OK. "Violent échange entre Estelle Denis et Daniel Riolo suite au meurtre d'une infirmière poignardée au CHU de Reims"
- il y a 11 mois
Daniel Riolo et Estelle Denis s'opposent à propos des portiques de sécurité
Le journaliste sportif Daniel Riolo et la présentatrice de télévision Estelle Denis se sont récemment affrontés à propos de la sécurité dans les hôpitaux. La question était de savoir si des portiques de sécurité devaient être installés dans les établissements de santé pour éviter que des patients ou des visiteurs ne passent des armes à feu ou des armes blanches. Le débat est né suite au meurtre d'une infirmière du CHU de Reims. Riolo est fermement opposé à l'idée d'augmenter les impôts pour payer pour des mesures de sécurité supplémentaires.
Le refus de Daniel Riolo de payer plus d'impôts
Selon Daniel Riolo, les moyens de financement des portiques de sécurité sont choquants. "S’il faut mettre plus de moyens, ça veut dire plus de gens qui doivent payer, ça veut dire que nous devrons payer des impôts", a-t-il déclaré. Il estime qu'il n'y a pas besoin de dépenser de l'argent pour ce type de situation, et a ajouté que la responsabilité individuelle devrait prendre le dessus.
La réponse de Estelle Denis
Estelle Denis, en revanche, estime que l'amélioration de la sécurité dans les hôpitaux est nécessaire et qu'elle doit être payée par les contribuables. Elle a déclaré qu'elle était prête à payer plus d'impôts pour plus de sécurité dans les établissements de santé. Toutefois, Daniel Riolo ne partageait pas la même opinion. Pour lui, mettre en place des portiques de sécurité est inutile, car cela ne dissuadera pas les personnes déjà déterminées à commettre des atrocités.
Le débat animé se poursuit
Les deux personnalités médiatiques ont continué à débattre sur le sujet, mais ils ne semblaient pas arriver à un accord. Estelle Denis a suggéré qu'un asile psychiatrique était une solution appropriée pour le criminel, mais Daniel Riolo a refusé de discuter de la question plus en profondeur. Finalement, l'échange s'est terminé par une pointe d'ironie de Daniel Riolo, qui a plaisanté en disant qu'ils continueraient à parler des faits divers chaque semaine.
Le journaliste sportif Daniel Riolo et la présentatrice de télévision Estelle Denis se sont récemment affrontés à propos de la sécurité dans les hôpitaux. La question était de savoir si des portiques de sécurité devaient être installés dans les établissements de santé pour éviter que des patients ou des visiteurs ne passent des armes à feu ou des armes blanches. Le débat est né suite au meurtre d'une infirmière du CHU de Reims. Riolo est fermement opposé à l'idée d'augmenter les impôts pour payer pour des mesures de sécurité supplémentaires.
Le refus de Daniel Riolo de payer plus d'impôts
Selon Daniel Riolo, les moyens de financement des portiques de sécurité sont choquants. "S’il faut mettre plus de moyens, ça veut dire plus de gens qui doivent payer, ça veut dire que nous devrons payer des impôts", a-t-il déclaré. Il estime qu'il n'y a pas besoin de dépenser de l'argent pour ce type de situation, et a ajouté que la responsabilité individuelle devrait prendre le dessus.
La réponse de Estelle Denis
Estelle Denis, en revanche, estime que l'amélioration de la sécurité dans les hôpitaux est nécessaire et qu'elle doit être payée par les contribuables. Elle a déclaré qu'elle était prête à payer plus d'impôts pour plus de sécurité dans les établissements de santé. Toutefois, Daniel Riolo ne partageait pas la même opinion. Pour lui, mettre en place des portiques de sécurité est inutile, car cela ne dissuadera pas les personnes déjà déterminées à commettre des atrocités.
Le débat animé se poursuit
Les deux personnalités médiatiques ont continué à débattre sur le sujet, mais ils ne semblaient pas arriver à un accord. Estelle Denis a suggéré qu'un asile psychiatrique était une solution appropriée pour le criminel, mais Daniel Riolo a refusé de discuter de la question plus en profondeur. Finalement, l'échange s'est terminé par une pointe d'ironie de Daniel Riolo, qui a plaisanté en disant qu'ils continueraient à parler des faits divers chaque semaine.