Jules Torres : «Derrière ces "crimes d'honneur", ça obligerait à poser des questions des mœurs, des coutumes, des valeurs.»

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Jules Torres : «Derrière ces "crimes d'honneur", ça obligerait à poser des questions des mœurs, des coutumes, des valeurs. Ça remet en question ce tribalisme qu'on peut parfois voir dans certaines familles.»

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00:00Pourquoi les médias n'en parlent pas ? Parce que ça obligerait à poser des

00:02questions qu'ils ne souhaitent pas forcément aborder.

00:05Parce que derrière ces crimes d'honneur, un crime d'honneur, ça n'existe pas.

00:08C'est comme la violence gratuite.

00:09Aucune violence n'est gratuite, mais il n'y a aucun crime qui est d'honneur.

00:12Mais ça obligerait à poser des questions de mœurs, des coutumes, des valeurs,

00:17des couples mixtes, par exemple.

00:19Je ne sais pas, je n'ai pas tous les éléments de cette affaire,

00:24mais on sait que dans l'affaire de Shemsheddin, il y avait évidemment

00:27un problème qui est évidemment en lien avec l'islam et des familles

00:32qui, aujourd'hui, ne veulent plus partager cela avec ce qu'on appelle

00:37des goys. C'est aussi simple que ça.

00:40Et donc, je pense que ça remet en question

00:44ce tribalisme qu'on peut parfois voir dans certaines familles.

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