Français dans les camps syriens: Paris brise la convention contre la torture, estime l'ONU
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https://gotopnews.com/post/1483911
Au camp Hal-Hol, administré par les forces kurdes dans le nord-est de la Syrie, le 26 août 2022. Delil Souleiman / AFP Même si l'État français "n'est pas à l'origine des violations subies, il reste dans l'obligation" de protéger ces personnes "contre les violations graves des droits de l'homme en prenant toutes les mesures nécessaires et possibles", le comité contre la torture dans une décisionConsulté le samedi 21 janvier par l'agence France-Press. La décision n'est pas contraignante, mais la France est invitée à transmettre au comité les décisions prises "pour suivre [ses] observations" dans les quatre-vingts jours. "Le comité tortures des Nations Unies confirme cela: notre pays choisit d'abandonner les enfants leurs mères dans la zone guerre en étant parfaitement conscients souffrances qu'elles supportent et la violence à laquelle ils sont exposés", réagit un communiqué presse Marie Dosé, avocat pourFamilles femmes d'enfants sélectionnées dans les camps syriens du nord-est. "Cent cinquante enfants et leurs mères font face à un cinquième hiver" dans ces camps contrôlés par les forces kurdes, se souvient-elle. Responsabilité partagée Lisez aussi: Article réservé à en Syrie: spirale la violence et de peur dans le camp détention al-Hol La France a déjà été condamnée en 2022 par le Comité des droits de l'enfant, puis par la Cour européenne des droits de l'hommeet mineurs, en juillet et octobre.
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Au camp Hal-Hol, administré par les forces kurdes dans le nord-est de la Syrie, le 26 août 2022. Delil Souleiman / AFP Même si l'État français "n'est pas à l'origine des violations subies, il reste dans l'obligation" de protéger ces personnes "contre les violations graves des droits de l'homme en prenant toutes les mesures nécessaires et possibles", le comité contre la torture dans une décisionConsulté le samedi 21 janvier par l'agence France-Press. La décision n'est pas contraignante, mais la France est invitée à transmettre au comité les décisions prises "pour suivre [ses] observations" dans les quatre-vingts jours. "Le comité tortures des Nations Unies confirme cela: notre pays choisit d'abandonner les enfants leurs mères dans la zone guerre en étant parfaitement conscients souffrances qu'elles supportent et la violence à laquelle ils sont exposés", réagit un communiqué presse Marie Dosé, avocat pourFamilles femmes d'enfants sélectionnées dans les camps syriens du nord-est. "Cent cinquante enfants et leurs mères font face à un cinquième hiver" dans ces camps contrôlés par les forces kurdes, se souvient-elle. Responsabilité partagée Lisez aussi: Article réservé à en Syrie: spirale la violence et de peur dans le camp détention al-Hol La France a déjà été condamnée en 2022 par le Comité des droits de l'enfant, puis par la Cour européenne des droits de l'hommeet mineurs, en juillet et octobre.