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Thierry Cabannes - Médecin agressé : une peine dérisoire pour l'agresseur
Europe 1
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14/02/2025
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News
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00:00
L'info en continu, c'est sur Europe 1.
00:06
Punchline, 18h-19h, Thierry Cabane sur CNews et Europe 1.
00:15
Il est quasiment 18h44, c'est la dernière ligne droite pour votre Punchline Week-end.
00:19
C'est Europe 1 sur CNews, toujours à mes côtés pour commenter cette actualité assez riche en ce vendredi soir.
00:23
On va évoquer un témoignage très fort, si vous le voulez bien.
00:34
C'est celle de ce médecin de 64 ans de Drancy.
00:38
Je ne sais pas si vous vous souvenez, on en avait beaucoup parlé.
00:40
Il avait été violemment agressé le 25 novembre dernier par un patient qu'il connaissait.
00:45
C'est ça le pire, il le connaissait très bien.
00:47
Il avait eu une triple fracture du nez.
00:50
Son agresseur a été condamné hier.
00:52
A trois semaines de travaux d'intérêt général et à 2000 euros d'amende.
00:57
Le médecin a réagi à ce verdict.
00:59
Évidemment, il n'accepte pas ce verdict.
01:03
Il est profondément touché. Écoutez-le.
01:06
La décision qu'on vient de dire, c'est vraiment légitimer la violence faite aux médecins et aux soignants en particulier.
01:14
La sanction, c'est pareil que si on volait un scooter.
01:19
Franchement, ça me laisse sans voix.
01:22
Je porte encore les séquelles.
01:24
Avant, je vous avais dit que l'odorat et tout ça, ça peut peut-être revenir.
01:27
Maintenant, c'est définitif.
01:29
Je n'ai plus d'odorat, plus de goût.
01:31
Je dois refaire un scanner des dents parce qu'il y a des racines des dents de matière supérieure qui sont certainement écrosées.
01:41
Donc, il va falloir refaire ça.
01:44
Le but de mon intervention, ce n'est pas le matériel.
01:48
Moi, j'aurais voulu une décision qui soit à la hauteur du préjudice que j'ai subi.
01:53
Ce n'est pas une question d'argent.
01:55
Ce n'est pas ça le plus important.
01:57
Je suis en train de me donner le temps pour permettre aux patients de retrouver quelqu'un et tout.
02:02
Mais dans ces conditions, ce n'est pas impossible.
02:04
Franchement, c'est impossible.
02:06
C'est écœuré.
02:09
Je me suis fait violence pour venir ce matin.
02:12
Je vous jure.
02:14
Et pourtant, je ne suis pas quelqu'un de stressé de façon habituelle.
02:25
Hier, j'ai envisagé.
02:28
Sincèrement, si j'avais des médicaments sous la main, je crois que j'aurais eu une fin à mes jours.
02:33
Je suis écœuré.
02:35
Voilà où on en est en 2025, Frédéric Loos.
02:39
Vous avez écouté ce médecin.
02:43
Il parle carrément de suicide tellement qu'il est écœuré par cette décision.
02:47
Moi, ça m'affecte beaucoup.
02:48
Je trouve ça d'une grande tristesse.
02:51
Effectivement, quand il voit la sanction pénale, il se dit pourquoi pas aussi leur tirer les oreilles.
02:56
On a une perte de repère.
02:59
Je n'ai pas le dossier sous la main.
03:01
Je respecte l'indépendance de la justice.
03:04
Mais quand on sait ce qui s'est passé,
03:06
quand on voit qu'on a affaire à un médecin dans une ville populaire
03:10
qui se fait casser la gueule, l'intégrité physique,
03:13
c'est d'une violence, c'est d'un traumatisme inouï.
03:16
Celui qui vient en secours des autres
03:21
et qui en est à vous dire après le passage de la justice
03:25
où on pouvait penser qu'il serait apaisé
03:28
et reprenne son merveilleux métier, aider, soigner les autres.
03:32
Il vous parle de suicide.
03:35
Ça fait peur.
03:37
Ce qui me choque, c'est la banalisation de tout ce qui touche à l'intégrité physique.
03:42
Les peines ne sont pas assez lourdes en la matière.
03:45
L'intégrité physique doit être sanctuarisée.
03:48
Les coups et blessures volontaires, on n'imagine pas le trauma après coup
03:52
lorsqu'on a été victime de coups et blessures.
03:54
Et puis, il y a autre chose.
03:56
Là, il y a une peine qui est escalée.
03:59
Vous imaginez bien ce que j'en pense, j'hallucine.
04:02
Mais vous savez que la victime ne peut pas faire appel dans un procès correctionnel ?
04:06
Le prévenu peut faire appel ?
04:07
J'espère que le parquet va faire appel.
04:09
J'espère que le parquet va faire appel.
04:11
On a une avocate sur ce plateau, Myrtle Whitening, Melqui.
04:14
C'est justement ce que j'allais dire.
04:16
Il faut que cette personne se rapproche du parquet
04:18
pour que le procureur général se décide à faire appel de cette décision.
04:24
Après, on n'a pas eu accès au dossier, on ne sait pas exactement ce qu'il s'est passé.
04:27
On ne sait pas quelles ont été les réquisitions du parquet, d'ailleurs.
04:30
On n'a pas eu cette information, c'est intéressant de le savoir.
04:33
Mais ce verdict est un verdict de condamnation.
04:35
C'est-à-dire que le tribunal est rentré en voie de condamnation.
04:38
C'est-à-dire qu'il a considéré que l'auteur des faits était coupable des faits reprochés.
04:42
Lorsque l'on voit et lorsque l'on entend les préjudices subis par ce monsieur,
04:47
on imagine que les ITT et les incapacités de travail ont été très certainement supérieurs à 8 jours.
04:52
Et donc, on a du mal à comprendre une telle décision.
04:55
C'est pour ça que, puisqu'on est là et qu'on est quand même assez pragmatiques sur votre plateau,
05:00
le seul conseil qu'on peut donner à ce monsieur, c'est effectivement de se rapprocher du parquet
05:04
pour inciter le parquet à faire appel de la condamnation.
05:07
Lui, de toute manière, il sera indemnisé sur le plan civil
05:10
parce qu'il y a une décision de culpabilité qui a été rendue.
05:13
Effectivement, il aura son indemnisation.
05:15
Mais sur la condamnation pénale, sur la condamnation qui a été donnée,
05:20
sur cette peine qui est évidemment trop légère par rapport à ce qu'on voit sur les images
05:24
parce que ce monsieur décrit qu'il faut que le parquet général fasse appel de cette décision.
05:28
Général François Daoust, je me mets à la place de cet agresseur.
05:31
Trois semaines de travaux d'intérêt général.
05:33
Il va avoir peur.
05:35
Ça va l'inquiéter, cet agresseur.
05:37
Là, il se dit, oh là !
05:39
Là, je vais rejoindre Frédéric Loos.
05:42
Et pour l'avoir vécu sur le terrain également,
05:45
dès lors qu'il n'y avait pas une réponse pénale à la hauteur de l'agression,
05:50
très souvent, les victimes partaient en dépression nerveuse.
05:54
En plus, avec l'angoisse de recroiser l'agresseur
05:58
puisque il n'est pas puni ou quasiment pas.
06:02
Eh bien, c'est la porte ouverte.
06:04
Je peux recommencer, je fais ce que je veux.
06:06
Donc, c'est ce sentiment d'impunité pour les uns,
06:08
ce sentiment d'injustice pour la victime
06:11
et la peur de la victime qui continue parce que ça peut recommencer.
06:16
Bien sûr.
06:17
Véronique Jacquier.
06:19
Oui, je crois que ça va encore au-delà de tout ça.
06:22
C'est-à-dire qu'on est vraiment dans un dérèglement des valeurs dans notre société.
06:26
C'est-à-dire que le médecin en question a le sentiment
06:29
et il a raison que la justice n'est plus juste.
06:32
La peine qui est infligée ne sert à rien
06:35
puisque le gars en question qui a fracassé ce médecin,
06:39
ce n'est pas trois semaines de travaux d'intérêt général ou généraux
06:45
qui va faire en sorte qu'il va comprendre.
06:47
Je pense qu'il va avoir peur.
06:49
Il ne va pas comprendre qu'il faut réparer le mal qu'il a causé.
06:53
Donc, on est dans une société, finalement,
06:56
qui ne donne plus le sentiment que les valeurs s'harmonisent
07:03
autour de ce qu'on appelait avant le bien commun.
07:05
Vous savez, chrétiennement, on parlait de bien commun.
07:07
À partir du moment où on a décidé que le bien commun disparaissait,
07:10
mais tout se délite, tout disparaît, plus rien ne s'harmonise.
07:14
Tout à l'heure, on a parlé des meurtriers d'Elias
07:18
en employant pour certains le mot délinquant.
07:21
Non, ce ne sont pas des délinquants quand ils ont le casier judiciaire qu'ils ont déjà,
07:25
ce sont des criminels en puissance.
07:27
Donc, quand on arrêtera de les voir comme des petits délinquants,
07:31
des petites frappes de quartier,
07:33
mais qu'on se dira avec le mal qu'il a fait,
07:35
il est parti pour faire beaucoup plus gros
07:37
et que donc on affrontera le mal,
07:39
qu'on saura au niveau de notre société le regarder dans les yeux,
07:42
je pense qu'on sera capable d'apporter de véritables réponses,
07:45
mais qui touchent finalement à la façon dont on veut encore vivre ensemble
07:49
et des valeurs qu'on peut porter au niveau de la civilisation.
07:53
Parce que là, on voit qu'il y a un tel délitement
07:55
que ça touche à ce que nous sommes profondément.
07:58
Bruno Retailleau, quand il était à Grenoble, il a dit
08:01
le narcotrafic c'est une menace qui est existentielle.
08:04
Et bien tout ce dont nous parlons sur le plateau à longueur de journée,
08:07
ça a trait à une menace qui est existentielle.
08:10
Et vous avez raison de le souligner. Noémie Aligot.
08:12
Oui, j'organise complètement ce qui vient d'être dit sur ce renversement des valeurs,
08:15
notamment que cette agression-là ne vise pas n'importe qui,
08:18
si je puis dire, c'est un médecin.
08:20
Un médecin, par définition, c'est quelqu'un qui soigne les autres,
08:22
c'est quelqu'un qui a prêté le serment d'hypocrate,
08:24
c'est quelqu'un qui est là pour les autres et qui a décidé,
08:26
par son métier, de se consacrer aux plus faibles.
08:28
Et donc que lui soit agressé, c'est terrible.
08:31
Et ensuite que la justice ne le défende pas à sa juste valeur,
08:33
c'est encore plus terrible.
08:35
Et on comprend que certaines victimes de cet ordre
08:37
tombent en dépression nerveuse.
08:40
C'est vraiment possible de le comprendre.
08:42
Maintenant, le problème, c'est évidemment que ce genre de situation se banalise.
08:46
Je me souviens, vous savez, j'ai fait une enquête
08:48
sur la vie de Sarcelles dans le Val d'Oise.
08:50
J'ai publié un livre là-dessus il y a quelques années.
08:52
J'avais interviewé aussi un médecin qui m'expliquait
08:54
qu'il avait été agressé dans son cabinet
08:56
et que d'autres médecins étaient aussi agressés tellement bien
08:58
que dans certains quartiers de Sarcelles,
09:00
les médecins ne voulaient plus se déplacer.
09:02
Et donc, ce sont ensuite les habitants qui souffrent
09:04
parce que certaines personnes âgées ont besoin
09:06
qu'on vienne les soigner chez elles,
09:08
pour ne pas se retrouver sans situation de recours.
09:10
C'est toutes ces situations qui découlent là
09:12
de ce genre de personnages qui agressent les médecins
09:14
et de ce genre de situation
09:16
qui ne sont pas réglées avec une justice
09:18
qui ne prend pas la mesure de la situation
09:20
et qui n'apporte pas des réponses pénales
09:22
qui sont suffisantes
09:24
et qui ne permettent pas d'endiguer le problème.
09:26
C'est évident.
09:28
Un dernier mot, Muriel Wagnil-Melki ?
09:30
Je crois que c'est typiquement dans ce type d'affaires
09:32
qu'il faudrait que la justice apprenne à communiquer.
09:34
Je trouve qu'il faudrait
09:36
qu'un procureur vienne expliquer
09:38
sur un plateau
09:40
ou par le biais d'un communiqué ce qu'il s'est passé
09:42
et pourquoi est-ce qu'on aboutit à cette condamnation.
09:44
Parce que sinon, ce n'est pas audible.
09:46
Vous imaginez le nombre d'émissions qu'on va devoir faire pour expliquer
09:48
les questions de justice que l'on commente et qui nous paraissent...
09:50
Je crois qu'il y a
09:52
véritablement une démarche,
09:54
peut-être, il y a peut-être une démarche pédagogique
09:56
à faire pour expliquer la justice
09:58
et pour aussi, à un moment donné, venir rendre des comptes
10:00
parfois, quand on a des décisions qui sont
10:02
totalement incompréhensibles
10:04
on voit un sentiment d'impunité
10:06
terrible avec ce qu'on a dit sur ce plateau
10:08
le risque de réitéréation
10:10
qui va systématiquement derrière.
10:12
Quand vous n'avez pas de sanctions coercitives
10:14
la personne est systématiquement récidive.
10:16
C'est un état de fait, on le sait tous,
10:18
on l'apprend dans les facs de droit et on le constate
10:20
dans les ordonnances judiciaires.
10:22
Ce n'est pas de sens à la sanction.
10:24
La personne, de toute façon, ne sait pas
10:26
ce que c'est que la réparation.
10:28
Comment vous voulez qu'elle ait le sentiment d'avoir commis le mal
10:30
puisqu'on ne lui explique pas qu'il faut réparer
10:32
quelque chose ?
10:36
Je rejoins tout à fait Muriel.
10:38
Il y a un principe en droit
10:40
qui est celui de la personnalisation de la peine.
10:42
Du coup, si
10:44
un procureur de la République venait expliquer
10:46
pourquoi
10:48
le parquet,
10:50
en tout cas la condamnation,
10:52
a été seulement à ce niveau
10:54
peut-être que ça aiderait
10:56
aussi sa victime.
10:58
Mais en l'espèce,
11:00
comme il n'y a rien, on ne sait pas,
11:02
et là il y a un effet
11:04
de balance qui est complètement
11:06
renversé.
11:08
Je pense que ce monsieur,
11:10
malheureusement,
11:12
il a commencé
11:14
une dépression.
11:16
Il explique dans l'interview
11:18
qu'il a pensé au suicide.
11:20
Il a regardé les médicaments et qu'il y a pensé.
11:22
Effectivement, il va très mal et on peut comprendre,
11:24
quand on voit les images de ce qu'il a subi,
11:26
qu'il se sente dans une situation qui est extrêmement injuste.
11:28
Allez les amis, c'est la fin
11:30
de ce Punchline Weekend. Merci pour votre grande fidélité.
11:32
Merci à vous de m'avoir accompagné.
11:34
Merci à ceux qui m'ont entouré, David Brunet, David Poujol,
11:36
Laure Parra, Isor Dujon, Alexis Prince,
11:38
évidemment, une vidale pour l'info.
11:40
Merci à la programmation. Tout de suite,
11:42
sur Europe, Pascal de la Tour du Pain
11:44
et sur CNews, Philippe Devilliers,
11:46
Eliott Deval et Geoffroy Lejeune.
11:48
Et n'oubliez pas, on va terminer sur une note positive,
11:50
nous sommes le 14 février,
11:52
c'est la Saint-Valentin, je ne sais pas,
11:54
je n'ai pas le temps de vous demander ce que vous faites ce soir pour la Saint-Valentin,
11:56
mais pour les cas, voilà, on termine sur une note positive,
11:58
c'est la Saint-Valentin. Ne l'oubliez pas.
12:00
Attention. Belle soirée. Bye bye.
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