Karl Olive sur l'ultraviolence chez les mineurs en France : «Je rejoins Bruno Retailleau»

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Invité de l'émission 100 % Politique, Karl Olive est revenu sur l'ultraviolence chez les mineurs en France : «Je rejoins Bruno Retailleau, on ne peut pas avoir un droit d'essai. Aujourd'hui, on prend un carton jaune alors que ça devrait être un carton rouge»

Transcript

00:00Je partage ce que dit madame Brugère et je mets ma casquette, pour le coup, Gauthier Levret, d'ancien maire.

00:05Et quand on est maire, on a ce qu'on appelle des plans de prévention de risques urbains,

00:08où on met en place un certain nombre d'actions pour protéger la population.

00:13Vous voyez, quand je vois ces images, d'abord je pense évidemment à ce policier qui a failli être privé de vie,

00:19et son collègue vient de le rappeler.

00:21Et je pense aussi, pardon de le dire, mais je pense aussi au fils de Yannick Allénaud,

00:25où là on est carrément sur l'homicide routier.

00:29On n'en est pas loin.

00:30Il faut que cette loi évolue.

00:32Avec les collègues républicains, LR, on s'est proposé justement de durcir cela.

00:38Et pour le coup, je rejoins ce que disait le ministre de l'Intérieur, M. Retailleau,

00:42en disant qu'on ne peut pas avoir un droit d'essai.

00:44On a l'impression que finalement...

00:45Un droit au premier tabassage, dit Bruno Retailleau.

00:47C'est un droit d'essai, quoi.

00:50C'est comme...

00:52Voilà, on prend un carton jaune, là c'est le carton rouge.

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