"Faut mettre fin à certaines pratiques" : Karine Le Marchand critique Michel Cymes concernant sa récente campagne de sensibilisation.
- il y a 8 mois
Karine Le Marchand se moque de la campagne de sensibilisation de Michel Cymes
Sur Instagram, Karine Le Marchand a décidé de se moquer de la campagne de sensibilisation menée par le médecin Michel Cymes. Ce dernier lutte activement depuis plusieurs mois contre les puffs, ces nouvelles cigarettes électroniques aux goûts fruités prétendument non addictifs. Pourtant, Michel Cymes affirme qu'en réalité, ces puffs contiennent des substances addictives telles que les sels de nicotine, encore plus addictifs que la nicotine elle-même.
La réaction ironique de Karine Le Marchand
Alors que la campagne de sensibilisation se veut sérieuse, Karine Le Marchand a préféré la railler à sa manière. Jouant sur l'orthographe du mot "puff", elle a ironisé en proposant de modifier une lettre pour obtenir une orthographe plus adéquate : "Tu es certain de l'orthographe ? J'aurais mis un U !". Cette remarque phonétique donne alors "Faut interdire les poufs !". Un trait d'humour qui ne fait pas l'unanimité face aux dangers réels des puffs.
Pourquoi les puffs sont considérés comme dangereux
Dans une interview accordée à Dr Good en mai 2023, Michel Cymes avait déjà mis en garde contre les dangers des puffs, ces cigarettes électroniques très prisées des jeunes. L'animateur, comédien et oto-rhino-laryngologue avait expliqué les raisons de son alerte : "Puff est un anglicisme qui signifie bouffée, comme une bouffée de cigarette". Un collectif de médecins et de défenseurs de l'environnement a d'ailleurs récemment demandé leur interdiction de vente, soutenu par le ministre de la Santé, François Braun.
Il est important de savoir que les puffs peuvent contenir de la nicotine, ce qui constitue une porte d'entrée dans le tabagisme. Certains d'entre eux renferment même des sels de nicotine, encore plus addictifs que la nicotine elle-même. L'addiction se développe lorsque le cerveau réclame sa dose. Il est donc crucial d'agir rapidement pour interdire ces puffs, tout en condamnant les professionnels qui en vendent aux mineurs, enfreignant ainsi la loi en vigueur.
Sur Instagram, Karine Le Marchand a décidé de se moquer de la campagne de sensibilisation menée par le médecin Michel Cymes. Ce dernier lutte activement depuis plusieurs mois contre les puffs, ces nouvelles cigarettes électroniques aux goûts fruités prétendument non addictifs. Pourtant, Michel Cymes affirme qu'en réalité, ces puffs contiennent des substances addictives telles que les sels de nicotine, encore plus addictifs que la nicotine elle-même.
La réaction ironique de Karine Le Marchand
Alors que la campagne de sensibilisation se veut sérieuse, Karine Le Marchand a préféré la railler à sa manière. Jouant sur l'orthographe du mot "puff", elle a ironisé en proposant de modifier une lettre pour obtenir une orthographe plus adéquate : "Tu es certain de l'orthographe ? J'aurais mis un U !". Cette remarque phonétique donne alors "Faut interdire les poufs !". Un trait d'humour qui ne fait pas l'unanimité face aux dangers réels des puffs.
Pourquoi les puffs sont considérés comme dangereux
Dans une interview accordée à Dr Good en mai 2023, Michel Cymes avait déjà mis en garde contre les dangers des puffs, ces cigarettes électroniques très prisées des jeunes. L'animateur, comédien et oto-rhino-laryngologue avait expliqué les raisons de son alerte : "Puff est un anglicisme qui signifie bouffée, comme une bouffée de cigarette". Un collectif de médecins et de défenseurs de l'environnement a d'ailleurs récemment demandé leur interdiction de vente, soutenu par le ministre de la Santé, François Braun.
Il est important de savoir que les puffs peuvent contenir de la nicotine, ce qui constitue une porte d'entrée dans le tabagisme. Certains d'entre eux renferment même des sels de nicotine, encore plus addictifs que la nicotine elle-même. L'addiction se développe lorsque le cerveau réclame sa dose. Il est donc crucial d'agir rapidement pour interdire ces puffs, tout en condamnant les professionnels qui en vendent aux mineurs, enfreignant ainsi la loi en vigueur.