La loi proscrit le travail des salariés de boulangeries le 1ᵉʳ mai, un jour férié et chômé, l'activité étant jugée non essentielle. Des sénateurs centristes ont déposé un texte pour autoriser les établissements qui peuvent déjà ouvrir le dimanche à pouvoir le faire également le 1ᵉʳ mai.