Comment déterminer ce qui serait digne d’être sauvegardé et transmis, et plus précisément comment interpréter ce que revêt la notion de ce qu’on nomme le patrimoine culturel ?
C’est la question que soulève la vente prochaine – le 19 octobre chez Sotheby’s à New York – d’un ouvrage hébraïque médiéval, « l’un des plus anciens livres de prières illustrés jamais mis aux enchères dans le monde », d’après la maison de ventes. Son estimation ? Entre 4 et 6 millions de dollars.