Éric Zemmour regarde avec amusement la bataille qui l'oppose à sa rivale d'extrême droite Marine Le Pen. Le polémiste a critiqué lundi 31 janvier une « espèce de panique » au Rassemblement national (RN) et des propos « assez pitoyables » de son président par intérim Jordan Bardella. « Je ne crois pas qu'on puisse tout se permettre parce que c'est la vie politique. Il y a une espèce de panique pour la boutique » RN, a estimé sur CNews le candidat à la présidentielle, rallié par plusieurs transfuges du camp Le Pen. « Je suis assez triste pour Jordan Bardella », « ce qu'il est obligé de faire est assez pitoyable […] On pourrait l'attaquer pour diffamation. Je n'ai jamais donné un sou à quiconque », a martelé Éric Zemmour.