Nawell Madani en pleurs pendant une émission en direct : l'actrice affectée par une séparation compliquée !
- l’année dernière
Nawell Madani évoque sa série sur Netflix et son compagnon Djebril Zonga
Depuis quelques temps, Nawell Madani est partout, du plateau de "Quotidien" en passant par "La boîte à question" sur Canal + et "Legend" de Guillaume Pley. Actuellement, c'est pour la promotion de sa série "Jusqu'ici tout va bien" diffusée sur Netflix que la jeune femme multiplie les interviews. Invitée sur le plateau de Nathalie Levy dans "En aparté", Nawell Madani est revenue sur sa nouvelle réalisation.
Dans cette série produite par la plateforme de streaming, Nawell Madani tient l'un des rôles principaux et donne elle-même la réplique à Paola Locatelli, Kahina Carina, Radouan Leflahi et Paul Hamy. Mais le personnage qui semble lui avoir donné le plus de fil à retordre n'est autre que son compagnon, Djebril Zonga, également acteur dans la série.
"Il a vraiment du caractère ! C’est-à-dire que les gens le voient comme ça, posé, c’est vrai que c’est quelqu’un qui aime plus observer que parler, mais quand il parle… Mon Dieu ! (rires) Ça a été la personne pour moi la plus difficile à diriger sur le plateau parce que je suis sa femme et il se permet plein de choses. D’ailleurs, il m’appelle sur le plateau ‘Choupinette’, je lui ai dit ‘Au moins appelle moi Madame Choupinette’…", a-t-elle indiqué avec humour.
La difficile séparation avec sa fille
Si Djebril Zonga a été un challenge à diriger, c'est une autre épreuve à laquelle Nawell Madani a dû faire face durant le tournage de la série. En effet, la jeune maman a dû se séparer de sa fille, née quelques semaines plus tôt, pour retourner au travail.
"Me séparer de ma fille, ça a été la chose la plus dure…", a-t-elle confié avec émotion. "Je suis retournée au travail très rapidement après peut-être un mois, même pas, trois semaines. Il fallait y retourner. Et je me suis effondrée. Je me souviens, après le quatrième jour de mon accouchement, j’étais à l’hôpital, et je disais à Djebril ‘Je n’ai pas envie de me séparer de ce bébé que j’ai tellement attendu’".
Toujours très émue en parlant de cette période, Nawell Madani a précisé que la séparation avec sa fille était très difficile à vivre. "Dès que je parle de tout ça, ça me… Enfin ! Ma fille m’a tellement manqué pendant cette période… Ce n’était pas facile, non", a-t-elle confié, les larmes aux yeux. Des confidences touchantes qui montrent l'importance de la famille pour l'humoriste et réalisatrice.
Depuis quelques temps, Nawell Madani est partout, du plateau de "Quotidien" en passant par "La boîte à question" sur Canal + et "Legend" de Guillaume Pley. Actuellement, c'est pour la promotion de sa série "Jusqu'ici tout va bien" diffusée sur Netflix que la jeune femme multiplie les interviews. Invitée sur le plateau de Nathalie Levy dans "En aparté", Nawell Madani est revenue sur sa nouvelle réalisation.
Dans cette série produite par la plateforme de streaming, Nawell Madani tient l'un des rôles principaux et donne elle-même la réplique à Paola Locatelli, Kahina Carina, Radouan Leflahi et Paul Hamy. Mais le personnage qui semble lui avoir donné le plus de fil à retordre n'est autre que son compagnon, Djebril Zonga, également acteur dans la série.
"Il a vraiment du caractère ! C’est-à-dire que les gens le voient comme ça, posé, c’est vrai que c’est quelqu’un qui aime plus observer que parler, mais quand il parle… Mon Dieu ! (rires) Ça a été la personne pour moi la plus difficile à diriger sur le plateau parce que je suis sa femme et il se permet plein de choses. D’ailleurs, il m’appelle sur le plateau ‘Choupinette’, je lui ai dit ‘Au moins appelle moi Madame Choupinette’…", a-t-elle indiqué avec humour.
La difficile séparation avec sa fille
Si Djebril Zonga a été un challenge à diriger, c'est une autre épreuve à laquelle Nawell Madani a dû faire face durant le tournage de la série. En effet, la jeune maman a dû se séparer de sa fille, née quelques semaines plus tôt, pour retourner au travail.
"Me séparer de ma fille, ça a été la chose la plus dure…", a-t-elle confié avec émotion. "Je suis retournée au travail très rapidement après peut-être un mois, même pas, trois semaines. Il fallait y retourner. Et je me suis effondrée. Je me souviens, après le quatrième jour de mon accouchement, j’étais à l’hôpital, et je disais à Djebril ‘Je n’ai pas envie de me séparer de ce bébé que j’ai tellement attendu’".
Toujours très émue en parlant de cette période, Nawell Madani a précisé que la séparation avec sa fille était très difficile à vivre. "Dès que je parle de tout ça, ça me… Enfin ! Ma fille m’a tellement manqué pendant cette période… Ce n’était pas facile, non", a-t-elle confié, les larmes aux yeux. Des confidences touchantes qui montrent l'importance de la famille pour l'humoriste et réalisatrice.