Législative partielle à Paris : Michel Barnier investi par LR dans la 2e circonscription

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hier

Les Vraies Voix avec Pierre-Yves Bournazel, conseiller de Paris, ancien député, candidat aux prochaines élections municipales et secrétaire général délégué aux élections au sein du parti Horizons.

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##LE_COUP_DE_PROJECTEUR_DES_VRAIES_VOIX-2025-07-28##

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00:00Les Vraies Voix Sud Radio, le code projecteur des Vraies Voix.

00:04Ce lundi, la Commission Nationale d'Investiture doit désigner son candidat pour la législative partielle dans la deuxième circonscription de Paris.

00:11Deux figures s'affrontent. Michel Barnier, soutenu par la direction du parti, et Rachida Dati, revenu en force après son passage au gouvernement.

00:19Entre ambition personnelle et règlement de compte, le duel tourne à la querelle stratégique.

00:24Dati, qui vise toujours la mairie de Paris, accuse Barnier d'être instrumentalisé pour l'écarter.

00:28Barnier, lui, veut montrer qu'il pèse encore, quitte à brouiller les cartes à droite.

00:32Et pendant que le LR, ce que LR plutôt, se déchire, la gauche, elle, rêve d'une nouvelle percée dans cette circonscription jusque-là imprenable.

00:40Si jamais les Parisiens venaient à se lasser de la gauche à la tête de l'hôtel de ville, la droite se réinstallerait dans le siège des Chirac et autres Tibéries.

00:50Et qui, à ce moment-là, pour assurer le rôle ?

00:53Sans doute Rachida Dati, rattrapée par la justice et le macronisme, la plus fidèle opposante d'Indy Nalgo, parisienne du riche 7e arrondissement.

01:01Ou bien l'ancêtre du parti gaulliste, fidèle Chiracien, premier ministre malheureux, arrivé en parachute depuis sa Savoie olympique, Michel Barnier.

01:10Et nous vous posons la question, lequel de ces deux candidats vous semble le plus légitime pour LR ?

01:15Pas pour la droite, parce qu'on aura un centriste de droite juste après.

01:19Donc à la question 1, Michel Barnier, 2, Rachida Dati, 3, aucun des deux.

01:24Votre choix pour l'instant ?

01:25Alors bon, aucun des deux à 73%, on s'en doutait un petit peu.

01:29Mais là où c'est intéressant, c'est la médaille d'argent qui vaut peut-être quittus.

01:33Et bien vous dites 17% pour Dati et 10% pour Barnier, continuez de donner votre avis sur le compte X de Sud Radio.

01:40Et pour en parler, nous sommes avec Pierre-Yves Bournazel qui est conseiller de Paris, ancien député, candidat aux prochaines élections municipales

01:46et secrétaire général délégué aux élections au sein du parti Horizon.

01:50Alors Pierre-Yves Bournazel, vous avez commencé à nous répondre que sur nos trois choix qui sont Michel Barnier, Rachida Dati,

01:56et bien le troisième étant aucun des deux, c'est bien votre choix.

01:59Moi j'ai une petite question comme ça qui me taraude moi depuis ce matin, c'est que que fait Michel Barnier là-dedans ?

02:05Parce que comme on vient de le dire, il vient quand même de Savoie.

02:09Est-ce qu'il y habite encore ? On ne sait pas trop, mais en tout cas on se demande ce qu'il vient faire dans la capitale quoi, un petit peu là en l'occurrence.

02:17Ou alors peut-être qu'il se sert de son parachutage en tant que court premier ministre

02:22pour peut-être se créer une posture ou une candidature future à je ne sais quoi.

02:28Qu'est-ce que vous en pensez Pierre-Yves ?

02:30Écoutez, je voudrais distinguer l'élection législative partielle pour élire le député ou la députée de la deuxième circonscription de Paris.

02:39En septembre probablement, et l'élection municipale.

02:42Oui, mais vous êtes bien d'accord que ça influence quand même ?

02:45Non, je ne crois pas parce que je ne pense pas que cette circonscription soit représentative de la réalité sociologique de Paris

02:51qui est une ville très diverse.

02:53Donc on va prendre les choses une par une.

02:55Les élections législatives, il y a une élection partielle, puisque le député sortant a été déclaré inéligible par le Conseil constitutionnel,

03:03il y aura une nouvelle élection.

03:04Le parti LR, qui n'est pas mon parti, se réunit ce soir et a décidé, me semble-t-il, de soutenir Michel Barnier comme candidat à LR.

03:14Rachida Dati, par ailleurs, membre de LR, elle avait soutenu Laurent Wauquiez à la présidence de LR.

03:18La question est plutôt à Mme Dati, est-ce qu'elle accepte les règles du jeu de son parti, se soumet à la décision de Bruno Rotaillot ?

03:24Ça n'en prend pas le chemin, puisqu'elle a fait une déclaration en disant que coûte que coûte, elle se présenterait, y compris.

03:29Elle sera candidate quoi qu'il arrive.

03:31À un moment-là, il y aura deux candidats LR, et c'est à LR et à M. Rotaillot de remettre éventuellement de l'ordre dans son parti.

03:39Mais je ne suis pas du parti LR, donc je ne mêle pas des LR.

03:41Ensuite, il y aura une élection municipale en mars prochain.

03:44Et je vais vous dire une chose.

03:46N'oubliez pas que dans l'histoire électorale de Paris, c'est jamais ceux qui sont en tête des sondages,

03:52qui sont des grandes figures nationales qui l'emportent.

03:54Jamais.

03:55Jacques Chirac a même gagné en 1977 en frondeur, contre le candidat favori qui était le candidat de Valéry Giscard d'Estaing, Michel Dornano.

04:01Ça ne rajeunit pas.

04:02En 2001, personne ne pensait qu'il emporterait d'abord à gauche, dans le cadre des primaires.

04:07Il y avait Dominique Froscan, puis Jacqueline qui se voyait maire de Paris.

04:10Delannoy a été désigné candidat du parti socialiste.

04:14Il était surnommé Petite Chose et il a battu Philippe Seguin.

04:17Anne Hidalgo a été élue en 2014 face à Nathalie Cossus-Comorisé.

04:21Et même impopulaire déjà en 2020, elle a été élue face à Rachida Detsy.

04:25Parce qu'à la fin, les Parisiens, ils attendent un maire.

04:28Ils n'attendent pas une star.

04:29Ils n'attendent pas qu'on fasse de la com', de la promotion, qu'on utilise Paris comme un marchepied.

04:35Ils veulent un maire et une équipe municipale qui s'occupent d'eux, de remettre un état de marche.

04:39Alors là, Pierre-Yves Bournazel, justement, là vous tracez un portrait qui est un peu le vôtre.

04:46Mais enfin, vous auriez tort de ne pas le faire puisque vous êtes candidat.

04:48Bien sûr.

04:49Évidemment, mais alors que nos deux vrais voix vont prendre la parole et vont sans doute vous poser des questions et vont vous contredire.

04:55Je voudrais juste vous poser une question assez rapide quand même, en toute honnêteté, entre vous et nous.

05:00Mais ce qui se passe pour Rachida Detsy et le parcours de Michel Barnier, ça fait quand même 20 000 fois votre jeu.

05:07Vous qui allez être sans doute le candidat d'horizon, donc du courant Édouard Philippe.

05:12Et vous qui êtes parisien de souche.

05:14Vous buvez du petit lait.

05:16Non, je ne bois pas du petit lait parce que pour moi, la politique, ce n'est pas Dallas et que j'en ai un peu marre depuis 17 ans que je suis maintenant élu à Paris,

05:25de voir ces feuilletons de l'opposition municipale avec des personnalités qui s'entre-déchirent en permanence.

05:31On a envie un peu de sérénité, on a envie d'apaisement, on a envie qu'on parle de notre ville et on a envie qu'on parle des Parisiens.

05:37On a envie de mettre en ordre de marche nos finances qui sont tout rouges à Paris.

05:41On a envie de remettre en ordre de marche notre espace public qui est chaotique, c'est la pagaille.

05:46Et je remettrai de l'ordre dans cet espace public, la propreté, les travaux, la sécurité, la tranquillité.

05:51On a envie de prendre soin de Paris, des Parisiens.

05:54Et on ne veut pas ce spectacle permanent.

05:56La politique, ce n'est pas un show, ce n'est pas un cabaret.

05:58C'est rigolo de temps en temps, mais là, on s'approche d'une action qui est essentielle.

06:01Et là, il va falloir être sérieux, il va falloir être légitime.

06:04Il va falloir avoir de l'énergie, de l'enthousiasme.

06:07Et on va amener un bon projet, une vision nouvelle de la ville.

06:10Et on va mener cette campagne pour rassembler.

06:12Parce que la vraie question, c'est de savoir si le candidat sera capable de rassembler des hommes et des femmes

06:18venus de sensibilités différentes pour Paris et rien que pour Paris.

06:22Parce que tout le reste, toute instrumentalisation nationale fera le jeu de la gauche.

06:26parce que les Parisiens, à la fin, votent pour celui ou celle qui est capable de rassembler et de faire pour les Parisiens.

06:33Pas pour des courriels d'appareil.

06:36Pierre-Yves Bournazel, vous faites comme Anne Hidalgo, vous ne faites jamais de fin dans les phrases.

06:40Attendez, parce qu'on a nos vrais...

06:42Ne faites pas comme Anne Hidalgo, sinon ça vous...

06:45Non, non, nous sommes bien différents.

06:46Bon, d'accord.

06:47Je vous confirme.

06:48On fait tourner.

06:49Alors, pour rappel, Samuel Botton, Rachida Dati, elle a été exclue des Républicains en 2024

06:54parce qu'elle a été débauchée par Gabriel Attal pour devenir ministre de la Culture.

06:58Depuis, elle a repris sa carte.

06:59Tiens, tiens.

07:01Alors, finalement, elle a aussi soutenu Laurent Wauquiez, ce qui pose un sérieux problème

07:04en sachant qu'il a perdu à 25% devant Bruno Retailleau.

07:10Bon, c'était logique que M. Retailleau soutienne le candidat Wauquiez, on va dire,

07:15même si ce n'est pas lui directement.

07:16Tout à fait, mais Rachida Dati est par nature, sans mauvais jeu de mots, une insoumise.

07:20Personne ne lui dicte sa conduite, elle a toujours agi à l'instant,

07:24parfois avec des dossiers sur les uns et les autres, ce qui l'a mené assez loin.

07:28Et sur cette question-là, Retailleau, effectivement, je pense qu'il veut renvoyer une faveur à Michel Barnier

07:33qui a pris sur lui d'aller à l'abattoir en se faisant nommer Premier ministre,

07:38de tenir ce qu'il a tenu, il pensait peut-être plus,

07:40mais aujourd'hui, il y a peut-être une volonté de le remettre dans le jeu

07:42parce que Retailleau, lui aussi, il est dans l'étape d'après.

07:44Et là, on ne parle pas de municipal, on parle de présidentiel.

07:47Et je pense qu'à ce moment-là, avoir un Michel Barnier à ses côtés, ça sera une bonne chose.

07:51Sur la question de cette législative partielle, moi, tout me choque.

07:55C'est-à-dire, d'un côté, on a Rachida Dati qui est censée être ministre de la Culture,

07:58mais elle est ministre à tiers temps, c'est-à-dire un tiers à la Culture,

08:01un tiers à la mairie du 7e et un tiers sur tout ce qui reste.

08:04Donc, un peu de mairie de Paris, un peu de législative partielle.

08:06Et on a Michel Barnier qui a été premier ministre, qui a eu droit à une motion de censure,

08:12qui veut revenir dans ce jeu politique, pourquoi pas ?

08:15Mais aujourd'hui, je ne suis pas sûr que ces deux candidatures soient souhaitables.

08:18Je pense plutôt que la droite devrait choisir la troisième option.

08:21Et je ne sais pas encore ce qu'elle est.

08:23Aucun des deux, donc, c'était la troisième ?

08:25Aucun des deux, parce que, de toute façon, aujourd'hui, sur ce qui a été dit,

08:28effectivement, Michel Barnier a été choisi.

08:30Rachida Dati a annoncé qu'elle pourrait y aller en dissidence,

08:33et je pense qu'elle le fera.

08:34Donc, forcément, à la fin, il y aura des pots cassés pour tout le monde.

08:37Mais franchement, vous n'êtes pas très loin non plus, Pierre-Yves Bournazel, des LR, vous, Horizon.

08:44Vous n'essayez pas de draguer un peu vos amis qui sont à votre droite pour leur dire

08:49« Et si le troisième candidat, ceux dont on parle, c'est-à-dire aucun des deux, donc peut-être vous,

08:54ça ne vous donne pas cette idée, on vous parle, en fait, on vous demande votre stratégie,

08:59que vous n'allez certainement pas nous révéler maintenant, mais quand même, j'essaye. »

09:03En tout cas, je sais travailler que les autres, puisqu'aujourd'hui, au Conseil de Paris,

09:06je suis dans un groupe d'opposition où il y a des élus LR, des élus Renaissance,

09:12des élus indépendants ou des élus Horizon, comme moi.

09:16Et d'ailleurs, dans cette circonscription, qui est le septième, sixième et cinquième rensement,

09:20vous avez une mère Horizon, dans cette circonscription, la mère du cinquième,

09:23l'excellente Florence Berthoud, qui est une très bonne mère d'arrondissement

09:26et qui aura vocation peut-être à être, à un moment donné, un point de rassemblement,

09:31de convergence et d'apaisement.

09:32Michel Barnier est un homme de très grande qualité, ancien Premier ministre,

09:36ancien commissaire européen, il a de l'expérience.

09:39Maintenant, il souhaite reprendre le chemin de la politique, c'est son droit,

09:42et c'est LR qui a décidé de le désigner.

09:44Rachida Letty, maire du septième, je ne conteste pas sa légitimité,

09:48mais je ne comprends pas sa stratégie, justement.

09:51Elle a dit qu'elle voulait être candidate à la mairie de Paris en mars,

09:54et entre-temps, elle voudrait devenir députée en septembre ou octobre,

09:57alors que les cumuls sont interdits par la loi entre la fonction de députée et la fonction de maire.

10:02Tout en étant ministre, en plus, tout en étant ministre.

10:04Tout en étant ministre, président de groupe au Conseil de Paris,

10:06déjà maire du septième arrondissement de Paris.

10:08Finalement, Jean Dorédo, ce que dit aussi,

10:12il y a eu une réunion hier soir à Paris entre Dati et Barnier et Bruno Retailleau,

10:16le but c'est d'apaiser les tensions et surtout d'éviter une guerre fratricide,

10:19c'est vrai que ça ne nous ferait pas du bien qu'ils se déchirent la tête comme ça en public, à nouveau.

10:23Ça ne nous ferait pas du bien, maintenant, c'est un fait,

10:26quand j'écoute attentivement les échanges des uns des autres.

10:29Bon d'abord, il faut quand même bien se souvenir que pour le prochain scrutin,

10:32ça va être très spécial parce que ça a été enterriné,

10:34le mode de scrutin va changer pour la ville de Paris,

10:37c'est la même chose à Louis Marseille,

10:39ça va être le suffrage universel direct,

10:41et pour rappel, j'entendais Pierre-Yves Brunazel expliquer

10:44qu'Anne Hidalgo l'avait emporté face à Nathalie Kosciusko-Morizet,

10:47en termes de nombre de voix, c'est Kosciusko-Morizet qui avait gagné.

10:51Et après, le jeu mécanique des alliances et des élections

10:55par précisément arrondissement,

10:57et bien c'est ça qui a mis Paris dans la situation actuelle

11:01pendant de nombreux mandats successifs.

11:04Et puis, oui, c'est vrai que pour les personnes qui nous écoutent,

11:08qui ne connaissent pas forcément par cœur les circonscriptions parisiennes,

11:12il faut bien comprendre que la Barnier qui vient d'être investie,

11:15donc ça y est, officiellement, par LR,

11:17pour cette deuxième circonscription au législatif partiel,

11:20il est sûr d'être élu.

11:21C'est un coin de Paris qui vote à droite depuis toujours,

11:24donc c'est vraiment un ticket qui lui est accordé

11:27pour un job de député.

11:29Et ça, c'est vrai que...

11:31Mais il fait le rôle de la voiture Bélier,

11:33c'est-à-dire que comme là, il n'est plus parachuté,

11:35il est installé,

11:36et donc c'est, du coup, le premier choix

11:38au détriment de Rachida Dati.

11:40Alors pour le montagnard, effectivement, qu'il y ait,

11:43peut-être que les Béliers, les Bouquetins et autres mammifères...

11:46J'en ai d'autres, des métaphores.

11:49Maintenant, c'est vrai que c'est une image,

11:51pardon de le rappeler,

11:52qui ne grandit pas les politiques,

11:54me semble-t-il, pour le grand public,

11:56parce que Judith Bélier l'a dit très justement tout à l'heure,

11:59on se demande qu'est-ce qu'il vient...

12:01Qu'est-ce qu'il vient faire là ?

12:03Enfin, c'est vrai que ce monsieur,

12:04pour les plus anciens,

12:05c'était monsieur Gio d'Alberville,

12:08il y a très très longtemps,

12:09avec Jean-Claude Kili.

12:11Enfin, moi, je suis parisienne,

12:12sincèrement, on ne donne pas tellement son opinion d'habitude

12:14quand on est animateur,

12:15mais je le dis, moi, je suis parisienne,

12:16je me demande ce qu'il vient faire là-dedans.

12:18Si je peux me permettre,

12:19moi, j'ai un élément de réponse là-dessus.

12:21On est sur une législative partielle,

12:23donc hors du temps des élections législatives

12:25qu'on a connues,

12:26et qui va canaliser la tension,

12:28de surcroît, parce qu'elle est à Paris.

12:30Et quand vous partez sur une campagne de ce type,

12:32vous avez besoin...

12:33Enfin, l'imaginaire collectif laisse penser

12:35qu'on a besoin d'un visage fort.

12:37Aujourd'hui, Barnier et Dati

12:38sont ces deux visages forts pour LR.

12:40Oui, alors je ne veux surtout pas...

12:41Messieurs, messieurs,

12:42la petite très rapide.

12:43Je vous le permets, allez-y.

12:44Je ne suis pas sûr qu'en termes d'imaginaire collectif,

12:46monsieur Michel Barnier soit l'homme de la situation.

12:47On voulait la laisser à Pierre-Yves Bournazel.

12:49Pierre-Yves Bournazel, vous avez la conclusion,

12:51vous avez peu de temps,

12:52mais allez-y, on vous écoute.

12:54Écoutez, moi je suis pour la paix des ménages.

12:56Je sais bien que les LR

12:57trouveront le chemin du rassemblement

12:59dans cette circonscription.

13:01Il faut que cette circonscription reste dans le giron,

13:03je dirais, du centre et de la droite.

13:05Et puis demain, il faut préparer Paris.

13:07Et il ne faut pas oublier une chose,

13:09et je prêche pour ma paroisse,

13:10mais c'était bien à moi de le faire,

13:11je crois que c'est en étant capable

13:13de porter un bon projet,

13:15et en étant capable de rassembler

13:16et d'apaiser plutôt que d'exciter.

13:18Et n'oublions pas l'histoire politique parisienne.

13:20Les Parisiens, à la fin, veulent un maire

13:22à temps plein, pour six ans,

13:24qui s'occupe d'eux chaque jour

13:26et de rien d'autre.

13:27Et c'est peut-être lui le aucun des deux,

13:30finalement.

13:31Voilà.

13:32Allez, Pierre-Yves Bournazel,

13:33merci d'avoir participé.

13:34Merci, Pierre-Yves Bournazel.

13:36On m'appelle que vous êtes conseiller de Paris,

13:37vous êtes ancien député,

13:38candidat aux prochaines élections municipales

13:40et secrétaire général délégué aux élections

13:42du parti Horizon.

13:43Merci aussi à nos vraies voix du jour.

13:45Jean Dorido, vous êtes docteur en psychologie,

13:47spécialiste de l'aide au sevrage tabagique.

13:48Merci beaucoup.

13:49Merci à vous, les amis.

13:50Vous êtes venu par ici.

13:51Samuel Bauton, bravo aussi,

13:52expert en communication chez Step Conseil.

13:55Allez, dans un instant,

13:56vous ne manquez pas les vraies voix

13:57du Tour de France de 19h à 20h,

13:59spécial bilan de l'édition 2025.

14:01Et puis cette question,

14:02est-ce que vous avez aimé

14:03le passage à Montmartre ?

14:04C'est une émission présentée,

14:05vous le savez,

14:06par Frédéric Brindal.

14:07Allez, bien vite.

14:08Voilà.

14:09On retrouve la chronique.

14:12Vous me faites barfouiller là.

14:13Les incontournables de l'immobilier

14:15avec Thomas Binet.

14:16Bonsoir Thomas.

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