25Donc il y a vraiment
19:26un lien qui est créé
19:28entre les auditrices,
19:30les auditeurs
19:30de différentes générations
19:31et nous.
19:32On se rencontre.
19:33Ce n'est pas une émission
19:34de studio,
19:35c'est une émission en public.
19:38Bien sûr,
19:39le métallophone emblématique
19:41est de la partie.
19:42L'autre nom,
19:43disons,
19:43du Rio Grande.
19:45Le jeu des 1000 euros
19:46est organisé
19:46pour les communes,
19:47par les communes.
19:48Ça fait connaître
19:49la commune,
19:50son patrimoine.
19:51Je suppose
19:51que les personnes
19:52doivent faire un petit tour
19:53dans Herbie
19:53avant de venir
19:55à l'émission.
19:56Quel égyptologue français
19:57a étudié
19:58la pierre de Rosette ?
20:01En deux heures et demie,
20:04les cinq émissions
20:05de la semaine
20:06sont enregistrées.
20:07Rendez-vous
20:07à l'antenne
20:08du 19 au 23 mai
20:10à midi 45.
20:11Les candidats participants
20:12ont été sélectionnés
20:13directement dans le public
20:15quelques minutes
20:16avant l'enregistrement.
20:17Moi,
20:17j'écoute le jeu
20:18des 1000 euros
20:19depuis 30 ans.
20:20Et puis,
20:21il y a une complicité
20:22avec mon fils.
20:23On s'envoie,
20:24on parle beaucoup
20:25du jeu des 1000 euros
20:26et je suis très émue
20:28d'être là.
20:28Je suis fan du jeu,
20:29je l'écoute tous les jours
20:31et ça fait partie
20:33de l'environnement familial.
20:35Question blanche,
20:36bleu, rouge,
20:37banco, super banco,
20:38la rythmique est bien rodée.
20:40Malgré les codes historiques,
20:41le jeu séduit toujours.
20:43L'audience ne cesse
20:44d'ailleurs de progresser.
20:45Le jeu des 1000 euros
20:46revendique aujourd'hui
20:471 800 000 auditeurs.
20:50Tout à fait autre chose
20:51maintenant,
20:51à chacun sa spécialité.
20:53Pour Anthony Potra,
20:55c'est le burger.
20:56Vainqueur du prix
20:57du meilleur burger de France.
20:59en 2024,
21:00il manie à la perfection
21:02la préparation de ce plat
21:03avant de venir,
21:05vous allez le voir,
21:05une œuvre d'art.
21:06TV 78 nous propose
21:08une immersion
21:08avec ce chef hors norme
21:10lors d'une compétition
21:11à savourer sans modération.
21:14Regardez.
21:15Là, je suis l'homme
21:15à abattre.
21:17Donc,
21:17personne ne va se rabattre
21:19aujourd'hui.
21:20Une journée très spéciale
21:21pour Anthony Potra.
21:22Ce chef livinois
21:23qui a remporté en 2024
21:24le prix du meilleur burger
21:25de France
21:26est venu cette fois-ci
21:27pour gagner la coupe
21:28des Coupes de France.
21:29Une compétition
21:29qui est réunie à Paris
21:30les dix derniers vainqueurs
21:31de la compétition.
21:33Pour terminer premier,
21:34le cuisinier originaire
21:35de Montigny-le-Broteneux
21:36a travaillé sur son burger
21:37baptisé le Loué en or
21:38pendant un mois et demi.
21:39On a de la salade frisée
21:41avec une vinaigrette
21:42de la piment végétarien.
21:43Le steak, il est cuit.
21:44Par-dessus,
21:44j'ai créé un disque de beurre
21:45entre deux feuilles guitare
21:46au poivre de cube-bep concassé.
21:48On a un fromage de brebis
21:49de Macaille
21:49et un double pain,
21:51mon pain de l'année dernière
21:52et un pain au-dessus
21:53avec le pickles que j'ai mis
21:54et il y a les graines par-dessus.
21:56Tout ça avec une arabesque.
21:57Pour ce burger
21:57sur le thème du château de Versailles,
21:59Anthony a notamment
22:00puisé son inspiration
22:01dans le potager du roi
22:02situé dans la cité royale.
22:04Le chef a également utilisé
22:05de la farine du moulin de Versailles.
22:06Après 30 minutes de compétition,
22:13premier verdict
22:14de la part du chef.
22:15Retour à chaud,
22:16tout s'est bien passé.
22:17J'ai fait tout ce que je voulais
22:18et tout est sorti comme je voulais.
22:21Un petit peu de panique à la fin
22:22mais ça fait partie du jeu,
22:23je pense.
22:24Donc non,
22:25rien à regretter
22:26et j'ai fait tout ce qu'il fallait.
22:27Le jury composé de professionnels
22:29se réunit maintenant
22:30pour désigner les vainqueurs
22:31et Anthony a ses chances aujourd'hui.
22:33Anthony Potra
22:33a un très très gros niveau.
22:35On sent que
22:36que ce n'est pas son coup d'essai.
22:38Là, on l'a vu
22:39travailler.
22:41Il n'y a rien qui dépasse.
22:43Tout est au millimètre.
22:44Le montage, il est parfait.
22:45La découpe, elle est parfaite.
22:46Il y a de la jutosité
22:47dans le burger.
22:48Donc on va dire
22:48tout ce qui est vraiment technique
22:50est parfaitement maîtrisé.
22:51Le chef yvelinois
22:51termine finalement
22:52à la troisième place
22:53de la compétition
22:54avec une nouvelle coupe
22:55à son palmarès.
22:57Et puis maintenant,
22:58un coup de projecteur
22:58sur une discipline
22:59aussi élégante qu'insolite,
23:02le cyclisme artistique.
23:04entre acrobatie millimétrée
23:06et équilibre parfait,
23:08ces pratiquants
23:08transforment leur vélo
23:09en véritable outil
23:11de chorégraphie.
23:12Une performance
23:13à la croisée du sport
23:14et de l'art
23:15encore méconnue
23:16du grand public.
23:17Présentation
23:18par notre partenaire
23:19TL7 dans la Loire.
23:21Le BMX Freestyle
23:23n'est pas le seul sport artistique
23:25sur deux roues.
23:26Le cyclisme artistique existe
23:28et c'est tout aussi impressionnant.
23:30Encore plus lors des épreuves en duo
23:32comme ici dans une épreuve nationale
23:34à Balbini.
23:35Dans ce sport,
23:36on a 25 figures à respecter
23:38en 5 minutes.
23:40Le but,
23:41c'est de respecter
23:42les trajectoires.
23:44On doit forcément réaliser
23:45un demi-cercle.
23:46elles ont une partie
23:50où elles sont à deux
23:51sur le vélo
23:51comme ici
23:53et on peut être pénalisé
23:55en cas de chute
23:56de pied par terre.
23:58L'objectif,
23:59c'est de vraiment respecter
24:00la trajectoire du cercle
24:02pour réaliser la figure.
24:04Comme pour le cycle bal,
24:05le cyclisme artistique
24:06est un sport venu d'Allemagne
24:08dans les bagages
24:09de Paul Cabourg
24:10mais les vélos
24:10ont des spécificités
24:12dans les deux disciplines.
24:13C'est un vélo de cyclisme artistique,
24:15c'est un pignon fixe
24:16donc on peut aller
24:17autant en marche avant
24:18qu'en marche arrière.
24:20Le guidon peut tourner
24:22à 360
24:23et on a également
24:24des petits embouts
24:25pour commencer
24:26pour pouvoir faire des figures
24:27d'abord en équilibre
24:28sur ces embouts-là
24:29avant de faire des équilibres
24:31plus complexes
24:31en étant par exemple
24:33debout sur le guidon
24:34ou debout sur la selle.
24:35La différence avec le cycle bal,
24:36c'est vraiment
24:37la forme apparente du vélo
24:40où le cycle bal,
24:42on est principalement
24:43debout sur le vélo
24:44que là on peut prendre appui
24:46autant sur le guidon
24:47que sur la selle.
24:48J'ai découvert ça
24:49et ça m'a impressionnée
24:50et j'ai tout de suite
24:51voulu essayer du coup.
24:52Mon papa fait du cyclobal
24:54et du coup quand je suis née
24:55je venais voir les compétitions
24:57et à force de grandir
24:58en voyant ces compétitions
24:59il y avait de l'artistique
25:00en même temps
25:00et du coup j'ai dit
25:01que je voulais faire ce sport.
25:02Le fait que ça soit
25:03un mélange de gym,
25:04danse
25:05et c'est du surpassement
25:06de soi aussi beaucoup.
25:07Comme pour le cycle bal,
25:09deux clubs existent
25:10dans la Loire
25:10à Feur et à Balbigny.
25:12Voilà et puis
25:14c'est une tradition
25:15celle-là
25:15vieille de près de 500 ans
25:17le tir au papoguet
25:19un oiseau factice
25:20perché
25:21à 45 mètres
25:23en haut d'un mât.
25:24Ça se passe
25:25à Rieux-Volvestre
25:26en Haute-Garonne
25:27et ils étaient
25:28une centaine d'archers
25:29à tenter
25:30de faire tomber l'oiseau
25:31pour devenir
25:32roi du papoguet.
25:34Écoutons un archer
25:35de la compagnie
25:36du papoguet
25:36et surtout
25:37le nouveau roi
25:37au micro
25:38d'Antoine Clément
25:39pour nos confrères
25:40de la dépêche
25:41du midi sur place.
25:42Alors le but du jeu
25:43c'est de faire tomber
25:44cet oiseau
25:45qui est perché
25:46au bout d'un mât
25:46de 45 mètres
25:47et qui pèse
25:48presque 5 kilos.
25:51Celui qui le fait tomber
25:52devient roi pour l'année
25:53roi de rieux
25:54pour une année
25:55tout simplement.
25:56En général
25:56il faut compter
25:572 à 3 heures
25:58avant que l'oiseau tombe.
26:00Il est enfoncé
26:00de 5 centimètres
26:01au bout de son mât
26:03de 5 centimètres
26:04et progressivement
26:05à chaque coup
26:05l'oiseau monte
26:07de quelques millimètres
26:08jusqu'au moment
26:08où il va vaciller
26:10et une flèche
26:11comme tu dis
26:11le fera tomber
26:12au dernier moment.
26:13Une joie
26:13parce que ça fait
26:14plus de 6 ans et demi
26:14que je suis arché maintenant
26:15et voilà
26:17être roi
26:19c'est une grande chose.
26:21En plus mon fils
26:21cette année
26:22il est passé
26:23chez les grands
26:24on a défilé ensemble
26:25cette année
26:25et défiler
26:28et être roi aussi
26:29c'est super pour moi.
26:31Voilà c'est la fin
26:31de ce journal
26:32merci de nous avoir suivis
26:33on se retrouve très vite
26:35pour une nouvelle édition
26:36du Grand JT des Territoires
26:38au revoir à tous.
26:39Sous-titrage Société Radio-Canada
26:44Sous-titrage Société Radio-Canada

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