Le grand debrief du 30/04/2025 de Laurent Tessier

Europe 1

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Transcript

00:00Europe 1, le grand débrief de Pascal Prouévo.

00:03Monsieur Tessier, le grand débrief.

00:05Témoignage très fort aujourd'hui dans notre émission.

00:07Pascal Prouévo sur Europe 1, celui de Reda Belage,

00:10porte-parole du syndicat de police Unité Île-de-France.

00:13Il était exprimé sur sa vision de la religion,

00:15lui qui est de confession musulmane,

00:16la récupération politique de différentes actualités

00:19par l'extrême gauche, la montée de l'islamisme.

00:21On a laissé peut-être trop de choses,

00:23trop de, pas de liberté,

00:25mais trop, on a laissé trop de radicalisation se mettre en place

00:28et en prétextant une liberté, justement.

00:30Nous, on a eu la chance d'avoir des parents

00:32qui sont venus grâce à l'immigration,

00:35parce que c'était une opportunité pour eux de venir en France.

00:38Donc eux, ils nous ont appris à nous intégrer.

00:41Et voilà, le vendredi, à l'école,

00:43on mangeait du poisson, on ne se plaignait pas,

00:45c'était comme ça.

00:46Ce qui est paradoxal, c'est qu'à l'époque,

00:48vous n'aviez pas de boucherie halal partout,

00:50vous n'aviez pas des mosquées partout,

00:51vous n'aviez pas de salle de prière partout.

00:52Et on a l'impression qu'avec le temps,

00:54ce qui est dommage, c'est qu'on a mis

00:55plein de dispositifs en place,

00:57l'islam a été reconnu

00:59comme deuxième religion en France.

01:01Et au final, on a l'impression,

01:03plus on a donné, plus on a donné,

01:04plus ça ne suffit pas.

01:05Et puis, on a l'impression que les gens se radicalisent.

01:07Une parole très forte,

01:08Reda Bellage du syndicat de police unité

01:10était notre invitée aujourd'hui sur Europe 1.

01:12Merci, cher Laurent.

01:14Et notre amie Céline Géraud est là aujourd'hui.

01:17Elle vous serait là demain également ?

01:18Absolument.

01:19Belle semaine pour les auditeurs d'Europe 1.

01:22Demain, nous trouverons du muguet,

01:22mais trouverons-nous du pain frais ?

01:24Ce n'est pas sûr.

01:24Les boulangeries ne peuvent pas ouvrir.

01:25On mangera du muguet.

01:26Comme vous le savez,

01:28la législation est très restrictive.

01:31Et on ira à Bordeaux,

01:31où les boulangers, vous le verrez,

01:32hésitent, parce qu'effectivement,

01:34l'amende est sévère,

01:35si vous ouvrez ici,

01:36et vous faites travailler du personnel.

01:38On ira aussi à Aubagne,

01:39pour la maison mère,

01:41effectivement, de la Légion étrangère,

01:43pour cette cérémonie de Cameroun.

01:45En présence d'Emmanuel Macron,

01:46c'est la première fois

01:47qu'un président de la République

01:48assiste à cette cérémonie.

01:49Le capitaine d'Anjou,

01:50qui a résisté contre les Mexicains,

01:52vous connaissez cette histoire.

01:53C'est ça, ils étaient 63 face à 2000 soldats.

01:57Et lui, héroïque.

01:59Et l'extrême gauche,

01:59qui veut fracturer la société française,

02:01et qui abîme la France,

02:02les propos chocs de Bruno Retailleau,

02:04on les décryptera, bien sûr,

02:05dans quelques instants.

02:05C'est toujours un bonheur d'être avec vous.

02:07Merci, cher Géraldine.

02:08Merci, Pascal.

02:09Demain, nous serons là.

02:10Et c'est vrai que ces journées fériées,

02:12lorsqu'on travaille ensemble,

02:13ont une saveur particulière.

02:13Ah bah oui, on est payés double.

02:15C'est la famille qui est là,

02:17et qui travaille,

02:18et qui reste en contact avec les auditeurs.

02:21Monsieur Blanc,

02:21vous ne serez pas là, vous, demain ?

02:23Non, je serai au 5h-7h.

02:25Au 5h-7h.

02:27J'en passe un café, c'est quelque chose ?

02:29C'est sur l'antenne.

02:30Avec Jacques Serret.

02:32Je sais bien.

02:33Ah oui, Jacques Serret.

02:34S'il n'y a pas de pain demain,

02:35vous pouvez demander à Jacques Serret.

02:37Oui, c'est vrai.

02:37Parce que Jacques,

02:39ses parents avaient une pâtisserie.

02:40Ah oui, c'est vrai.

02:40Oui, c'est vrai, peut-être.

02:42Mais bien sûr.

02:43Les propriétaires ont le droit d'ouvrir,

02:44en revanche,

02:44ils n'ont pas le droit de faire travailler les personnels.

02:46Je sais qu'ils ont vendu, ses parents,

02:47mais bon, il doit savoir faire un petit peu.

02:49Il doit lui rester quelques baguettes.

02:52Quelques gâteaux qu'ont 3-4 ans.

02:54Il est 12h56.

02:56L'excellente Céline arrive.

02:59C'était Pascal Proff sur Eurapart.

03:01Oui, c'était moi.

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