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Le porte-parole d'Ensemble pour la République Martin Garagnon réagit à la déclaration sur la reconnaissance de la Palestine : «Il n'a jamais été dit que cette reconnaissance d'un état de Palestine équivalait à une reconnaissance du Hamas.»

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Transcription
00:00Sur la déclaration du président de la République, vous avez deux éléments.
00:03Vous avez le texte qu'il a écrit et vous avez la publication de la lettre envoyée à Mahmoud Abbas.
00:07Donc ce sont deux éléments, il faut bien les lire intégralement.
00:10Parce que vous retrouvez exactement les conditions que vous venez d'évoquer,
00:15qui sont toujours actuelles.
00:16À ce stade, le président Emmanuel Macron annonce en septembre
00:20une reconnaissance de l'État de la Palestine.
00:22Vous dites, Mahmoud Abbas, il n'y a pas de projection d'élection en Palestine.
00:27C'est faux, puisque Mahmoud Abbas s'est engagé à la tenue de l'élection en 2020.
00:31Est-ce qu'en septembre, ces conditions auront changé ?
00:36J'aimerais juste vous démontrer point par point.
00:39Mais vous ne pouvez pas démontrer.
00:40Parce qu'en septembre, rien n'aura changé.
00:43Rien n'aura changé en septembre.
00:45Au moment où il sera devant l'Assemblée des Nations Unies,
00:48il dira, je proclame au nom de la France, l'État palestinien,
00:52je reconnais l'État palestinien, rien n'aura changé.
00:55En réalité, le ramasse sera encore là, les otages seront encore dans les tunnels
00:58et le pays ne sera pas désarmé.
01:01Une fois de plus, il y a une confusion qui est faite,
01:06et parfois malheureusement à dessein,
01:08pour instrumentaliser, comme ça se fait de toute façon depuis des années,
01:12par tout le monde ou par tous ceux qui ont un intérêt,
01:14à instrumentaliser pour des raisons de politique intérieure ce conflit.
01:18Il n'a jamais été dit que cette reconnaissance d'un État de Palestine
01:22équivalait à une reconnaissance du ramasse.
01:25Ça a pourtant été pour beaucoup...
01:27Non, mais pourquoi le faire maintenant ?
01:29Puisqu'il met lui-même sur la table des conditions...
01:32Mais les conditions n'ont pas été évacuées d'un revers de main.
01:35Alors pourquoi en septembre, il dit qu'en septembre, ça sera fait ?
01:37Maître Pardot a dit quelque chose, une fois de plus,
01:39qui factuellement est inexact.
01:41Vous avez dit que le ramasse n'a jamais été aussi présent.
01:43Moi, j'ai entendu les propos de l'ambassadeur d'Israël en France,
01:46qui a dit qu'on a décimé le ramasse.
01:48On a tué 21 000 terroristes en armes.
01:50Si le ramasse n'était plus là, les otages seraient là.
01:53C'est simple, c'est mécanique.
01:55Si le ramasse quitte, les otages sont libérés.
01:5850 personnes, monsieur.
02:00Le ramasse n'a jamais été aussi fort parce qu'ils ont réagi
02:02à la déclaration d'Événé Macron.
02:03Évidemment, ils ont réagi, ils ont félicité.
02:05Si vous pouvez faire un communiqué de presse,
02:07ce serait le sujet d'Israël.
02:08Je vais vous dire pire.
02:09Mme Tchal explique que le ramasse n'a jamais été aussi faible que maintenant.
02:12Et de manière générale, les ennemis d'Israël de la région
02:15n'ont jamais été aussi faibles.
02:16Le Hezbollah au Liban, l'Iran, après les frappes justes d'Israël
02:20sur les installations nucléaires iraniennes,
02:23c'est le moment justement pour faire avancer.
02:24A tout à l'heure, Adi.
02:26Sous-titrage Société Radio-Canada
02:30Sous-titrage Société Radio-Canada

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