"La détermination de Patrick Cohen lors de l'interview de Justine Triet dans "C à Vous" ne vous laissera pas indifférent !"
- il y a 10 mois
Justine Triet évoque la polémique après la remise de sa Palme d'or
Le vendredi 30 juin, Justine Triet était invitée sur le plateau de "C à Vous" à l'occasion de la dernière émission de la saison de la quotidienne de France 5. Lors de cette entrevue, Patrick Cohen a souhaité aborder la polémique qui a éclaté quelques heures après que la réalisatrice a reçu la Palme d'or pour son film "Anatomie".
Un discours engagé et controversé
Si sur la scène du Palais des Festivals le samedi 27 mai 2023, Justine Triet a pris le temps de remercier ses collaborateurs, elle a également profité de l'occasion pour aborder d'autres sujets. Elle a évoqué la réforme des retraites, les violences policières et l'état du cinéma français. Ses déclarations ont été applaudies par la salle, mais elles ont aussi suscité la controverse.
Des réactions contrastées
Dès la fin de son discours, Jane Fonda s'est montrée agacée et a lancé le diplôme de la lauréate derrière elle. Certaines personnalités, comme Élie Semoun, ont critiqué la prise de parole de Justine Triet, tandis que des humoristes se sont moqués d'elle. Malgré cela, la réalisatrice ne regrette rien et assume pleinement ses propos.
Aucun regret, seulement de la solidarité
Face à Patrick Cohen, Justine Triet affirme ne regretter aucun mot de son discours. Elle souligne qu'elle voulait simplement exprimer sa solidarité envers un mouvement qui a rassemblé de nombreuses personnes cette année-là. Elle a également rappelé son souhait de préserver le cinéma français, précisant qu'elle ne se consacrait pas uniquement à sa propre personne. La réalisatrice affirme que son discours était le reflet d'une parole existante depuis un certain temps.
Conclusion
Justine Triet assume pleinement ses prises de position controversées lors de son discours après la remise de sa Palme d'or. Malgré les réactions contrastées qu'elle a suscitées, elle ne regrette rien et affirme avoir voulu exprimer sa solidarité envers un mouvement qui lui tenait à cœur. Elle souligne également l'importance de préserver le cinéma français et rappelle que sa parole s'inscrit dans une réflexion plus large qui existe depuis un certain temps.
Le vendredi 30 juin, Justine Triet était invitée sur le plateau de "C à Vous" à l'occasion de la dernière émission de la saison de la quotidienne de France 5. Lors de cette entrevue, Patrick Cohen a souhaité aborder la polémique qui a éclaté quelques heures après que la réalisatrice a reçu la Palme d'or pour son film "Anatomie".
Un discours engagé et controversé
Si sur la scène du Palais des Festivals le samedi 27 mai 2023, Justine Triet a pris le temps de remercier ses collaborateurs, elle a également profité de l'occasion pour aborder d'autres sujets. Elle a évoqué la réforme des retraites, les violences policières et l'état du cinéma français. Ses déclarations ont été applaudies par la salle, mais elles ont aussi suscité la controverse.
Des réactions contrastées
Dès la fin de son discours, Jane Fonda s'est montrée agacée et a lancé le diplôme de la lauréate derrière elle. Certaines personnalités, comme Élie Semoun, ont critiqué la prise de parole de Justine Triet, tandis que des humoristes se sont moqués d'elle. Malgré cela, la réalisatrice ne regrette rien et assume pleinement ses propos.
Aucun regret, seulement de la solidarité
Face à Patrick Cohen, Justine Triet affirme ne regretter aucun mot de son discours. Elle souligne qu'elle voulait simplement exprimer sa solidarité envers un mouvement qui a rassemblé de nombreuses personnes cette année-là. Elle a également rappelé son souhait de préserver le cinéma français, précisant qu'elle ne se consacrait pas uniquement à sa propre personne. La réalisatrice affirme que son discours était le reflet d'une parole existante depuis un certain temps.
Conclusion
Justine Triet assume pleinement ses prises de position controversées lors de son discours après la remise de sa Palme d'or. Malgré les réactions contrastées qu'elle a suscitées, elle ne regrette rien et affirme avoir voulu exprimer sa solidarité envers un mouvement qui lui tenait à cœur. Elle souligne également l'importance de préserver le cinéma français et rappelle que sa parole s'inscrit dans une réflexion plus large qui existe depuis un certain temps.