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  • 05/07/2023
Reportages :
- artistes dans la rue
- concert des familles à l'école de musique
- fête de la musique à la médiathèque
- fabrique 4.0 au collège
- spectacle au collège
- passage du jury des villes fleuries
- point sur les travaux au musée
- un camion de prévention santé
- annonce des festivités du 13 juillet

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News
Transcription
00:00 Amicathésien, bonjour et bienvenue dans cette édition du journal en ce samedi 1er juillet 2023.
00:06 Les thèmes que nous allons aborder aujourd'hui sont les suivants.
00:09 L'art est mis à l'honneur avec une nouvelle édition des artistes dans la rue,
00:14 mais également avec le concert des familles qui s'est tenu à l'école de musique.
00:18 La médiathèque a célébré la fête de la musique comme il se doit avec le groupe Paris Smetis.
00:24 L'usine itinérante des Hauts-de-France s'est installée dans la cour du collège Jean-Rostand.
00:30 Restons au collège pour assister à un spectacle qui réunit des écoliers de CM2 et des élèves de 6e.
00:37 Les membres du jury Ville et Villages Fleuris de France sont venus découvrir le cathoque en Brésil.
00:44 Nous ferons le point sur l'avancée des travaux au musée.
00:48 Le camion santé dédié au dépistage des cancers féminins s'est installé sur la place du 3 septembre 1944.
00:56 Et nous clôturerons ce journal avec notre rubrique L'antenne est à vous,
01:00 où M. Joseph Modarelli annoncera les festivités du 13 juillet prochain.
01:06 C'est sous un soleil radieux que les artistes se sont installés dans les rues cathésiennes.
01:12 De nombreux artistes étaient réunis pour célébrer cette nouvelle édition des artistes dans la rue,
01:17 où peintres, modeleurs et même sculpteurs ont pu promouvoir leur art.
01:22 Les flâneurs ont ainsi pu discuter avec eux et profiter d'un peu de fraîcheur le long de la selle.
01:27 Je laisse tout de suite la parole à M. Luc Carin.
01:30 Eh bien ce week-end, donc ce samedi 24 juin, nous avons la chance d'avoir un très beau temps
01:44 pour organiser avec la ville du Cato, M. le maire Joseph Modarelli nous ont permis d'organiser cette journée des artistes dans la rue.
01:52 Donc nous avons à peu près plus ou moins une cinquantaine de personnes qui ont participé,
01:59 qui participent en ce moment à cette journée, que ce soit au travers de stands
02:04 ou vraiment d'installation d'artistes dans la rue, des dessinateurs, des peintres, des modeleurs, des sculpteurs parfois aussi.
02:12 Et je pense que ça se passe très bien.
02:16 Pour l'instant on n'a que des retours positifs et le public commence déjà un peu à sortir et venir nous voir.
02:23 C'est assez sympathique.
02:24 Il y a à peu près 35 participants qui viennent de l'école de l'art plastique,
02:30 des ados, des jeunes adultes et des personnes d'un certain âge on dirait.
02:36 Alors l'école de l'art plastique se trouve, pour ceux qui le savent, rue de la Digue.
02:41 Dans l'espace des arts, on partage le bâtiment avec l'école de musique.
02:46 Jean-Louis Bergmans qui dirige l'école de musique est présent le lundi, le jeudi, le vendredi et le samedi pour les ateliers musicaux.
02:58 Et l'école de l'art plastique est ouverte pour les enfants le mercredi après-midi et pour les adultes le vendredi après-midi et le samedi toute la journée.
03:06 Et on y fait quoi ?
03:08 Les enfants ont deux ateliers le mercredi après-midi où ils touchent un peu à toutes les techniques.
03:14 Alors que pour les adultes, le vendredi en début d'après-midi, il y a un atelier technique et recherche artistique.
03:22 Ça permet de travailler un peu toutes les techniques et parfois trouver des solutions à des problématiques artistiques,
03:31 des phrases qui sont lancées avec des petites solutions à trouver au travers d'une réalisation artistique.
03:37 Qui est assez ludique, amusant, assez agréable à faire parce que justement je remue un petit peu les idées préconçues des gens
03:50 et ça leur permet de sortir un peu de l'ordinaire.
03:53 Alors ensuite le samedi matin, il y a l'atelier sculpture-modelage, donc on travaille le volume.
04:00 Et le samedi après-midi, c'est un atelier plus généraliste où on travaille la peinture essentiellement à tous les niveaux.
04:08 Donc toutes les sortes de peintures mais on peut aussi venir dessiner si on veut.
04:12 Et celui qui n'a pas fini sa sculpture le matin, il va aller dans son atelier tranquillement finir sa sculpture s'il le veut.
04:19 On a les enfants à partir de 6 ans jusqu'à notre aîné qui est Régine qui a 90 ans cette année.
04:27 Le 11 novembre si je ne me trompe pas.
04:30 Voilà, victoire !
04:33 Donc on a une panoplie d'âges très très différents mais on a des ateliers qui regroupent en même temps des adolescents, des jeunes adultes,
04:46 des adultes d'un âge moyen et des adultes un petit peu plus âgés comme Régine, un tout petit peu plus.
04:53 Et il y a vraiment une bonne entente sur l'ensemble de ces...
04:58 Aussi bien les jeunes que les moins jeunes ont l'occasion d'échanger et aussi bien en humour et d'une manière artistique
05:08 et comparer leurs travaux, leurs idées, etc.
05:12 Je trouve que ça c'est... L'échange entre les générations, il n'y a pas mieux.
05:16 Et dans nos modes d'expression, c'est toujours des découvertes.
05:21 Chacun a son univers et on peut les faire cohabiter sans souci.
05:26 Eh bien nous avons un petit stand à l'occasion de la journée des printemps dans la rue
05:31 parce que la bibliothèque est aussi un des pôles culturels de la ville.
05:35 Donc on a fait une sélection un petit peu éclectique pour tous les goûts et tous les âges
05:43 pour essayer d'attirer le chaland à venir prendre un billet d'inscription et un programme pour cet été
05:49 et de profiter de cet autre pôle culturel de la ville.
05:53 - Je crois qu'on va parler cirque !
05:55 - Tout à fait ! Alors c'est le programme de cet été.
05:57 Vous pouvez voir un joli petit chapiteau.
06:00 Hop, hop, hop, avec des affiches.
06:03 Et si on ouvre le chapiteau, il y a tout un programme.
06:07 C'est le programme trimestriel.
06:09 Donc un été, vous le comprenez, placé sous le signe du cirque.
06:14 Des animations. Alors il faut prendre le programme parce que c'est...
06:19 Il y a la fermeture la première quinzaine d'août.
06:22 Et des animations tout au long de l'été.
06:24 Donc il faut regarder un petit peu les dates.
06:26 Elles sont sur le site internet et sur le programme.
06:28 Des heures des bébés, des ateliers, le retour du Pulse participatif pour ceux qui connaissaient.
06:36 Et aussi le mois de septembre qui va être assez chargé.
06:40 Donc avec des ateliers, une nouveauté, un nouveau rendez-vous organisé par Maria.
06:47 La Prose Café, donc il y a un moment de café lecture tout en convivialité.
06:52 Donc vous pourrez changer les livres qu'on aime ou peut-être ceux qu'on n'a pas aimé, ça arrive.
06:58 Et partager ses lectures autour d'un café.
07:00 Un petit moment convivial, donc ce sera le troisième jeudi du mois.
07:03 Et le retour des conférences.
07:06 Alors on a une conférence exceptionnelle.
07:09 Un journaliste belge qui va nous parler de David Bowie.
07:12 Suivi de la projection de Ziggy Stardust.
07:16 C'était son personnage que tout le monde connaît.
07:18 Et en 1973 lors de son dernier concert avec ce personnage, il y a un film qui a été tourné.
07:23 Donc on va regarder ça.
07:26 Ce sera le vendredi soir de 19h à 22h.
07:29 Donc une heure, une heure et demie de conférences.
07:31 Une petite collation.
07:33 Une heure, une heure et demie de docu, film, concert du David Bowie.
07:39 Les années 70.
07:41 Voilà, voilà.
07:42 Donc un programme assez chargé.
07:43 Nous passons l'heure d'été très bientôt, la semaine prochaine.
07:46 Donc 9h-13h du mardi au samedi.
07:48 Pour profiter de la fraîcheur jusqu'au 3 septembre.
07:51 Alors qu'est-ce que vous êtes en train de faire en ce moment là ?
07:54 Je suis en train de dessiner des pêcheurs en train de trier les filets dans leur barque.
07:59 Le modèle est là.
08:01 Je disais, on n'en trouve pas dans la Seine en ce moment là.
08:03 Ah non, non, c'est pas dans la Seine.
08:05 Non, non, ça je pense que c'est plutôt en Bretagne.
08:07 Voilà.
08:08 Peut-être.
08:09 Ou en Vendée.
08:10 Pourquoi pas.
08:11 Et donc vous faissez à...
08:13 Quelle est la technique alors ?
08:14 Ah là je fais des crayons de couleur.
08:16 Voilà.
08:17 Crayons de couleur, crayons de papier, estompeur.
08:20 C'est-à-dire qu'on met du noir et après avec l'estompeur on peut diminuer,
08:25 enfin faire un dégradé de couleur avec.
08:27 Voilà.
08:28 Et ça fait longtemps que vous faites l'artiste ?
08:31 Non, non, non.
08:32 Là ça fait un an.
08:33 Avant je dessinais pour le plaisir.
08:35 Et là ça fait un an que je suis au Club Ducato.
08:37 Voilà.
08:38 Alors qu'est-ce que vous en pensez du club ?
08:40 Très bien.
08:41 Très bonne ambiance.
08:42 Monsieur Carin c'est un homme très patient, très gentil, très agréable.
08:47 Je me sens vraiment bien.
08:49 Et que pensez-vous des initiatives d'aujourd'hui alors ?
08:51 Ah c'est très bien.
08:52 Ça permet de voir les gens qui viennent voir nos dessins.
08:56 Je ne vais pas dire nos œuvres, nos dessins.
08:58 Discuter avec les gens et puis c'est du partage.
09:02 Voilà.
09:03 C'est des moments conviviaux.
09:05 Voilà.
09:06 Et ça fait du bien.
09:08 Surtout aujourd'hui qu'on a une météo clémente.
09:11 Il fait beau dans la rue des digues.
09:13 Voilà, il fait beau dans la rue des digues.
09:15 Et la prochaine il sera l'autre.
09:17 Voilà.
09:18 Donc notre association c'est Tchoboudlène,
09:21 association qui a été créée l'année dernière pour venir en aide aux bébés prématurés.
09:26 On tricote de la prématurité jusqu'à 3 ans.
09:28 Et donc aujourd'hui vous proposez quoi ?
09:31 Alors on a exposé nos petits ouvrages qu'on a fait tout au long de l'année.
09:35 Il y a des choses en vente et pour agrémenter aussi la journée des arts.
09:40 Et donc par exemple là juste derrière vous il y a quelques personnes en train de s'agiter.
09:46 Oui, alors c'est mes petites aides qui font nos layettes, nos couvertures, nos doudous.
09:52 Et qui participent tout au long de l'année à la réalisation de nos ouvrages.
09:57 Aujourd'hui le long de la selle on a pu découvrir des peintres, des sculpteurs, des dessinateurs,
10:05 un caricaturiste et puis des diverses... comment ?
10:09 D'autres stands aussi avec des objets qui sont vus par des artistes.
10:14 Parce que entre la porcelaine, le tissu qu'on décore,
10:20 un choix assez hétéroclite tout au long de cet espace que l'on voulait bucolique.
10:28 Habituellement les artistes dans la rue avaient lieu au mois de septembre.
10:32 Pour des raisons écologiques ou de temps incertains,
10:37 on a fait le choix cette année premièrement de déplacer cette date,
10:40 donc de la mettre au mois de juin avec une confirmation avec le temps qu'on a eu aujourd'hui.
10:45 Et puis on voulait aussi innover à travers cette formule.
10:51 Donc changer de date, changer de lieu,
10:53 le recentrer un peu plus sur un axe vert,
10:58 puisque on a la chance d'avoir une rivière qui est très très belle, un espace vert.
11:03 C'était l'idée, c'était de pouvoir innover, d'apporter une touche supplémentaire
11:07 et faire en sorte que chaque artiste puisse s'exprimer à travers un arbre, une maison.
11:15 C'était ouvert, c'était très très ouvert.
11:18 Mais nous on voulait simplement changer la formule,
11:21 la remettre un petit peu au goût du jour et puis trouver de nouveaux artifices.
11:27 Et surtout donner un peu le coup d'envoi vers cette semaine de porte ouverte à l'Espace des Arts.
11:33 Donc exposition, musique, arts sous toutes les formes, comme je viens de le dire.
11:41 Et quel bilan on tire de cette journée ?
11:43 Alors effectivement nous avons eu une journée superbe, trop chaud pour certains.
11:47 Alors, vu la température, on est obligé un petit peu d'adapter les emplacements,
11:56 parce que sous tout l'espace qui était dédié, il y avait des zones d'ombre et des zones ensoleillées.
12:02 On s'est adapté, on a essayé des choses différentes.
12:05 S'il y a des modifications, s'il y a des corrections à porter,
12:08 l'année prochaine j'espère qu'on pourra réitérer l'édition
12:12 et deuxièmement apporter les corrections qui se justifient,
12:16 à condition bien entendu d'avoir le temps qu'on a eu aujourd'hui,
12:20 conditions climatiques exceptionnelles.
12:22 L'École de Musique s'est associée à l'esprit créatif des arts plastiques pour former l'Espace des Arts.
12:29 Afin d'ouvrir la semaine consacrée aux arts sous toutes ses formes au pays de Matisse,
12:34 un concert des familles a été organisé.
12:37 Jouer d'un instrument, c'est bien.
12:39 Partager cette passion avec les membres de sa famille, c'est mieux.
12:42 Ce concert permet de réunir les générations,
12:45 afin de passer un moment unique au sein d'une même tribu.
12:49 Jouer en chœur ou à quatre mains permet de renforcer les liens
12:53 et d'inciter les plus timides à se lancer dans la musique.
12:56 Jean-Louis Berckmans vous en dit plus tout de suite.
12:59 Un, deux...
13:01 [Musique]
13:29 En ce qui concerne l'École de Musique,
13:32 on a participé activement à cette journée des artistes dans la rue.
13:37 L'École de Musique s'était un peu plus enfermée cette semaine,
13:41 mais on vous promet pour la semaine prochaine des activités, des actions tous les jours.
13:46 Ça commence demain matin, le concert des familles.
13:49 Le concert des familles, c'est un moment privilégié,
13:52 puisque ça réunit des frères et des sœurs, des fois un mari et une femme,
13:56 des parents, des enfants, des cousins, des oncles, des tantes.
13:59 C'est un concert qui réunit tous les musiciens d'une même famille.
14:02 C'est vraiment un moment très sympa, un moment convivial dans la musique.
14:07 [Musique]
14:24 Et ensuite, toute la semaine, on enchaîne avec des activités musicales au niveau de l'École de Musique.
14:29 Donc les portes ouvertes, vous venez, vous pouvez écouter, essayer les instruments.
14:33 On a une devise ici au Kato, pour un instrument, l'essayer c'est l'adopter.
14:38 Donc vous venez essayer la trompette et vous repartez avec une trompette.
14:41 Bon, c'est une plaisanterie, mais ça fait partie des choses qu'on met en place ici à l'École de Musique.
14:48 Et cette semaine d'actions musicales, cette semaine portes ouvertes,
14:51 se termine par le concert des professeurs, le dimanche 2 juillet à 11h.
14:57 Donc les professeurs de l'École de Musique vont vous concocter un petit programme
15:02 avec toutes sortes de choses.
15:04 On aura du Saint-Saëns, on aura du Brahms, on aura des musiques un peu plus modernes,
15:09 un peu plus légères, du jazz et des musiques de variété, un peu toutes sortes.
15:13 Donc une semaine musicale, une semaine artistique ici au Kato,
15:17 très diversifiée, très éclectique et j'espère avoir le plus de monde possible.
15:22 (Musique)
15:47 Donnez-nous un chiffre ici à l'École de Musique.
15:51 Alors, quelques chiffres pour l'École de Musique.
15:53 L'École de Musique c'est à peu près 150 élèves inscrits, 11 professeurs,
15:59 beaucoup d'heures de musique pour l'enseignement.
16:02 Les différents instruments qu'on va enseigner, la flûte, la clarinette, la trompette, le piano, la guitare, l'orgue, le trombone et le corps.
16:14 Donc on a tout un panel d'instruments de musique qu'on peut proposer aux enfants.
16:18 Et l'École de Musique fonctionne tous les jours de la semaine à des horaires qui sont adaptés pour un public d'enfants et un public d'adultes.
16:26 Donc on a vraiment toutes les possibilités pour accueillir le public le plus large possible.
16:31 (Musique)
16:50 On peut accueillir des enfants, on peut accueillir des adultes.
16:52 On a mis en place pour la prochaine rentrée des ateliers, donc ateliers guitare pour les adultes.
16:57 Un atelier où on espère accueillir une dizaine de personnes adultes qui seront en groupe,
17:03 donc pour proposer un peu des musiques de variété, des musiques qui leur plaisent, des musiques un peu plus modernes.
17:08 On a un atelier guitare pour enfants pour avoir un atelier groupe, pour avoir un peu plus d'émulation dans la formule.
17:14 Et ensuite on a des ateliers de percussion, donc un atelier de djembé qui existe
17:19 et d'autres ateliers qui vont se mettre en place dans le début de l'année prochaine.
17:23 (Musique)
17:52 (Musique)
17:58 Ah bah écoutez, l'école de musique est ouverte, donc si vous êtes intéressé déjà de venir essayer un instrument,
18:04 ce que je disais tout à l'heure, un instrument, l'essayer c'est l'adopter,
18:07 donc venez essayer un instrument de musique, vous repartez avec et l'école de musique sera ouverte à partir du début septembre,
18:13 la première semaine de septembre, pour la reprise des cours.
18:16 (Musique)
18:35 (Applaudissements)
18:41 La médiathèque a mis les petits plats dans les grands afin de célébrer la fête de la musique en invitant le groupe Paris Métis.
18:48 Laetitia et Jean-Baptiste, en couple dans la vie et en duo sur scène, proposent des concerts uniques autour de la musique du monde.
18:56 Leur principale source d'inspiration, la nature, leur voyage et leur rencontre au-delà des frontières.
19:02 Les sonorités allient leurs influences celtiques, asiatiques et africaines.
19:07 Rien de tel pour envoûter petits et grands. Je vous laisse découvrir cela tout de suite.
19:11 (Musique)
19:40 (Applaudissements)
19:43 Alors les Paris Métis, c'est Laetitia, mon épouse et moi-même, Jean-Baptiste, couple à la vie et aussi dans le métier de musicien professionnel.
19:54 Et Paris Métis, c'est bien Paris, notre nom de famille, mais Métis aussi par le métissage de nos instruments de musique qui sont juste derrière nous.
20:03 Et c'est le but aussi de pouvoir métisser nos instruments, les diverses timbres, les sonorités différentes pour venir se joindre dans l'écriture de nos compositions.
20:13 Alors le style, nous sommes donc sur de la musique du monde, bien sûr composés.
20:19 Laetitia compose l'intégralité de la mélodie et de l'harmonie.
20:24 Et moi je compose tout ce qui est rythme aussi pour venir se joindre à toutes ces jolies notes et ces jolies mélodies.
20:32 Tout ceci est relié à la nature, à nos voyages, aux animaux, donc à la mer nature en général.
20:41 Deux premiers albums et le troisième en construction actuellement.
20:47 [Musique]
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22:06 Sur cet album j'utilise donc le houdou, une percussion en tercuite d'origine africaine.
22:12 Ensuite j'utilise les tablas, percussions d'Inde du Nord.
22:17 Et ensuite je m'accompagne aussi d'une percussion électronique pour avoir des paysages sonores.
22:23 Et aussi le djambé bien sûr traditionnel pour avoir un son lourd et profond, pour accompagner entre autres les thèmes celtiques de Laetitia.
22:32 C'est vrai que l'instrument qui apporte vraiment la couleur, l'ambiance aussi des compositions de Paris Smetty, ce sont les rave-drums.
22:42 On les voici ici.
22:44 Des espèces de casseroles.
22:45 Exactement, donc c'est des rave-drums, des sortes de hangs en fait.
22:49 Là ils sont d'origine russes, fabriqués en Russie.
22:53 Ensuite à partir de ces rave-drums je compose au clavier la basse, l'harmonie qui est ensuite mise dans les pédaliers.
23:00 Et en live je rejoue clarinette basse, elle apporte aussi les graves, les basses, mais aussi des chorus, la mélodie.
23:10 Et tout un ensemble de flûtes du monde, on a les houlouseux qui sont de Chine et de Thaïlande.
23:17 On a la Irish flute aussi, flûte irlandaise, des flûtes amérindiennes et des whistles aussi qui m'accompagnent dans les mélodies.
23:26 Donc c'est un ensemble d'instruments qui se marient ensuite avec toutes les percussions du monde de Jean-Baptiste.
23:31 C'est vrai que les compositions sont typées celtiques, on ressent bien l'essence des musiques celtes,
23:40 mais pas que, on a une essence de jazz, de musique du monde, des influences des musiques du monde indiennes, africaines.
23:47 Donc c'est d'où ce métissage en fait, entre toutes ces essences de musique en fait, tout simplement.
23:55 [Musique]
24:09 [Musique]
24:17 [Musique]
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24:50 [Musique]
25:00 [Musique]
25:10 On va faire une tournée depuis la Provence jusqu'à la Savoie.
25:15 Donc on a six dates à venir sur deux mois, on va pouvoir profiter aussi de ces paysages,
25:23 de se ressourcer et de pouvoir promouvoir aussi ce deuxième album que nous venons juste de sortir.
25:30 Le voici, un petit peu de promo, "From the Heart" qui veut dire "Vient du coeur".
25:36 Donc un set de titres fraîchement composés et que nous proposons dans cet album et dans les concerts à venir.
25:44 Je voudrais juste rajouter quand même que, en fait, nous partons en tournée dans les Hautes-Alpes,
25:48 nous revenons d'une tournée en Irlande et en Angleterre, mais en fait, demain, nous partons aussi en concert à Berck-sur-Mer, sur la Côte.
25:55 Et puis donc samedi, nous jouons aussi les Rues des Vignes à côté de l'Abbaye de Vaucelle pour les Feux de la Saint-Jean.
26:02 Donc nous sommes en concert là-bas avec une danseuse, nous avons monté un projet aussi avec une danseuse
26:07 qui vient danser sur les thèmes de Paris Métis.
26:10 Et plus d'infos sur les réseaux sociaux ?
26:12 Sur notre site internet, sur les réseaux sociaux, parismetis.com
26:18 Et Facebook, Instagram, LinkedIn maintenant, fraîchement.
26:22 Donc c'est tous ces réseaux sociaux qui s'accumulent au fur et à mesure des années.
26:25 On essaie de suivre, mais c'est éprouvant quand même.
26:29 Vous pouvez nous évoquer aussi sur Spotify, T-Shirts.
26:31 Je ne sais pas si vous ressentez ça les amis, mais c'est éprouvant les réseaux sociaux.
26:35 Enfin, il faut bien communiquer, n'est-ce pas ?
26:38 [Musique]
27:08 [Applaudissements]
27:16 L'usine itinérante des Hauts-de-France, intitulée la Fabrique 4.0,
27:22 s'est installée dans l'enceinte du Collège Jean Rostand.
27:25 La Fabrique 4.0 est une unité mobile conçue pour aller à la rencontre des publics
27:30 et des bassins d'emploi, d'éducation et de formation en Hauts-de-France.
27:34 Équipée et modulable, la mini-usine du futur offre au plus grand nombre
27:39 une découverte immersive au cœur des métiers industriels,
27:42 ainsi qu'un parcours initiatique et pédagogique.
27:45 Les élèves ont donc pu découvrir un concentré des nouvelles technologies,
27:49 comme la réalité virtuelle ou encore la robotique.
27:52 Je laisse tout de suite la parole à Madame la Principale, Madame Laurence Sédon.
27:57 Aujourd'hui, on inaugure les premières heures d'ouverture de la Fabrique 4.0,
28:05 portée par les Hauts-de-France, la Région, le Pôle emploi, Valenciennes
28:11 et les opérateurs de compétences inter-industrielles et surtout l'UIMM.
28:17 Alors, vous voyez ces robots qui fonctionnent.
28:21 On veut donner une nouvelle image à nos jeunes collégiens, lycéens de l'entreprise,
28:28 des métiers de l'industrie.
28:30 Et quoi de plus beau que de vous recevoir dans un camion,
28:33 aux températures agréables, dans ces temps de canicule.
28:37 On fonctionne comme dans des entreprises haut de gamme,
28:42 nouvelles technologies, avec des robots.
28:46 On laisse croire aux enfants qui ne travailleront plus bientôt
28:49 avec l'intelligence artificielle, mais il faut les programmer.
28:52 Donc il faut être ingénieur et continuer à travailler à l'école
28:57 pour performer en mathématiques, en sciences, etc.
29:00 Et on les mettra à l'appui de ces magnifiques machines
29:05 qui nous aideront à travailler.
29:07 La Fabrique 4.0, c'est un camion de démonstration de l'univers industriel.
29:11 Ici, on présente aussi bien l'univers que les technologies et les métiers
29:14 qui sont présents en entreprise.
29:16 Ici, on vient fabriquer cette petite pièce.
29:19 C'est un petit support de téléphone qu'on vient coller à l'arrière de la coque.
29:23 L'avantage, c'est qu'ici, au sein de la fabrique,
29:25 on va avoir quasiment toutes les étapes de fabrication de ce produit.
29:28 La partie conception du produit, un peu plus axée bureau d'études,
29:31 avec les différentes technologies qui représentent le bureau d'études.
29:36 On va avoir ici un scanner 3D qui nous permet de partir d'une pièce existante
29:40 et de venir, comme ici, la remodéliser sur l'ordinateur.
29:44 On va avoir juste ici un hologramme qui va nous permettre de faire
29:47 de l'affichage de pièces qui est modélisé sur l'ordinateur.
29:50 Ensuite, on va retrouver juste ici une imprimante 3D
29:53 qui va nous permettre de faire tout ce qui est prototypage de pièces en plastique.
29:56 On passe ensuite à la partie production.
29:58 Première étape, il va y avoir cette partie de mise en plan du produit
30:02 pour avoir toutes les informations concernant le produit
30:05 pour pouvoir le fabriquer par la suite.
30:07 Dernière étape, la partie production.
30:09 Les pièces, on les reçoit séparées.
30:11 C'est toute la ligne de production qui est derrière moi
30:13 qui va venir faire l'assemblage.
30:15 On vient mettre les pièces et pour éviter tout ce qui est gestes répétitifs,
30:18 de plus en plus, on va faire appel à la robotique.
30:20 La robotique ici va nous permettre de venir assembler le produit,
30:23 venir faire le contrôle qualité et également par la suite
30:26 venir graver la pièce pour pouvoir la référencer.
30:29 Ce qui nous permet également de parler de tout ce qui est risque en entreprise,
30:33 tout ce qui va être TMS, les troubles musculoskeletiques,
30:36 pour éviter de se blesser.
30:37 Ici, on va avoir différentes technologies.
30:39 Dans un premier temps, de la robotique mobile
30:42 qui va nous permettre de transporter les charges lourdes à notre place
30:45 toujours pour éviter de se blesser.
30:47 Mais également, ici, de la robotique collaborative
30:50 qui permet de travailler sur le même poste de travail qu'un opérateur.
30:54 Ensuite, on va avoir les équipements que l'on va pouvoir porter directement sur soi.
30:58 Donc, juste ici, je suis équipé d'un exosquelette
31:02 qui me permet, tout simplement,
31:03 plutôt que de passer la journée complète debout sur mon poste de travail,
31:07 avec ce type de matériel, je vais pouvoir tout simplement
31:10 m'asseoir, travailler bien plus efficacement sur mon poste de travail
31:15 puisque je me fatigue beaucoup moins
31:17 et donc je vais être beaucoup plus efficace sur les tâches que je vais devoir faire.
31:22 On présente également tout ce qui est réalité augmentée, réalité mix.
31:25 Ici, ce casque nous permet d'avoir toutes les informations à portée de vision.
31:30 Ce qui nous permet de travailler bien plus simplement en ayant les mains libres.
31:34 Là, ici, avec le casque, c'est ni plus ni moins qu'un ordinateur.
31:37 On va être capable d'afficher tout type d'informations,
31:40 que ce soit de production, pour faire de la maintenance
31:43 ou également pour créer des salles virtuelles pour venir concevoir un produit.
31:46 Voilà un petit peu tout ce qu'on présente ici pour justement montrer au maximum de personnes,
31:51 que ce soit aux collégiens, aux lycéens, aux demandeurs d'emploi,
31:54 aux personnes de la mission locale, à l'école de la seconde chance,
31:57 l'univers industriel et essayer de les attirer vers ces métiers industriels qui sont en tension.
32:02 Ici, on est dans une salle où on va faire une présentation un petit peu plus théorique.
32:06 Sur chaque territoire, ça va nous permettre de faire une présentation des entreprises locales,
32:11 puisque les gens n'ont pas forcément conscience de toutes les entreprises qui sont présentes sur leur territoire
32:15 et qu'on est capable de produire des pièces qui parfois sont exportées à l'étranger,
32:21 alors que c'est une entreprise qui se trouve juste à côté de chez eux.
32:24 Ici, les différents écrans, vous en avez 6 juste ici,
32:28 vont nous permettre d'afficher différents éléments selon le type de public.
32:32 Vous avez juste ici des vidéos de présentation de métiers avec des témoignages de personnes en entreprise,
32:37 mais on peut également afficher le cycle du produit,
32:40 les différents métiers qui peuvent intervenir tout au long du processus de fabrication,
32:44 les indicateurs tels qu'on peut les retrouver en entreprise,
32:47 tels que les accidents de travail, tout ce type d'informations.
32:52 Restons au collège, où un spectacle réunissant des écoliers de CM2 et des élèves de 6e a été donné.
32:59 Le passage de l'école au collège est un moment clé de la scolarité
33:03 et peut s'avérer stressant pour les futurs collégiens.
33:06 C'est pour cela que deux professeurs, l'une du primaire et l'autre du secondaire,
33:10 ont choisi de travailler main dans la main afin que cette découverte se passe en douceur.
33:14 Les écoliers et les collégiens ont choisi de travailler autour du thème de la sorcière
33:19 en écrivant ensemble le conte de la sorcière Noaline.
33:23 Le jour de la représentation, écoliers et collégiens ne formaient plus qu'un groupe,
33:27 celui des élèves de Poudlard.
33:29 Je laisse tout de suite la parole à la directrice de la Maison Jean Rostand,
33:32 Madame Le Fin, professeure de français.
33:36 [Musique]
33:50 Voulez-vous voir un monde étrange
33:53 Où l'on aime les démons mais pas les anges
33:56 Suivez-nous, venez visiter
33:59 Notre magnifique cité
34:02 Voici Noaline, voici Noaline
34:05 La redoutable sorcière
34:08 C'est ça Noaline, tout le monde la reconnaît
34:11 C'est normal, avec ses jolies ténébres
34:14 Nous y sommes, la voilà enfin
34:17 Bienvenue à Noaline
34:20 Nous ne nous préoccupons pas, nous prendrons des progrès
34:24 Voilà, nous nous cachons sur notre escalier
34:27 On ne va se faire retraîner
34:30 C'est ça Noaline, c'est ça Noaline
34:33 Noaline, Noaline, Noaline, Noaline
34:36 C'est la chipie de la nuit
34:40 Les corbeaux chantent et les chauves sourient
34:43 On plaisante, on fait des conchons
34:46 On sait pas qu'elle sera la prochaine chanson
34:49 Au loin de la rue
34:52 Il y a des créatures
34:55 Qui surgissent des ténèbres
34:58 Ferme peur au secours
35:01 C'est ça Noaline, n'en bougez pas
35:04 Il y a des enfants, comme un sauvage
35:07 On fait des petits bruits à la porte
35:10 On est prudentes, nous s'accadonnons à tout
35:13 On prend des mecs, on prend des mecs
35:16 C'est ça Noaline, c'est ça Noaline
35:19 Noaline, Noaline, Noaline, Noaline
35:22 Il y a des gros chauves-souris
35:25 À la fiche, on voit les lumettes ici
35:28 Alors je suis Madame Leffain du Collège Jean Rostand, professeure de français
35:31 Madame Gorez, directrice enseignante à l'école de Saint-Souplet
35:35 Alors aujourd'hui c'est un spectacle de sorcellerie qui vous attend
35:38 C'est un projet interdisciplinaire puisque nous avons travaillé en français, en arts plastiques, en éducation musicale, en histoire géo, en anglais
35:47 Avec Mesdames Delaval, Caresmel, Garrigue, Madame Tranchant, Madame Mailleu
35:56 Notre jeune sorcière qui a été inventée par les élèves voyage autour du monde
36:00 Et donc à travers un conte notamment, on raconte ses aventures
36:06 Donc les enfants vont jouer ce petit conte écrit par eux-mêmes
36:10 Ils ont réécrit également les paroles d'une chanson
36:14 Ils vont aussi interpréter l'hymne du collège, l'hymne Rostand
36:20 Ils ont créé des recettes aussi, ils ont écrit des recettes, différentes potions que Noaline va créer au fur et à mesure de son voyage
36:29 Madame Delaval vous présentera aussi son beau grimoire
36:33 Et puis nous avons aussi créé des poèmes autour du personnage de Noaline
36:40 Donc en plus de la mise en scène des enfants, nous avons l'exposition de tous leurs travaux autour de la salle
36:46 J'ai un esprit un petit peu Harry Potter que je vois derrière vous là
36:49 Oui, puisque Noaline est une sorcière maléfique qui crée de nombreuses potions
36:54 Et parce que ma classe a un thème Harry Potter
36:59 Rostand, Rostand, collège de Jean Rostand
37:03 Apprends-nous ce qu'il faut savoir
37:06 Lié au son adjectif et en sortilège maléfique
37:12 Du son de vol exigeant, acrobatie et facétie
37:18 Ici, sous les reins et couloirs
37:22 Nous attendons le savoir
37:27 De nos sorciers pour vous en sorceler chassez les chagrins
37:33 Votre destin est encore entre nos mains à se balader
37:39 Rostand, Rostand, collège de Jean Rostand
37:44 Apprends-nous ce qu'il faut savoir
37:55 Vous avez forcément déjà vu ce label qui orne les panneaux des entrées de villes et villages
38:00 afin de récompenser la qualité de vie
38:02 Il s'agit bien évidemment du label "Villes et villages fleuris"
38:06 Le label constitue un outil d'aide au quotidien pour les communes qui souhaitent améliorer le bien-être de leurs habitants
38:12 et préserver l'identité de leur territoire tout en développant leur cadre de vie
38:16 Les membres qui composent ce jury sont donc venus visiter le Cateau Cambrésie aux côtés des élus afin de délibérer
38:23 Alors, cette journée, ça ne vous a pas trop stressé ?
38:27 Il y a toujours un petit peu de stress, on essaye de faire au mieux
38:30 surtout que le but de la démarche c'est de montrer tous nos atouts en matière d'environnement
38:35 et de tout ce qui est mis en place et de mettre en valeur aussi le travail des équipes municipales
38:40 des espaces verts et de toute l'équipe qui a participé à la mise en place de ce projet, de la présentation
38:49 Donc voilà, ça y est, on a fait le tour de la ville et puis on va attendre la délibération
38:54 Moi je dis que c'était une visite sympa, tu dis la même chose ?
38:58 Oui c'était sympa, le soleil était là, ça c'est très bien
39:03 et ça nous permet aussi de redécouvrir, de prendre le temps de redécouvrir nos espaces boisés et fleuris
39:10 Alors le patrimoine, est-ce qu'on a tout vu ?
39:14 Alors pour le patrimoine, on a une chance extraordinaire de pouvoir justement marier notre patrimoine
39:20 avec tout ce qu'on peut avoir autour en termes de fleurissement et en termes d'aménagement des espaces verts
39:25 donc c'est toujours une grande chance, je pense pour une ville comme la nôtre, de pouvoir marier cela
39:30 Stéphanie a dit quelque chose qui est très vrai, c'est d'essayer de trouver aussi de l'interactivité
39:34 trouver des échanges par rapport à ce qui a pu être dit aujourd'hui
39:37 et puis de pouvoir retravailler, de pouvoir toujours évoluer
39:40 on peut toujours évoluer en améliorant sur des préconisations, sur des éléments qu'on a pu nous transmettre les années précédentes
39:46 pour pouvoir faire mieux encore et puis donner la meilleure image possible de la ville et l'embellir au maximum
39:52 Est-ce que nous allons visiter nos sous-terrains ?
39:56 Alors ça fait partie du cadre, mais par contre c'est toujours le grand avantage effectivement de pouvoir terminer dans nos sous-terrains
40:03 alors en plus par ces températures avec la fraîcheur qu'on leur connaît et qui est très appréciable
40:08 effectivement oui c'est toujours une chance de pouvoir en parler et de terminer sur un aspect extrêmement positif et rafraîchissant
40:15 Bon, la conclusion te revient ?
40:18 On a passé une très agréable après-midi avec les membres du jury
40:25 on a noté encore quelques points d'amélioration, toujours pour continuer cette démarche
40:31 et puis on attend les résultats avec impatience
40:35 Ingrid Goh, je travaille pour Eau de France Tourisme à la labellisation des villes et villages fleuris
40:40 Est-ce que vous êtes déjà venue au Kato ?
40:42 Oui, il y a deux ans
40:43 D'accord, bon, comment vous avez trouvé le Kato aujourd'hui ?
40:46 Je ne vous dis pas de me dire tout ce que vous avez vu, mais comment vous l'avez trouvé ?
40:51 Jolie ville, visite agréable, accueil agréable et chaleureux, belle découverte ou redécouverte
40:58 Est-ce que, en brûlant une petite phrase, je peux savoir quels sont vos critères, les principaux, je ne vous demande pas tout
41:07 Alors en fait, la labellisation des villes et villages fleuris, c'est vraiment de juger un cadre de vie dans son ensemble
41:14 pas seulement le fleurissement, c'est un cadre de vie pour permettre aux habitants d'être dans un cadre agréable
41:19 donc il n'y a pas que le fleurissement
41:21 D'accord, je pensais que c'était uniquement le fleurissement
41:25 Non, on prend en considération la maîtrise des enseignes publicitaires, la réduction de l'éclairage nocturne, la gestion différenciée, l'entretien des cimetières
41:35 Il y a beaucoup de critères qui sont pris en considération, pas uniquement du fleurissement
41:38 Pourtant, nous n'avons pas vu nos cimetières, comment vous pensez ça ?
41:41 Ah, parce que ça fait partie des critères de la grille d'évaluation, mais on vous a posé la question quand même
41:46 Bon, d'accord, ok, bon, moi je ne sais pas, est-ce que vous avez autre chose à dire par rapport à tout ça ?
41:52 Eh bien, je vous souhaite de continuer sur votre lancée comme vous êtes parti, je souhaite de pouvoir revenir avec une équipe aussi chaleureuse et amicale
42:01 Le conducteur des travaux concernant l'agrandissement du musée, monsieur Thibault Joseph, va vous expliquer l'avancée du chantier
42:09 Au programme, création des étages pour accueillir l'étoile et envisager une fin du Grosse Oeuvre en septembre
42:15 Donc là, on est en train de faire le niveau rez-de-chaussée bas, c'est le niveau des accès groupes, accès scolaires
42:23 Donc avec des ateliers dans la deuxième partie arrière et ici toute la zone d'accueil
42:28 Alors ça consiste en quoi ?
42:30 Donc là, en ce moment, on fait des voiles matricées, c'est-à-dire que c'est des voiles avec un effet planche et en blanc
42:40 Et ce que vous voyez derrière, c'est le plancher de l'étage, l'étage du dessus
42:45 Donc là, on est au niveau rez-de-chaussée bas, ça correspond à un sous-sol
42:50 Ensuite, on a un rez-de-chaussée et un R+1, où le R+1, lui, va accueillir les oeuvres
42:56 Ça va être l'étage avec une hauteur de 5 mètres avec les plus grandes oeuvres
43:01 Donc là, on finit les voiles d'habillage dans cette zone-ci, donc encore pour une semaine
43:06 On finit ce plancher là et après on remonte l'étage au-dessus
43:11 Donc déjà à partir de la semaine prochaine, on va attaquer les murs de l'étage au-dessus dans la zone que vous voyez sur l'arrière
43:17 où le plancher est déjà coulé
43:19 Pour le gros œuvre, on a encore jusqu'au mois de septembre
43:22 [Musique]
43:27 [Musique]
43:32 [Musique]
44:01 Le camion Nord Santé Prévention a fait escale devant le théâtre
44:05 L'objectif de ce camion ? Informer, prévenir et dépister les cancers féminins
44:10 Ce service de proximité permet de mettre en lumière les cancers féminins qui, si ils sont dépistés à temps, peuvent être guéris
44:17 Je laisse tout de suite la parole à monsieur Djamel Bélar
44:20 Alors là nous sommes à Lecatouf où se déroule une journée prévention sur la thématique des cancers féminins
44:31 Elle succède à une deuxième journée qui avait eu lieu le 25 mai dernier à Cambrai
44:36 Puis une prochaine est prévue ce 20 juin à Caudry
44:40 C'est une démarche départementale, puisque plusieurs de ces journées ont lieu dans différents territoires du département
44:48 Et c'est à l'initiative de notre président pour informer, sensibiliser sur la thématique des cancers féminins
44:59 Et l'originalité de la démarche c'est de l'aller vers les publics repérés comme étant éloignés de l'accès aux soins
45:09 Alors il y a ce camion, un camion de Nord Santé Prévention, qui est mis en place de support pour ces journées là
45:18 Alors à l'heure actuelle, ce camion n'est pas équipé d'une mammographie et d'une échographie, mais il est prévu de l'équiper sur du moyen terme
45:28 Et donc pour l'instant, le camion nous sert de support dans la mise en place d'ateliers de prévention
45:37 Pour que demain ensuite, une fois qu'il sera équipé, on pourra allier à la fois de l'information à travers des ateliers
45:44 Et également des actes concrets de dépistage pour les personnes qui souhaiteraient être dépistées
45:49 Alors moi je suis Madame Kouach, je suis assistante sociale au service de prévention santé
45:54 Et j'interviens sur le territoire de Le Cateau notamment et de Caudry
45:59 Donc en binôme avec une infirmière ici sur Le Cateau et une autre infirmière sur Caudry
46:05 Oui alors dans ce camion, on propose une intervention avec une sage-femme et une infirmière
46:12 Pour travailler à partir d'idées reçues et pour montrer l'importance du dépistage, les recours possibles sur le secteur
46:25 On travaille aussi les notions d'appréhension, de peur pour essayer justement de favoriser l'accès aux soins
46:37 Donc on part aussi de la connaissance du public, parce que ça ne se veut pas un cours
46:45 On veut que ce soit interactif, pour que ce soit intéressant pour le public
46:52 Et ensuite on a une deuxième partie là dans la salle avec des partenaires, donc la sécurité sociale et EMRA
47:00 Et dans laquelle on fait également d'autres types de messages de prévention plus autour de l'hygiène de vie
47:08 Et ensuite on voit les personnes un peu au fil de l'eau pour repérer les freins qui pourraient y avoir au dépistage
47:17 Et pouvoir les recontacter dans un second temps pour justement leur permettre une prise de rendez-vous, un contact
47:26 Et leur donner vraiment des informations concrètes sur le territoire pour leur permettre d'accéder aux soins
47:33 Donc maintenant, moi je voudrais en premier lieu remercier Monsieur le Maire, parce que c'est lui qui a permis que le bus puisse
47:40 Le camion prévention santé puisse s'installer ici, un des trois territoires qui a été repéré en tout cas sur l'arrondissement
47:48 Puisqu'il y a le Kato, Cambrai et Caudry
47:51 Que ça répond à un besoin, certes comme vous l'avez signalé, aujourd'hui nous on s'oriente au département du Nord
47:58 Vers le fait d'avoir des équipements privilégiés et spécifiques en fait pour l'accès aux soins le plus près possible
48:05 Des personnes qui sont en fragilité ou tout simplement qui n'ont pas accès par défaut d'informations
48:12 En tout cas c'est apporter un service supplémentaire, non loin de se superposer à l'existant
48:17 Parce que je pense que Monsieur le Maire le dira, mais nous ici on a un très beau pôle de santé
48:21 Et donc l'accès aux soins, on peut y arriver assez facilement
48:25 Mais en tout cas c'est vraiment, comme vous le disiez, franchir le cap, avoir cette notion d'information
48:31 C'est vrai qu'en discutant on se disait que dès le moment où on touche à l'intime, à la pudeur, à l'individualité et à l'identité de chacun
48:40 En fait il y a une espèce de fierté ou de pudeur qui fait qu'on attend le dernier moment
48:45 On attend d'avoir des symptômes ou pas se sentir bien
48:48 Ou alors on se dit que le généraliste qu'on va voir va tout résoudre
48:52 Mais en même temps c'est vrai que pour ces problèmes physiques et métaboliques des dames
48:57 Que ce soit le dépistage du cancer du sein, de l'utérus, toutes ces choses-là
49:02 C'est vrai que ça touche de l'intime et il faut aller plus loin
49:06 A la fois dans l'information, dans l'accompagnement, dans le soutien
49:09 Et puis également dans la dédramatisation et la pédagogie que l'on peut apporter
49:14 Je soulignerais aussi que Barbara Kovout, ma vice-présidente en fait, collègue en charge de la santé au département
49:21 Est à l'initiative avec Christian Poiret de ce bus
49:24 On s'est modélisé un peu sur les espaces France Service qui sillonnent un peu l'ensemble des territoires
49:29 Mais justement parce qu'on se dit aujourd'hui qu'il y a toujours cette barrière
49:34 Où c'est toujours trop loin, où il y a peut-être un défaut de mobilité
49:38 Mais où aussi la mobilité n'est pas que physique, elle peut être aussi sociale
49:42 C'est-à-dire qu'il faut se sentir prêt à pousser des portes
49:45 Sans préjuger, sans se dire qu'on va être forcément étiqueté ou vu
49:51 Et voilà, je pense qu'aujourd'hui c'est dans cette démarche qu'on peut dédramatiser les choses
49:56 Et où on pourra plus facilement raccrocher en tout cas à la santé des personnes
50:01 Qui en fait s'en sentent éloignées, mais pas forcément s'en sentent éloignées à la fois
50:07 Mais n'y ont pas recours parce qu'elles ne veulent peut-être pas se sentir concernées aussi par ces sujets
50:15 Parce que ça ne touche pas leur famille ou ça ne touche pas leurs amis
50:19 Et tant qu'on n'y est pas confronté, c'est vrai que des fois on a envie de se protéger en les tenant loin de nous
50:25 Donc voilà les quelques mots que je voulais dire
50:27 Et puis j'espère que cette initiative se réitérera dans les mois à venir
50:32 Et puis que la population en tout cas cathésienne et des environs
50:37 Se sentira investie et passera des messages importants sur l'accueil, l'information
50:43 Et sur la plus-value que ça peut apporter surtout et notamment l'accessibilité dans la proximité
50:48 C'est un réel plaisir que je vois que le camion porté par le département du Nord vient dans ma ville
50:56 Mais au-delà de ma ville, c'est un peu aussi dans toutes les communes avoisinantes
51:00 C'est une première étape et je salue l'engagement de Christian Poiret
51:05 Mais poussé par Sylvie Clerc de faire venir dans les territoires ruraux de proximité
51:11 Ce type de camion comme d'autres types de projets qui se déroulent actuellement
51:16 Il est très bon que le département joue un rôle de proximité
51:21 Il est très mauvais que l'État sur sa donnée régalienne de compétences de la santé
51:27 Se défausse sur les autres collectivités locales
51:29 Que ce soit le département, la région ou les communautés d'agglomération comme chez nous
51:34 La carence de médecins généralistes fait que de plus en plus
51:39 La population a du mal à recourir aux soins, à l'accès aux soins, premier item
51:45 Deuxièmement, un item d'ordre général depuis plus de 20 ans
51:49 La France n'a jamais accepté fortement les politiques de prévention
51:56 Nous sommes une autre conception de la prise en charge de la santé
52:00 Nous ne vivons pas comme en Suède, nous ne vivons pas comme au Canada
52:04 Où les politiques de prévention sont les plus poussées
52:07 On attend que l'incident arrive pour dire
52:12 Que nous enclenchons un procédure médicale ou scientifique d'accompagnement
52:16 Ce bus est important, c'est la première fois, je disais à monsieur le responsable et à vous madame
52:22 Qu'il faut prendre le temps, la première fois les gens vont découvrir
52:26 La deuxième fois il faudra qu'on amplifie vis-à-vis de la population
52:31 J'évoquais peut-être la possibilité, puisque c'est un bus purement féminin
52:35 Je me demande ce que je fais ici
52:37 C'est un bus purement féminin de développer la prévention chez les jeunes au lycée, au collège
52:42 Que ce soit collège ou lycée, vous savez le département et la région
52:45 Savent s'associer quand c'est l'intérêt du citoyen qui est au coeur
52:48 Donc peut-être faire venir les jeunes filles du lycée
52:52 Qui ont, à partir de l'adolescence, ils redécouvrent le plus souvent leur corps
52:58 Et à partir de là, il y en a certaines qui communiquent entre elles
53:02 Certaines communiquent avec leur famille, mais il y en a qui sont en rupture d'isolement complet
53:07 Et qui n'osent pas avouer, même à un médecin généraliste quand ils en ont encore un
53:12 Leurs problématiques, même à leurs parents
53:14 Le domaine individuel, et en plus, je le disais, le domaine de la santé dans le monde rural
53:20 C'est très intimiste, c'est très réservé
53:23 Donc moi je salue cette initiative du département
53:27 On va dans le bon sens
53:29 Il ne faut pas rêver, on s'aime pour engranger dans l'avenir
53:33 Donc je pense que cette première phase, elle ne va peut-être pas être optimale en termes d'accueil des familles
53:40 Des femmes surtout, mais c'est un premier pas vers quelque chose qu'il faut continuer à développer
53:46 L'intérêt pour tous, c'est quand même l'accès aux soins
53:50 Et comme a dit Sylvie, on a la chance d'avoir un pôle de santé ici, public ou privé, qui est de haute qualité
53:55 Alors il faut savoir aussi que dans nos territoires, hier j'étais à l'agglo avec mes vice-présidents
54:01 La santé est reconnue comme la première priorité des gens du territoire, même avant l'emploi
54:07 Ça veut dire que la santé, face à la déliquescence du pouvoir de l'état qui ne sait pas assumer ses responsabilités
54:16 Eh bien il faut que d'autres structures, départements, régions et communautés d'agglo viennent en soutien pour essayer de trouver des alternatives
54:24 Mais si on ne change pas le cursus, la sortie des médecins généralistes, on ne changera pas le monde de la santé
54:31 Vous savez pourquoi il y a moins en moins de médecins généralistes ? Deux aspects
54:35 C'est le médecin généraliste qui fait les prescriptions, vers un spécialiste, vers le kiné, vers l'infirmier
54:40 Donc qui dit prescription, dit dépenses pour la sécu, mais moi la santé, c'est pas un équivalent uniquement financier, c'est un équivalent d'abord humain
54:48 Et le deuxième volet qui me paraît important, c'est la formation des médecins et l'affectation des médecins à la sortie
54:57 Alors on me dit qu'on est une république, ok, dans une république, je suis très heureux de vivre en France
55:03 Il faut que tout le monde sur le territoire ait les mêmes droits et les mêmes accès
55:07 Donc on adapte, je suis désolé, on adapte par rapport aux besoins du territoire
55:12 Vous savez quand on est jeune, vous passez des concours, le premier souvent vous êtes 3 ou 5 ans sur la région parisienne
55:21 On sacrifie 3 ou 5 ans pour vivre dans la région parisienne, je parle pas du 93 ou autre, mais encore dans d'autres secteurs
55:30 Et quand vous êtes enseignant, vous n'êtes pas nommé tout de suite où vous voulez, il faut faire vos preuves
55:35 Et puis moi je connais des gens qui ont fait un cursus d'enseignant dans des écoles rep et tout ça avant de pouvoir atteindre un autre niveau
55:43 Donc il y a toujours la notion de sacrifice personnel, mais dès lors qu'on ne les exige pas au corps médical
55:48 On ne peut pas avoir une adéquation de réponse de la santé sur le territoire
55:53 Et heureusement qu'on est là, heureusement qu'on se bat avec les moyens qui sont les nôtres
55:58 On n'a pas les mêmes moyens de l'État, l'État c'est beaucoup plus des annonces qui ne sont pas suivies des faits
56:04 Nous on est dans le cas ici par exemple au département Sylvie-Siege, c'est que le département veut suivre ses annonces de faits réels et suivies
56:12 Donc il faut être tenace sur cette thématique et c'est un besoin essentiel du territoire du Côte-Résy et du Catesy, merci à vous
56:21 Notre rubrique "L'antenne est à vous" donne la parole à M. Joseph Modarelli, adjoint au Fête, afin de vous annoncer les festivités qui auront lieu le 13 juillet prochain
56:32 Au programme, le marché semi-nocturne, mais également des informations concernant le feu d'artifice
56:38 Où les spectateurs sont attendus sur l'Esplanade Montplaisir et non pas au Parc Feynelon pour cause de travaux
56:52 Là nous sommes en train de préparer, de finaliser même totalement le 13 juillet, donc là également une journée ouverte où là on va avoir la ville qui va être remplie par les commerces locaux
57:06 Des non-sédentaires qui viendront s'ajouter, un quart podium qui va animer à partir de 15h, toute l'après-midi jusqu'à environ 22h le centre-ville au pied de la Fontaine
57:18 Et qui va clôturer cette journée du 13 juillet par un feu d'artifice qui aura lieu cette année pour le tir du feu d'artifice dans le Parc Feynelon
57:28 Mais compte tenu des problèmes liés au chantier actuel et aux normes de sécurité, le public, je les invite fortement, je passe un message très clair
57:37 Le public lui va être orienté vers l'Esplanade Montplaisir, c'est à dire qu'on doit respecter des licences réglementaires pour le tir du feu d'artifice
57:47 Et le tir se fait au Parc Feynelon, le public lui sera invité à se rendre sur l'Esplanade Montplaisir où il sera protégé du potentiel ou éventuel bris qu'il pourrait y avoir
58:01 Donc, changement de formule sur la forme, on reste sur le même principe, feu d'artifice à 23h
58:08 Donc on va orienter les gens de façon très claire à partir de la Fontaine du centre-ville pour prendre la rue Charles Cédoux et s'orienter vers l'Esplanade Montplaisir
58:21 Pour assister à un feu d'artifice d'environ une trentaine de minutes et le démarrage aura lieu à 23h précise
58:27 Et je précise également que la demande était faite au service concerné pour que l'éclairage soit maintenu dans sa totalité au niveau de la ville jusqu'à 2h du matin
58:39 Pour permettre aux gens qui ont envie de rentrer chez eux tranquillement de ne pas se retrouver dans le noir total
58:45 Donc l'éclairage, je garantis cette année qu'il sera ouvert jusqu'à 2h du matin
58:54 C'est ainsi que se termine cette édition, pas de page au sport cette semaine mais ne vous inquiétez pas, André Biangou prend l'antenne dans quelques instants
59:01 Quant à moi j'ai été ravie de partager ce journal en votre compagnie, n'hésitez pas à nous retrouver comme toujours sur notre site officiel, notre page Facebook et notre compte Instagram Befrovision
59:11 Ainsi qu'à visionner cette édition sur Youtube et à vous abonner, c'est très important
59:15 Et moi je vous dis à tout de suite !
59:17 [Musique]