Gilles Lellouche dévoile sa pire expérience au cinéma : un tournage chaotique avec une équipe peu amicale
- 5 months ago
#cinéma #réalisation #expérience
Le retour de Gilles Lellouche derrière la caméra
En 2024, le comédien français Gilles Lellouche prévoit de sortir son troisième film en tant que réalisateur, intitulé "L'Amour ouf". Après avoir connu le succès avec son dernier film "Le Grand Bain" en 2018, qui a attiré plus de 4,2 millions de spectateurs, Lellouche revient avec un nouveau projet prometteur. Cependant, il aura attendu 14 ans avant de se lancer seul derrière la caméra à nouveau.
Le traumatisme de son premier film
Pour comprendre cette longue période d'absence en tant que réalisateur solo, il faut se pencher sur le premier film de Gilles Lellouche en 2004, intitulé "Narco". Malheureusement, cette expérience ne s'est pas déroulée comme il l'avait espéré. Non seulement le film n'a attiré que près de 580 000 spectateurs, ce qui est considéré comme un échec commercial, mais Lellouche avoue également ne pas avoir apprécié travailler sur ce projet. Dans une récente interview avec le magazine Première, il qualifie cette expérience de "douloureuse" et avoue s'être éloigné de la réalisation en solitaire pendant de longues années.
Une équipe peu sympathique et un résultat décevant
Lellouche explique que le tournage de "Narco" a été difficile, notamment à cause de l'équipe peu sympathique avec laquelle il a collaboré. Il ressent aussi une grande déception vis-à-vis du résultat final du film, qui était très éloigné de ce qu'il avait imaginé. Pour lui, il est essentiel que les choses se passent bien sur un tournage, avec amour, partage et chaleur. Malheureusement, ce ne fut pas le cas avec "Narco", ce qui a eu un impact sur lui pendant plusieurs années.
Une frustration non-avouée et une méfiance envers le succès
Gilles Lellouche reconnaît qu'il y avait en lui une frustration profonde suite à cette expérience désagréable. Il évoque également les aléas de l'industrie du cinéma, où les succès et les échecs peuvent être injustes pour les acteurs. Selon lui, le succès peut être dangereux et peut entraîner une perte de motivation et d'exigence. Il se méfie ainsi de l'anesthésie que peut provoquer le succès et préfère rester vigilant.
écriture #cinéma #réalisation #expérience
Le retour de Gilles Lellouche derrière la caméra
En 2024, le comédien français Gilles Lellouche prévoit de sortir son troisième film en tant que réalisateur, intitulé "L'Amour ouf". Après avoir connu le succès avec son dernier film "Le Grand Bain" en 2018, qui a attiré plus de 4,2 millions de spectateurs, Lellouche revient avec un nouveau projet prometteur. Cependant, il aura attendu 14 ans avant de se lancer seul derrière la caméra à nouveau.
Le traumatisme de son premier film
Pour comprendre cette longue période d'absence en tant que réalisateur solo, il faut se pencher sur le premier film de Gilles Lellouche en 2004, intitulé "Narco". Malheureusement, cette expérience ne s'est pas déroulée comme il l'avait espéré. Non seulement le film n'a attiré que près de 580 000 spectateurs, ce qui est considéré comme un échec commercial, mais Lellouche avoue également ne pas avoir apprécié travailler sur ce projet. Dans une récente interview avec le magazine Première, il qualifie cette expérience de "douloureuse" et avoue s'être éloigné de la réalisation en solitaire pendant de longues années.
Une équipe peu sympathique et un résultat décevant
Lellouche explique que le tournage de "Narco" a été difficile, notamment à cause de l'équipe peu sympathique avec laquelle il a collaboré. Il ressent aussi une grande déception vis-à-vis du résultat final du film, qui était très éloigné de ce qu'il avait imaginé. Pour lui, il est essentiel que les choses se passent bien sur un tournage, avec amour, partage et chaleur. Malheureusement, ce ne fut pas le cas avec "Narco", ce qui a eu un impact sur lui pendant plusieurs années.
Une frustration non-avouée et une méfiance envers le succès
Gilles Lellouche reconnaît qu'il y avait en lui une frustration profonde suite à cette expérience désagréable. Il évoque également les aléas de l'industrie du cinéma, où les succès et les échecs peuvent être injustes pour les acteurs. Selon lui, le succès peut être dangereux et peut entraîner une perte de motivation et d'exigence. Il se méfie ainsi de l'anesthésie que peut provoquer le succès et préfère rester vigilant.
écriture #cinéma #réalisation #expérience