Au sujet du ras-le-bol fiscal qui semble gagner du terrain, il affirme : «Je crois qu’il y a trop d’impôts. En l’occurrence, le prélèvement fiscal a baissé entre 2017 et 2018 de 0,6% (…) Mais sur l’essence, tous les économistes disent que la mesure de taxation fiscale est la meilleure ! Il y a une très bonne élasticité entre l’augmentation de l’impôt et la réduction de la consommation. Simplement, elle n’est pas immédiate. Au bout d’un an, deux ans, les gens s’adaptent».