Emmanuel Séraphin veut porter plainte après les éditos de Jacques Tillier

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19/03/2024

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00:00 Depuis trois ans, on a un traitement ici à Saint-Paul de l'information et aussi une

00:10 attitude envers les élus de la mairie de Saint-Paul qui commence à peser sur l'opinion.

00:19 On m'a accusé notamment d'embaucher 13 membres de la famille, ce qui est totalement

00:24 faux.

00:25 C'est pour ça que nous allons porter plainte par rapport à cette situation.

00:30 Sur cette liste des 13 personnes, il y a des gens qui n'existent pas.

00:33 Et ça, c'est extrêmement grave quand un journaliste attaque de façon mensonger à

00:38 ce niveau-là.

00:39 C'est extrêmement grave.

00:40 C'est pour ça que je vais défendre mon honneur, défendre aussi notre intégrité

00:44 là-dessus parce qu'il y a une loi sur les embauches et qui est très claire à ce niveau-là.

00:48 Ça met en porte à faux des gens qui n'ont absolument rien à voir avec la mairie.

00:52 On peut porter un nom, ne pas être en lien direct avec moi.

00:57 Il n'y a pas que ma famille qui s'appelle Séraphin à La Réunion.

01:00 De l'autre côté, j'ai des waros aussi.

01:01 Donc si on commence à regarder en disant que j'ai embauché tous les waros et que

01:04 c'est de ma famille, c'est totalement mensonger.

01:06 On voit vraiment l'intention de NIMI.

01:09 Il y a des personnes qui n'existent pas, des personnes qui ont été embauchées sous

01:13 Alain Bénard, sous Joseph Sinimale, sous Hugues de Bélo.

01:17 Et ça, c'est essayer de concentrer tout sur ma personne en disant voilà ce qui a

01:22 été fait.

01:23 C'est totalement faux.

01:24 Moi, j'ai mené un combat pour ça sous l'enseignement d'Atur.

01:26 Tout le monde connaît mon intégrité à ce niveau-là.

01:29 Et notre objectif, c'est de développer cette commune de Saint-Paul.

01:32 On a fait le bilan de NIMANDA et on voit bien que Saint-Paul avance, Saint-Paul se développe.

01:36 Et ça fait peur à certaines personnes.

01:37 Il le dit, il écrit là-dessus.

01:39 Il a fait une campagne sénatoriale où c'est lamentablement voté.

01:45 Il n'a pas pu être candidat.

01:47 Aujourd'hui, et avant cette campagne, il est venu en Conseil municipal.

01:51 Il nous a menacés verbalement et physiquement en montrant, en pointant du doigt.

01:56 Donc, on a été victime personnellement de cette situation, Hugues de Bélo et moi-même.

02:01 Donc, c'est pour ça que ça suffit.

02:02 La loi a aussi évolué.

02:04 La loi protège les élus de ces attaques sur les réseaux sociaux et en continue aussi.

02:10 Donc, ce qui permet aujourd'hui de requalifier un peu toutes ces plaintes-là sur ce harcèlement

02:15 médiatique qui a trop duré aujourd'hui.

02:18 Il y a eu déjà des plaintes déposées, mais la loi, elle est ce qu'elle est.

02:22 Mais comme elle a évolué aujourd'hui, il faut aussi que la vérité éclate à un moment donné.

02:27 Donc, il y a des faits mensongers qui ont été publiés.

02:32 Ils doivent être condamnés et c'est le combat que l'on mène aujourd'hui.

02:36 Il y a des conséquences réelles, notamment envers mes proches, parce que des gens aujourd'hui

02:41 qui n'ont pas d'emploi et qui lisent ces éléments-là en veulent à un certain nombre de personnes.

02:47 Moi-même, j'ai dû faire appel à de la protection au niveau de la gendarmerie parce qu'aujourd'hui,

02:51 il y a des menaces et on le voit à La Réunion, on le voit au niveau national.

02:54 C'est pour ça que la loi a évolué pour une meilleure protection des élus contre

02:59 les écrits mensongers, contre les menaces qui sont faites sur le territoire.

03:02 [Musique]

03:04 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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