Conso - Pain… pas perdu !
- il y a 5 ans
Chronqueuse : Isabelle Martinet
Pain revalorisé
Même si les invendus sont donnés aux associations, comme l’impose la loi, les boulangeries ont tout de même en moyenne 10 % de pertes de pain. Une nouvelle machine anti-gaspi permet le zéro déchet en concassant les pains invendus pour en faire une farine de seconde main. C’est une sorte de chapelure que le boulanger va intégrer pour moitié dans la composition d’un nouveau pain. Pour réaliser ce pain « Phœnix » (renaissant de ses cendres), le boulanger sèche le pain dur au four pour développer les arômes, le broie, le mélange à de la farine traditionnelle, hydrate et cuit la préparation. Ce pain très digeste se conserve plus longtemps et l’innovation plait beaucoup aux consommateurs.
Pour l’instant une vingtaine de boulangeries utilisent cette toute nouvelle machine, mais le principe devrait intéresser les 30 000 boulangeries de France car le potentiel est important : cette farine de seconde main permet aussi de réaliser des biscuits et autres produits à base de farine.
Quant à l’inventeur de cette machine, il travaille déjà sur la réalisation de buffets « écoresponsables » et fait du conseil en anti-gaspillage alimentaire. Son projet a même été sélectionné dans le cadre du budget participatif de la ville de Paris.
Plus d’informations :http://boulangerieraphaelle.fr/
Pain revalorisé
Même si les invendus sont donnés aux associations, comme l’impose la loi, les boulangeries ont tout de même en moyenne 10 % de pertes de pain. Une nouvelle machine anti-gaspi permet le zéro déchet en concassant les pains invendus pour en faire une farine de seconde main. C’est une sorte de chapelure que le boulanger va intégrer pour moitié dans la composition d’un nouveau pain. Pour réaliser ce pain « Phœnix » (renaissant de ses cendres), le boulanger sèche le pain dur au four pour développer les arômes, le broie, le mélange à de la farine traditionnelle, hydrate et cuit la préparation. Ce pain très digeste se conserve plus longtemps et l’innovation plait beaucoup aux consommateurs.
Pour l’instant une vingtaine de boulangeries utilisent cette toute nouvelle machine, mais le principe devrait intéresser les 30 000 boulangeries de France car le potentiel est important : cette farine de seconde main permet aussi de réaliser des biscuits et autres produits à base de farine.
Quant à l’inventeur de cette machine, il travaille déjà sur la réalisation de buffets « écoresponsables » et fait du conseil en anti-gaspillage alimentaire. Son projet a même été sélectionné dans le cadre du budget participatif de la ville de Paris.
Plus d’informations :http://boulangerieraphaelle.fr/