Munie d’une raclette en fer, d’un peu de dissolvant et parfois de bombe de peinture, Irmela Mensah-Schram racontait, alors âgée de 76 ans, sa lutte quotidienne contre la propagande nazi en Allemagne : "Le nazisme n’est pas mort, il s’est juste modernisé un peu".
En 36 ans, elle avait déjà décollé plus de 92 000 stickers affichés un peu partout dans les lieux publics.