Marc Lazar : "Ces mouvements [populistes] imposent leurs thématiques au point de transformer la démocratie autour d'une idée simple : la souveraineté illimité du peuple"

Marc Lazar : "On a une durabilité qui n'a jamais existé dans le passé des mouvements populistes : la peuplecratie n'a pas encore gagné, elle est une potentialité, une dynamique, un défi"

Jean-Yves Camus : "Je ne vois pas comment l'ultradroite et l'ultragauche pourraient faire chemin ensemble (...) mais il y a un tronc commun aux deux mouvements : les gilets jaunes demandent une prolifération de droits".

Dominique Reynié : "Le problème avec les populistes au pouvoir, c'est qu'on ne sait pas très bien s'ils sauront rendre le pouvoir en cas d'échec"

Ismaël Emelien :" C'est plus difficile pour les progressistes, que pour les populistes, d'exercer le pouvoir"

Daniel Cohn-Bendit : "En Europe les populistes reculent sur la sortie de l'UE"

Pascal Canfin : “L’extrême-droite est climatosceptique, les deux plus grands climatosceptiques aux responsabilités aujourd’hui sont des populistes d’extrême-droite”

Pierre-Henri Tavoillot : "La guerre de Sécession est une blessure qui n'est pas encore totalement guérie et qui ressurgit parfois. Les populistes considèrent qu'il y a un peuple pur et que ce peuple est scindé en deux."

François Ruffin, député LFI de la Somme : "Je ne suis pas sûr qu'il y ait un clivage à LFI entre populistes et de gauche. Mois je suis populiste de gauche."

Les "prophètes de malheur" et "populistes verts" contre-attaquent ! Camille passe au vert

François-Xavier Bellamy : "Ce qui me paraît décisif c’est de casser ce faux débat entre populistes et progressistes."

Marc Lazar : "La télévision de Berlusconi, ça allait du haut vers le bas ; aujourd'hui, ça part de la société et ça monte vers le haut : les populistes ont compris les premiers cette transformation technologique"

Ismaël Emelien : "C'est plus difficile pour les progressistes, que pour les populistes, d'exercer le pouvoir"

Thierry Solère sur l'ouragan Irma : "Qu'il y ait de la colère sur place je le comprends, mais les populistes parisiens..."

Pierre Rosanvallon etles gilets jaunes : "le mouvement participe de ce moment populiste"

Pierre Rosanvallon, historien et sociologue : "Il y a deux dimensions dans le social aujourd'hui : l'une, traditionnelle, avec des manifestations et des syndicats, l'autre, un mouvement existentiel comme celui des "gilets jaunes"."

Pierre Rosanvallon : "Le rejet du président de la République a été la revendication et l'expression la plus violente de ce mouvement" des gilets jaunes.

Jean-Louis Bourlanges : "Le pays voit se dresser, à droite comme à gauche, des mouvements séparatistes, sécessionnistes. Le zemmourisme, c'est le wokisme à l'envers."

Pap Ndiaye : "La notion d'islamo-gauchsime désignait des formes de dérive d'une gauche très pro-palestinienne vers l'antisémitisme. Elle a été reprise par l'extrême-droite pour qualifier tous les mouvements antiracistess."

Edgar Morin sur les manifestations en France : "Tant qu'il n'y a pas une pensée, une organisation cohérente, ce sont des mouvements nécessaires de colère, mais qui ne pourront pas aboutir"

Pierre Rosanvallon dénonce "la persistance d'un antisémitisme latent dans la société française"

USE 2023 - Discussion avec Rosanvallon

Olivier Véran répond à Pierre Rosanvallon sur la « crise démocratique »

Le pouvoir face à la rue : le grand face-à-face avec Pierre Rosanvallon

Pierre Rosanvallon : "L'élection présidentielle va se jouer sur le sentiment de proximité"

Pierre Rosanvallon : « La sensibilité aux épreuves a changé »

Marie Duru-Bellat et Passeron sont les invités du 13h

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