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Reconnaissance d'un État palestinien : «Il ne faudrait pas que la France apparaisse comme le pays des idiots utiles», estime David Lisnard
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00:00
6h, 9h, Europe 1 Matin.
00:03
Bienvenue à tous, 8h15 sur Europe 1, la grande interview nous recevons ce matin.
00:07
David Lissnard, bonjour.
00:09
Bonjour.
00:10
Merci d'être avec nous en direct, maire de Cannes, encarté chez les Républicains.
00:13
Vous disposez de votre propre parti, Nouvelles Énergies.
00:16
Dans un entretien, à nos confrères de l'AFP, vous plaidez pour un accord à droite.
00:20
10 mesures pour redresser le pays en vue de la présidentielle 2027.
00:24
Vous, partisans d'une primaire ouverte à droite, nous allons y revenir.
00:27
Mais tout d'abord, bien sûr, l'actualité du jour.
00:30
Emmanuel Macron va reconnaître les 1 états de Palestine en septembre à New York devant les Nations Unies.
00:36
Alors que des otages sont toujours retenus par le Hamas, qui tient d'une main de fer la bande de Gaza.
00:41
Est-ce que cet engagement vous paraît précipité, David Lissnard ?
00:44
Cet engagement fourvoie tout simplement la France.
00:48
Qu'il y ait l'aspiration à un état palestinien, c'est plus que légitime.
00:53
La position de la France a toujours été la même.
00:55
C'est de chercher une solution à deux états, telles qu'elles s'étaient d'ailleurs exprimées aussi dans les accords d'Oslo,
01:00
sur lesquels il faudrait revenir.
01:02
C'est une démarche tout à fait légitime.
01:05
Que parallèlement, on se soucie du sort des Palestiniens, c'est aussi tout à fait légitime.
01:09
Mais qu'en revanche, aujourd'hui, la France affirme reconnaître un état palestinien.
01:16
Quel état ? Quelle autorité légitime ? De quoi on parle ?
01:20
La reconnaissance d'un état palestinien, c'est un processus, un processus rigoureux, diplomatique, avec Israël et avec les pays de la région.
01:29
Et ce n'est pas de l'affichage pour essayer d'exister.
01:32
Alors, je ne sais pas si cette déclaration a beaucoup d'impact mondial, je n'en suis pas tout à fait convaincu.
01:37
Mais le voir que les déclarations d'Emmanuel Macron reçoivent hier les félicitations immédiates de LFI, de la France Insoumise,
01:46
de Jean-Luc Mélenchon, devrait quand même nous interpeller sur cette position.
01:50
Et du Hamas, qui a fait un communiqué également.
01:52
Oui, parce que vous l'avez dit dans votre question.
01:55
C'est-à-dire que c'est dans un contexte où il y a toujours des otages,
01:59
avec des organisations qui, dans la réalité, parce que la diplomatie, ce sont des objectifs, mais c'est la réalité.
02:05
C'est dans la réalité, aujourd'hui, en leur mainmise sur Gaza et sur une grande partie du peuple dit palestinien.
02:14
Et cette organisation, le Hamas est néo-nazis, veut éliminer les juifs de la surface du globe,
02:20
ne reconnaît donc à fortiori évidemment pas Israël.
02:23
Donc tout cela n'est pas sérieux.
02:25
Et je trouve qu'on fourvoie la France et qu'il ne faudrait pas que la France apparaisse comme le pays des idiots utiles,
02:32
des islamistes qui sont aujourd'hui les barbares totalitaires de notre époque.
02:38
Vous ne croyez pas Emmanuel Macron quand il dit que c'est un premier pas vers la paix ?
02:41
Vous parlez d'affichage.
02:42
Est-ce que, selon vous, ce serait une sanction d'Emmanuel Macron vis-à-vis de la stratégie de Benjamin Netanyahou ?
02:48
Si c'est cela, ce serait beaucoup trop circonstanciel et pas à la hauteur d'une ambition que doit porter la France
02:55
pour être un facteur de paix dans la région et de stabilisation.
02:58
Netanyahou, c'est aux Israéliens de dire s'ils en veulent ou pas.
03:03
Il y a beaucoup de contestations en Israël, c'est une démocratie.
03:05
Et effectivement, je pense à titre, je l'ai déjà dit, que l'Israël avec Netanyahou est dans une sorte d'impasse stratégique.
03:12
Quels sont les buts de guerre qui sont poursuivis ?
03:14
Mais il n'empêche que tout cela arrive après le plus grand pogrom de l'histoire depuis la Shoah,
03:21
depuis la Deuxième Guerre mondiale, le 7 octobre, arrive à un moment où Israël était menacé de toutes parts
03:29
par le Hezbollah et l'Iran et par le Hamas.
03:34
Et le Hezbollah et l'Iran s'étaient rapprochés.
03:37
C'est-à-dire que les sunnites et les chiites s'étaient rapprochés contre Israël.
03:40
Alors que parallèlement, Israël s'était rapproché de nombreux pays de la zone.
03:44
Et les Émirats arabes unis, l'Arabie saoudite de façon officieuse.
03:48
Et au-delà de la zone, d'autres pays comme les musulmans, comme le Maroc par exemple.
03:53
Donc là-dessus, la position de la France, maintenant, elle doit être sérieuse, elle doit être méthodique.
03:59
Elle doit passer par des discussions avec les Etats-Unis d'Amérique qui sont incontournables,
04:04
revoir les accords d'Oslo et les accords d'Abraham et essayer de construire quelque chose de durable.
04:09
Ce que je crains derrière, c'est qu'il y ait beaucoup de cynisme pour plaire à une partie de l'opinion publique française.
04:15
Et c'est ça qui me révolte.
04:18
David Lissnard, vous êtes maire de Cannes, encarté chez Les Républicains.
04:22
Vous savez ce qui est ressorti de la rencontre hier entre François Bayrou et Bruno Retailleau à Matignon ?
04:27
Non, écoutez, j'en sais rien de plus que ce que j'ai pu lire depuis ou entendre.
04:32
On avait le sentiment que le Premier ministre avait des mots mesurés vis-à-vis du ministre de l'Intérieur.
04:36
Vous vous attendiez à un recadrage plus sévère de la part de François Bayrou ?
04:40
Je n'attendais rien de particulier, mais je pense que la mesure est pertinente dans ce cas-là.
04:46
Parce que la position de Bruno Retailleau est tout à fait légitime.
04:51
J'étais faré de voir les vierges effaranchées dire que le ministre de l'Intérieur n'avait pas le droit
04:58
de mettre une position sur ce qu'on appelle le macronisme.
05:01
C'est quand même surréaliste.
05:02
Je rappelle d'une part qu'Emmanuel Macron était ministre de François Hollande, à qui il devait tout.
05:08
Ils appartenaient à la même majorité.
05:10
Ils venaient du même parti, le parti socialiste.
05:12
Lorsqu'il a trahi François Hollande, alors ce n'est pas pour ça que ça donne un blanc-seing à tous ceux qui lui succèdent,
05:19
mais la position du ministre de l'Intérieur, de Bruno Retailleau n'est pas du tout la même.
05:24
Il n'appartient pas à une majorité macroniste.
05:27
Il n'y a plus une majorité macroniste.
05:28
Il n'y en avait pas beaucoup après 2022, c'était relatif.
05:31
Et depuis la dissolution de l'année dernière, cette absurde dissolution, on est dans un no man's land de parlementaires.
05:38
Et donc il y a un gouvernement de circonstances, un agglomérat pour essayer de tenir le pays jusqu'à une prochaine élection générale.
05:46
Et donc il a le droit, évidemment, chef de parti, de dire qu'il ne se retrouve pas dans cette majorité,
05:51
de tenir des considérations sur la politique d'Emmanuel Macron.
05:55
Il ne remet pas en cause l'institution du président de la République.
05:58
Donc la position de Bruno Retailleau, elle est tout à fait légitime et je la trouve pertinente.
06:02
Avec une nuance, d'ailleurs.
06:04
Oui, bien sûr, il a raison de soulever tout cela.
06:06
Mais avec une nuance, c'est-à-dire que je me posais la question de la fin du macronisme.
06:10
Je ne sais pas trop ce que sera le macronisme.
06:12
J'ai l'impression que c'est plutôt une illusion électorale.
06:16
Vous pensez que c'est une parenthèse du macronisme dans la vie politique française ?
06:20
Parenthèse, ça c'est sûr, mais ce que je crains, en fait, c'est que le macronisme continue sous une autre forme,
06:27
que le macronisme n'ait été qu'une étape de ce qui plombe le pays depuis une quarantaine d'années,
06:31
qui est le dirigisme, l'étatisme, ce que j'appelle le social-étatisme,
06:35
qui est vraiment, pour continuer dans l'héisme, un conformisme très technocratique,
06:40
et que, finalement, Emmanuel Macron ne peut plus se représenter.
06:45
Je pense que ceux qui ont travaillé avec lui sont assez disqualifiés,
06:48
compte tenu du bilan calamiteux, commerce extérieur le plus déficitaire de la zone euro,
06:52
les dettes publiques qui s'emballent, croissance qui est inférieure à nos partenaires,
06:56
qui est même à tonne, une insécurité qui, depuis dix ans, a augmenté,
07:01
une incapacité à juguler les flux migratoires, etc.
07:04
Donc, un bilan calamiteux dans tous les domaines.
07:05
Mais, ce que je veux vous dire, juste pardonnez-moi, c'est que cela traduit malheureusement un conformisme technocrate
07:14
qui, hélas, est présent dans quasiment tous les partis politiques.
07:18
Et avec Nouvelle Énergie, nous luttons contre ça.
07:22
Justement, David Lysnard, dans cette voie qui se trace vers 2027,
07:26
vous proposez dix mesures pour redresser le pays.
07:30
Est-ce que la droite n'aurait pas plutôt besoin d'une incarnation pour la prochaine présidentielle ?
07:34
Vous avez raison, elle a besoin des deux.
07:37
C'est-à-dire qu'il faut exercer le pouvoir, non pas comme finalité, mais pour redresser le pays.
07:44
Donc, il va falloir beaucoup de courage pour prendre acte de la fin de l'État-providence,
07:49
tel qu'il a été conçu, qui n'est plus tenable pour des raisons démographiques,
07:53
des raisons économiques, etc.
07:56
Et donc, il va falloir une politique en profondeur, radicale, comme en 1958,
08:02
lorsque De Gaulle redresse le pays, sauf qu'il n'y a plus De Gaulle aujourd'hui.
08:04
On en est là.
08:05
Un élancé-dic.
08:06
Oui, bien sûr qu'on en est là.
08:07
Et évidemment.
08:08
Et donc, là-dessus, il faut pouvoir exercer le pouvoir avec constance, avec crédibilité
08:15
et en rétablissant la confiance.
08:17
Donc, il faut des mesures, il faut une intégrité de programme.
08:20
Donc, c'est pour ça que je dis, tombons, essayons de tomber d'accord sur des mesures fortes.
08:23
Je parle de la retraite par capitalisation, de la fin de la carte scolaire en milieu urbain,
08:26
de la suppression des principes de précaution, d'un plan de réduction des dépenses d'au moins 200 milliards
08:31
pour rapprocher un peu des pays les plus performants et pour relancer l'économie,
08:38
de faire péter tous les verrous qui pèsent sur la création de valeurs, la création de richesses,
08:43
de libérer par la décentralisation les dynamiques locales, de mettre en compétition les administrations.
08:51
Donc, il va falloir quelque chose de fort, de puissant, qui passera par des ordonnances,
08:55
qui passera par des référendums pour relégitimer l'action publique.
08:58
Mais avant, il faut gagner des élections.
08:59
Et je crois que pour gagner des élections, il faut éviter deux choses.
09:02
La compromission du projet, d'où ce que je propose, mais deuxièmement, la division.
09:07
Et c'est pourquoi, il me semble, au vu des réalités aujourd'hui de l'offre politique dite à droite,
09:14
qu'il n'y a pas de candidat naturel, c'est une évidence.
09:16
Il y a des présidentiables, Bruno Retailleur en est un,
09:18
il est devenu depuis sa magnifique victoire à la tête de LR, et il y en a d'autres.
09:24
Donc, qu'on fasse trancher pour qu'un projet soit retenu et une ou un candidat soit retenu.
09:30
Terminons, vous êtes maire de Cannes, David Lysnard, après les violences urbaines du week-end dernier à Nîmes,
09:35
à Béziers, Limoges, Compiègne, Charleville-Mézières.
09:38
Comment vous, vous sentez le pouls des quartiers chez vous ?
09:41
C'est très tendu, je peux vous le dire, y compris dans la commune,
09:45
qui est une commune très contrastée, on a plusieurs quartiers politiques de la ville,
09:49
et c'est très tendu, et puis j'échange avec tous les maires de toute tendance,
09:54
on est tous d'accord, on est dans une période extrêmement tendue,
10:00
la violence est sous-jacente, et parfois, je t'exprime, moi qui connais bien Limoges où je suis né,
10:06
voir ce qui s'est passé, c'est effarant, si vous voulez.
10:09
Et donc, il faut bien comprendre aujourd'hui qu'on est sur une cocotte minute,
10:13
et qu'il va falloir un travail en profondant pour rétablir l'autorité à l'école,
10:18
pour que les familles assument leurs devoirs d'éducation,
10:21
et l'école son devoir d'instruction,
10:23
et puis qu'on sorte maintenant des impasses dans lesquelles nous sommes en termes d'action publique,
10:28
et c'est pourquoi, moi, je dis qu'il faut sortir du cadre,
10:31
il faut briser les jurisprudences européennes et des hauts de cours
10:35
qui nous empêchent d'avoir une politique pénale efficace,
10:37
d'avoir une politique migratoire efficace.
10:39
Il faut au moins diviser entre 5 et 8, selon les chiffres que l'on prend,
10:44
l'immigration légale, qui est une source d'immigration illégale,
10:47
pour retrouver de la cohésion nationale,
10:49
et pour retrouver de l'efficacité régalienne.
10:51
Il faut rétablir l'ordre contre ceux qui nuisent,
10:54
la liberté pour ceux qui créent,
10:56
et puis l'éducation, l'instruction,
10:58
et une belle ambition scientifique pour toute la population.
11:01
C'est ça le projet de Nouvelle Énergie.
11:02
David Lissnard, vous n'envisagez pas de couvre-feu,
11:04
comme c'est le cas dans les nombreuses villes concernées par les violences le week-end dernier ?
11:09
Pas pour ma part pour l'instant.
11:11
J'ai eu des violences urbaines à plusieurs reprises.
11:14
On est une ville très dure à tenir,
11:16
parce que, quand même, c'est 74 000 habitants,
11:18
mais on a toute l'année, par nos événements,
11:20
et par l'attractivité de la ville,
11:22
au moins 200 000, 300 000 personnes dans la ville,
11:24
donc c'est très dur à tenir,
11:25
avec des gros contrastes sociologiques.
11:27
Pour l'instant, je n'ai pas eu besoin de cette technique,
11:30
mais c'est au maire et au commissaire de la police nationale
11:32
de décider localement de coproduire ensemble leur politique de sécurité.
11:38
Il faut faire confiance aux gens du terrain.
11:40
Merci David Lissnard.
11:42
Merci à vous.
11:42
D'être venu en direct sur Europe 1,
11:44
maire Les Républicains de Cannes,
11:45
avec votre propre parti,
11:47
les nouvelles énergies.
11:48
Merci.
11:49
Très bonne journée à vous sur Europe 1.
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