18 expressions françaises que l’on n’utilise plus aujourd’hui
  • il y a 10 mois
Déménager à la cloche en bois : C’est le fait de quitter son logement en catimini sans payer son loyer.
Se casser la margoulette : On l'utilise quand quelqu'un tombe en se faisant mal.
Tailler des croupières : On utilise cette expression lorsqu’un personne met autrui en difficulté pour le faire échouer dans ses projets ou lui causer de l’embarrer et des ennuis.
Courir le guilledou : C’est le fait de séduire de nombreuses personnes.
Laisser pisser le mérinos : Cette expression désigne le fait de rester passif et de laisser les choses suivre leur cours.
À tire-larigot : C’est un synonyme de "beaucoup", "en grande quantité".
Avoir un coeur d’amadou : C’est une personne qui s’enflamme à la première occasion, s’emporte ou tombe amoureux très rapidement.
Mener une vie de bâton de chaise : C’est le fait d’avoir une vie agitée.
Bouche à l’émeri : C’est un qualificatif qui désigne une personne complètement bornée et incapable de comprendre.
Recevoir une avoine : Aujourd'hui, on dirait plutôt "recevoir une correction". C’est l’idée de se faire frapper.
Payer en monnaie de singe : C’est le fait de payer ses dettes en fausse monnaie, d’escroquer, ou de payer par des belles paroles ou des promesses.
En baver des ronds de chapeau : On emploie cette expression lorsqu’une personne se retrouve dans une situation pénible et difficile à vivre.
Prendre la clé des champs : C’est l’idée de prendre sa liberté et
de fuir toute situation oppressante.
Crier haro sur le baudet : Selon le Trésor de la langue française, c’est la "manifestation d'indignation, de réprobation envers quelqu'un/quelque chose qu'on désigne comme responsable".
Ménager la chèvre et le chou : C’est le fait de satisfaire deux
personnes aux intérêts opposés.
Se cogner le petit juif : C'est lorsqu'on se coince le nerf ulnaire qui longe le membre supérieur du bras.
Le bouillon de 11 heures : Cela désigne une boisson empoisonnée.
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