Ali Angel - Conte de Fées / zouk rétro
- il y a 13 ans
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parcours d'un démon du zouk.
Né au Mexique, d'un père Vénézuelien et d'une mère Martiniquaise, Alirio Rojas-Fanon alias Ali Angel, était destiné à une carrière scientifique en Martinique malgré des débuts précoces dans la musique.
Amy J : Si on se fie à ton cursus, je m'attendais à voir un petit chauve à lunettes, que s'est-il passé ?
Ali Angel : J'ai préparé un DEUG A (maths/physiques) en Guadeloupe après avoir passé un Bac scientifique, qui s'est très vite transformé en DEUG “Absent”vu que je me suis retrouvé très vite propulsé dans les studios où j'ai rencontré David et Corinne, Jean-Michel ROTIN. C'était en 1994, “Théorem”existait déjà depuis 2 ans. Philippe MARCIAS, mon mentor, était le patron de PM Studio. C'est lui qui m'a permis d'apprendre le métier et d'être « ingénieur » dans le studio, même si à l'époque je n'y connaissais rien. C'est là que j'ai donc réalisé le premier album de « Théorem » que j'ai enregistré à Paris.
Amy J : Parle-nous de tes premiers pas dans la musique.
Ali Angel : Je suis arrivé en Martinique à l'âge de 6 ans. Je ne parlais pas français mais je fréquentais une petite école très sympa, qui se trouvait non loin de chez ma grand-mère. Je ne connaissais pas encore la culture antillaise et je ne comprenais pas pourquoi les garçons de l'école passaient leur temps à taper sur de grosses boîtes de conserve qu'on utilise pour les desserts ! En fait, ils faisaient du tambour pendant les récrés et les pauses déjeuner. J'ai voulu apprendre à y jouer et du coup, ma mère, m'a inscrit à des cours de percussions au SERMAC avec Alfred VARASSE. Puis, j'ai commencé à jouer du « gwo ka » sur les plages. J'ai d'ailleurs eu l'occasion de jouer de la musique traditionnelle avec Dédé ST PRIX et Léon STE ROSE à l'âge de 12 ans environ.
parcours d'un démon du zouk.
Né au Mexique, d'un père Vénézuelien et d'une mère Martiniquaise, Alirio Rojas-Fanon alias Ali Angel, était destiné à une carrière scientifique en Martinique malgré des débuts précoces dans la musique.
Amy J : Si on se fie à ton cursus, je m'attendais à voir un petit chauve à lunettes, que s'est-il passé ?
Ali Angel : J'ai préparé un DEUG A (maths/physiques) en Guadeloupe après avoir passé un Bac scientifique, qui s'est très vite transformé en DEUG “Absent”vu que je me suis retrouvé très vite propulsé dans les studios où j'ai rencontré David et Corinne, Jean-Michel ROTIN. C'était en 1994, “Théorem”existait déjà depuis 2 ans. Philippe MARCIAS, mon mentor, était le patron de PM Studio. C'est lui qui m'a permis d'apprendre le métier et d'être « ingénieur » dans le studio, même si à l'époque je n'y connaissais rien. C'est là que j'ai donc réalisé le premier album de « Théorem » que j'ai enregistré à Paris.
Amy J : Parle-nous de tes premiers pas dans la musique.
Ali Angel : Je suis arrivé en Martinique à l'âge de 6 ans. Je ne parlais pas français mais je fréquentais une petite école très sympa, qui se trouvait non loin de chez ma grand-mère. Je ne connaissais pas encore la culture antillaise et je ne comprenais pas pourquoi les garçons de l'école passaient leur temps à taper sur de grosses boîtes de conserve qu'on utilise pour les desserts ! En fait, ils faisaient du tambour pendant les récrés et les pauses déjeuner. J'ai voulu apprendre à y jouer et du coup, ma mère, m'a inscrit à des cours de percussions au SERMAC avec Alfred VARASSE. Puis, j'ai commencé à jouer du « gwo ka » sur les plages. J'ai d'ailleurs eu l'occasion de jouer de la musique traditionnelle avec Dédé ST PRIX et Léon STE ROSE à l'âge de 12 ans environ.