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  • 23/04/2024
Laure-Alice Bouvier : «Je n'ai pas de mots assez forts pour parler de la cruauté des actes du Hamas. Il ne faut pas les oublier ces otages. Il faudrait pouvoir faire un échange entre prisonniers et otages.»

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Transcription
00:00Je pense que vous avez dit le mot très juste, Julien, sadisme, je n'ai pas de mots assez
00:06forts pour parler de la cruauté de ces actes et évidemment toute mon empathie va vers
00:14ces victimes, va vers leur famille, va aussi vers les personnes détenues, ces otages ce
00:19sont des pères, des mères de famille, même un bébé de un an, enfin on a des personnes
00:25handicapées, on a des personnes âgées, c'est vraiment terrible et j'aimerais rebondir
00:31sur ce qu'a dit Gabrielle très justement sur le fait qu'on a l'impression qu'on s'habitue,
00:36quand on a des journalistes qui sont en otage dans des pays étrangers, on a souvent des
00:42placardés un peu partout, libérations etc. et là on a l'impression qu'on a beaucoup
00:48moins ça et comme vous l'avez très justement dit, une actualité en chasse une autre, il
00:53ne faut pas les oublier ces otages, il ne faut pas les oublier et il faudrait un cessez
00:58le feu et il faudrait qu'on puisse faire un échange entre les prisonniers et les
01:02otages et quand j'entends le Hamas dire ah non mais on ne sait pas exactement où ils
01:07sont, peut-être qu'ils sont sous les décombres, on ne sait pas vraiment, c'est épouvantable.
01:10La vérité c'est que les dignitaires du Hamas eux-mêmes...

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