Valérie Pécresse a longuement critiqué ses deux concurrents d'extrême droite, qui la cernent dans les sondages. La candidate LR a estimé que Marine Le Pen n'était « pas crédible pour diriger » et qu'Éric Zemmour, l'« ami » de l'islamologue suisse Tariq Ramadan, représentait « la France de l'ORTF ». Lors de la présidentielle, « nous allons devoir choisir entre l'immobilisme d'Emmanuel Macron et les extrémismes », a affirmé la candidate LR à Charleville-Mézières, en critiquant Marine Le Pen, qui « a mis en faillite son parti et s'apprête à mettre en faillite son pays ».