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«Pentothal» : Éric Neuhoff est l'invité de Culture médias
Europe 1
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28/01/2025
Catégorie
🗞
News
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00:00
Culture Média, Thomas Hill.
00:02
Merci beaucoup d'être avec nous pour la suite de Culture Média.
00:05
Il va y avoir de la bonne musique jusqu'à 11h.
00:08
D'abord parce que Jo U nous a rejoint.
00:10
Mais oui !
00:11
Salut Jo !
00:12
Bonjour à toutes et à tous !
00:13
Mais alors aussi parce qu'on va avoir droit à un live de la jeune Solane.
00:24
Vous verrez qu'elle a beaucoup de talent cette jeune fille.
00:26
Et puis notre invité du jour est aussi un passionné de musique, figurez-vous.
00:30
Même si on le connaît davantage comme critique de cinéma.
00:32
Mais la musique est aussi très présente dans son dernier livre.
00:35
Bonjour Éric Neuf !
00:36
Bonjour !
00:37
Merci d'être avec nous ce matin.
00:39
C'est vrai qu'il y a beaucoup de musique dans votre nouveau roman Pain Total.
00:43
Vous dites que votre crâne...
00:44
C'est pas un roman.
00:45
C'est un récit.
00:47
Oui c'est un récit, c'est vrai.
00:48
J'aurais préféré que ce soit un roman.
00:49
C'est de l'autofiction.
00:50
C'est de l'autofiction.
00:51
Il n'y a rien de fiction.
00:53
Il y a de la voiture mais c'est pas de l'autofiction.
00:55
C'est joli ça.
00:56
Et c'est vrai que vous dites que votre crâne est un jukebox.
00:59
Et dans ce jukebox, il y a notamment ça.
01:10
Je savais que ça vous plairait.
01:12
Iggy Pop, Lust for Life, qu'on pourrait traduire par l'envie de vivre et de s'éclater.
01:17
C'est ce que vous cherchiez à 20 ans, Éric Neuf, comme beaucoup d'entre nous je crois.
01:23
Vous amusez et puis faire semblant de bosser sur vos études.
01:26
Oui, c'était une génération complètement insouciante, presque inconsciente.
01:31
Et on s'amusait beaucoup.
01:32
Effectivement, on sortait tout le temps.
01:34
Et puis peut-être qu'il y a eu...
01:36
Le prix a payé à un moment donné.
01:38
Parce que le jour où vous avez eu un terrible accident qui a failli vous coûter la vie.
01:43
Vous aviez 22 ans.
01:44
C'était le 14 juillet 1978.
01:47
Un accident qui a signé la fin de cette jeunesse insouciante.
01:52
Oui, malgré moi, j'ai perdu un ami au cours de cet accident.
01:57
C'est une histoire dont je n'avais jamais parlé.
02:01
Un ami éditeur m'a dit, tu devrais écrire un livre là-dessus.
02:04
Et j'ai pensé que c'était le moment.
02:07
En plus, c'était assez utile pour moi.
02:10
Parce que je me suis dit, je vais enfin savoir ce qui s'est passé sur cette route espagnole la nuit.
02:17
Et je vais savoir ce qu'il y a eu après cette image qui me reste toujours en tête.
02:21
La dernière image que j'ai avant l'accident, c'est les phares qui balayent le bas-côté.
02:27
Et au bout, la pile d'un pont.
02:30
Et on dit souvent que dans les accidents de voiture, il y a un trou noir.
02:34
Et effectivement, je ne me souviens de rien.
02:37
Et j'ai cru qu'en écrivant, je trouverais la vérité.
02:41
Et hélas, je ne saurais jamais ce qui s'est passé à cette seconde en juillet 1978.
02:46
Ce qui est fou, c'est qu'on est 46 ans après.
02:49
Et 46 ans après, vous êtes encore touché et marqué par cet accident.
02:54
Quand on vous en parlait, on ne l'oublie jamais.
02:57
Non, c'est toujours là, c'est tatoué.
02:59
Et puis, ce qui est très curieux, c'est qu'en me mettant à écrire,
03:02
je me suis retrouvé à la fois sur cette route catalane dans la nuit,
03:07
avec des inconnus, des gyrophares et une espèce de coma qui commençait.
03:11
Et sur ce lit d'hôpital où j'ai passé un an.
03:14
Et toutes les sensations sont revenues quand je me suis mis à écrire.
03:18
Donc, il y a une espèce de disque dur qu'on ne peut pas effacer, je pense,
03:23
à l'intérieur de soi quand il vous arrive quelque chose comme ça.
03:26
Cet accident, vous l'avez eu en tant que passager d'une voiture décapotable.
03:31
Mais vous avez eu une chance dans votre malheur,
03:33
c'est celle d'avoir été éjecté de ce véhicule.
03:36
Alors que votre ami Olivier, qui était au volant, n'y survivra pas.
03:40
Vous précisez que la ceinture n'était pas obligatoire à l'époque.
03:44
Et surtout que vous ne rouliez pas vite.
03:46
Vraiment, cet accident aurait pu arriver à n'importe qui.
03:49
En plus, c'était la première fois que je montais dans une décapotable.
03:53
Donc, c'était aussi la dernière.
03:56
Et oui, c'est quelque chose qui m'a marqué.
04:00
Et puis, je suis un peu troublé d'en parler,
04:04
parce que c'est la première fois que je parle de ce livre.
04:07
Merci de m'avoir invité.
04:09
On ne peut pas tout le temps rigoler dans la vie, même si j'adore ça.
04:14
Et il y a des choses qui comptent plus que d'autres, apparemment.
04:18
Tout est revenu, dont cette époque, cette année-là, l'année 78,
04:25
qui était pour moi vraiment un très bon souvenir.
04:29
Et il y a eu un grand coup d'arrêt.
04:31
Ce qui est très impressionnant, d'ailleurs, quand on vous lit Eric Nehoff,
04:34
c'est la somme de détails dont vous vous souvenez.
04:38
Comme, par exemple, le secouriste qui vous agace
04:40
parce qu'il coupe votre nouveau jean Levis.
04:43
Ou le brancardier qui ne veut pas vous gratter le nez.
04:46
Donc, vous vous dites, c'est d'un coup la personne que je déteste le plus au monde.
04:49
Oui, c'est vrai, celui-là, si je le retrouve, je pense que je l'ai tranglé.
04:52
Mais c'est vrai que tous les petits détails comptent,
04:54
puisque vous êtes complètement dépendant.
04:56
C'est gravé dans votre mémoire.
04:58
C'est des détails qui vous sont revenus au fil de l'écriture
05:00
ou tout était encore là, très précis ?
05:02
Le coup du brancardier qui refuse de me gratter le nez,
05:06
ça, je m'en suis souvenu depuis tout le temps.
05:08
Mais en écrivant, il y a un tas de détails.
05:11
Il y a des déclencheurs.
05:12
Oui, l'anesthésiste qui, avant de me faire l'injection,
05:18
pensant me faire un compliment, vous ressemblez à Connors, le tennisman.
05:23
À Jimmy Connors.
05:25
Et moi, je n'aimais pas du tout la tête qu'il avait.
05:28
Et ça vous a vexé ?
05:29
Oui, ça m'a vexé.
05:30
Mais bon, l'anesthésie générale, de toute façon, vous ne pouvez pas lutter.
05:35
Et c'est vrai que vous en avez eu des anesthésies.
05:37
Je rigole, mais ce n'était pas si marrant.
05:39
Vous êtes hospitalisé et pendant un an,
05:42
on vous administre du pain total.
05:44
C'est ce qui donne le titre de votre livre.
05:47
Eric Nohoff, vous pouvez nous expliquer ce que c'est ce produit, le pain total ?
05:50
Vous expliquer ce que c'est, je n'en sais rien.
05:52
En tout cas, c'est ce qu'on vous met dans les veines
05:55
pour vous anesthésier complètement.
05:57
Et je crois que ce n'est plus ce produit qu'on utilise maintenant.
06:00
Ils ont dû faire des progrès.
06:02
Non, maintenant, c'est le fentanyl.
06:04
Voilà, vous êtes au courant.
06:05
Mais ça continue à être utilisé par les services secrets
06:09
parce que c'est un sérum de vérité.
06:11
Et j'espère que dans ce livre, tout est vrai et que je n'ai pas triché.
06:15
Et c'est vrai que ce qui revient sans cesse dans votre livre,
06:17
malgré le pain total, c'est la douleur qui est là absolument tout le temps.
06:21
Et puis, vous pensez beaucoup à la mort.
06:23
Vous perdez carrément le goût de la vie à un moment
06:25
parce que c'est trop long, c'est trop dur.
06:27
C'est dur. La douleur physique, c'est quelque chose de dégoûtant
06:31
parce que je l'en voulais, parce qu'elle prend toute la place.
06:34
Il n'y a plus que ça qui compte.
06:36
On ne pense à rien d'autre.
06:38
On pense à avoir moins mal, à ce que ça s'arrête,
06:40
quel que soit le moyen.
06:42
Et puis, hélas, on oublie la douleur physique.
06:46
Là, elle est revenue quand je me suis mis à ma table pour raconter ça.
06:51
Mais c'est quelque chose de terrible.
06:54
Je compare ça, j'ai un ami de mes parents qui disait
06:58
j'en voulais aux Allemands parce que sous l'occupation,
07:01
on ne pensait qu'à une chose, la nourriture.
07:03
Et là, pendant un an, moi je n'ai pensé qu'à la douleur
07:07
et comment l'arrêter ou en tout cas l'atténuer.
07:10
Et puis alors ce livre, Pain Total, votre nouveau livre
07:13
qui sort jeudi aux éditions Albain Michel et Eric Neuf,
07:16
c'est aussi le portrait culturel d'une époque,
07:19
de l'année 78 en particulier.
07:21
Et on va se plonger dans cette belle année dans un instant.
07:24
A tout de suite sur Europe.
07:25
Vous écoutez Culture Média sur Europe à 9h30-11h avec Thomas Hill
07:29
et avec ce matin le journaliste et écrivain Eric Neuf
07:34
pour son nouveau livre Pain Total.
07:36
Alors ça sort jeudi dans deux jours aux éditions Albain Michel.
07:40
Et alors je trouve que vous avez un mérite,
07:42
c'est d'éviter un écueil dans ce livre,
07:44
celui de tirer une grande leçon de vie de ce qui vous est arrivé.
07:48
Vous auriez pu terminer le livre en citant Nietzsche,
07:51
ce qui ne me tue pas, me rend plus fort.
07:53
Non, vous vous dites...
07:54
C'est toute une connerie.
07:55
Voilà, exactement.
07:56
Et vous dites qu'il n'y a aucun bienfait à tirer du terrible accident
07:59
auquel vous avez survécu.
08:00
Ça ne voulait rien dire en fait.
08:02
Non, non, non.
08:03
Ça vous marque, mais vous ne savez pas pourquoi.
08:06
Puis on n'apprend rien.
08:07
La douleur, ce n'est pas quelque chose de très intéressant.
08:10
On peut s'en passer.
08:12
Et ce qui ne vous tue pas vous rend plus faible.
08:14
La preuve, vous êtes esquinté, vous ne pouvez plus courir,
08:16
vous ne pouvez plus faire de ski.
08:19
Vous avez des traumatismes aussi psychologiques.
08:21
Il n'y a pas que physique, j'imagine.
08:23
Psychologiques, comme disait Oscar Wilde,
08:26
je m'en occupe, mais prenez-moi les douleurs physiques.
08:29
Mais non, ça a dû compter.
08:32
Mais ce qui a le plus compté,
08:34
c'est peut-être aussi le fait d'avoir perdu un ami
08:36
au cours de cet accident.
08:38
C'est une lettre à un ami perdu aussi, ce bouquin.
08:42
Et ce livre, c'est aussi un mélange
08:45
entre votre histoire et l'histoire d'une époque,
08:48
l'histoire de l'année 78.
08:50
C'est vraiment une plongée dans la musique,
08:52
dans la littérature, dans le cinéma
08:55
de vos années d'étudiant, comme par exemple...
09:00
Là, c'est musique et cinéma.
09:01
Musique et cinéma.
09:07
Stallone, c'était vraiment votre héros,
09:10
comme Clint Eastwood, que vous citez aussi,
09:12
Mel Brooks, les Charlots, La Septième Compagnie.
09:15
Vous êtes très nostalgique, j'ai l'impression,
09:17
de tout ce cinéma des années 70.
09:19
Non, c'est parce que je l'ai vécu en direct.
09:22
C'était formidable d'avoir tous ces films
09:24
qui vous arrivaient chaque semaine à la figure.
09:27
En plus, on trouvait ça normal.
09:29
On a pris des mauvaises habitudes.
09:32
Ça faisait partie des sorties.
09:35
Et ce qui m'a manqué pendant cette année
09:37
d'hospitalisation,
09:39
c'est de ne pas pouvoir aller au cinéma.
09:41
Je voyais que sortait
09:44
Voyages au bout de l'enfer,
09:46
et je n'y avais pas droit.
09:47
C'était une frustration terrible.
09:49
Vous, vous aviez seulement la télévision.
09:52
Oui, je regardais Daniel Gilbert.
09:55
Il n'y a pas de question de dire quel film
09:57
vous aviez regardé à la télé.
09:58
C'est autre chose.
09:59
Il n'y avait pas énormément de chaînes en 78.
10:01
Il n'y avait pas de plateforme.
10:03
Et en 78, ce qui tourne en permanence
10:06
à la télé, c'est ça.
10:14
En étant à l'hôpital, c'est quand même moyen.
10:17
En plus, je détestais Patrick Arnaud.
10:20
Je ne sais pas pourquoi.
10:22
Encore aujourd'hui ?
10:24
Oui, ça n'est pas comme tout en plus.
10:26
On détestait le disco à l'époque.
10:28
Mais aujourd'hui, tout le monde adore ça.
10:30
Moi y compris.
10:32
Quand on le voyait danser avec sa canne,
10:35
il nous agaçait beaucoup.
10:37
Mais il y avait, paraît-il, derrière lui,
10:40
une danseuse inconnue qui est devenue Madonna.
10:44
Votre truc, c'était plus le rock à l'époque ?
10:46
Oui, les Rolling Stones surtout.
10:49
Bien sûr.
10:50
Et puis, Karine Chéry.
10:56
J'étais assez étonné.
10:58
Karine Chéry qui est notre collègue.
11:00
Vous étiez fan d'elle.
11:02
On l'aimait bien.
11:05
Pour des raisons sentimentales ?
11:07
Pour tout.
11:09
Et surtout, il y avait derrière elle un danseur
11:11
qui avait une tête à claques.
11:14
On n'a jamais su qui c'était.
11:16
Un type qui visiblement pensait
11:18
que c'était lui, la vedette du show.
11:21
Le gars qui pousse tout le monde.
11:24
La personne importante.
11:26
Vous avez commencé à en parler.
11:28
Un groupe qui vous a trahis,
11:30
ce sont les Rolling Stones.
11:35
La grande trahison des Stones.
11:37
La grande trahison des Stones.
11:39
Miss You.
11:40
Pour vous, c'était vraiment une trahison.
11:42
C'est ce que vous racontez dans le livre.
11:44
Oui, parce que le disco, pour nous,
11:46
c'était honteux.
11:48
Et eux, ils avaient basculé là-dedans.
11:50
Mais on aime beaucoup ça aujourd'hui.
11:52
Et puis, les Rolling Stones, à la limite,
11:55
j'ai eu une période de désaffection pendant 20 ans.
11:58
Mais je préfère leur concert maintenant
12:01
à ceux du début.
12:04
Ils me bluffent encore complètement.
12:07
Ça a fait débat parmi les amateurs des Stones.
12:10
Oui, mais aujourd'hui,
12:12
c'est une période des Stones
12:14
qui est pas mal réévaluée.
12:16
C'était tout simplement un groupe
12:18
qui essayait de rester pertinent,
12:20
de rester en phase avec son époque.
12:22
Avec quelques maladresses, évidemment.
12:24
Mais parmi les groupes qui ont eu
12:26
la même trajectoire à l'époque que les Stones,
12:28
il y en a beaucoup qui n'ont pas survécu.
12:30
Alors qu'eux, aujourd'hui,
12:32
ils n'ont pas réfléchi à citer une de leurs chansons
12:34
des 30 dernières années.
12:36
Mais quand on les entend en live,
12:38
on se dit que ça marche.
12:40
C'est pas mal, ça marche.
12:42
La bande-son, moi, de 1978,
12:44
c'était surtout le bruit des chariots à roulettes
12:46
et des sandales des infirmières
12:48
sur le linoleum.
12:50
Il faut sans spoiler le livre,
12:52
je crois qu'on peut quand même dire
12:54
que vous finissez par en sortir de cet hôpital.
12:56
Et ceux que vous remerciez dans ce livre,
12:58
ce sont vos parents qui ont été présents
13:00
du début à la fin, à vos côtés.
13:02
Vous vous demandez d'ailleurs
13:04
si vous les avez assez remerciés à l'époque.
13:06
Oui, c'est vrai, parce que je ne me rendais pas compte
13:08
de l'effort et du traumatisme
13:10
que ça a été pour eux.
13:12
Il y a quand même eu un moment
13:14
où, en Espagne,
13:16
il a fallu annoncer
13:18
aux parents
13:20
qu'il y en avait un des deux qui était mort,
13:22
ils ne savaient pas lequel.
13:24
C'est terrible à vivre.
13:26
Et ça, vous le racontez dans votre livre,
13:28
Pain Total, ça apparaît jeudi
13:30
chez Albin Michel. Dans un instant,
13:32
sur Europe 1, on va encore parler musique
13:34
avec Joe Hume qui va mettre son
13:36
costume de père castor.
13:38
Il va nous raconter une belle histoire.
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