"Nous avions annoncé une abstention record : tout part de là" (BriceTeinturier)

Olivier Véran : "Ce que disent les scientifiques, c'est que si nous avions une vague épidémie forte, le fait de fermer tous les lieux pour tout le monde n'aurait pas plus d'impact que de les fermer pour les seules personnes non vaccinées."

"C'est une abstention sans une once de culpabilité" (Brice Teinturier, Ipsos)

Jean Castex : "Là où nous avons fait des progrès, c'est que lors de la première vague, c'est que nous avions des indicateurs rustiques et nationaux. Nous avons su nous doter d'outils territorialisés, et nous avons fait confiance aux acteurs de terrain."

Jean-Michel Blanquer : "La remontée des cas de contamination après la rentrée est un des scénarios possibles. Nous avons un handicap supplémentaire, le variant delta, mais un atout supplémentaire, le vaccin, que nous n'avions pas auparavant."

"Il ne faut pas mélanger la question du Brexit et de la campagne de vaccination. Nous aurions eu le même programme même si nous avions été dans l’Union européenne" (Tony Blair)

Céline Alvarez : "En travaillant avec 750 enseignants, nous n'avions aucun moyen supplémentaire et pourtant nous avons eu les mêmes résultats"

Alain Mabanckou, auteur de "Dictionnaire enjoué des cultures africaines" : "La France était tellement empressée de faire de nous des objets de la culture française, qu'on a oublié que nous avions aussi des âmes et des racines"

"Nous mettrons deux ans avant de retrouver le niveau de développement économique que nous avions avant la crise" (Bruno Le Maire)

Jean Castex : "Certes nous avons des indicateurs qui ont conduit à classer en rouge le territoire, mais surtout nous avions à Marseille un taux de pénétration de l'épidémie particulièrement élevé chez les personnes âgées."

Florence Parly : "La dette, c'est la contrepartie des aides massives que nous avons injectées dans l'économie pour que les entreprises tiennent, pour que les emplois ne disparaissent pas. Nous n'avions pas le choix."

Dominique Schelcher, PDG de Système U sur la loi alimentation : "Nous avons accepté une certaine hausse de prix quand nous avions la certitude que ça allait rejaillir dans la cour de la ferme pour les agriculteurs".

Karine Lacombe : "Fin juillet, nous avons repris les cellules de crises que nous avions interrompues en juillet grâce à la meilleure situation épidémique. Je ne dirais pas que l'hôpital est en crise, mais on est vigilants sur l'évolution de la situation."

Christophe Castaner : "Dès 2017, nous avions des personnalités politiques et médiatiques puissantes, qui venaient plutôt de droite"

Après l'attaque de la rue Nicolas Appert, ex-siège de Charlie Hebdo : "Nous n'avions pas connaissance de menaces réelles, caractérisées, sur ce site"(Laurent Nuñez)

Christian Jacob : "Je reproche au président de la République d'avoir perdu le poids politique que nous avions en Europe"

"Nous avions créé la possibilité de paix en Irlande du Nord mais c'est un pays fragile, c'est nécessaire d'essayer de résoudre le problème" (Tony Blair)

Agnès Buzyn : "Je trouvais ça inapproprié de continuer à faire de la politique sur une période où nous avions besoin d'union nationale"

Alain Juppé : "Les essais nucléaires, c'était une décision courageuse de Jacques Chirac. Nous avions besoin d'une dernière campagne d'essais avant de basculer dans la simulation"

Olivier Faure, Premier secrétaire du PS : "évoque un plan climat proposé par le PS, rejeté par le gouvernement : "Nous avions un plan pour que l'ensemble du parc énergétique soit rénové en 10 ans""

Lutter contre la haine en ligne : "Nous avions des moyens juridiques" d'agir avant le meurtre de Samuel Paty (Patrice Spinosi)

Alexis Corbière sur son statut d'auto-entrepreneur : "Il fallait un statut précaire parce que nous n'avions pas eu les financements"

Bernard Cazeneuve, ex-Premier ministre : "Twitter, c'est l'usage de la phrase brève au service des idées courtes. Une grande partie de la communication politique se fait par Twitter : cela conduit à une violence politique que nous n'avions pas connue"

Jean-Dominique Sénard, président du groupe Renault : "Les chiffres ne sont pas dramatiquement mauvais. On s’est plutôt bien battu sur le plan commercial. Mais la rentabilité de cet ensemble est légèrement inférieure à ce que nous avions anticipé."

Boris Vallaud : "Dès le 16 avril, nous avions proposé une prime de 1000 euros pour les auxiliaires de vie. Notre proposition avait été refusée par le gouvernement et la majorité"

Paul Moreira : "Travailler pour Netflix, c'est travailler avec un budget multiplié par cinq, nous avions autant de matériel que pour un tournage de cinéma."

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