Les mots forts de Abdou Mbow sur le ministre Ousmane Diagne_ _je n'ai rien à lui reprocher

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00:00Regarde-moi ça.

00:05Ne lire pas, sinon tu risques d'avoir des soucis.

00:08Tu as vu ma tante Béné?

00:11Oui, je l'ai vue.

00:13Non, c'est pour t'aider.

00:16Non, c'est un numéro identifié.

00:19C'est un numéro identifié, je peux aller porter plainte à Cyberclimate.

00:26Je ne le ferai pas parce qu'on n'a pas le droit d'en parler.

00:32Je connais des centaines d'entre eux.

00:36Mais je ne sais pas qui c'est.

00:38Je sais que c'est eux.

00:39Non, je ne sais pas qui c'est.

00:41Attends, j'ai dit que je sais qui c'est.

00:46Non, je ne sais pas qui c'est.

00:51Je sais que c'est eux.

00:54Je t'ai montré pour que tu te rendes compte.

00:57Pour qu'ils te montrent ce que c'est leur travail.

01:00Mais je n'ai pas le droit car c'est moi qui les ai apporté.

01:03Je les ai apporté pour qu'ils s'entendent et qu'ils comprennent

01:08ce qu'on fait pour qu'ils puissent s'occuper d'eux.

01:12C'est pour ça qu'on les a apporté.

01:15Il faut que les étudiants s'occupent de ce qui se passe dans tous les secteurs.

01:23Même les entreprises publiques proposent des plans sociaux pour que les gens puissent y aller.

01:30C'est pour ça qu'on dit que le pays va mal.

01:32Je ne veux pas parler d'adversité extrême comme tu l'as fait avec le prix de la pension.

01:37Je vois que tu es en train d'y aller.

01:40C'est une image qu'on ne peut pas refaire.

01:43Est-ce qu'il y a des rapports entre l'opposant et l'adversaire?

01:50Il y a des niveaux qui sont différents.

01:52Je ne pense pas qu'il y ait une animosité personnelle entre les deux.

01:58Je critique ses actions et je commande ses dires.

02:04Je ne l'ai jamais entendu parler de sa danse.

02:10J'ai une bonne éducation qui me permet de différencier l'adversité et l'animosité.

02:20Je n'ai pas d'ennemis dans la vie.

02:24Mais dans l'adversité, je pense que c'est mieux pour la réunion.

02:30Mais je vais continuer à le dénoncer.

02:36Je ne vais pas arrêter de parler de ces rapports.

02:40Le ministre de la justice, Ousmane Diagne, a identifié ces rapports.

02:47Ils sont susceptibles d'être poursuivis.

02:51C'est ce qu'il a dit.

02:54On a parlé d'un rapport, c'est la première fois qu'on parle de ce genre de rapport.

03:02En général, si on a l'habitude de lire des rapports courdés contre

03:06on dit que l'information judiciaire est contre une telle personne.

03:11On traduit une telle personne devant la chambre administrative et financière.

03:18On traduit une telle personne pour la rembourser.

03:23Dans ce rapport, il n'y a aucune ouverture de l'information judiciaire.

03:28Il n'y a aucune traduction de la chambre administrative.

03:32On ne sait donc pas par quelle alchimie le ministre de la justice est allé chercher

03:37des personnes à poursuivre ou des délits.

03:40Aujourd'hui, on dit qu'il y a des délits sans délinquants.

03:45Il n'y a pas un délinquant qui ne peut dire qu'il a été remboursé par le rapport.

03:50Mais le justice doit faire son travail.

03:53On parle parfois d'anomalies, on parle de décartes, d'insultes...

03:57Si tu as des questions sur ce sujet, tu pourras le voir aujourd'hui.

04:00Si l'œil du procureur l'a donné...

04:03Ce que je veux dire c'est qu'il y a des magistrats courdés contre.

04:10Ils ont dit qu'il devait y avoir des sanctions pénales.

04:14C'est leur recommandation.

04:16Il n'y en a pas ici.

04:18Je n'ai pas parlé de commentaires.

04:21Mais il y a des anomalies notées dans le rapport.

04:24Des écarts...

04:26Jalloh, je suis d'accord avec ce qu'il a dit.

04:31Les faits sont sacrés et le commentaire est libre.

04:36Mais ce rapport ne fait pas cas d'ouverture d'information judiciaire.

04:44C'est vrai.

04:45Ce qui a été dit par Ousmane Diagne et ce qu'il a dit par d'autres

04:51ça vous concerne.

04:54Encore une fois, je suis d'accord avec la justice du Sénégal.

04:59Je l'ai déjà dit, l'appel de Far Bangom

05:03n'est rien d'autre qu'une commande politique de Ousmane Sonko

05:07que la justice est en train d'exécuter car c'est lui qui a fait l'erreur.

05:12C'est lui qui a fait l'erreur et Far Bangom n'est qu'une commande politique.

05:17Le ministre de la justice a-t-il dit qu'il n'y aurait pas d'autre trahison?

05:24Il a dit qu'il n'y aurait pas d'autre trahison et qu'il n'aurait que ça.

05:28Mais rien n'est exclu.

05:31C'est la communication, il a dit qu'il n'y aurait pas d'autre trahison.

05:35Si on est d'accord,

05:39les trahisons du président Maksal

05:45sont des communications pour avoir encore plus de temps.

05:51Je sais que vous êtes d'accord mais nous sommes d'accord.

05:55Maksal est devenu un célèbre.

05:59Tout ce qu'il a fait ici, nous l'avons tous vu.

06:03Aujourd'hui, partout dans le monde, si Maksal était devenu un célèbre

06:08personne ne l'appellerait comme ça.

06:12Maksal est aujourd'hui plus utile qu'avant.

06:17Car il a une priorité morale exemplaire.

06:22Il a un bilan extraordinaire et un leadership reconnu mondialement.

06:28Il est un homme qui a été soutenu par tout le monde.

06:33Il a fait un travail qui n'a jamais été oublié.

06:39Ce qu'on lui a dit, c'est qu'il est un homme de l'Etat.

06:44Il est un homme qui a été soutenu par tout le monde.

06:48Il n'a jamais été oublié.

06:51Je pense que c'est ce qu'il faut reconnaitre.

06:56Ousmane Diagne est un grand procureur.

06:59C'est quelqu'un qui a fait des choses dans ce pays et qui a une priorité morale extraordinaire.

07:04Je l'ai dit à l'assemblée en disant que je l'ai connu

07:09d'une magistrat.

07:11C'est le premier ministre lui-même qui a dit ces paroles que j'avais citées à l'assemblée nationale.

07:16Je n'ai rien d'autre que ça.

07:18Si on écoute sa publication, on sait que c'est le même ministre.

07:22Je ne vois pas de quoi il peut se reprocher

07:27par rapport à sa propriété morale et à la façon dont elle fonctionne.

07:31Je pense qu'il est vrai.

07:33Beaucoup de gens ont dit que c'est un homme de l'Etat.

07:36Je pense que le réau de Ousmane Sonko

07:41a été détruit mais je pense qu'on ne l'aura pas laissé comme ça.

07:44Le réau n'a pas commencé à exister en 2024.

07:49Le Sénégal est souverain depuis 1960.

07:53Senghor a été président de ce pays.

07:56Abdou Diouf a été président.

07:58Abdoulaye Ouada et Macky Salla ont été présidents.

08:01On a un travail à faire.

08:05On a besoin d'une démocratie, d'un Etat de droit

08:10d'une infrastructure, d'une démocratie

08:14d'une diplomatie qui commence par la diplomatie de bon voisinage.

08:22On veut avoir des rapports privilégiés avec certains pays.

08:25Une ouverture un peu partout dans le monde.

08:27Avec des perspectives qui devraient atteindre le Sénégal en 2040.

08:36On ne va pas le perdre.

08:38Si les poursuites sont faites sur le président Macky Salla,

08:42ils auront assez d'éléments pour monter un dossier contre lui.

08:47On ne peut rien dire sur ce ballon.

08:54Je ne vais pas le tenter.

08:58On ne sait rien sur ce ballon, il faut que les gens arrêtent.

09:05Dieu sait qu'on ne peut pas le tenter parce qu'il va détruire notre émission.

09:10Il va nous dire qu'il n'y a pas d'élu ou qu'on ne peut pas le dire.

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