Ayem Nour critique le maire de Nice au sujet des "prières musulmanes" à l'école.
- il y a 11 mois
Ayem Nour scandalisée par des propos jugés "inadmissibles"
Le vendredi 23 juin 2023, Ayem Nour s'est emparée de ses réseaux sociaux pour dénoncer les propos d'une journaliste qualifiant de "faits extrêmement graves" les prières musulmanes effectuées par des élèves de CM1 et CM2 dans des écoles niçoises. Une attitude qui a profondément choqué la maman d'Hayvin, qui n'a pas hésité à partager sa consternation sur sa story Instagram. Elle exprime son incompréhension face à un monde où la prière est qualifiée d'acte grave.
Une atteinte à la laïcité dénoncée par Christian Estrosi
Alerté par son académie, le maire de Nice, Christian Estrosi, avait décidé de faire remonter l'information à la Première ministre, Élisabeth Borne. Il rappelle sur Twitter que la laïcité est un pilier sacré de l'école de la République et qu'il est inadmissible de banaliser les atteintes à cette valeur fondamentale. Pour lui, le service public doit être exemplaire dans la défense des valeurs de la République et le séparatisme ne doit en aucun cas être toléré.
Des familles choquées par cette stigmatisation
Les familles des enfants concernés dénoncent, de leur côté, une stigmatisation inacceptable. "C'est néfaste pour tous, y compris pour les personnes qui ne sont pas concernées", a confié la grand-mère d'un des élèves à BFM Nice Côte d'Azur. Pour elle, les enfants étaient simplement en train de jouer et d'imiter la prière, sans aucune intention religieuse. La prise de conscience de la maîtresse a permis aux élèves de comprendre ce qui était acceptable ou pas. Pour elle, tout est monté en épingle pour rien.
Des conséquences sur la fête de fin d'année
Cet épisode fâcheux a également eu des conséquences sur la fête de fin d'année. Selon la grand-mère de l'élève, il était question de supprimer la kermesse de l'école par crainte des répercussions pour certains parents dont les enfants faisaient partie du groupe et qui étaient de confession musulmane. Cette situation est jugée regrettable, car les parents ont peur à cause d'une situation qui a été grossièrement exagérée et prend des proportions inquiétantes. Ces événements montrent combien la tolérance et la solidarité sont essentielles pour le vivre-ensemble.
Le vendredi 23 juin 2023, Ayem Nour s'est emparée de ses réseaux sociaux pour dénoncer les propos d'une journaliste qualifiant de "faits extrêmement graves" les prières musulmanes effectuées par des élèves de CM1 et CM2 dans des écoles niçoises. Une attitude qui a profondément choqué la maman d'Hayvin, qui n'a pas hésité à partager sa consternation sur sa story Instagram. Elle exprime son incompréhension face à un monde où la prière est qualifiée d'acte grave.
Une atteinte à la laïcité dénoncée par Christian Estrosi
Alerté par son académie, le maire de Nice, Christian Estrosi, avait décidé de faire remonter l'information à la Première ministre, Élisabeth Borne. Il rappelle sur Twitter que la laïcité est un pilier sacré de l'école de la République et qu'il est inadmissible de banaliser les atteintes à cette valeur fondamentale. Pour lui, le service public doit être exemplaire dans la défense des valeurs de la République et le séparatisme ne doit en aucun cas être toléré.
Des familles choquées par cette stigmatisation
Les familles des enfants concernés dénoncent, de leur côté, une stigmatisation inacceptable. "C'est néfaste pour tous, y compris pour les personnes qui ne sont pas concernées", a confié la grand-mère d'un des élèves à BFM Nice Côte d'Azur. Pour elle, les enfants étaient simplement en train de jouer et d'imiter la prière, sans aucune intention religieuse. La prise de conscience de la maîtresse a permis aux élèves de comprendre ce qui était acceptable ou pas. Pour elle, tout est monté en épingle pour rien.
Des conséquences sur la fête de fin d'année
Cet épisode fâcheux a également eu des conséquences sur la fête de fin d'année. Selon la grand-mère de l'élève, il était question de supprimer la kermesse de l'école par crainte des répercussions pour certains parents dont les enfants faisaient partie du groupe et qui étaient de confession musulmane. Cette situation est jugée regrettable, car les parents ont peur à cause d'une situation qui a été grossièrement exagérée et prend des proportions inquiétantes. Ces événements montrent combien la tolérance et la solidarité sont essentielles pour le vivre-ensemble.