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Accusé d’islamisme, licencié de « C à Vous » mais toujours en place sur France Inter. Merwane Benlazar répond aux « racistes » dans un sketch
Europe 1
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09/02/2025
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News
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00:00
Europe 1 Soir Week-end, 19h21, Pascal Delatorre Dupin.
00:05
Vous avez certainement entendu parler de cette polémique autour de cet humoriste Merwan Benlazar.
00:10
Il ne passera plus sur France Télévisions mais sur France Inter, oui.
00:13
Malgré ces polémiques, accusations d'islamisme notamment.
00:18
Il sera donc demain matin sur France Inter.
00:22
Mathieu Noël qui anime l'émission dit que Merwan est chez nous, il restera chez nous.
00:25
C'est ce qu'il a dit à Mediapart.
00:27
Merwan Benlazar a été la cible de critiques après son passage sur le plateau de C'est-à-vous.
00:33
Certaines visaient son apparence physique.
00:36
C'est vrai qu'il s'est présenté à l'antenne avec une longue barbe, un pull ample, un bonnet.
00:40
L'avocate Lara Fatimi a considéré chez nous, sur Europe 1,
00:44
que c'était des signes vestimentaires qui ont tout, d'une tenue salafiste.
00:48
D'autres critiquaient le contenu d'anciens messages postés par l'humoriste sur X.
00:53
La place d'une femme est à la demeure auprès de son père, craint-on Seigneur ?
00:57
Ou encore, ça c'était en 2021, au nom de toutes les femmes, de leur liberté, de leur droit,
01:02
chèrement gagné et ici bafoué par les islamistes partout à travers le monde.
01:05
Une seule question, pourquoi ?
01:07
Il y a plusieurs tweets qui ont ému.
01:10
Rachida Dati a annoncé, la ministre de la Culture, qu'il ne serait plus à l'écran.
01:14
Lui a réagi, écoutez.
01:16
Ils ont cru qu'il y avait un mec en jet là-bas, sur le service public, avec une barbe.
01:19
Ils ont pété les plombs.
01:20
Hanouna, Pascal Brault.
01:22
Ça j'étais content.
01:24
Dans le milieu Pascal Brault, ou comme on aime l'appeler, la reconnaissance.
01:29
Et en fait, c'était les racistes.
01:30
Dès que j'ai fini la chronique, ils sont directs allés fouiller ma vie.
01:33
Ce qui est le truc le plus raciste du monde.
01:35
Moi, jamais de ma vie, je vais expliquer au quoi que ce soit de ces tweets.
01:38
Jamais de la vie. Pourquoi ?
01:40
Parce qu'ils prouvent rien.
01:41
Je vais jamais me justifier sur quoi que ce soit.
01:44
Jamais !
01:45
Voilà, il ne se justifie pas.
01:46
Ce serait bien qu'il se justifie, parce que c'est les français qui payent son salaire.
01:50
Donc, il est bien gentil.
01:52
Mais la question, c'est pas tant, en effet, la manière dont il était habillé.
01:57
On reçoit bien Paul Melun avec sa petite chemise bleue.
02:01
Il n'est pas en costard-cravate, Paul Melun.
02:03
Mais même sur Europe 1, on peut tolérer la question.
02:08
Déjà, le premier point, c'est qu'objectivement, moi, il ne me fait pas rire, cet humoriste.
02:13
J'ai vu plusieurs capsules de lui, et objectivement, c'est encore une fois subjectif.
02:18
Mais moi, je ne le trouve pas drôle.
02:20
Le sujet, c'est qu'en effet, ont été exhumés un certain nombre de tweets, de prises de position,
02:26
qui ne datent pas d'il y a 10 ans, ni d'il y a 15 ans, mais d'il y a quelques semaines, quelques mois, et une poignée d'années.
02:32
Dans ces tweets, dans ces prises de position, il y a l'éloge de la charia.
02:37
La charia, c'est la loi islamique.
02:39
C'est ce qui est dans les pays du Moyen-Orient.
02:44
Il y a également des soutiens, des soutiens notamment à des fréristes, l'idéologie des frères musulmans.
02:52
Il y a des choses qui relèvent, et ça c'est factuel, du salafisme.
02:57
Donc non, cette personne n'a rien à faire sur le service public.
03:00
Mais moi, je m'étonne qu'on lui retire sa chronique, même s'il remplaçait Bertrand Chameroy sur C'est à vous et France 5.
03:08
Mais par contre, qu'il conserve sa chronique sur France Inter.
03:13
Parce que l'argument qui est donné par Rachid Haddati, c'est celui qu'il ne doit plus être à l'écran.
03:17
Mais pourquoi ? Il n'aurait plus le droit d'être à l'écran sur France 5, mais il aurait le droit de l'être à France Inter.
03:22
Et c'est là qu'il y a un deux poids deux mesures qui est assez affligeant.
03:24
Et je voudrais que vous réagissiez à ce tweet d'Edwin Plenel,
03:27
qui prend la défense de cet humoriste, de Ben Lazar, comme toute la presse de gauche.
03:32
C'est celui qui se réjouissait des morts israéliens en 1972 ?
03:35
Oui, c'est ça.
03:37
Les accusations d'islamisme à l'encontre de l'humoriste Merwan Ben Lazar,
03:42
après un sketch à l'émission C'est à vous sur France 5,
03:44
montrent que le droit au second degré n'est aujourd'hui pas permis à un arabe musulman.
03:47
Franchement...
03:49
Je doute qu'Edwin Plenel aurait dit la même chose s'il s'agissait d'un éditorialiste ou d'un humoriste
03:54
qui était arrivé blanc, le crâne rasé, et puis qui avait fait des blagues masculinistes
03:59
en disant les femmes à la cuisine, à la vaisselle, je ne sais quoi.
04:01
Je pense qu'il hurlerait au sexisme et qu'il ne dirait pas, oui, les victimes du racisme anti-blanc.
04:06
Et c'est quelqu'un qui est totalement incohérent, M. Plenel.
04:09
Ce qui est incohérent dans cette décision, c'est effectivement de se dire
04:12
s'il est interdit de service public télévisuel, c'est qu'on a de bonnes raisons pour l'interdire.
04:17
C'est donc la présidente de France Télévisions qui a agi très vite, Mme Ernotte,
04:21
et la ministre de la Culture qui ont considéré que les propos,
04:24
il ne s'agit pas de son physique, ou de son allure, ou je ne sais quoi,
04:27
ou d'un hypothétique racisme, il s'agit avant tout de ce qu'il a écrit.
04:31
Comme n'importe quel justiciable français, il répond de ses propos.
04:34
S'il tient des propos qui sont choquants,
04:37
eh bien on considère que ses propos n'ont pas le droit de citer sur le service public.
04:40
Alors pourquoi est-ce qu'il n'aurait pas le droit de citer sur le service public audiovisuel
04:44
et qu'il aurait le droit sur le service public radiophonique,
04:47
sur France Inter en l'espèce, ça n'a absolument aucun sens
04:51
et la cohérence voudrait qu'il soit écarté des deux antennes.
04:55
Mais ce qui est intéressant, c'est sa posture dans l'extrait que vous avez montré,
04:57
c'est-à-dire que non seulement il est dans la posture victimaire,
05:00
propre d'ailleurs à la plupart des associations qui, sous couvert de lutte contre l'islamophobie,
05:04
sont en fait des officines islamistes,
05:06
certaines ont été dissoutes par le général Darmanin,
05:08
c'est de dire, vous nous oppressez en tant que musulmans,
05:11
nous sommes là simplement pour la paix, la tolérance et l'amour
05:14
et après on va prôner la charia sur les réseaux sociaux ou le renvoi des femmes au foyer.
05:19
Donc si vous voulez, ça n'est pas une victime de l'islamophobie,
05:23
c'est un homme qui utilise des paravents humoristiques
05:26
pour diffuser des idées politiques, des idées dont certaines s'apparentent à l'islam politique.
05:31
Donc évidemment, nous n'avons pas, et ça a été dit par Jules,
05:34
avec nos impôts, à financer des discours qui feraient la part belle à l'islamisme.
05:38
Ça me paraît d'une banalité, je ne comprends même pas, si vous voulez,
05:40
que la gauche, qui jadis disait l'opium du peuple avec Marx,
05:43
aujourd'hui dise formidable islamisme avec M. Belhazard.
05:46
Ça n'a aucun sens !
05:48
Ça n'a aucun sens à l'humanité aussi qui a publié, qui a réagi.
05:52
Bon, l'humanité, évidemment, défend...
05:54
Oui, mais ça a été un grand journal fondé par Jean Jaurès, c'est signe d'échéance ce journal.
05:57
Le journal défendant le communisme.
05:59
L'humoriste Merouane Belhazard est vincé de France Télévisions,
06:02
après une campagne raciste et islamophobe.
06:04
Franchement !
06:06
Je ne comprends pas !
06:08
Désormais, c'est raciste ou islamophobe de faire répondre à quelqu'un de ses propres propos.
06:12
Ce que, par parenthèse, ces gens-là font avec tout le monde et tout le temps,
06:15
c'est-à-dire aller fouiller dans vos archives, exhumer des choses sorties de leur contexte,
06:18
et dire, vous voyez, il a dit ça, etc.
06:20
Les procès, par exemple, je pense à Juste Tite, d'ailleurs, qu'on a fait au RN,
06:24
quand certains de leurs candidats aux législatives avaient, par le passé,
06:27
dit ou fait des choses qui étaient condamnées.
06:29
Oui, ou même en direct, ils ont été vincés.
06:31
Ils ont été vincés à l'instant.
06:33
Et si Marine Le Pen les avait protégées, comme M. Belhazard,
06:36
et protégées à France Inter,
06:38
on aurait crié à la complicité avec le fascisme, le nazisme, etc.
06:41
Donc, quand on a dans un groupe des ouailles qui font n'importe quoi
06:45
et qui s'en vont du droit chemin et des valeurs de la République,
06:48
comme c'est le cas de ce monsieur, on les écarte.
06:50
Je ne comprends même pas, si vous voulez, que ça fasse une polémique.
06:52
Et surtout, ça montre quand même le petit entrechois idéologique
06:55
qu'il y a au sein de notre audiovisuel public.
06:58
L'audiovisuel public, il l'a écarté tout de suite.
07:00
Non, non, la preuve que non.
07:02
L'audiovisuel comprend également la radio.
07:04
Moi, je parle de l'audiovisuel public en général,
07:08
mais ça montre quand même un petit entrechois.
07:10
C'est-à-dire qu'ils font ce qu'ils veulent.
07:12
Ils décident des présentateurs,
07:13
ils décident des personnes qui vont sur les plateaux,
07:15
ils décident des chroniqueurs.
07:16
Et là, on voit bien que ce monsieur-là,
07:18
visiblement, n'a pas été recruté pour son talent,
07:20
mais parce que, visiblement, il savait qu'il allait déranger,
07:23
qu'il doit sans doute être ami avec les producteurs de l'émission.
07:26
Mais il faut quand même juste dire qu'ils font ce qu'ils veulent
07:29
avec l'argent des Français.
07:31
Le service public, la radio publique,
07:33
c'est 630 millions d'euros de budget.
07:36
C'est largement plus que les 330 radios privées réunies.
07:41
Les 330, qui, là, pour le coup, c'est à peu près 550 millions.
07:44
Donc, non seulement, ils font ce qu'ils veulent
07:47
au mépris de toutes les règles idéologiques et des valeurs
07:49
que, normalement, on véhicule en France,
07:51
c'est-à-dire pas le salafisme et pas l'islamisme,
07:53
mais en plus, ils le font de manière visible avec notre argent
07:57
et ils n'en ont rien à faire des polémiques
08:00
de ce que les Français peuvent penser.
08:02
Moi, s'il y avait une chose à tirer de cette affaire-là,
08:04
c'est ça, c'est l'entre-soi idéologique.
08:06
C'était comme l'affaire Guillaume Meurisse.
08:08
Elle a été plutôt courageuse parce qu'il est parti tout seul.
08:11
Ça a pris du temps.
08:12
Mais ça a pris un temps infini.
08:13
Pour peut-être nuancer ce que dit Jules sur la partie France Télévisions,
08:16
c'est que l'émission, c'est à vous.
08:18
Je ne suis pas bien sûr, par exemple,
08:19
que Mme Anne-Elisabeth Lemoyne ou son équipe
08:21
ou les producteurs de l'émission
08:23
avaient connaissance des tweets de M. Ben Lazar.
08:25
Je pense même qu'ils n'en savaient rien du tout.
08:27
Attends, je termine.
08:28
Et qu'ils ont fait venir ce monsieur
08:30
en remplaçant d'un autre humoriste.
08:32
Il est arrivé dans sa chronique
08:34
et ça a été dit par Rachida Dati.
08:35
Je peux terminer.
08:36
Ça a été dit par Rachida Dati
08:38
et il n'y a pas eu de propos polémiques dans sa chronique
08:40
que j'ai écouté en intégralité,
08:41
qui n'étaient juste pas très drôles,
08:42
mais qui n'avaient rien de polémique.
08:44
Et la généalogie de ces tweets
08:46
et de ces centaines de tweets
08:48
est apparue parce que
08:49
sa tenue a éveillé la curiosité
08:51
d'un certain nombre d'internautes qui ont dit
08:53
qu'il était habillé comme un salafi du 7ème siècle
08:55
en Arabie Saoudite.
08:56
Donc on va aller regarder dans ces archives
08:58
et vérifier.
08:59
Vous imaginez si Pascal,
09:01
dans l'émission d'après...
09:02
Je doute que Pascal ait regardé tous mes tweets depuis 2018.
09:04
En tout cas, on sait d'où vous parlez,
09:06
ça je peux vous le dire.
09:07
J'espère qu'il n'y a pas eu de bêtises, d'ailleurs.
09:09
Vous imaginez ?
09:10
Les tombereaux d'injures,
09:12
le service public qui demanderait la tête de Pascal
09:14
de la Tour du Pin si elle recevait...
09:16
Si j'avais tenu des propos misogynes
09:18
racistes, xénophobes,
09:20
et ce serait normal.
09:22
Oui, sauf que le service public
09:24
refuse cela.
09:26
En acceptant...
09:28
En acceptant qu'il soit toujours sur France Inter,
09:30
il nous donne le signe que...
09:32
Mais non, c'est le même sujet.
09:34
Mais vous amalgamez, vous dites,
09:36
tous ces gens du service public
09:38
qui sont tous complices de je ne sais quoi.
09:40
Il faut distinguer les choses.
09:41
Je pense qu'on peut souffrir sur ce débat-là.
09:43
S'il n'a plus sa chronique dans C'est à vous,
09:45
il n'a plus à avoir sa chronique sur France Inter.
09:47
Ce sont les mêmes sujets.
09:49
Bon.
09:50
Eh bien, on n'a pas réussi à vous mettre d'accord.
09:52
En tout cas, c'était un plaisir de vous recevoir sur le plateau.
09:54
Vous êtes obligés de partir.
09:55
Moi, je file, mais c'était encore une fois un plaisir.
09:57
Et j'espère qu'on pourra revenir la semaine prochaine.
10:00
Parce qu'en plus, maintenant, on a des jingles.
10:02
Ça, c'est l'innovation du week-end.
10:04
On l'écoute une dernière fois.
10:07
Monsieur Torres et Monsieur Melun sont priés
10:09
de bien vouloir s'arrêter, s'il vous plaît.
10:11
Voilà, vous en aurez un autre
10:13
la semaine prochaine.
10:14
Merci beaucoup.
10:15
Merci infiniment, en tout cas, d'avoir été avec nous.
10:17
Merci beaucoup, Pascal.
10:18
Tiens, dans un instant, on va évidemment parler
10:20
de ce sommet sur l'IA à Paris.
10:22
Bruno Bonnel, secrétaire général pour l'investissement en charge de France,
10:25
2030, sera mon invité.
10:27
Et puis, on va écouter, évidemment, les mots d'Emmanuel Macron,
10:30
son intervention à la télévision.
10:31
On écoutera ça en direct sur Europe 1.
10:34
Si vous êtes dans votre voiture,
10:36
nous vous ferons écouter, évidemment, les mots du chef de l'État.
10:40
Ce sera dans la prochaine demi-heure,
10:42
sur Europe 1 et 19h58.
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