Tina Arena se confie à Bernard Montiel sur sa lutte contre la dépression et ses années de psychothérapie.
  • il y a 7 mois
Une carrière couronnée de succès, mais à quel prix ?

Tina Arena est une artiste dont la renommée n'est plus à faire. En 1999, son single "Aller plus haut" lui a permis de se faire véritablement connaître en France, avec plus de 600 000 exemplaires vendus. Cette chanson lui a valu d'être nommée aux Victoires de la musique 2000 dans la catégorie Groupe ou Artiste Révélation, et elle a remporté le NRJ Music Award de la révélation internationale de l'année.

Toujours active malgré une moindre présence médiatique

Bien que Tina Arena soit un peu moins présente sur la scène médiatique qu'auparavant, elle n'a pas pour autant pris sa retraite. Preuve en est avec la sortie de son dernier album, "Love Saves", le 15 septembre 2023. Elle sera également de retour sur scène à la salle Pleyel le 16 novembre prochain, comme mentionné par nos confrères de Gala.

Des confessions sur son mal-être

Lors de son passage à la radio RFM, dans l'émission "Une heure avec" animée par Bernard Montiel et diffusée le samedi 30 septembre, Tina Arena a évoqué son mal-être. En effet, l'artiste de 55 ans a vécu une période très difficile par le passé, qui l'a conduite à suivre une thérapie pendant deux ans.

Lorsqu'elle évoque sa dépression, Tina Arena se montre sans fard. Elle explique qu'être constamment sous les projecteurs depuis l'âge de huit ans n'a pas été facile pour elle. Elle aurait préféré être considérée comme une "personne normale" plutôt que comme une star. Elle admet avoir eu du mal à vivre son expérience dans l'émission "Danse avec les stars", lorsqu'elle y a participé dans sa version australienne animée par Nikos Aliagas.

L'envie d'une vie normale et d'un espace personnel

Cette notoriété grandissante a privé Tina Arena de vivre comme une personne ordinaire. Elle exprime le besoin qu'elle avait d'avoir "son espace", de prendre le temps de vivre et d'être simplement une femme. C'est peut-être pour cette raison qu'elle n'est pas très active sur les réseaux sociaux. Elle confie ne pas être "intéressée" par cette mise en lumière virtuelle et superficielle de sa "vie privée", tel que rapporté par Bernard Montiel.
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