Stéphane Plaza revient avec émotion sur l’enlèvement et la séquestration de la directrice de son agence.
  • il y a 5 ans
Stéphane Plaza revient avec émotion sur l’enlèvement et la séquestration de la directrice de son agence.

Début mars, une directrice de l’agence Stéphane Plaza d’Auxerre avait été enlevée et violée par un faux client, après la visite d’un appartement à Vernoy (Yonne). Un mois après le drame, Stéphane Plaza, très ému, a donné quelques nouvelles de son employée dans une interview à « Femme Actuelle ».

L’affaire avait ému toute la région. Vendredi 1er mars, la directrice d’une agence immobilière du réseau Stéphane Plaza d’Auxerre (Yonne) avait été enlevée, violée et séquestrée après avoir fait visiter une maison à un prétendu client, comme le rapportait L’Yonne Républicaine.

Sous la menace d’une arme, la jeune femme avait été contrainte de suivre son agresseur jusqu’à Blois (Loir-et-Cher). Après une nuit d’horreur, la victime avait été relâchée le lendemain matin, sur le parking de la gare de Blois.

Un suspect interpellé
L’agresseur présumé, âgé de 50 ans, a été interpellé mardi 5 mars. Il a été mis en examen pour « enlèvement et séquestration » et « viol sous la menace d’une arme ».

Quelques jours après le drame, Stéphane Plaza lui-même avait fait part de son soutien à la victime : « Aucun mot ne peut exprimer ce que je ressens aujourd’hui, Manuella je suis de tout cœur avec toi et ta famille », avait écrit l’animateur dans un message publié sur Instagram.

Stéphane Plaza sous le choc
Jeudi 28 mars, le spécialiste de l’immobilier a donné quelques nouvelles de sa consœur dans une interview à Femme Actuelle. Très marqué par cette affaire, Stéphane Plaza explique avoir du mal à exercer son métier sans repenser à ce drame. « Évidemment, dès que je rentre quelque part, j’ai une pensée pour elle tout le temps, confie l’animateur de 48 ans. Même d’en parler j’ai beaucoup de mal, mais j’essaie de lui apporter mon soutien et tout le groupe essaie de lui apporter son soutien. »

Stéphane Plaza affirme être en contact quotidien avec la victime, par le biais de son mari. De son côté, la directrice d’agence peut compter sur le soutien unanime de la communauté de l’immobilier. Elle a été prise en charge par l’association départementale d’aide aux victimes ADAVIRS.
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