Jean-Pierre Elkabbach : « ce livre n’est pas mon testament mais je veux laisser une trace ».
- l’année dernière
Jean-Pierre Elkabbach
Auteur « les rives de la mémoire » (éditions Bouquins/Robert Laffont)
Jean-Pierre Elkabbach, 85 ans, publie ses mémoires dans « Les rives de la mémoire ». Il revient à la fois sur sa jeunesse à Oran, ce qui l’a poussé à devenir journaliste et ce qu’il a appris à la fois en fréquentant les grands de ce monde et à la fête de France Télévision et Europe 1.
Dans « Les rives de la mémoire », Jean-Pierre Elkabbach raconte son parcours des rues d’Oran à Paris Inter, la carte de presse de son père pour France Soir sur laquelle il met sa photo pour assister à des événements, son premier reportage à Radio Alger, ses débuts à Paris Inter, les si nombreuses fois où il est viré : de l’ORTF, de Antenne 2 (deux fois), de France Télévision .. et tous les grands de ce monde interviewés de Hanouar el Sadate à Poutine, de De Gaulle à Mitterrand. Jean-Pierre Elkabbach distribue aussi les bons points et les claques, notamment envers Jacques Attali et Jacques Chancel. Il raconte enfin ce qu’il a aprris au contact des grands de ce monde : « S’ils sont là, c’est qu’ils l’ont mérité. Aucun n’a usurpé son pouvoir ».
Auteur « les rives de la mémoire » (éditions Bouquins/Robert Laffont)
Jean-Pierre Elkabbach, 85 ans, publie ses mémoires dans « Les rives de la mémoire ». Il revient à la fois sur sa jeunesse à Oran, ce qui l’a poussé à devenir journaliste et ce qu’il a appris à la fois en fréquentant les grands de ce monde et à la fête de France Télévision et Europe 1.
Dans « Les rives de la mémoire », Jean-Pierre Elkabbach raconte son parcours des rues d’Oran à Paris Inter, la carte de presse de son père pour France Soir sur laquelle il met sa photo pour assister à des événements, son premier reportage à Radio Alger, ses débuts à Paris Inter, les si nombreuses fois où il est viré : de l’ORTF, de Antenne 2 (deux fois), de France Télévision .. et tous les grands de ce monde interviewés de Hanouar el Sadate à Poutine, de De Gaulle à Mitterrand. Jean-Pierre Elkabbach distribue aussi les bons points et les claques, notamment envers Jacques Attali et Jacques Chancel. Il raconte enfin ce qu’il a aprris au contact des grands de ce monde : « S’ils sont là, c’est qu’ils l’ont mérité. Aucun n’a usurpé son pouvoir ».