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Punchline - Guerre en Ukraine : face aux États-Unis, une Europe unie ?
Europe 1
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17/02/2025
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00:00
On commence, mon cher Pierre Lelouch, par se dire que les Européens tremblent, ils sont en train de se réveiller ?
00:05
C'est un réveil un peu tardif selon vous ? Ou est-ce que les jeux sont déjà faits ?
00:09
Ils payent le prix d'une classe politique d'illusionnistes qui sont malheureusement aux manettes depuis longtemps
00:16
et qui n'ont pas voulu voir ce qui leur arrivait en pleine face.
00:19
Parce que ça n'a pas commencé avec Trump.
00:21
Le désengagement américain de l'Europe, il y a au moins une vingtaine d'années, il a commencé sous Obama.
00:26
Il a été confirmé sous Biden malgré les apparences.
00:29
Et Trump, il n'a jamais caché ce qu'il voulait faire.
00:32
Il n'a juste pas voulu entendre.
00:34
Personne n'a voulu entendre, ce qui était même là dans sa campagne électorale.
00:37
Ce qui s'est passé dans cette méchante affaire ukrainienne et que je décris dans mon livre,
00:43
c'est qu'au fond tout a basculé avec la surprise stratégique qu'a représenté la résistance ukrainienne devant Kiev.
00:52
Car juste avant l'attaque, Biden dit ceci.
00:56
Je retire mes conseils militaires d'Ukraine.
01:00
Je ne ferai pas d'opération militaire.
01:03
Il n'y aura que des sanctions économiques.
01:05
L'Europe est sur la même ligne.
01:07
Pas de chance, si j'ose dire.
01:08
Les Ukrainiens résistent, à la surprise des Russes et des Américains.
01:11
Et là, il se passe un moment...
01:13
Pardon, je suis un peu long, mais c'est important de comprendre.
01:15
Après, on va voir un sujet et on reviendra là-dessus, Pierre.
01:17
Allez-y, terminez.
01:18
Il se passe un moment en février, mars, avril, où Russes et Ukrainiens négocient.
01:22
Ils auraient pu arrêter la guerre à ce moment-là.
01:24
On n'a pas aidé du tout la négociation.
01:26
Et à partir d'avril, Biden entre en guerre.
01:29
Et nous, on suit, sans le moindre objectif stratégique,
01:33
mais sous la pression de médias, naturellement indignés par ce qui se passait,
01:39
la guerre, Bouchard, etc.
01:40
Et on part la faire au fusil, sans fusil,
01:43
dans l'espoir que les Américains vont gagner la guerre à notre place.
01:48
Pas de chance.
01:49
Au bout de trois ans, ils changent de président.
01:51
Et Trump dit, cette guerre est ridicule, je m'en vais.
01:55
Parce que j'ai d'autres chats à fouetter, les Chinois et autres.
01:58
Et là, tout le monde s'affole.
02:00
C'est comme les lapins dans les phares d'une voiture.
02:02
Tous les chefs européens ne savent plus où ils habitent.
02:05
Ils n'ont pas de réponse.
02:06
Pas de réponse, c'est ce que je disais.
02:08
Et c'est très grave.
02:09
On va juste aller rejoindre Clélie Mathias,
02:11
ses frères nondorés qui se trouvent dans la cour de l'Elysée.
02:13
Bonsoir, Clélie.
02:14
Vous pouvez nous dire qui sont les dirigeants européens qui sont là ?
02:16
Je crois qu'il y a aussi le secrétaire général de l'OTAN,
02:18
à l'initiative d'Emmanuel Macron.
02:20
L'idée, c'est d'avoir une réponse coordonnée de l'Europe
02:23
face à ce que dit Donald Trump ?
02:28
Oui, c'est une des conséquences des initiatives de Donald Trump
02:30
et des Etats-Unis qui ont décidé d'organiser des pourparlers
02:33
directement avec Vladimir Poutine et la Russie,
02:36
sans passer ni par l'Ukraine, ni par l'Europe.
02:39
Cette réunion, ici, aujourd'hui, à l'Elysée,
02:42
s'est organisée dans le week-end, très rapidement.
02:45
Il y a le Royaume-Uni, qui ne fait pas partie de l'Union Européenne,
02:48
mais d'autres pays qui font partie de l'Union Européenne,
02:51
comme l'Italie, l'Espagne, le Danemark, la Pologne,
02:54
ou encore les Pays-Bas.
02:56
Il n'y a pas la Hongrie de Viktor Orban, c'est important de le dire,
02:59
puisque Viktor Orban, qui a toujours été pro-paix,
03:01
a toujours dit que c'était une réunion de pays frustrés.
03:05
Je cite ces mots.
03:07
Il y a aussi la présidente de la Commission Européenne,
03:09
le président du Conseil Européen,
03:11
vous l'avez dit, Laurence,
03:13
le Secrétaire Général de l'OTAN.
03:17
La réunion ne devrait pas tarder à se terminer,
03:19
puisqu'Holschoofs doit partir à 18h.
03:21
Vous savez que le chancelier allemand est en campagne électorale,
03:24
et on entend déjà les moteurs qui se préparent à accueillir les dirigeants.
03:28
Il y avait deux thèmes majeurs.
03:30
L'Ukraine, bien sûr, pour parler de paix.
03:32
Comment sécuriser une paix durable en Ukraine ?
03:35
C'est-à-dire, est-ce qu'il faut, par exemple, envoyer des troupes au sol ?
03:38
Certains pays européens y sont favorables, d'autres non.
03:40
L'autre question, c'est la question du financement pour cette paix.
03:43
Et puis, plus largement d'ailleurs,
03:45
pour assurer la sécurité en Europe dans les années à venir.
03:50
Donc, on dépasse même le strict cadre du processus de paix en Ukraine,
03:54
ici, lors de cette réunion qui se tient aujourd'hui autour d'Emmanuel Macron.
03:58
Merci, Clélie Mathias, Florian Doré, Gauthier Le Breton.
04:01
Les Français, peut-être, ceux qui nous écoutent et nous regardent,
04:03
se disent, c'est loin de nous, ça ne nous concerne pas.
04:05
Mais si, ça nous concerne, en réalité.
04:07
On est en train de se faire absolument dépasser par les événements.
04:10
Et puis, ça les concerne quand la France donne plusieurs milliards à l'Ukraine,
04:15
avec l'impôt des Français.
04:16
Je peux vous dire que ça les concerne directement.
04:18
Il y a eu un vote au Parlement, mais on n'a jamais consulté les Français
04:21
sur l'aide versée à l'Ukraine,
04:23
qui se compte donc en milliards depuis le début du conflit.
04:26
Donc, évidemment.
04:27
Et puis, c'est aux portes de l'Europe, comme on a l'habitude de le dire.
04:30
Et donc, si vous voulez, cette réunion, c'est de la com'.
04:32
Quand vous êtes hors-jeu, complètement hors-jeu,
04:35
vous essayez de trouver une parade...
04:37
Il n'y a eu pas que de la com'.
04:39
Excusez-moi.
04:40
Mme Mélenchon est là.
04:41
Je veux dire, les Européens, ils ont un petit peu...
04:43
Ils sentent le vent de l'histoire.
04:44
Ils vont annoncer quoi en sortant de cette réunion, Laurence ?
04:47
Écoutez, écoutez.
04:48
Je ne suis pas porte-parole de l'Élysée, mon cher.
04:50
Non, mais ils sont hors-jeu.
04:51
C'est une réunion de personnes qui sont hors-jeu,
04:53
qui ne comptent plus, qui ne pèsent plus.
04:55
Emmanuel Macron a essayé...
04:57
C'est le seul point qu'on peut lui accorder
04:59
au moment de la réouverture de Notre-Dame,
05:02
de réunir avec succès Donald Trump et Volodymyr Zelensky,
05:05
et plus rien.
05:06
Et donc, les deux présidents vont se retrouver
05:09
sans passer un coup de fil à Emmanuel Macron
05:13
ou à qui que ce soit en Europe.
05:14
Donc, puisqu'ils sont hors-jeu,
05:16
il faut faire semblant.
05:17
Et donc, on se réunit.
05:18
On sortira de là sans rien annoncer, sans...
05:22
Si, il y aura des déclarations.
05:23
Oui, mais une annonce...
05:24
Non, il n'y aura pas de déclaration.
05:25
Il n'y aura pas de communiqué, non.
05:26
Il n'y aura pas de communiqué.
05:27
Il ne peut pas y en avoir.
05:28
Il ne peut pas y en avoir,
05:29
parce qu'ils n'ont pas de réponse.
05:30
Pierre Lelouch.
05:31
Le sujet, c'est que...
05:33
Parfait.
05:34
OK.
05:35
Moins d'un mois après son investiture,
05:37
moins d'un mois.
05:38
On est le 17 aujourd'hui.
05:40
Il a été investi le 20 janvier.
05:42
La semaine dernière,
05:43
il a ce coup de téléphone avec Poutine
05:45
et il avait promis de régler cette affaire.
05:48
Il la règle, aux conditions des Russes.
05:50
C'est-à-dire, la négociation est simplement
05:54
américano-russe hors les autres.
05:57
Deuxièmement, les Russes conservent
05:59
ce qu'ils ont obtenu militairement,
06:00
c'est-à-dire le Donbass et la Crimée.
06:02
Troisièmement, il va y avoir
06:03
la levée des sanctions,
06:04
parce que les business is business.
06:07
Et tout ça se réunit dans la foulée
06:09
d'une réunion à Munich
06:10
où le vice-président leur a donné
06:12
une leçon de démocratie sans précédent.
06:15
Donc, c'est une espèce de divorce militaire
06:18
suivi d'un divorce idéologique.
06:20
Et dans la foulée,
06:22
aujourd'hui même,
06:23
les ministres américains et russes
06:25
arrivent à Riyad pour négocier demain.
06:28
Et pendant ce temps-là,
06:29
les Européens ont eu une réunion de crise
06:32
pour essayer de savoir comment ils vont faire.
06:34
Et moi, j'ai réfléchi toute la journée,
06:36
en me mettant à la place de ces gens-là,
06:39
de ces grands chefs d'État,
06:41
et je me dis, bon, maintenant,
06:42
comment je fais pour acheter un strapontin
06:46
à la table de négociation ?
06:47
Même pas une place, un strapontin.
06:49
Qu'est-ce que je fais pour convaincre Trump...
06:51
Envoyer des troupes au sol,
06:52
comme disent les Anglais ?
06:53
Non, ça, c'est un autre sujet.
06:55
C'est le deuxième sujet.
06:56
Heureusement.
06:58
Juste là, comment je fais pour...
07:00
Qu'est-ce que j'ai comme moyen de pression ?
07:02
J'ai compris ce que vous m'avez dit.
07:03
Je le dors rapidement, François.
07:05
Ce qu'on voit, c'est aussi que les Européens
07:07
paient leur avenglement depuis maintenant trois ans.
07:10
C'est-à-dire que la première année du conflit,
07:12
ils ne voulaient pas se mettre à la table de négociation
07:14
pensant que l'Ukraine pouvait encore gagner,
07:16
alors que tous les observateurs un petit peu avisés,
07:18
notamment Pierre Lelouch,
07:19
nous disaient que ça allait être plus compliqué que cela.
07:22
Donc, que veulent-ils faire ?
07:24
C'est qu'ils veulent en effet obtenir un strapontin.
07:26
Ils veulent obtenir une victoire de communication,
07:29
une démonstration de force d'Européens,
07:31
sauf que c'est un mal européen, et j'allais dire français,
07:33
de faire un conseil, une commission, un conclave,
07:37
alors qu'on sait que les dés sont pipés
07:39
et que la bataille, aujourd'hui,
07:41
elle se joue entre les Américains et les Russes.
07:44
On n'aura aucun impact.
07:45
François Péponi, Joseph.
07:47
Là, c'est une réunion de vent de panique.
07:48
Mais oui.
07:49
Les Américains font ce qu'ils ont dit.
07:51
C'est la com'.
07:52
Et nous, on dit qu'ils le font.
07:54
Et venez vite à Paris, comment on fait maintenant ?
07:56
C'est-à-dire que personne n'a anticipé ce qui se passait.
07:59
Alors que c'était écrit, annoncé, déclaré.
08:02
Dans toute la campagne de Trump.
08:03
Et connaissant un peu Trump, enfin, ils le connaissent,
08:05
ils disent qu'ils allaient le faire.
08:06
Et ils font ce qu'ils disent.
08:07
Il avait dit 24 heures.
08:08
Il a tardé.
08:09
Pierre Lelouch, après Joseph.
08:11
Le déficit commercial,
08:13
le premier déficit commercial des États-Unis,
08:15
c'est la Chine.
08:16
290 milliards de dollars.
08:17
Le deuxième déficit, c'est l'Europe.
08:19
230.
08:20
D'accord.
08:21
Donc, quel est le moyen de pression qu'on a
08:23
sur quelqu'un qui va déjà nous mettre des droits de douane ?
08:26
Qu'est-ce qu'on va dire à Trump
08:28
pour qu'il nous accède à des...
08:29
Première question.
08:30
Deuxième question, les garanties de sécurité.
08:33
Une fois que l'armistice est signé,
08:36
les Ukrainiens disent,
08:37
bon, maintenant que les Américains sont vents,
08:39
on veut une armée de 200 000 Européens.
08:41
Bon, elle n'existe pas.
08:42
Elle n'existe pas.
08:43
Et les Américains ont dit,
08:45
attendez, si vous, les Européens, vous rentrez en Ukraine,
08:47
alors vous rentrez hors OTAN
08:49
et hors protection américaine.
08:51
Vous prenez vos risques.
08:53
Alors, ma question,
08:54
quel est le pays qui va aller risquer
08:57
d'entrer dans un bourbier pareil
08:59
pendant les 10 ou 15 ans qui viennent ?
09:01
Avec quels moyens ?
09:02
Et c'est ça, la question qu'ils ont ce soir sur la table.
09:05
L'Anglais, il a dit, moi, j'y vais.
09:07
Il a dit ça comme ça.
09:08
Mais je pense qu'ils peuvent...
09:09
Ils sont capables de dire...
09:10
Les Anglais ?
09:11
Ils peuvent tous.
09:12
Pour exister.
09:13
D'envoyer Trump seul ?
09:14
Là, sortir de cette réunion et dire...
09:16
Pour sécuriser.
09:17
Il n'en reste plus.
09:18
Alors, dernier mot, Joseph, avant la pause.
09:20
Non ?
09:21
Je pense que là,
09:22
ce qui est en train de se passer,
09:23
c'est la fin de l'Union européenne,
09:25
telle que les pères fondateurs...
09:27
On voit le chancelier Scholz qui s'en va, là.
09:28
...telle que les pères fondateurs l'avaient créée.
09:30
Tout ce discours autour de l'Union européenne
09:33
nous a garantis la paix,
09:34
nous a garantis des décennies de paix,
09:36
c'est terminé.
09:37
Les pipeaux sont terminés.
09:38
C'est l'OTAN qui est garanti.
09:40
Et bien sûr, c'est l'OTAN.
09:41
Donc, il faut siffler la fin de la récréation.
09:43
C'est-à-dire, qu'est-ce qu'il est possible
09:46
de construire aujourd'hui ?
09:47
Voilà.
09:48
Est-ce qu'il est possible de reconstruire aujourd'hui ?
09:49
Encore un problème de reconstruction.
09:50
Est-ce qu'il est possible de reconstruire aujourd'hui ?
09:51
L'Union européenne, c'est terminé.
09:53
Bon. Allez, Gauthier, dernier mot ?
09:55
Non, parce que, monsieur le ministre,
09:56
vous rappeliez à juste titre, évidemment,
09:57
le discours-choc de Gidevens.
09:59
Et je vois que tout le monde...
10:01
On va en écouter un petit extrait.
10:02
...pousse un peu, voilà,
10:03
la voix contre Gidevens,
10:07
notamment notre ministre des Affaires étrangères,
10:09
Jean-Noël Barraud.
10:10
Alors, ça ne se mange pas de pain de dire
10:12
que Gidevens fait de l'ingérence,
10:14
il nous fait la leçon.
10:15
Quand vous êtes aussi faible avec l'Algérie,
10:18
comment voulez-vous être respecté,
10:19
déjà, par Donald Trump ?
10:20
Quand on ferme des télés en France,
10:21
monsieur Brett, bien sûr...
10:23
Ça ne nous a pas échappé, oui.
10:24
Oui, quand on ferme une télé,
10:25
quand il dit qu'il y a un recul des libertés en Europe,
10:28
il cite plein d'exemples,
10:30
en Suède, en Écosse, en Angleterre.
10:32
J'invite les gens à lire ce discours,
10:33
qui est court.
10:34
Allez, dernier mot, Gauthier ?
10:35
Non, vous aviez terminé ?
10:36
Non, mais bien sûr, oui.
10:37
C'est vrai que, quand il parle de liberté d'expression
10:39
qui recule en France,
10:41
enfin, en Europe,
10:42
la semaine où le Conseil d'État
10:44
doit statuer sur C8,
10:46
quand il parle de crise migratoire
10:49
et d'immigration non contrôlée,
10:51
quand le JDD publie les chiffres de la submersion
10:54
pour reprendre le titre,
10:55
évidemment que ça fait écho.
10:56
C'est bien beau.
10:57
En fait, ce que je veux dire,
10:58
c'est que c'est bien beau de prendre la parole
10:59
contre J. Diven, c'est très bien,
11:00
quand on se tait et on ne dit rien face à l'Algérie,
11:02
alors que ça fait trois mois
11:03
que Boilem Sansal est dans sa jaule.
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