Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • hier
Rien ne va plus entre Beauvau et Alger. Bruno Retailleau durcit le ton et serre la vis face au refus d'Alger de libérer Boualem Sansal et Christophe Gleizes et de reprendre leurs ressortissants placés sous OQTF. 

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Le ministre de l'Intérieur l'a réaffirmé hier en Vendée, la sécurité des Français passe avant tout.
00:06Dans les centres de rétention administrative, il y a près de 700 ressortissants algériens,
00:11dont certains ont un profil dangereux, dont certains devront sortir,
00:16puisque un centre de rétention, ça n'est pas une prison.
00:19Qu'est-ce qu'on en fait ensuite ?
00:20Il y a une dangerosité, et moi je ne veux pas être tenu pour responsable si demain il y a un second Mulhouse.
00:26Et pour éviter un second Mulhouse, Bruno Rotaillot hausse le ton.
00:30Il restreint les conditions de déplacement en France de plusieurs dignitaires algériens.
00:35Une mesure prise après le refus d'Alger de reprendre 120 personnes sous obligation de quitter le territoire français.
00:42Mais aussi après la délivrance de passeports par Alger à des clandestins.
00:47Des restrictions qui passent mal à Alger.
00:49Dans un communiqué, le ministre algérien des Affaires étrangères a fait savoir
00:54« Cette mesure constitue une atteinte grave au bon fonctionnement de la mission diplomatique algérienne en France ».
01:01Bruno Rotaillot avait prévenu il y a une semaine que la diplomatie des bons sentiments avait échoué
01:07et qu'il fallait changer de ton avec Alger.
01:09« La parole est à l'Université d'Avr.
01:13La parole est à l'Université d'Avr.
01:15La parole est à l'Université d'Avr.

Recommandations